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DE FIL EN AIGUILLE, A BATONS ROMPUS :

 

 

Septembre 2014

 

GRAINES DE SAGESSE

 

La véritable richesse ne se compte pas en louis d’or mais en amis sincères.

Notre bonheur ne dépend pas de ce que nous possédons mais de ce que nous sommes.

Si tu veux la sérénité, arrête ta poursuite effrénée des biens matériels, fuit la compagnie de ceux qui

t’incommodent et plonge-toi dans des lectures enrichissantes.

Le temps c’est la Vie ! si tu le tue, c’est que tu es en train de te suicider.

Comme je plains ceux qui cherchent à « tuer le temps ».

Savourer chaque minute qui passe est un art qui peut se pratiquer par chacun de nous

sans étude ni apprentissage : il suffit de le désirer.

 

ETRE JEUNE

 

La jeunesse n’est pas une période de la vie, elle est un état d’esprit, un effet de la volonté, une qualité de l’imagination, une intensité émotive, une victoire du courage sur la timidité, du goût de l’aventure

sur l’amour du confort.

On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années, on devient vieux parce que on a déserté son idéal. Les années rident la peau, renoncer à son idéal ride l’âme. Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre

et devenir poussière avant la mort.

Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille. Il demande comme l’enfant insatiable ; et après ? Il défie

les évènements et trouve de la joie au jeu de la vie.

Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi vieux que votre doute. Aussi jeune que votre confiance en vous-même. Aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que votre abattement.

Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif. Réceptif à ce qui est beau, bon et grand.

Réceptif aux messages de la nature, de l’homme et de l’infini.

Si un jour, votre cœur allait être mordu par le pessimisme et rongé par le cynisme, puisse Dieu

avoir pitié de votre âme de vieillard.

Général Mac Arthur 1945 

 

 

 

Mai 2014

 

Reçu le 8 janvier 2014 de Madame Germain LEVY :

 

LE CONCOMBRE EST UN VRAI PETIT BIJOU!

 

Je savais qu'il fait fuir les fourmis, mais après cette lecture, vous n'allez plus vous en passer! 

> 

1.  Les concombres contiennent la plupart des vitamines dont on a besoin tous les jours : un seul concombre contient de la Vitamine B1, B2, B3, B5, B6, de l'acide folique, de la vitamine C, du calcium, du fer, du magnésium, du phosphore, du potassium et du zinc.

 

2.  Vous ressentez de la fatigue au beau milieu de l'après-midi, laissez tomber votre boisson caféinée et mangez un concombre, excellente source de vitamine B et de glucides qui faciliteront une récupération rapide qui se prolongera durant des heures.

 

3.  Votre miroir de salle de bain est tout embué après la douche?  Frottez une tranche de concombre sur le miroir; ça élimine la buée en plus d'embaumer l'air d'une odeur agréable qui rappelle le SPA.

 

4.  Les asticots et les limaces envahissent vos plantes?  Prenez quelques tranches de concombre et déposez dans un moule à tartes en aluminium et votre jardin en sera débarrassé.  La réaction chimique entre le concombre et l'aluminium produit une odeur imperceptible pour les humains mais repoussante pour les insectes nuisibles qui les chasse et les fait fuir l'endroit.

 

5.  Vous cherchez un moyen rapide et efficace de vous débarrasser de la cellulite sans avoir à sortir ou aller à la piscine?  Frotter de quelques tranches de concombre la surface concernée durant quelques minutes : la substance physio-chimique du concombre favorise le resserrement du collagène et raffermit la surface extérieure de la peau et ainsi, réduit la visibilité de la cellulite. C'est aussi efficace sur les rides!!!

 

6. Vous voulez vous éviter la «gueule de bois» ou un terrible mal de tête?  Mangez quelques tranches de concombre avant de vous coucher.  Vous vous réveillerez frais et dispos.  Les concombres contiennent assez de sucre, de vitamine B et d'électrolytes pour récupérer les nutriments perdus et en maintenant l'équilibre et ainsi, évitant les «lendemains de veille» et les maux de tête.

 

7. Pour combattre ces «petits creux» en plein après-midi, les concombres ont été consommés depuis des siècles et ont souvent servi aux trappeurs,  commerçants et explorateurs comme repas rapides pour combler leur faim.

 

8.  Vous vous préparez à un rendez-vous ou une entrevue d'emploi et vous réalisez que vous n'avez pas le temps de polir vos chaussures?  Coupez une tranche de concombre et frottez-en vos souliers : ses propriétés chimiques  procurent un reflet rapide et durable qui non seulement paraît bien mais aussi qui est imperméable.

 

9. Votre aérosol WD40 est vide et vous voulez arrêter le grincement d'une porte? Prenez une tranche de concombre, frottez-le sur la charnière et voilà, plus de grincement!

 

10.  Vous souffrez de stress extrême et n'avez pas le temps pour un massage, un facial ou un visite au spa?  Coupez un concombre entier et placez-le dans un contenant d'eau bouillante : ses propriétés chimiques et ses nutriments réagiront au contact de l'eau bouillante et s'évaporeront en répandant un arôme reposant et relaxant reconnu pour réduire le stress chez les nouvelles mamans et les étudiants à la veille d'examens.

 

11.  Vous sortez d'un dîner d'affaires et réalisez que vous n'avez pas de gomme ou de menthes?  Demandez une tranche de concombre à la serveuse et collez-la au palais en pressant avec la langue durant 30 secondes pour éliminer la mauvaise haleine.  Ses propriétés physio-chimiques tueront la bactérie qui en est responsable dans votre bouche .

 

12.  Vous cherchez une façon «verte» de nettoyer les robinets, les éviers ou l'acier inoxydable?  Prenez une tranche de concombre et frottez-la sur la surface à nettoyer : non seulement ça va faire disparaître des années de saletés mais aussi, ça ne fera aucun mal  à vos doigts et vos ongles.

 

13.  Vous écrivez à l'encre et faites une erreur?  Frottez l'extérieur d'un concombre pour effacer l'erreur.  C'est aussi efficace avec les crayons de  couleur et les marqueurs que les enfant prennent pour décorer les murs.

 

Transférez ceci aux gens en quête de meilleurs moyens sécuritaires de résoudre les problèmes de tous les jours.

 

 

Reçu le  20 janvier 2014 de Solange & Marcello VAÏS :

 

 Imagines que chaque matin, une banque t’ouvre un compte de 86400 euros. Simplement, il y a deux règles à respecter :

PREMIERE REGLE : tout ce que tu n’as pas dépensé dans la journée t’es retiré le soir. Tu ne peux pas tricher, ne peux virer cet argent sur un autre compte, ne peux que le dépenser mais chaque matin au réveil, la banque t’ouvre un nouveau compte, avec à nouveau 86400 euros pour la journée.

DEUXIEME REGLE : La Banque peut interrompre  ce « jeu » sans préavis : à n’importe quel moment elle peut te dire que c’est fini, qu’elle ferme le compte, qu’il n’y aura pas d’autre. Que ferais- tu ? Tu dépenseras chaque euro à te faire plaisir ? Ou offrir quantités de cadeaux aux gens que tu aimes ? Tu feras en sorte d’utiliser chaque euro pour apporter du bonheur dans ta vie et ceux qui t’entourent, n’est-ce pas ? Cette banque magique, nous l’avons tous, c’est LE TEMPS. Chaque matin, au réveil, nous sommes crédités de 86400 secondes de vie pour la journée et lorsque nous nous endormons le soir, il n’y a pas de report. Ce qui n’a pas été vécu dans la journée est perdu, hier vient de passer. Chaque matin, cette magie recommence. Nous jouons avec cette règle incontournable : la banque peut fermer notre compte à n’importe quel moment, sans préavis, à tout moment la vie peut d’arrêter. A lors que faisons nous de nos 86400 secondes quotidiennes ?

La vie est courte même pour ceux qui passent leur temps à la trouver longue.

Alors profitez-en. Bonne journée  mon vieux ! On est riches !!!

 

LA MORALE DE CETTE HISTOIRE, VIVEZ PLEINEMENT.

 

 

Reçu le 14 février 2014 de Mademoiselle Sylvana PARDO :

 

                         L'EAU DANS LE FOUR  MICRO-ONDES

 

> > > > Il faut absolument se donner 30  secondes pour lire ce qui suit.

> > > > C’est un phénomène connu et sous  estimé!

> > > > De nombreuses  personnes ne sont pas au courant...   

> > > > Lire texte reçu ce  jour :

> > > > " Il y  a environ cinq jours, mon fils de 26 ans décide  de prendre une tasse de café instantané. Il  prend une tasse d'eau et l'a met dans le four  micro -ondes, pour la réchauffer (quelque chose  qu' il avait fait à maintes reprises).

> > > >

> > > > Je ne sais  pas exactement  combien de temps il a mis  sur la minuterie mais il m' a dit qu' il  voulait  porter sa tasse à ébullition. 

> > > > Lorsque la minuterie s'  est arrêtée, il enlève la tasse du four micro  onde

> > > > En prenant la  tasse, il note que l' eau ne bouillait pas. 

> > > >  

> > > > Soudain l' eau de la tasse,  "explose"  vers son visage.

> > > > La tasse semblait  normale jusqu’à ce que toute l'eau lui   éclate au visage dû à une accumulation d'  énergie.

> > > >   Il a a subi des brûlures au premier et deuxième  degré au visage, qui restera probablement  marquer.

> > > > De plus, il a  perdu partiellement la vue de son œil gauche. 

> > > > Lorsqu'il est arrivé à l' hôpital, le  médecin lui a dit que c'était un fait courant,  et que l'eau seule ne devrait JAMAIS être  réchauffée au four micro-ondes :

> > > > Si l' eau est mise pour être  réchauffée de cette manière,

> > > > quelque chose d' autre doit être introduit  dans la tasse, tel un bâton de

> > > > bois ou une poche de thé (sans agrafe  métallique), afin de diffuser l' énergie. 

> > > >   Voici ce  qu'un  professeur de sciences nous dit sur  le sujet :

> > > > "J'ai déjà constaté ce genre  d' événement dans le passé. Ceci est causé par  un phénomène connu sous le nom de  sur-échauffement.

> > > > Ça se  produit lorsque l' eau est chauffée et plus  particulièrement lorsque le contenant est  neuf... Ce qui se produit est que l' eau se  réchauffe plus rapidement que les bulles de  vapeur qui peuvent se produire. Considérant que  les bulles ne peuvent se former et dégager la  chaleur accumulée, le liquide ne bout pas,  chauffe, chauffe, et dépasse son point d'  ébullition.

> > > > Lorsque  l'eau est déplacée soudainement, il se produit  un choc thermique suffisant pour causer la  création rapide de bulles qui expulsent l' eau  chaude. La formation rapide de bulles est  également la raison pour laquelle les liquides  carbonisés (Coca, Bière,Champagne), se déversent  violemment lorsqu’ ils sont agités avant de les  ouvrir."

> > > >   Prière de faire circuler  ces informations aux personnes que vous  connaissez afin de prévenir des blessures graves  et éviter de la souffrance aux autres.

Francine DESCHENES  Infirmière, B.Sc.

Assistante-recherche clinique en pneumologie  Hôpital Laval,

 

PS Tout aliment passé au  micro onde continue à cuire lorsqu'on le sort  puisque les molécules sollicitées par les ondes  sont toujours en action. C 'est pourquoi il ne  faut jamais manger directement ce qui sort du  micro onde

 

 

TACHEZ D’ETRE HEUREUX…

Le texte qui suit date de 300 ans.

Il reste d’actualité...

Auteur Inconnu

 

    Allez tranquillement parmi le vacarme et la hâte et souvenez-vous de la paix qui peut exister dans le silence. Sans aliénation, vivez autant que possible en bons termes avec toute personne. Dites doucement et clairement vote vérité et écoutez les autres, même le simple d’esprit et l’ignorant : ils ont eux aussi leur histoire. Evitez les individus bruyants et agressifs, ils sont une vexation pour l’esprit. Ne vous comparez avec personne : vous risquerez de devenir vain ou vaniteux. Il y a toujours plus grands et plus petits que vous. Soyez toujours intéressé à votre carrière, si modeste soit-elle ; c’est une véritable possession dans les prospérités changeantes du temps. Soyez prudent dans vos affaires…car le monde est plein de fourberies. Mais ne soyez pas aveuglé en ce qui concerne la vertu qui existe ; plusieurs individus recherchent les grands idéaux et partout la vie est remplie d’héroïsme. Soyez vous-même. Surtout n’affectez pas l’amitié. Non plus ne soyez cynique en amour car il est en face de toute stérilité et de tout désenchantement aussi éternel que l’herbe. Prenez avec bonté le conseil des années, en renonçant avec grâce à votre jeunesse. Fortifiez une puissance d’esprit pour vous protéger en cas de malheur soudain. Mais ne chagrinez pas avec vos chimères. De nombreuses peurs naissent de la fatigue et de la solitude. Au-delà d’une discipline saine, soyez doux avec vous-même. Vous êtes un enfant de l’univers, pas moins que les arbres et les étoiles; vous avez le droit d’être ici. Et qu’il vous soit clair ou non,  l’univers se déroule sans doute comme il se devait. Soyez en paix avec Dieu, quelle que soit votre conception de lui et quels que soient vos travaux et vos rêves, garder, dans le désarroi bruyant de la vie, la paix dans votre âme. Avec toutes ses perfidies, ses besognes fastidieuses et ses rêves brisés, le monde est pourtant beau. Prenez attention. Tâchez d’être heureux.

Trouvé dans une vieille église de Baltimore en 1962, auteur inconnu.     

 

 

 

Janvier 2014

 

Reçu le 17 novembre 2013 de Isaac & Irène SCHALOM cette belle pensée :

 

“Family isn't always blood. It's the people in your life who want you in theirs; The ones who accept you for what you are. The ones who would do anything to see you smile; And who love you no matter what.”

 

-o-o-o-o-o-o-o-o-

 

 

COMMENT ALLEZ-VOUS ?

Albert Pardo

A partir d’un certain âge, on commence à subir des maux plus ou moins douloureux et, parfois, très douloureux. Alors, il y a ceux qui se plaignent, d’autres qui râlent et, les moins nombreux, les stoïques, qui gardent leur souffrance pour eux.

L’expérience m’a appris ceci : Lorsque quelqu’un me demande « comment vas-tu », je dis toujours « ça va très bien, merci » même si je me tords de douleur…Pourquoi ? Parce que si le demandeur est un être cher, membre de la famille ou un bon ami, si je dis que ça va mal, cela lui fera de la peine sans qu’il puisse me soulager. Sans compter que le fait de ressasser mes douleurs cela me déprime. Et si le demandeur est un faux ami qui me veut du mal, il exultera en lui-même de me voir souffrir… Alors qu’en disant que je vais très bien, d’une part ça le fait râler et de l’autre, à force de le répéter, je me sens mieux…

 

 

Reçu le 25 décembre 2013 de Madame Erella AZRIEL :

 

POUR LES FERUS DE LA LANGUE FRANÇAISE :

QUELQUES "ASTUCES" QUE VOUS NE CONNAISSIEZ PEUT-ETRE PAS.

 

·         Le plus long mot palindrome de la langue française est« ressasser». C'est-à-dire qu’il se lit dans les deux sens.

·         « Institutionnalisation » est le plus long lipogramme en « e ». C'est-à-dire qu'il ne comporte aucun « e ».

·         L'anagramme de « guérison » est « soigneur » C'est-à-dire que le mot comprend les mêmes lettres

·         « Endolori » est l'anagramme de son antonyme « indolore », ce qui est paradoxal.

·         «Squelette» est le seul mot masculin qui se finit en «ette ».

·         « Où » est le seul mot contenant un « u » avec un accent grave. Il a aussi une touche de clavier à lui tout seul !

·         Le mot « simple » ne rime avec aucun autre mot. Tout comme « triomphe », « quatorze », « quinze », « pauvre », « meurtre , « monstre », « belge », « goinfre » ou « larve ».

·         « Délice », « amour » et « orgue » ont la particularité d'être de genre masculin et deviennent féminin à la forme plurielle. Toutefois, peu sont ceux qui acceptent l'amour au pluriel. C'est ainsi!

·         « Oiseaux » est, avec 7 lettres, le plus long mot dont on ne prononce aucune des lettres : [o], [i], [s], [e], [a], [u], [x] , « oiseau » est aussi le plus petit mot de langue française contenant toutes les voyelles. Eh oui !

 

 

Reçu le 26 Septembre 2013 de Solange et Marcello VAÏS :

C'est une très belle histoire, elle vaut la peine dêtre lue.

Un jour, une prof demande à ses élèves de noter le nom de tous les élèves de la classe sur une feuille et de laisser un peu de place à côté de chaque nom.

Puis, elle leur dit de penser à ce qu'ils pouvaient dire de plus gentil au  sujet de chaque camarade et de le noter à côté de chacun des noms. Cela prit toute une heure jusqu'à ce que tous aient fini et avant de quitter la salle de classe, les élèves remirent leur copie à la prof.  
Le week-end, la prof écrivit le nom de chaque élève sur une feuille et à  côté toutes les remarques gentilles que les autres avaient écrit au sujet de chacun.  
Le lundi, elle donna à chaque élève sa liste.  
Peu de temps après, tous souriaient. 
 
« Vraiment? » entendait-on chuchoter...
 
« Je ne savais pas que j'avais de l'importance pour quelqu'un!
 
Je ne savais pas que les autres m'aimaient tant était les commentaires que l'on entendait dans la salle de classe. 
 
Personne ne parla plus jamais de cette liste. La prof ne savait pas si les élèves en avaient parlé entre eux ou avec leurs parents, mais cela n'avait  pas d'importance. L'exercice avait rempli sa fonction. Les élèves étaient satisfaits d'eux-mêmes et des autres. 
 
Quelques années plus tard, un élève tomba, mort au Vietnam et la prof alla à l'enterrement de cet élève. 
 
L'église était comble. Beaucoup d'amis étaient là. L'un après l'autre, ils s'approchèrent du cercueil pour lui adresser un dernier adieu. La prof alla en dernier et elle trembla devant le cercueil. Un des soldats présents lui demanda Est-ce que vous étiez la prof de maths de Marc.  Elle hocha la tête et dit : oui. Alors, il lui dit : » Marc a souvent parlé de vous. »  
Après l'enterrement, la plupart des amis de Marc s'étaient réunis.  
Les parents de Marc étaient aussi là et ils attendaient impatiemment de pouvoir parler à la prof. 
 
« Nous voulions vous montrer quelque chose. » dit le père de Marc et il sortit son portefeuille de sa poche. « On a trouvé cela quand Marc est tombé à la guerre.  Nous pensions que vous le reconnaîtriez. » Il sortit du portefeuille un papier très usé qui avait dû être recollé, déplié et replié très souvent.  
Sans le regarder, la prof savait que c'était l'une des feuilles de la fameuse liste des élèves contenant beaucoup de gentilles remarques écrites à l'époque par les camarades de classe au sujet de Marc.  
« Nous aimerions vous remercier pour ce que vous avez fait. » Dit la mère  de Marc « Comme vous pouvez le constater, Marc a beaucoup apprécié ce geste.  
Tous les anciens élèves se réunirent autour de la prof.  
Charlie sourit et dit : » J'ai encore ma liste. Elle se trouve dans le premier tiroir de mon bureau. » 
 
La femme de Chuck dit : « Chuck m'a prié de la coller dans notre album de mariage. » 
 
« Moi aussi, j'ai encore la mienne, » dit Marilyn « Elle est dans mon journal intime » 
 
Puis, Vicky, une autre élève, prit son agenda et montra sa liste tout usée aux autres personnes présentes. » Je l'ai toujours avec moi, » dit Vicky et elle ajouta : » nous l'avons tous gardée. » 
 
La prof était si émue qu'elle dut s'asseoir et elle pleura.  
Elle pleurait pour Marc et pour tous ses amis qui ne le reverraient plus  jamais. 
 
Dans le quotidien avec les autres, nous oublions trop souvent que toute vie s'arrête un jour et que nous ne savons pas quand ce jour arrivera.  
C'est pourquoi il est important de dire aux personnes, que l'on aime et qui nous sont importantes, qu'elles sont particulières et importantes.  Dis le leur avant qu'il ne soit trop tard.  
Tu peux aussi le faire en continuant d'envoyer cette histoire. Si tu ne le fais pas, tu vas rater une occasion de faire quelque chose de bien. 
 
Si tu as reçu ce courriel, c'est que quelqu'un pense à toi et que tu as de l'importance pour au moins une personne. 
 

Si tu es trop occupé, et ne peux pas t'accorder quelques minutes pour l'envoyer, c'est dommage.  

Pense que tu récoltes ce que tu sèmes. Ce que l'on apporte dans la vie des autres, on le reçoit aussi dans sa propre vie en retour. 
 
Ce jour doit être un jour béni et quelque chose d'aussi important que tu l'es. Ne te pose pas de question, joues-y tout simplement!  
Envoie ce message à dix personnes, et aussi à celle qui te l'a envoyé.

    Bonne journée! 

 

 

 

Reçu le 24 octobre 2013 de Madame Lily KHODARA et de Madame Germaine LEVY:

 

INVITATION DE LA FOLIE !

                         (fable de Jean de la Fontaine)
La Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle.Tous les invités y allèrent.

Après le café la Folie proposa :
- On joue à cache-cache ?
- Cache-cache ? C'est quoi, ça ? demanda la Curiosité.
 - Cache-cache est un jeu.

Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez. Quand j'ai fini de compter … je cherche, et le premier que je trouve sera le prochain à compter.
Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse.
-1, 2, 3… La Folie commença à compter.
 L'Empressement se cacha le premier, n'importe où.
La Timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe d'arbre.
La Joie courut au milieu du jardin.
La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit approprié pour se cacher.
L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher.
 La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient.
 Le Désespoir était désespéré en voyant que la Folie était déjà à 99.
CENT ! cria la Folie, je vais commencer à chercher ...
La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert.
En regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus d'une clôture ne sachant pas de quel côté il serait mieux caché.
Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité ...
Quand ils étaient tous réunis, la Curiosité demanda : - Où est l'Amour ? Personne ne l'avait vu.
La Folie commença à le chercher. Elle chercha au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais elle ne trouvait pas l'Amour.
Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier, prit un bout de bois et commença à chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri :

c'était l'Amour, qui criait parce qu'une épine lui avait crevé un œil.
La Folie ne savait pas quoi faire. Elle s'excusa, implora l'Amour pour avoir son pardon et alla jusqu'à lui promettre de le suivre pour toujours.
L'Amour accepta les excuses.
Aujourd'hui, l'Amour est aveugle et la Folie l'accompagne toujours ... ... ...


Joli, n’est-ce pas ! ?

 

 

 

Mai 2013

 

Reçu le 30 janvier 2013 de  Madame Esther DIDAY :

Et le 13 février de Madame Germaine LEVY :

 

L'EAU DANS LE FOUR MICRO-ONDES

IMPORTANT :  DANGER  EVENTUEL

 

 Il faut absolument se donner 30 secondes pour lire ce qui suit. C’est un phénomène connu et sous estimé! De nombreuses personnes ne sont pas au courant...

Il y a environ cinq jours, mon fils de 26 ans décide de prendre une tasse de café instantané. Il prend une tasse d'eau et l'a met dans le four micro-ondes, pour la réchauffer (quelque chose qu' il avait fait à maintes reprises).  Je ne sais pas exactement  combien de temps il a mis sur la minuterie mais il m' a dit qu' il voulait  porter sa tasse à ébullition.  Lorsque la minuterie s' est arrêtée, il enlève la tasse du four micro onde. En prenant la tasse, il note que l' eau ne bouillait pas.  Soudain l eau de la tasse,  "explose" vers son visage. La tasse semblait normale jusqu’à ce que toute l'eau lui  éclate au visage , dû à une accumulation d'énergie.  Il a  subi des brûlures au premier et deuxième degré au visage, qui restera probablement marquer.  De plus, il a perdu partiellement la vue de son œil gauche. Lorsqu'il est arrivé à l' hôpital, le médecin lui a dit que c'était un fait courant, et que l'eau seule ne devrait JAMAIS être réchauffée au four micro-ondes :  Si l' eau est mise pour être réchauffée de cette manière,  quelque chose d' autre doit être introduit dans la tasse, tel un bâton de  bois ou une poche de thé (sans agrafe métallique), afin de diffuser l' énergie. Voici ce qu'un  professeur de sciences nous dit sur le sujet :

"J'ai déjà constaté ce genre d'événement dans le passé. Ceci est causé par un phénomène connu sous le nom de suréchauffement.  Ça se produit lorsque l'eau est chauffée et plus particulièrement lorsque le contenant est neuf... Ce qui se produit est que l'eau se réchauffe plus rapidement que les bulles de vapeur qui peuvent se produire. Considérant que les bulles ne peuvent se former et dégager la chaleur accumulée, le liquide ne bout pas, chauffe, chauffe, et dépasse son point d' ébullition. Lorsque l'eau est déplacée soudainement, il se produit un choc thermique suffisant pour causer la création rapide de bulles qui expulsent l' eau chaude. La formation rapide de bulles est également la raison pour laquelle les liquides carbonisés (Coca, Bière,Champagne), se déversent violemment lorsqu’ ils sont agités avant de les ouvrir."

Prière de faire circuler ces informations aux personnes que vous connaissez afin de prévenir des blessures graves et éviter de la souffrance aux autres.  Francine DESCHENES Infirmière, B.Sc. > > > Assistante recherche clinique en pneumologie Hôpital Laval,

PS Tout aliment passé au micro onde continue à cuire lorsqu'on le sort puisque les molécules sollicitées par les ondes sont toujours en action. C'est pourquoi il ne faut jamais manger directement ce qui sort du micro onde.

-o-o-o-o-o-o-o-

 

 

 

 

 

Reçu le 27 février 2013 de  Solange & Marcello VAïS


                                                                                 VENTE DE PARFUM    

                                           MISE EN GARDE, A DIFFUSER A TOUTES VOS CONNAISSANCES

 

Ca s'est produit sur le parking d'une grande surface... MAIS !!! possible dans les autres ...  Message de mise en garde pour toutes et tous. Une femme a été approchée hier après-midi dans le stationnement d’un supermarché par deux hommes lui demandant quel parfum elle portait. Après ça, ils lui ont demandé si elle aimerait sentir un échantillon d'une nouvelle fragrance qu'ils seraient prêts à lui vendre à un prix très raisonnable.
Elle aurait probablement essayé si elle n'avait pas reçu un mail il y a quelques semaines, l'avertissant du complot : "Essayez notre nouvelle fragrance''...
Les hommes ont continué à se tenir entre les voitures stationnées,probablement en attente d'une autre victime.
Mon amie a arrêté une autre femme qui s'en allait dans leur direction, les a pointés du doigt  et lui a dit comment elle avait reçu un mail au boulot l'avertissant que si quelqu'un se présentait à vous dans un centre d'achat ou un stationnement en vous demandant de "SENTIR UN PARFUM" qu'ils ne vendent pas cher. CECI N'EST PAS UN PARFUM, C'EST DU CHLOROFORME!!!!!! 
Lorsque vous le sentez, vous perdez connaissance et ils prendront tout ce qu'ils veulent : votre sac à main, votre argent, vos paquets, et qui sait ... quoi d'autre!?
Si elle ne s'était pas souciée de ce mail, elle aurait probablement senti le ''Parfum''
S V P, PASSEZ CE MESSAGE À TOUTES VOS CONNAISSANCES, ET SOYEZ EN ALERTE ET AVERTIS ! CECI S'APPLIQUE AUX MAMANS, AUX FILLES, AUX GRAND-MÈRES, TANTES, SOEURS ET AMIES. 

Conseil Général de la Sarthe 
Direction des Routes 
S.G.R. - S.R.E. 
Police Nationale 
6 avenue Mendès France 
72072 LE MANS Cedex 9 

Tél :02 43 54 79 73
Fax : 02 43 54 73 82 

 

                                                  -o-o-o-o-o-o-o-

 

Reçu le 8 avril 2013 de Solange & Marcello VAïS

 

GRAVE ET A FAIRE SUIVRE !!

À Lyon, dans une boîte de nuit, (Titan), des personnes ont eu une aiguille plantée dans le bras par un gars rigolant leur disant ”ça y est t'es avec nous, t'a le SIDA”.Des évènements similaires ont eu lieu dans d'autres boites de nuit (Must, Why not), A Clermont fd (63)au B.Box. Ceci s'est également passé à Paris. 
Il y a quelques semaines de cela, dans un cinéma, une personne s'est assise sur quelque chose de piquant sur un des sièges.

Lorsqu'elle s'est relevée pour voir de quoi il s'agissait,elle a trouvé une aiguille plantée à travers le siège avec une note attachée disant :

'Vous venez d'être infecté par le VIH'.

Le Centre de Contrôle des Maladies rapporte plusieurs évènements similaires dans plusieurs autres villes récemment. Toutes les aiguilles testées sont positives VIH.

Le Centre rapporte qu'on a trouvé des aiguilles aussi dans les retours de monnaie de distributeurs publics.

Ils demandent à tout le monde d'user d'une Extrême prudence quand vous serez confronté à ce genre de situation.

 Toutes les chaises publiques devraient être inspectées avec vigilance et prudence avant usage.

Une inspection visuelle minutieuse devrait suffire.

De plus, ils demandent à chacun de communiquer cet avis à tous les membres de votre famille et vos amis du danger potentiel.Merci.

 L'information mentionnée ci haut a été envoyée par la police municipale de la Ville d'Issy Les Moulineaux à tous les départements d'Ile de France qui ont diffusé la nouvelle dans toutes les villes.

On m'a demandé de passer ceci au plus grand nombre de personnes possibles.

Ceci est très important!!!

Pense que tu peux sauver une vie juste en redistribuant ceci.

S.V.P. prends quelques secondes de ton temps pour faire passer le message.

 

 

                                                         -o-o-o-o-o-o-o-

 

 

 

DEVINETTE

d’Albert PARDO

 

A une Correspondante qui souhaitait discrètement connaître mon âge, j’ai écrit ceci :

Vous m’avez communiqué votre date de naissance et je vous en remercie. Avant de vous donner la mienne, je vais vous poser une devinette :

a) De "caractère", j'ai trente ans. Car j'aime toujours la vie, les amis, les réceptions, les sorties, les voyages, la danse et la bonne humeur.

b) De " coeur", j'ai vingt ans puisque j'aime  la même femme depuis toujours.

c) " Dans ma tête " j'ai 35 ans car j'aime les responsabilités, les occupations, le travail bien fait, la lecture et l'écriture.

d) " D'espoir ", j'ai cent ans et plus car j'espère vivre le plus longtemps possible en bonne santé parce que la vie est belle malgré tous les désagréments qui l'accompagnent.

e) " D'innocence " j'ai un an car je crois en la bonté de l'Homme malgré que je me suis laissé "attraper" à plus d'une reprise.

                                     QUEL EST MON AGE ?

Si vous ne trouvez pas, je vous donnerais la réponse dans mon prochain mail.

Amitiés.

A. P.

 

 

 

Janvier 2013

 

Reçu le 12 novembre 2012 de Madame Ety DIDAY :

 

CAILLOT DE SANG !!! A LIRE ABSOLUMENT !!!

 

Autant le reconnaître car on ne sait jamais de quoi tantôt ou demain sera fait.

Caillot de sang/attaque cérébrale :Ils ont découvert un quatrième indicateur: la langue.

Je continuerai de transférer ce document toutes les fois que je le recevrai !C'est important,Faites circuler ce courriel, vous pourriez sauver la vied’un de vos amis; c’est sérieux !

ATTAQUE CÉRÉBRALE : pour ceux qui comprennent l’anglais, rappelez-vous des trois premières lettres du mot : STROKE (qui veut dire attaque) :S.T.R.

- COMMENT IDENTIFIER UNE ATTAQUE CÉRÉBRALE: Ça ne prend qu’une minute pour lire ceci…

Un neurologue a dit que s’il pouvait soigner une personne victime d’une attaque cérébrale dans les 3 heures, il pouvait renverser totalement les dommages....TOTALEMENT !

Il a dit aussi qu’il est assez difficile de reconnaître une attaque cérébrale, la diagnostiquer et emmener le patient à l’hôpital dans les 3 heures.

RECONNAITRE UNE ATTAQUE CÉRÉBRALE :

Sachez retenir ces trois étapes : S.T.R.

Quelques fois les symptômes d’une attaque cérébrale sont difficiles à identifier. Malheureusement, le manque de vigilance est synonyme de désastre dans certains cas.

La victime d’une telle attaque pourrait souffrir de sévères dommages au cerveau si les personnes autour d’elle n’arrivent pas à identifier ces symptômes.

Maintenant, les médecins disent qu’un spectateur peut reconnaître une attaque cérébrale en posant troisquestions simples :

S * (smile) Demandez à la personne de sourire.

T * (Talk) Demandez à la personne de parler, de dire une phrase simple avec

cohérence (Exemple : il fait beau aujourd'hui)

R *(raise both arms) Demandez lui de lever les deux bras.

Si la personne a des difficultés à exécuter l’une ou l’autre de ces tâches, appelez immédiatement le 112 et décrivez les symptômes à la personne en bout de ligne.

Nouveau signe d’une attaque cérébrale : Tirer la langue !

À NOTER : Un autre “signe” d’une attaque cérébrale a été découvert : demandez à la personne de tirer la langue. Si la langue est croche, si elle va plus d’un côté que de l’autre, c’est aussi une indication d’une attaque cérébrale.

Un cardiologue a dit que si chaque personne qui reçoit ce courriel l’envoie à 10 personnes; vous pouvez parier qu’au moins une vie sera sauvée.

J’ai fait ma part, et toi ?

 

 

Reçu le 8 décembre 2012 de nos amis Solange et Marcello VAïS :

 

TRES  IMPORTANT

 

J'ai reçu un appel téléphonique hier soir d'un individu s'identifiant comme
appartenant au service de France Telecom qui  effectuait un essai sur les lignes téléphoniques. Il mentionne que pour compléter l'essai, je dois appuyer sur le neuf(9), le zéro(0), la touche dièse (#) et puis raccrocher.
Heureusement, j'étais méfiant et j'ai refusé.
En contactant la compagnie de téléphone, j'ai été informé  qu'en appuyant sur les touches (9, 0, et #) vous  donnez entièrement accès à l'individu de se servir de votre ligne téléphonique et vous lui permettez de faire des appels interurbains qui seront facturés à votre numéro de téléphone de la maison.
 J'ai également été informé que cette fraude provient de plusieurs prisons locales.
Donc N'APPUYEZ PAS sur les touches 9, 0, et # pour  PERSONNE Le service de sécurité GTE demande à ce que je partage cette information avec TOUS CEUX ET CELLES que JE CONNAIS.

Après vérification auprès de France Telecom, ils ont confirmé  c'était vrai, donc soyez vigilants ! VEUILLEZ FAIRE CIRCULER. Merci !!!

 

 

Septembre 2012

 

COMMENT BIEN VIVRE JUSQU'A 120 ANS

Albert Pardo

Grâce à mon Site, je me suis fait de nombreux Amis dans plusieurs Pays. L’un d’eux m’a adressé ses vœux à l’occasion de mon 93eme anniversaire et a ajouté cette phrase :

La prochaine fois, tu mettras sur ton Site ta bonne recette : Comment bien vivre jusqu’à 120 ans…

Voici la réponse que je lui ai adressée :

Cher Ami : Après mûre réflexion, je réponds à ta demande  :

Hélas, je n’ai aucun secret ni aucune recette miracle à recommander à autrui pour bien vivre jusqu’à 120 ans et, à mon humble avis, je ne pense pas qu’il existe de recette miracle pour vivre longtemps  ET en bonne santé.

Mais je connais des comportements pour vivre agréablement, sainement et avec bonheur et d’autres, pour souffrir physiquement et moralement et écourter ainsi, SUREMENT, son existence.

Pour le premier cas, il faut aimer les gens en commençant par sa propre famille : Son conjoint, ses enfants, son entourage (voisins, collègues de travail etc.) et avoir des amis sincères avec qui on peut passer son temps libre agréablement : sorties, visites et réceptions, excursions, clubs, voyages, etc…

A propos d’amis, il est indispensable d’en avoir ceux et celles avec qui on s’entend parfaitement et ne pas hésiter à s’écarter de ceux qui ont des défauts graves et qui finissent par semer la zizanie et la haine entre les uns et les autres. Mais il ne faut jamais oublier cet adage :

IL FAUT TOUJOURS DEFAIRE ET NE JAMAIS DECHIRER L’AMITIE.

(Voir plus bas :L’Art de G         arder ses Amis ou La Charte des Croulants)

Quant à sa propre famille, il est indispensable que les conjoints s’aiment et se respectent et donnent TOUJOURS le bon exemple aux enfants. Nous venons de fêter notre 68 ème anniversaire de mariage et je suis sûr que ces années nous ont procuré le maximum de bonheur qui, peut-être, contribue à notre longévité : chi lo sa ?

D’autre part, il y a malheureusement ceux qui ont mauvais caractère et une  vie dissolue . Ils sont à couteau tiré avec tout le monde : famille, voisins, entourage et  font des excès dans TOUS les domaines : bouffe, alcool, cigarettes,  veilles, jeux d’argent, sexe, etc. Ce sont des  comportements qui, sûrement, contribuent à écourter leur existence.

 

 

L’Art de Garder ses Amis

ou

La Charte des  Croulants

 

 

Qu’est-ce qu’un Croulant ?

 

Un Croulant est une personne, homme ou femme, ayant dépassé la septantaine. A ce stade, il n’est pas encore tout à fait « cuit » et ses envies sont encore intactes mais ses possibilités sont de plus en plus défaillantes.

En général, le Croulant fait partie de l’une de ces deux catégories :

 

-      LES SOLITAIRES : ceux qui aiment vivre seuls et

-      Les GREGAIRES :  , ceux qui aiment vivre avec les autres.

 

Pour les premiers, il n’y a aucun problème : aimant vivre seuls, ils continueront paisiblement leur parcours habituel. C’est pour les grégaires que les choses risquent de se compliquer. Pourquoi ? C’est que, pour un septuagénaire grégaire,  une ou plusieurs choses changent fondamentalement plus ou moins en lui, suivant les individus mais, indubitablement pour tous, au moins ces trois-là : LE BESOIN DE LIBERTE,  LE CARACTERE et LA SANTE.

 

LE BESOIN DE LIBERTE : Ce besoin se manifeste souvent  durant les sorties et les voyages. A cause de défaillances physiques différentes et propres à chaque Croulant, nombreux sont ceux ou celles qui ne peuvent plus faire ce qui leur était très facile auparavant :, le sommeil, la bouffe, la boisson, les promenades la danse, etc.

 

Pour qu’un voyage en compagnie d’amis procure le maximum de plaisir aux  uns et aux autres,  il ne faut jamais oublier cet adage : « la liberté des uns s’arrête là où la liberté des autres commence » Il faudrait donc que chacun ne ressente aucune contrainte envers  ses compagnons du moment : il prendra son petit déjeuner à l’heure qui lui plaira, il ira se promener avec eux ou non si cela lui fera  plaisir ou pas, il fera une petite ou une longue sieste ou pas du tout comme ça lui chante, il prendra ou non l’apéritif avec eux sans que cela soit une OBLIGATION.

Le soir, après dîner, il assistera ou non aux animations et, enfin, il ira dormir à l’heure qu’il désirera sans que ses compagnons ne considèrent qu’il les fuit.

Cette LIBERTE des uns envers les autres procurera à TOUS des grandes satisfactions et les incitera à répéter les occasions de sortir  et de voyager ensemble,

 

LE CARACTERE : Ah ! le caractère ! Là, c’est encore plus grave suivant les individus : avec l’âge, certains qui étaient jusqu’à gentils, serviables, patients et généreux, deviendront plus ou moins impatients, nerveux, acariâtres,  susceptibles, radins, soupe au lait, etc. Alors, que faire ? Il n’y a pas cinquante méthodes, je n’en connais que d’eux : ou bien aller se réfugier dans LA SOLITUDE au risque de sombrer dans le chagrin et la dépression ou bien, si on a un caractère gai, amical, sociable,  FAIRE LES EFFORTS NECESSAIRES pour supporter, dans la mesure du possible, la personnalité de ceux que l’on désire continuer à fréquenter, sauf s’il y a abus. Dans ce dernier cas, ne pas hésiter à changer de partenaires, de compagnons  de sorties et de voyages ou même d’amis.

 

LA SANTE : il n’y a besoin d’aucune démonstration pour prouver que l’on n’a pas la même santé à 70 ans qu’à 40, 50 ou 60 ! Etant donné que chacun de nous EST ou SERA atteint, plus ou moins gravement, dans une ou plusieurs de ses facultés, le septuagénaire vivant en société se gardera d’accabler son entourage de ses plaintes et jérémiades concernant ses bobos et ce, afin   qu’il ne fasse pas le vide autour de lui.  Chacun aura à cœur de n’effleurer que délicatement ses propres problèmes de santé et de faire plus ou moins semblant de s’intéresser aux problèmes de santé des autres SI  il a la patience d’écouter et la résistance morale de  supporter cela. Dans le cas contraire, on  fera tout son possible de s’esquiver d’une façon élégante afin de ne pas blesser la personne qui l’accable de ses plaintes.

 

Encore une chose fondamentale : ne jamais  oublier que « les bons comptes font les bons amis »

 

.

                                                          Albert Pardo

                                                   Marseille, le 25 mai 1989

 

 

Reçu le 26 mai 2012 de Madame Germaine LEVY un diaporama qui contient le texte qui suit, du Mahatma GANDHI :

 

MON  DIEU

 

Mon Dieu, si tu me donnes de l’argent, ne me prends pas mon bonheur. Et si tu me donnes la force, ne m’enlève pas mon pouvoir de raisonner.

Si tu me donnes le succès, ne m’ôte pas l’humilité. Si tu me donnes l’humilité, ne m’ôte pas la dignité. Aide-moi à connaître l’autre aspect des choses.

Mon Dieu, ne me laisses pas m’enivrer par le succès si je l’atteint, ni me désespérer si j’échoue. Fais-moi plutôt me souvenir que l’échec est l’épreuve qui conduit au succès.
Mon Dieu, enseigne-moi que la tolérance est le degré le plus élevé de la force et que le désir de vengeance est la première manifestation de la faiblesse.

Mon Dieu, si tu me dépouilles des richesses, laisse-moi l’espérance. Et si tu me dépouilles du succès, laisse-moi la force de volonté pour pouvoir vaincre l’échec. Si tu me dépouilles du don de la santé, laisse-moi la grâce de la Foi.

Mon Dieu, si je fais du tort à quelqu’un, donnes-moi la force de demander pardon. Et si quelqu’un me fait du tort, donnes-moi la force du pardon et de la clémence.

Mon Dieu, enseigne-moi à aimer les autres comme je m’aime moi-même et à me juger comme je juge les autres.

Mon Dieu, aide-moi à dire la vérité en face des forts et à ne pas mentir pour m’attirer les applaudissements des faibles. Amen. Amen. Amen.

 

P E N S E E S

A chaque âge son comportement

 

Heureux celui qui a été jeune pendant sa jeunesse et « sage » l’âge venu.

Nous désirons tous vivre vieux mais refusons de l’être.

C’est plaisant d’arriver à un grand âge mais pas de l’avoir.

Vieillir est le meilleur moyen de vivre longtemps.

Vieillir c’est passer  de la passion à la compassion.
Dans les yeux d’un jeune brille la flamme, dans les yeux d’un vieux brille la lumière.

 

 

Mai 2012

 

Reçu le 24 janvier 2012 de Madame Erella AZRIEL :

 

DIFFERENCE BETWEEN A FRIEND & AN EGYPTIAN FRIEND!



FRIENDS: Never ask for food.
EGYPTIAN FRIENDS: Always bring the food.

FRIENDS: Will say 'hello.'
EGYPTIAN FRIENDS: Will give you a big hug and a kiss.

FRIENDS: Call your parents Mr. and Mrs.
EGYPTIAN FRIENDS: Call your parents: Uncle/Dad and Aunt/Mum.

FRIENDS: Have never seen you cry.
EGYPTIAN FRIENDS: Cry with you.

FRIENDS: Will eat at your dinner table and leave.
EGYPTIAN FRIENDS: Will spend hours there, talking, laughing and just being together.

FRIENDS: Know a few things about you.
EGYPTIAN FRIENDS: Could write a book with direct quotes from you.

FRIENDS: Will leave you behind if that's what the crowd is doing.
EGYPTIAN FRIENDS: Will kick the whole crowds' ass that left you.

FRIENDS: Would knock on your door.
EGYPTIAN FRIENDS: Walk right in and say, 'I'm home!'

FRIENDS: Are for a while.
EGYPTIAN FRIENDS: Are for life.

FRIENDS: Will ignore this email.
EGYPTIAN FRIENDS: Will forward it.

 

 

Reçu le 14 avril 2012 de Madame Lily KHODARA :

 

TU NE SAVAIS PAS

 

Un message que tous les adultes devraient lire.

Les enfants vous observent beaucoup sans que vous le réalisiez!

Ils font ce qu’ils voient et non ce qu’on leur dit!

 

Lorsque tu ne me regardais pas, je t’ai vu accrocher au mur ma première peinture et j’ai voulu immédiatement en produire une deuxième…….

 

Lorsque tu ne me regardais pas, je t’ai vu nourrir un chat perdu et j’ai compris qu’il fallait être bon pour les animaux….. 

 

Lorsque tu ne me regardais pas, je t’ai vu préparer mon gâteau préféré,

pour moi, alors  j’ai compris que les petits gestes sont très importantes dans la vie……

Lorsque tu ne me regardais pas, je t’ai entendu prier et j’ai compris qu’il y avait un Dieu et que je pouvais lui parler et avoir confiance en Lui….

 

Lorsque tu ne me regardais pas, je t’ai vu préparer un repas et aller le porter à un ami qui était malade et j’ai compris qu’il faut s’entraider les uns les autres... 

 

Lorsque tu ne me regardais pas, je t’ai vu donner du temps et de l’argent des gens nécessiteux et j’ai compris ceux qui le peuvent doivent aider ceux qui en ont le besoin… 

 

Lorsque tu ne me regardais pas,  je t’ai vu nettoyer la maison et voir aux besoins de chacun de nous et j’ai compris qu’il fallait respecter les autres et prendre soin de ce qui leur appartient…

 

Lorsque tu ne me regardais pas, je t’ai vu prendre tes responsabilités au sérieux, même quand tu ne te sentais pas bien et j’ai compris à être un adulte responsable

 

Lorsque tu ne me regardais pas, j’ai vu des larmes dans tes yeux et j’ai compris qu’il y a des choses qui nous font souffrir et que l’on peut pleurer… 

 

Lorsque tu ne me regardais pas, j’ai vu comment tu nous aimais et j’ai voulu devenir la meilleure personne qui m’était possible d’être, comme toi…

 

Lorsque tu ne me regardais pas, j’ai appris de toi toutes les leçons importantes de la vie que j’avais besoin pour devenir une personne productive en grandissant… 

 

Lorsque tu ne me regardais pas, je te regardais et voulais te dire merci pour toutes les choses que je t’ai vues faire pendant que tu ne me regardais pas   

J’envoie ce document à toutes les personnes que je connais qui font tellement pour les autres mais ne réalisent même pas qu’il y a des petits yeux qui les observent constamment !

 

Chacun de nous ( parents, grand-parents, tantes, oncles, enseignants ou amis ) influence la vie d’un enfant.  Comment vais-je toucher la vie de quelqu’un aujourd’hui?  Seulement en envoyant ce texte à quelqu’un d’autre, tu vas certainement au moins le ou la  faire réfléchir sur son influence  sur les autres.

 

Prêcher par l’exemple………….Il s’agit d’y penser!

 

-o-o-o-o-o-o-o-o-o- 

 

 

 

 

Janvier 2012

 

Reçu le 16 novembre 2011 de Madame Etty GABRIEL,ce magnifique texte de Monsieur Yaacon Ben DENOUN :

 

M E H I L A

C’est un mot Hebreu qui signifie PARDON

 

 

A ceux que j'ai mal aimés, ou insuffisamment, ou sans allant.

A ceux que j'ai mécontentés, et qui peuvent m'en vouloir,

Qui se sont sentis touchés par mes paroles, mes postures, mes faiblesses.

MEHILA

Aux malades que je n'ai pas visités, aux parents qui m'attendaient,

A ceux à qui j'ai refusé un geste de justice, un don ou une offrande,

A ceux que j'ai laissés seuls, sans secours, sans affection.

MEHILA

Aux amis que j'ai déçus, à ceux qui espéraient de moi plus qu'une consolation,

A ceux qui cherchaient ma présence, à ceux qui me guettaient du regard,

A ceux qui dans le silence découvraient l'absence et la prière insatisfaite.

MEHILA

Aux intentions louables, à mes actes manqués, à l'apparente indifférence,

Aux illusions perdues, aux rêves imparfaits, aux appels à la chance,

Aux ambitions ultimes, aux horizons ouverts, aux regrets de l'enfance.

MEHILA

A ceux qui me sont proches, qui me frôlent le coeur,

Aux fleuves qui descendent, aux ruisseaux qui remontent,

A la chère incandescence dans des yeux si peu croisés.

MEHILA

 

De n'être qu'un souffle, qu'une exaspération,

De n'être pas sensible aux tiédeurs de la patience,

A ces incertitudes que souvent j'affectionne.

MEHILA

De n'être pas intime avec la perfection,

De ne vouloir les cimes que par ma prétention,

Et d'oublier la vie qui palpite et s'enflamme.

MEHILA

De vouloir, d'essayer, souhait certainement futile,

De ne pas arriver à embrasser ce monde,

A irriguer ma vie de sèves de contentement.

MEHILA

Pour mes errances, pour mes pensées inquiètes,

Pour l'appel à la danse, pour mon pas qui s'arrête,

Pour n'être pas à l'heure, à votre rendez-vous.

MEHILA

Pour avoir interrompu votre quiétude, pour la colère rentrée,

Pour le sort qui nous est fait, pour ces hivers si rudes,

Pour ne pas être souvent le héraut de la cause qui vous est chère.

MEHILA

Pour ce temps que nous partageons, qui ne vous honore pas,

Pour ces murmures fébriles, ces embrassades furtives,

Pour ces mots de vermeille qui n'ont pas pris l'envol.

MEHILA

De ne pas saisir le bonheur de vivre dans votre sillage,

De chercher toujours ailleurs les liens de l'arrimage,

De regarder vers l'Est des passions de mon âge.

MEHILA

De ne pas avoir la ressource de vous aimer plus fort,

Mes amis, mes soleils, mes compagnons du jour,

De vous porter ombrage en désespérant encore.

MEHILA

Aux bras délaissés, aux mains qui s’entrouvraient,

A ce destin fébrile qui préparait mes pas,

A ces déconvenues précédant le départ.

MEHILA

Pour ces chemins qui parfois nous invitent,

Pour ces désirs torrentiels qui irriguent nos jours,

Pour l’appel de la route, le rêve d’un ciel plus bleu.

MEHILA

 

Pour ces regrets que j’ai pu mettre au monde,

Pour mes paroles sevrées de l’amour qui est dû,

Pour ces brisures du temps devenus des parcours.

MEHILA

Pour ces étoiles qui brillaient dans mon ciel,

Pour l’éclat des prières, pour l’or des espérances,

Pour ces envies d’azur aussi fragiles qu’un jour.

MEHILA

Pour mes égarements, pour les roses fanées,

Pour les herbes jaunies et les tiges tremblantes,

Pour l’étincelle de vie, pour la sève dormante.

MEHILA

Pour les écueils, les rochers aiguisés,

Pour la proue des navires qui venaient s’y figer,

Pour mon coeur insensible à vos peines intimes.

MEHILA

Pour ces liens distendus, pour ces maillons épars,

Pour cette âme de passeur, pour l’envie de donner,

Pour n’avoir pas transmis ce qui lors pouvait l’être.

MEHILA

Pour ces colères, pour ces coups de tonnerre,

Pour ces vagues venues d’océans rugissants,

Pour ces tumultes inutiles, ces rumeurs aux bruits creux.

MEHILA

Pour ces plaintes, pour ces lamentations,

Pour les murmures du vent, les sifflements sonores,

Pour cette conscience de soi complaisante à l’excès.

MEHILA

Je reviens sur mes pas,

Pour changer d’horizon.

MEHILA

Que votre regard me pardonne

Avant que les portes se referment.

MEHILA

Pour ces chants qui ne sont plus, pour le passé des passions,

Pour tous ces rires diffus, pour ces traces d'émotion.

Je vais encore vous dire, le plus tendrement du monde,

Ce mot de l'affliction qui deviendra la joie.

MEHILA, à tous, MEHILA

Il faut agir en homme de pensée et penser en homme d’action.

Le mal ne triomphe que par l'inaction des hommes de bien.

 

 

 

Octobre 2011

 

A  PROPOS  DE FALAFEL

Albert Pardo

 

Cette préparation originaire d’Egypte est en train d’envahir le monde entier et elle le mérite bien pour toutes ses qualités : nourrissante, succulente et peu chère. J’en rappelle ici ma recette qui se trouve dans mon Site dans la Rubrique LES NOURRITURES TEMPORELLES à la Section : Les Incontournables.

LES  FALAFELS   ou   TAAMEYA

recette facile et rapide

Voici une spécialité succulente de la cuisine égyptienne. Mais sa préparation habituelle demande tant de temps que presque plus personne ne la confectionne  chez soi. Cependant, on trouve dans les épiceries orientales et dans les boucheries cachère des paquets de falafel en poudre dont le goût s’en rapproche beaucoup. Voici une recette améliorée qui, sans contexte, vous fera retrouver le goût des falafels de notre enfance. La seule différence est qu’elle est composée à base de pois chiches au lieu de fèves sèches.

Ingrédients : 1 paquet de falafel en poudre – 1 morceau de pain de 20 gr. environ – le vert d’un petit poireau – 10 brins de persil plat – autant de coriandre verte ou, à défaut, ½  cuiller à café de graines de coriandre légèrement grillées et moulues – autant de cumin – une gousse d’ail (facultatif) – la moitié d’un petit oignon (facultatif) un peu de poivre ou de piment ou les deux (facultatif) des graines de sésame (facultatif) du sel et de l’huile

Préparation : Tremper le pain et l’essorer à la main. Hacher menu avec le couteau, le vert de poireau, le persil, la coriandre verte, l’ail et l’oignon. Mettre le tout, avec les épices et le pain, dans le hachoir électrique pour obtenir une pâte homogène. Former des petites boulettes aplaties. Garnir le dessus de chaque falafel d’une large pincée de sésame.

Chauffer fortement l’huile dans une poêle et y glisser les falafels avec précaution à cause des projections d’huile chaude éventuelles. Il faut que les falafels soient bien frits des deux côtes.

Accompagnés d’une salade baladi, d’une salade de tehhina, de pita et d’une bière bien fraîche,  vous vous retrouverez transportés au Caire, Alexandrie, Port-Saïd ou Ras-el-Barr…    

Mais on ne peut pas  parler de FALAFEL sans évoquer son compagnon inséparrable,  LE FOUL MEDAMMESS. Les voici, tous les deux, tirés de mon article intitulé :

LES  PETITS  DÉJEUNERS.

Riches ou pauvres, la majorité des Égyptiens et de nombreux Européens prennent le petit déjeuner hors de la maison.

Le choix est vaste et varié mais le plus courant des petits déjeuners est un sandwich de foul medammess* ou de falafel*, appelé aussi taameya*. Le foul est une variété de fève sèche qu’on met à bouillir dans de l’eau, à feu doux, toute la nuit avec une petite quantité de lentilles rouges qui finissent par fondre en donnant une belle coloration au foul.  Quant au falafel ou taameya c’est du foul mis à tremper puis finement moulu avec de l'oignon frais, ail, persil, coriandre, cumin, sel, etc., Cette pâte est, ensuite, transformée en boulettes frites dans l’huile. Dans chaque rue populaire égyptienne, il y a un ou plusieurs restaurants de foul et falafel. C’est la nourriture habituelle des gens de petite condition qui en consomment plusieurs fois par semaine, matin, midi et soir. Mais tout le monde en consomme également, riches ou pauvres, Égyptiens ou Européens car c’est très bon. 

         Il y a aussi les marchands ambulants qui s’installent très tôt dans les rues pour servir ceux qui se rendent à leur travail ou à l’école sans pouvoir s’attabler dans un restaurant populaire, par manque de temps. Entre ces marchands, il y avait une concurrence effrénée pour retenir ou augmenter la clientèle. Il y en avait plusieurs sur le chemin de mon école.

Un sandwich de foul medammess se compose habituellement d’un petit pain rond et plat dans lequel le marchand enfourne une louche de foul, une ou deux cuillerées de salade verte, composée de laitue, tomates, concombres, oignons, persil, le tout coupé menu, une cuillerée de tehhina, (genre de crème préparée avec des graines de sésame écrasées et assaisonnée) et, enfin, de l’huile, du jus de citron et du sel. Il mélange le tout intimement et remet ce sandwich au client, dans un morceau de papier journal. C’est délicieux et consistant.

Quant au sandwich falafel, il comporte toujours le petit pain rond dans lequel le vendeur met quatre ou cinq boulettes de falafel accompagnées de salade verte et de tehhina.

Mais, pour attirer le chaland, chacun ajoutait un petit quelque chose en plus et,  celui qui avait ma faveur, ajoutait au sandwich de foul, en plus de tous les ingrédients énumérés plus haut, un demi œuf dur et une boulette de falafel.

Malgré le prix modique auquel ils vendaient leur marchandise, certains d’entre eux firent bâtir des immeubles de rapport !  En hiver, on préférait parfois prendre un plat de belila chaud. La belila est une variété de blé rond qu’on fait bouillir avec de l’eau et du lait, comme les flocons d’avoine. Une grande bassine contenait cette bouillie, sous laquelle brûlait une petite flamme pour la maintenir chaude car, en refroidissant, elle se figeait.  Quand vous demandiez une belila, le marchand prenait un bol et y mettait : trois cuillerées de sucre en poudre, une louche de belila, un jet de lait frais, une noix de beurre, une cuillerée de raisins secs, une giclée d’eau de fleurs d’orangers, une cuillerée de noisettes pilées, une autre de noix de coco râpée, quelques pignons de pins, une pincée de cannelle en poudre… et j’en oublie. On pouvait ajouter, à volonté, chacun suivant son goût, un surplus de lait, de sucre ou de cannelle.

Ceux qui, pourtant, aiment un petit déjeuner consistant mais désirent changer du foul medammess ou du falafel habituels ou encore de la belila, n’ont que l’embarras du choix.  Composé de lentilles entières et de riz cuits ensembles, le kochari se sert dans de petites assiettes profondes. Avec des gestes rapides ponctués de coups de louche sur la bassine ad hoc, le marchand y prélève rapidement plusieurs louches de kochari, très peu remplies, et construit dans l’assiette un  petit monticule bien symétrique, sur la cime duquel il ajoute, avec ses doigts, une petite quantité d’oignon frit, grossièrement haché, dont il a préparé une haute pyramide sur une desserte à pied, dès potron-minet.

Le vendeur de makarona est souvent un ambulant. Il utilise une variété de très gros macaronis bouillis, dont il remplit une assiette qu’il asperge de sauce tomate. La sauce se trouve dans des bouteilles fermées par un bouchon en bois, troué, qui est à l’origine une bobine de fil vide dont il a enlevé un côté pour l’enfoncer dans la bouteille. Il y a même deux sauces tomate différentes : la normale et la piquante qui contient de poivre de Cayenne, pour  ouvrir l’appétit. Mais si on préfère un petit déjeuner sucré, il est difficile de choisir tant le choix est vaste.

La kounafa est un genre de vermicelle cuite au four avec du beurre et arrosée d’un léger sirop de sucre et d’eau de fleurs d’orangers. La baklawa est faite de couches alternées de mille feuilles et de noix pilées et recouverte du même sirop que la kounafa. La bassboussa, préparée avec de la semoule, du beurre et du sucre est géométriquement recouverte d’amandes entières émondées, de sorte que lorsque le plateau est découpé en losanges, chaque portion en comporte une en son centre. Au moment de la servir, toute chaude,  le marchand l’arrose d’une ou deux petites cuillerées de beurre fondu. Eeche el saraya, littéralement « pain du palais », est un genre de bassboussa recouverte de crème fraîche épaisse. Mehalabeyya oué rozz : riz cuit dans un flan composé d’amidon comestible, d’eau et de sucre, arrosé d’eau de fleurs d’orangers ou d’eau de roses.

Je me souviens d’un vieux  vendeur de mehalabeyya oué rozz qui partait de grand matin de chez lui, poussant une voiture vitrée des quatre côtés et comportant plusieurs claies superposées sur lesquelles étaient posées les petites assiettes contenant ce flan. Il criait à longueur de journée « méhalabeyya oué rozz » et parfois, simplement « r.o.o.o.o.z.z. » en allongeant cette syllabe. Il rentrait très tard  le soir chez lui car il attendait la sortie des cinémas populaires pour écouler ce qui lui restait de marchandise. Après quoi, tout en poussant sa voiturette vide, dans les rues sombres et désertes, à moitié endormi, il murmurait d’une voix faible, par habitude ou pour se tenir compagnie « r.o.o.o.o.z.z.» bien qu’il n’eut plus rien à vendre ni client en perspective.

Fetir mechalttete: une pâte à l’eau divisée en tas gros comme un petit poing. Le pâtissier prenait une des boules, l’aplatissait du plat de la main puis la laminait avec un rouleau à pâtisserie ; quand elle atteignait un certain diamètre, il saisissait cette feuille de ses deux mains rapprochées, pouces au dessus, les autres doigts en dessous, l’arrachait du marbre, la projetait en l’air sans la lâcher tout en lui imprimant un mouvement circulaire et  la  plaquait enfin sur le marbre. Et encore et encore et, à chaque fois, la pâte s’étendait comme par magie, sans se déchirer. Lorsqu’il jugeait qu’elle avait un diamètre suffisant, il rabattait les pans en son centre plusieurs fois, de  façon à former un carré d’une vingtaine de centimètres de côté, qu’il mettait alors au four. Dix minutes plus tard, elle était cuite et il la servait toute chaude, nappée de beurre fondu et recouverte de sucre glace.  Les raffinés la préféraient salée. Alors, avant de rabattre les pans et de l’enfourner, il cassait en son centre un ou deux  oeufs entiers  qu’il malaxait de ses doigts, avec un gros morceau de fromage blanc féta. Fameux ! Kobeba : composée d’une pâte de semoule et de farine, elle avait la forme d’un obus pointu des deux côtés, d’une dizaine de centimètres de longueur, farcie de viande et d’oignons  frits, le tout haché menu.

Au Mousky, quartier des affaires, un vendeur de kobéba transportait sa marchandise, maintenue chaude dans un four portatif et criait, en français : « chic, magnifique, sympathique, el Kobéba  » ce qui faisait rire les passants et les incitaient à en acheter. Enfin, des dizaines d’autres pâtisseries salées ou sucrées constituaient de petits déjeuners pour leurs  amateurs, sans compter  les innombrables gâteaux, croissants, kaisers, chtanguels, kiefels, et autres variétés européennes.

 

                                          Tiré de mon livre : L’EGYPTE QUE J’AI CONNUE .                                                   

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Reçu le 11 juin 2011 de Monsieur Clément DASSA :

 

INTERESSANT !!!

>  >
> > > Les fourmis détestent les concombres. Gardez la peau près de l'endroit ou du trou de fourmis.
>
> > > Pour obtenir de la glace pure et claire : faire bouillir l'eau avant la congélation.
>
> > > Pour faire briller le miroir : utilisez du White Spirit.
>
> > > Pour enlever la gomme à mâcher des vêtements : gardez le tissu dans le congélateur pendant une heure.
> > >
> Pour conserver le blanc des vêtements blancs : faire tremper les vêtements blancs dans l'eau chaude avec une tranche de citron pendant 10 minutes.>
> > > Pour donner une brillance aux cheveux : ajouter une cuillère à café de vinaigre sur les cheveux, puis lavez les cheveux.
> Pour obtenir un maximum de jus de citron : faire tremper dans l'eau chaude pendant une heure, puis commencer à presser.>
> > > Pour éviter l'odeur de chou pendant la cuisson : gardez un morceau de pain sur le chou dans la marmite pendant la cuisson.
>
> > > Pour éviter les larmes en coupant des oignons : mâcher un chewing-gum.
>
> > > Pour cuire les pommes de terre rapidement : pelez les pommes de terre sur un seul côté.
>
> > > Pour enlever l'encre sur les vêtements : mettez généreusement du dentifrice sur les taches d'encre et laisser sécher complètement, puis laver.
>
> > > Pour se débarrasser des souris ou des rats : saupoudrer de poivre noir les lieux qu'ils visitent. Ils s'enfuiront !
> Proverbe chinois : « Quand quelqu'un partage quelque chose avec vous et que vous en profitez, vous avez une obligation morale de le partager avec d'autres ». Alors ... faites comme je l'ai fait. 
 
 

 

Reçu le 8 juillet 2011 de Madame Lily KHODARA :

 

 
"LE CHINOIS ET LE RIZ"
LEÇON DE VIE, TOUTE SIMPLE !
>  

Un homme mettait des fleurs sur la tombe de son épouse, quand il vit un chinois déposer un bol de riz sur la tombe voisine.
> L'homme s'adressa au chinois et lui demanda :
> « Excusez moi, Monsieur, pensez vous que le défunt viendra manger le riz ? »
> « Oui » répondit le chinois très calmement « quand le votre viendra sentir les fleurs… »

> Moralité :  
Respecter les opinions des autres, c'est une des plus grandes vertus que peut avoir un être humain.
> Les personnes sont différentes, donc agissent différemment, pensent différemment.
> Ne jugez pas … mais essayez de comprendre, si vous ne le pouvez pas, alors oubliez…
> Rappelle-toi des 5 règles pour être heureux :
>  
> 1- Libère ton cœur des rancœurs
> 2- Libère ton esprit des soucis
> 3- Vis simplement
> 4- Donne plus
> 5- Espère moins
>  
> Et n'oublie pas que « Vieillir est obligatoire, mais grandir est un choix.

     ********* 

 

Reçu le 12 juillet 2011 de Madame Lucie CALAMARO :

 

N’ARRETEZ JAMAIS
 N'arrêtez jamais  de montrer vos sentiments

quand vous êtes heureux.
Plusieurs personnes seront ravies de votre bonheur.

N'arrêtez jamais                         

d'essayer des nouvelles choses.
Vous pourriez être étonnés des résultats !

Ne prenez jamais

le poids du monde entier sur vos épaules.
Il ne faut jamais se sentir menacé par l'avenir.
Il faut vivre un jour à la fois !

 Ne vous sentez jamais

coupable pour le passé.
Ce qui est fait est fait.
Il suffit d'apprendre de vos erreurs et vous dire que
n'importe qui aurait pu les faire à votre place.

Ne croyez jamais

que vous êtes seuls.
Il y a toujours quelqu'un qui est là... et qui attend pour vous aider.

N'oubliez jamais

que vous pouvez réaliser
de belles choses que vous ne pouvez même pas imaginer...
Ce n'est pas aussi difficile que vous croyez.

 
N'arrêtez jamais d'aimer..

N'arrêtez jamais de croire...

N'arrêtez jamais de rêver

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Reçu le 19 septembre 2011 de Madame Rosette COHEN :

UNE HISTOIRE DE FEVES

J'étais à l'épicerie du coin en train d'acheter des pommes de terre nouvelles.. J'ai remarqué un petit garçon, d'ossature délicate, pauvrement vêtu, mais propre, regardant avec envie un panier de fèves vertes fraîchement cueillies.
J'avais déjà payé pour mes pommes de terre, mais je me suis arrêté aux fèves vertes. J'adore la soupe aux fèves et aux patates. Choisissant des fèves, je ne pus m'empêcher d'entendre la conversation entre Monsieur Miller (le propriétaire du magasin) et le pauvre garçon qui était à côté de moi.
« Allo Barry, comment vas-tu aujourd'hui ? »
« Allo M. Miller, ça va bien merci, j'étais juste en train d'admirer vos fèves. Elles ont l'air vraiment très bonnes. »
« Elles sont bonnes Barry. Comment va ta mère ? »
« Bien. Elle n'arrête pas de prendre du mieux. »
« Bien. Puis-je faire quelque chose pour toi ? »
« Non Monsieur, je ne faisais qu'admirer ces fèves. »
« Voudrais-tu en rapporter à la maison ? » demanda M. Miller.
« Non Monsieur, je n'ai rien pour les payer. »
« Et bien, que pourrais-tu me donner en échange de quelques fèves ? »
« Tout ce que j'ai, c'est ma précieuse bille que voici. »
« C'est une vraie ? Laisse-moi la voir. » dit M. Miller
« Voici, elle est de qualité. »
« Oui, je peux voir ça. Hmmmm, la seule chose c'est qu'elle est bleue et j'en recherche une rouge vif. En as-tu une rouge comme ça chez toi ? »
« Pas rouge vif, mais presque... »
Tu sais quoi, ramènes ce sac de fèves avec toi à la maison et quand tu repasseras dans le coin, tu me montreras cette bille rouge » lui dit M... Miller. « Bien sûr M. Miller. Merci. »
Madame Miller, qui était debout juste à côté, est venue pour m'aider... Avec un sourire, elle a dit « Il y a 2 autres garçons comme lui dans notre quartier, les trois sont dans des conditions vraiment précaires. Jim adore marchander avec eux pour des fèves, des pommes, des tomates ou n'importe quoi d'autre. Lorsqu'ils reviennent avec leurs billes rouges, et ils le font toujours, Jim décide que finalement il ne veut plus de rouge et les renvoie chez eux avec un sac d'une autre marchandise en échange d'une bille verte ou une orange, lorsqu'ils reviendront au magasin. »
J'ai quitté le magasin avec un sourire au coeur, impressionné par cet homme. Peu de temps après je suis déménagé au Colorado, mais je n'avais jamais oublié l'histoire de cet homme, les garçons et leurs marchandages de billes.
Plusieurs années passèrent, chacune plus rapidement que les précédentes. Récemment j'ai eu l'occasion de visiter de vieux amis dans ce quartier de l'Idaho et pendant que j'y étais, ce M. Miller est décédé.
Il y avait les funérailles ce soir-là et sachant que mes amis désiraient s'y rendre, je les ai accompagnés. À notre arrivée au salon, nous étions dans une ligne pour rencontrer les personnes éprouvées et leur offrir nos sympathies.
Devant nous dans la ligne il y avait trois jeunes hommes. L'un d'eux était en uniforme d'armée et les deux autres hommes étaient bien coiffés, en habits noirs et chemises blanches... tous paraissant vraiment bien. Ils s'approchèrent de Madame Miller, qui était debout calme et souriante à côté du cercueil de son mari. Chacun des trois jeunes hommes lui fit une caresse, l'embrassa sur la joue, lui parla brièvement et s'approcha du cercueil.
Ses yeux bleus clairs rougis les suivirent et, un par un, chacun des jeunes hommes s'arrêta brièvement et mis sa main tout au-dessus de la main pâle et froide dans le cercueil. Chacun d'eux sortit maladroitement du salon, en essuyant leurs yeux.
C'était notre tour de rencontrer Mme Miller. Je lui ai dit qui j'étais et lui rappela l'histoire d'il y avait longtemps et ce qu'elle m'avait raconté concernant les marchandages de billes. Avec ses yeux brillants, elle prit ma main et me conduit au cercueil.
« Ces trois jeunes hommes qui viennent juste de quitter étaient les garçons dont je vous parlais. Ils viennent tout juste de me dire combien ils avaient apprécié la façon dont Jim les "marchandait". Maintenant, finalement, puisque Jim ne pouvait plus changer d'idée concernant la couleur ou la grosseur de la bille... ils sont venus payer leur dette. »
« Nous n'avons jamais eu l'occasion de faire fortune dans ce monde" me confia t'elle « Mais présentement, Jim se serait considéré comme l'homme le plus riche de l'Idaho. »

Avec tendresse, elle leva les doigts de son mari décédé. En dessous de sa main se trouvaient trois billes d'un rouge éclatant.
La morale: On ne se souviendra pas de nous par nos paroles, mais par nos bonnes actions... La vie ne se mesure pas par le nombre de respirations que nous prenons, mais par les moments qui font que l'on retient notre respiration...
Aujourd'hui je vous souhaite une journée remplie de ces petits bonheurs - Du café frais que vous n'avez pas préparé vous-même... Un coup de téléphone d'un vieil ami... Des feux verts sur votre chemin pour vous rendre au travail... La ligne la plus rapide à l'épicerie... Une bonne chanson à la radio... Vos clés retrouvées à la même place que vous les aviez laissées..
Envoie ce message aux personnes que tu n'oublieras jamais... Je viens juste de le faire...
Si tu ne l'envoies pas à personne, ça veut dire que tu es trop occupé avec toutes sortes de choses, même pas capable de voir les petits bonheurs lorsqu'ils arrivent.
CE N'EST PAS CE QUE TU RÉCOLTES, MAIS CE QUE TU SÈMES QUI DIT QUEL GENRE DE VIE TU AS VÉCUE

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QUELQUES PENSEES.

 

La Bruyère :

- Il n’y a pour l’Homme que trois évènements : naître, vivre et mourir ; or, il ne se sent pas naître, il souffre à mourir et IL OUBLIE DE VIVRE..

 

- Il faut rire avant d’être heureux, de peur de mourir sans avoir ri.

 

Charles Singer :

Le désir de l’oiseau, c’est le ciel.
Le désir de la main, c’est la caresse.

Le désir de l’oreille, c’est la musique.

Le désir des yeux, c’est l’arc-en-ciel.
Le désir des lèvres, c’est le baiser.

Le désir de la foi, c’est l’infini.

Quand naît le désir, la fête commence. 

 

Auteur Inconnu : LE SOURIRE.

Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup.
Il enrichit ceux qui le reçoivent sans appauvrir ceux qui le donnent.

Il ne dure qu’un instant mais son  souvenir est parfois éternel.

Personne n’est assez riche pour s’en passer

Personne n’est assez pauvre pour ne pas le mériter.

Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires,

Il est le signe sensible de l’Amitié.

Un sourire donne du repos à l’être fatigué, rend du courage aux plus découragés.

Il ne peut ni s’acheter, ni se prêter, ni se voler car c’est une chose qui n’a de valeur qu’à partir du moment où il se donne.

Et si quelquefois vous rencontrez une personne qui ne sait plus avoir le sourire,

Soyez généreux, donnez-lui le vôtre car nul n’a autant besoin d’un sourire que celui qui ne peut donner aux autres.

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Reçu le 26.09.2011 de Monsieur Alain BENBASSAT :

 

COMMENT SURVIVRE A UNE CRISE CARDIAQUE

 

         Imagine-toi qu’il est 19 h.15 et que tu es en train de rentrer chez toi en voiture (seul bien sûr)  après une journée particulièrement chargée. Tu es vraiment fatigué et irrité en plus. Tu es très stressé et ne sais plus très bien comment te sortir d’un problème particulier..

         Soudain, tu ressens une douleur aiguë dans la poitrine qui irradie dans le bras et vers la mâchoire. Tu n’es qu’à 5 km de l’Hôpital le plus proche. Hélas, tu n’es pas certain de pouvoir y parvenir

         Que fais-tu maintenant ? Tu es entraîné au massage cardiaque mais l’entraîneur ne t’as pas appris à t’en faire un à toi-même…Comment survivre à une crise cardiaque quand on est seul ?

Comme la plupart des gens sont seuls quand ils subissent une crise cardiaque (en l’absence d’aide immédiate) leur cœur va se mettre à battre irrégulièrement et ils seront pris d’étourdissement. Cela prend à peu près  10 secondes avant que le sujet ne perde conscience. Que dois-tu faire si cela t’arrive ?

R E P O N S E

Ne panique pas. Commence à tousser fortement et de manière répétée. Inspire fortement avant chaque toux. La toux doit être profonde et soutenue comme pou chasser de la glaire des voies respiratoires. Donc : Alternativement inspire puis tousse, cela toutes les 2 secondes, sans interruption jusqu’à l’arrivée de secours ou jusqu’à ce que tu ressentes que ton cœur bat à nouveau normalement.
         L’inspiration profonde aide à un apport suffisant d’oxygène aux poumons et la toux provoque la compression ( le massage) du cœur et entretient la circulation sanguine. La compression régulière du cœur aidera aussi à récupérer autant que possible un rythme de battement normal du cœur. C’est ainsi qu’une personne subissant une crise cardiaque pourra atteindre un téléphone (voire l’hôpital) et, entre deux respirations, appeler de l’aide.

ARTICLE PUBLISHED ON N°240 OF JOURNAL OF GENERAL HOSPITAL ROCHESTER

Informe tous tes amis de cette méthode . Ca pourrait un jour leur sauver la vie. N’imagine pas que tu ne peux être sujet à une crise cardiaque car tu es encore bien jeune (moins de 25-30 ans). A cause du mode de vie actuel, les crises cardiaques s’observent aujourd’hui dans tous les groupes d’äge. Sois un bon ami et envoie cette information au plus grand nombre de tes amis.

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Juin 2011

 

Reçu le 16 janvier 2011 de Madame Germaine LEVY :

 

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Reçu le 15 mars 2011 de Monsieur Isaac Schalom :

 

LE COMPLIQUE DE LA LANGUE FRANÇAISE !

 

Voici une petite chronique sur notre langue française. Personne ne pousse l'illogisme aussi loin que nous : c'est presque de la démence !

Voici les phrases, pourtant bien "françaises" :

 

  - Nous portions nos portions. Les portions, les portions-nous ?

  - Les poules du couvent couvent.

  - Mes fils ont cassé mes fils.

  - Il est de l'est.

  - Je vis ces vis.

  - Cet homme est fier; Peut-on s'y fier ?

  - Nous éditions de belles éditions.

  - Nous relations ces intéressantes relations.

  - Nous acceptions ces diverses acceptions de mots.

  - Nous inspections les inspections elles-mêmes.

  - Nous exceptions ces exceptions.

  - Je suis content qu'ils nous content cette histoire.

  - Il convient qu'ils convient leurs amis.

  - Ils ont un caractère violent et ils violent leurs promesses.

  - Ces dames se parent de fleurs pour leurs parents.

  - Ils expédient leurs lettres; c'est un bon expédient.

  - Nos intentions c'est que nous intentions un procès.

  - Ils négligent leur devoir; moi, je suis moins négligent.

  - Nous objections beaucoup de choses à vos objections.

  - Ils résident à Paris chez le résident d'une ambassade étrangère.

  - Ces cuisiniers excellent à composer cet excellent plat.

  - Les poissons affluent d'un affluent de la rivière.

         etc., etc.,....

 

Il y a, en effet, de quoi perdre la tête ! Vous rendez-vous compte combien notre langue est difficile à apprendre par les étrangers.

 

 

UNE  REFLEXION SUR « L’HOMME »

 

         On dit que l’Homme est la seule créature qui marche à quatre pattes après sa naissance, sur deux pattes de l’enfance à l’âge mûr et sur trois (deux jambes et une canne) à sa vieillesse. Ceci, pour illustrer son parcours de vie.

Si on considère que la durée de vie moyenne actuelle, de l’Homme et de la Femme confondus, est de 80 ans, on constatera qu’il y a trois périodes importantes à partir de leur naissance qui se résument, grosso modo, ainsi :

Première période :   de   0 à 20 ans.

Deuxième période :  de 20 à 60 ans.

Troisième période : de 60 à 80 ans.

Durant la Première et la Troisième période, l’Homme (et la Femme) dépend en grande partie des autres pour survivre. De 0 à 20 ans, il dépend de son entourage pour sa nourriture, son éducation, son existence physique et sociale. Mais, à la Deuxième période, de 20 à 60 ans, il devient indépendant et autonome. Grâce à sa personnalité, à ses talents, à ses désirs profonds et à de nombreux autres facteurs, il peut devenir ANGE ( Dr.Schweitzer, Sœurs Térésa et Emmanuelle, Pasteur,etc.) ou bien DEMON (Hitler, Eichmann et autres racistes et dictateurs sanguinaires…). Entre les Anges et les Démons, il y a la foule des capitaines d’industrie, des savants érudits, des foudres de guerre, des politiciens honnêtes ou véreux, des hommes d’église et, enfin, de la cohorte des gens ordinaires comme vous et moi.

Puis, voici arrivée la Troisième période de 60 à 80 ans ! Ses forces déclinent et tout fout le camp : sa santé, ses cheveux, sa vue, son audition, ses dents, etc. Petit à petit, il devient une charge tant pour les siens que pour la société. Les souffrances physiques et morales l’assaillent. Il se décrépit tout au long des années jusqu’à devenir, pour certains, sénile ou grabataire, ou les deux. Quelle déchéance et quelle pitié pour celui censé avoir été créé à l’image de Dieu !

Alors, certains disent que la vie est mal faite et qu’il aurait été préférable de naître VIEUX et malade et de mourir BEBE et en bonne santé. Or, cela n’est pas possible ! Peut-on envisager des futures maman portant un fœtus de 70 kilos, poids moyen d’un humain ? Non, ce n’est pas possible !

Mais alors, me direz-vous, où est la solution ? Moi, je propose aux savants qui s’occupent des recherches sur les gènes et les chromosomes, sur l’A. D. N. et autres manipulations génétiques, ceci :

Pourquoi ne pas orienter leurs recherches en vue de DOUBLER la longévité de l’Homme à partir de 65 ans tout en lui faisant faire, physiquement, un  parcours inverse de celui qu’il aura eu jusqu’ici ? A partir de 65 ans, l’Homme aura de nouveau 64 ans, puis 63, 62, 61, 60, etc. Petit à petit, il recouvrira ses forces. Il retrouvera ses cinq sens. Ses cheveux et ses poils repousseront. Ses rides s’effaceront et, au fur et à mesure qu’il rajeunira, il redeviendra créatif, combatif, travailleur, pour son bien et celui de la collectivité.

Il continuera à rajeunir jusqu’à redevenir un simple spermatozoïde que les savants mettront entre deux lames de verre pour l’étudier au microscope. Ils classeront ces lames dans une SPERMATOZOITEQUE. Chaque paire de lames portera une référence qui correspondra à  un dossier où sera consigné tout ce qui se rapporte à ce personnage : nom, date de naissance et celle de sa réintégration in vitro, professions, qualités et défauts, hérédité, hauts faits, bons ou mauvais.

Il n’y aura donc plus besoin de cimetières qui s’étendent à l’infini en envahissant les agglomérations urbaines ou campagnardes. Il n’y aura plus de caveaux somptueux pour les riches et de fosses communes pour les pauvres, au grand dam des croque-monsieur et croque-madame, c'est-à-dire des croque-morts qui n’auront plus rien à croquer et qui resteront ainsi sur leur faim. Les comptes de la Sécurité Sociale seront, enfin, positifs.

Et un beau jour, un savant plus intelligent que les autres découvrira que tous ces spermatozoïdes appartenant à des Rois ou des Présidents, des riches ou des manants, des génies ou des demeurés, des blancs ou des noirs, des asiates ou des peaux-rouges, des chrétiens ou des musulmans, des juifs ou des païens, sont tous de la même couleur et, pour autant que je le sache, de la même composition chimique c’est-à-dire rigoureusement identiques les uns aux autres.

Partant de là, il n’y aura aucune raison valable de les « archiver » pour les distinguer les uns des autres. Alors, on jettera à la poubelle le contenu de toutes les SPERMATOZOITEQUES et on réduira les heures de présence des fonctionnaires de santé.

 

                                                        PROPOS A TIRE-LARIGOT

                                                                  Albert Pardo

 

 

Reçu le 13 avril 2011 de Monsieur Marc JAFFE :

The Alhambra Decree

by King Ferdinand and Queen Isabella in 1492

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King Ferdinand and Queen Isabella, by the grace of God, King and Queen of Castile, Leon, Aragon and other dominions of the crown - to the prince Juan, to dukes, marquees, counts, the holy orders, priors, knight commanders, lords of the castles, cavaliers, and to all Jews, men and women of whatever age, and to anyone else this letter may concern -- health and grace unto you.

You well know that in our dominion, there are certain bad Christians that judaised and committed apostasy against our Holy Catholic faith, much of it the cause of communications between Jews and Christians. Therefore, in the year 1480, we ordered that the Jews be separated from the cities and towns of our domains and that they be given separate quarters, hoping that by such separation the situation would be remedied. And we ordered that and an Inquisition be established in such domains; and in twelve years it has functioned, the Inquisition has found many guilty persons.

Furthermore, we are informed by the Inquisition and others that the great harm done to the Christians persists, and it continues because of the conversations and communications that they have with the Jews, such Jews trying by whatever manner to subvert our holy Catholic faith and trying to draw faithful Christians away from their beliefs.

These Jews instruct these Christians in the ceremonies and observances of their Law, circumcising their children, and giving them books with which to pray, and declaring unto them the days of fasting, and meeting with them to teach them the histories of their Law, notifying them when to expect Passover and how to observe it, giving them the unleavened bread and ceremonially prepared meats, and instructing them in things from which they should abstain, both with regard to food items and other things requiring observances of their Law of Moses, making them understand that there is no other law or truth besides it. All of which then is clear that, on the basis of confessions from such Jews as well as those perverted by them, that it has resulted in great damage and detriment of our holy Catholic faith.

And because we knew that the true remedy of such damages and difficulties lay in the severing of all communications between the said Jews with the Christians and in sending them forth from all our reigns, we sought to content ourselves with ordering the said Jews from all the cities and villages and places of Andalusia where it appeared that they had done major damage, believing that this would suffice so that those from other cities and villages and places in our reigns and holdings would cease to commit the aforesaid. And because we have been informed that neither this, nor the justices done for some of the said Jews found very culpable in the said crimes and transgressions against our holy Catholic faith, has been a complete remedy to obviate and to correct such opprobrium and offense to the Christian faith and religion; because every day it appears that the said Jews increase in continuing their evil and harmful purposes wherever they reside and converse; and because there is no place left whereby to more offend our holy faith, as much as those which God has protected to this day as in those already affected, it is left for this Holy Mother Church to mend and reduce the matter to its previous state inasmuch as, because of our frailty of humanity, it could occur that we could succumb to the diabolical temptation that continually wars against us so easily if its principal cause were not removed, which would be to expel the said Jews from the kingdom. Because whenever a grave and detestable crime is committed by some members of a given group, it is reasonable that the group be dissolved or annihilated, the minors for the majors being punished one for the other; and that those who pervert the good and honest living on the cities and villages and who by their contagion could harm others, be expelled from the midst the people, still yet for other minor causes, that would be of harm to the Republic, and all the more so for the major of these crimes, dangerous and contagious as it is.

Therefore, with the council and advice of the eminent men and cavaliers of our reign, and of other persons of knowledge and conscience of our Supreme Council, after much deliberation, it is agreed and resolved that all Jews and Jewesses be ordered to leave our kingdoms, and that they never be allowed to return.

And we further order in this edict that all Jews and Jewesses of whatever age that reside in our domain and territories, that they leave with their sons and daughters. their servants and relatives, large and small, of whatever age, by the end of July of this year, and that they dare not return to our lands, not so much as to take a step on them not trespass upon them in any other manner whatsoever. Any Jew who does not comply with this edict and is to be found in our kingdom and domains, or who return to the kingdom in any manner, will incur punishment by death and confiscation of all their belongings. We further order that no person in our kingdom of whatever station or noble status hide or keep or defend any Jew or Jewess, either publicly or secretly, from the end of July onwards, in their homes or elsewhere in our reign, upon punishment of loss of their belongings, vassals, fortresses, and hereditary privileges. So that the said Jews may dispose of their household and belongings in the given time period, for the present we provide our assurance of royal protection and security so that , until the end of the month of July, they may sell and exchange their belongings and furniture and other items, and to dispose of them freely as they wish; and that during said time, no one is to do them harm or injury or injustice to their persons or to their goods, which is contrary to justice, and which shall incur the punishment that befalls those who violate our royal security.

Thus we grant permission to the said Jews and Jewesses to take out their goods and belongings out of our reigns, either by sea or by land, with the condition that they not take out either gold or silver or minted money or any other items prohibited by the laws of the kingdom. Therefore, we order all councilors, justices, magistrates. cavaliers, shield-bearers, officials, good men of the city of Burgos and of other cities and villages of our reigns and dominions, and all our vassals and subjects, that they observe and comply with this letter and all that is contained in it, and that they give all the help and favor that is necessary for its execution, subject to punishment by our sovereign grace and by confiscation of all their goods and offices for our royal state house.

And so that this may come to the notice of all, and so that no one may pretend ignorance, we order that this edict be proclaimed in all the plazas and usual meeting places of any given city; and that in the major cities and villages of the diocese, that it be done by the town crier in the presence of the public scribe. and that neither one nor the other should do the contrary of what was desired, subject to the punishment by our sovereign grace and deprivation of their offices and by confiscation of their goods to whosoever does the contrary. And we further order that evidence be provided to the court, in the manner of signed testimony, regarding the manner in which the edict is being carried out.

Given in this city of Granada on the thirty first day of March in the year of our Lord Jesus Christ -1492.

______________________
Signed, I, the King,

______________________
I the Queen,

______________________
Juan de Coloma, Secretary of the King and Queen, which I have written by order of our Majesties.

 

 

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Reçu le 15 Mai 2010 de Monsieur Nabil SACCAL :

 

 LE SAVIEZ-VOUS ?

 

Ne mettez jamais vos bananes dans le réfrigérateur!

Après cette lecture, vous ne regarderez plus jamais une banane de la même façon .

Les bananes contiennent trois sucres naturels - du saccharose, du fructose et du glucose associés à de la fibre.
Une banane donne une augmentation instantanée, soutenue et substantielle d'énergie.
La recherche a prouvé qu'il suffit de seulement deux bananes pour fournir assez d'énergie pour un effort de 90 minutes en séance d'entraînement.
Pas étonnant que la banane est avec un certain nombre de fruits le leader mondial des athlètes.  Mais l'énergie fournie par une banane n'est pas la seule façon qui peut nous aider à garder la forme.  Elle peut également aider à surmonter ou empêcher un nombre substantiel des maladies, ce qui en fait un fruit à ajouter à notre alimentation quotidienne.

La dépression   :  
Selon une récente enquête menée par MIND, chez les personnes souffrant de dépression, beaucoup ont estimé se sentir bien mieux après avoir mangé une banane.
La raison en est que les bananes contiennent du tryptophane, un type de protéine que le corps se transforme en sérotonine, connue pour vous détendre, améliorer votre humeur et généralement vous faire sentir plus he
ureux.
Glycémie :  
Oubliez les pilules - manger une banane. La vitamine B6 qu'elle contient réglemente les taux de glycémie, ce qui peut affecter votre humeur.  
Anémie   :  
Riche en fer, la banane peut stimuler la production de l'hémoglobine dans le sang et aide en cas d'anémie.
Pression sanguine :  
Ce fruit tropical unique est extrêmement riche en potassium et pauvre en sel, le rendant parfait pour combattre la tension artérielle.
Tant et si bien que l'US Food and Drug Administration vient de permettre à l'industrie de la banane de faire valoir officiellement que ce fruit a la capacité de réduire le risque d'hypertension artérielle et de réduire les accidents vasculaires cérébraux

Cerveau :  
200 étudiants d'une école anglaise ont bénéficié d'une aide pour leurs examens cette année en mangeant des bananes au petit-déjeuner,à la pause et au déjeuner dans le souci de renforcer le pouvoir de leur cerveau.
La recherche a montré que le potassium contenu dans ces fruits peut aider l'apprentissage en rendant les élèves plus alertes.
Constipation   :  
Riche en fibres, la banane peut aider à restaurer l'action normale du côlon, en aidant à surmonter le problème  sans recourir à des laxatifs.
Gueule de bois
  :  
L'un des moyens les plus rapides de guérir une gueule de bois est de faire un milk-shake banane, sucré avec du miel. La banane calme l'estomac jusqu'à l'épuisement les niveaux de sucre dans le sang, tandis que le lait apaise et hydrate de nouveau votre système.
Les brûlures d'estomac
  :  
La banane a un effet antiacide naturel dans le corps, si vous souffrez de brûlures d'estomac, essayez de manger une banane pour les apaiser.  
Nausées matinales   :  
Des collations de banane entre les repas contribuent à maintenir les niveaux de sucre dans le sang et à éviter les nausées matinales ...
Les piqûres de moustiques : 

Avant d'utiliser la crème pour piqûres d'insectes, essayer de frotter la zone affectée avec l'intérieur d'une peau de banane.  Cela réduit l'enflure et l'irritation.
Les nerfs
  :  
Les bananes sont riches en vitamines B qui aident à calmer le système nerveux.
Le surpoids et au travail :  

Des études à l'Institut de psychologie d'Autriche ont trouvé que la pression au travail conduit à forcer sur des aliments comme le chocolat et les frites.
Sur 5000 patients hospitalisés, les chercheurs ont trouvé que les plus obèses sont ceux qui ont des emplois stressants. Le rapport a conclu que, pour éviter la panique induite par les fringales, nous devons contrôler nos niveaux de sucre dans le sang par les collations contenant des hydrates de carbone toutes les deux heures pour maintenir le niveau constant.
Les ulcères   :  
La banane est utilisée dans un régime alimentaire comme nourriture contre les troubles intestinaux  en raison de sa texture douce. Il est le seul fruit cru qui peut être consommé sans augmenter le stress. Il neutralise également l'hyperacidité et réduit l'irritation de revêtement de la muqueuse de l'estomac.
Le désordre affectif saisonnier (SAD)
  :  
La banane peut aider ceux qui souffrent de désordre affectif saisonnier car elle maintient l'humeur naturelle par accroissement de tryptophane.
Fumeurs et l'usage du tabac
  :  
Les bananes peuvent également aider les gens essaient d'arrêter de fumer.
Le B6, B12 qu'elles contiennent, ainsi que de potassium et de magnésium qui s'y trouvent, aident le corps à récupérer des effets de la nicotine.

Stress :
Le potassium est un minéral essentiel, qui contribue à normaliser le rythme cardiaque, envoie l'oxygène au cerveau et votre corps réglemente le bilan hydrique. Quand on est angoissé, notre taux métabolique augmente, ce qui réduit notre  des niveaux de potassium. Celui-ci peut être rééquilibré par une collation à base de banane riche en potassium.  
Les accidents vasculaires cérébraux   :  D'après les recherches publiées dans le Journal de Médecine de Nouvelle-Angleterre, manger des bananes dans le cadre d'une alimentation normale peut réduire le risque de décès par accidents vasculaires cérébraux de près de 40%   !  
Verrues   :  
Si vous voulez  tuer une verrue, prenez un morceau de peau de banane et placez-la sur la verrue, avec le côté jaune.
Tenez avec soin la peau en place avec un morceau de scotch ou du ruban chirurgical
  !  
 
Ainsi, une banane est vraiment un remède naturel pour de nombreux maux. Lorsque vous la comparer à une pomme, il y a quatre fois plus de protéines, deux fois plus d'hydrates de carbone, trois fois plus de phosphore, cinq fois plus de vitamine A et de fer, deux fois plus des autres vitamines et minéraux.  Elle est également riche en potassium et est un des meilleurs aliments valeur .   Alors peut-être qu’il est temps de changer la célèbre expression de manière à ce que nous disions, "Une banane par jour nous garde du médecin pour toujours"   !
 
PS  
: Les bananes doivent être la raison pour laquelle les singes sont si heureux tout le temps   !

Et je vais encore ajouter ceci  :

  • Voulez-vous faire briller rapidement vos chaussures   ?
    Prenez l'intérieur de la peau de banane, et frottez la directement sur la chaussure, ensuite   polir avec un chiffon sec.
  • S I VOUS VOULEZ QUE LE FEUILLAGE DE VOS PLANTES BRILLE, NETTOYEZ-LE AVEC L'INTÉRIEUR DE LA PEAU DE BANANE ...
  • N'oubliez pas d'enfouir une peau de banane aux pieds des rosiers qui sont très friands de cet aliment naturel.  Les roses n'en seront que plus belles.

Fruit étonnant, n'est-il pas ?

 

 

Janvier 2011

 

Reçu de Madame Vicky AMMAR et de Monsieur Charles PARDO :

 

C'EST L'HISTOIRE D'UN POT DE MAYONNAISE ET DE CAFE...
Voici une belle métaphore qui nous donne une autre vision de la vie !!!


         Quand il te semble qu'il y a "trop" de choses dans ta vie, quand 24 heures ne te semblent pas suffisantes ! Rappelle-toi du pot de mayonnaise et du café !  Il était une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa classe, prit un grand pot de mayonnaise vide et, sans dire un mot, commença à le remplir avec des balles de golf. Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot était plein. Les étudiants étaient d'accord pour dire que OUI. Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le pot de mayonnaise. Les billes comblèrent les espaces vides entre les balles de golf.  Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein. Ils dirent à nouveau OUI. Après, le professeur prit un sachet rempli de sable et le versa dans le pot de mayonnaise. Bien sûr, le sable remplit tous les espaces vides et le prof demanda à nouveau si le pot était plein... Les étudiants répondirent unanimement…OUI.
      
Tout de suite après, le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu du pot de mayonnaise et, effectivement, le café combla les espaces entre les grains de sable.  Les étudiants se sont alors mis à rire. Quand ils eurent fini, le prof dit : "Je veux que vous réalisiez que le pot de mayonnaise représente la vie.

 

         Les balles de golf sont les choses importantes, comme la famille, les enfants, la santé, tout ce qui passionne. Nos vies seraient quand même pleines si on perdait tout le reste et qu'il ne nous restait qu'elles. Les billes sont les autres choses qui comptent, comme le travail, la maison, la voiture, etc... Le sable représente tout le reste, les petites choses de la vie. Si on avait versé le sable en premier, il n'y aurait eu de place pour rien d'autre, ni les billes ni les balles de golf. C'est la même chose dans la vie. Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps pour les petites choses, nous n'aurons jamais de place pour les choses vraiment importantes. Faites attention aux choses qui sont cruciales pour votre bonheur. Jouer avec ses enfants, prendre le temps d'aller chez le médecin, dîner avec son conjoint, faire du sport ou pratiquer ses loisirs favoris... Il restera toujours du temps pour faire le ménage, réparer le robinet de la cuisine. Occupez-vous des balles de golf en premier, des choses qui importent vraiment. Etablissez des priorités, le reste n'est que du sable..." Un des étudiants leva alors la main et demanda ce que représentait le café.  Le professeur sourit et dit : "C'est bien que tu demandes. C'était juste pour vous démontrer que même si vos vies peuvent paraître bien remplies, il y aura toujours de la place pour une tasse de café avec un ami." 

   

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Reçu le 18 octobre 2010 de Mademoiselle Sylviane PARDO :

LES ESCROCS INVENTENT... À lire absoulument...

 

SCÈNE 1. Nouvelle manière de vous escroquer!
  De nos jours les escrocs prennent tous les moyens pour nous escroquer, n'est-ce pas?  Voici une de leurs dernières trouvailles:
Un ami s'entraîne dans un centre de sport. Arrivé sur les lieux il place tout bonnement son linge dans un casier. Après son entraînement et la douche, il retourne au casier et constate qu'il est déverrouillé. "Bizarre, il me semblait que je l'avais verrouillé", se dit-il.  
 En s'habillant il vérifie son portefeuille pour s'assurer que rien ne manquait. Tout était là !
Quelques semaines plus tard, il reçut l'état de compte de sa carte de crédit qui affichait un montant exorbitant dû de  $14,000!
Il a appelé la Banque et exprimé sa façon de penser, jurant qu'il n'avait fait aucune transaction de la sorte.  
Le service de la clientèle a effectué des vérifications et conclu qu'il n'y avait pas eu d'erreur dans le système tout en lui demandant si sa carte avait été volée.  Il répondit que non. Mais en sortant sa carte de crédit de son portefeuille il constata, vous l'avez deviné, que sa carte avait été échangée pour une autre carte de la même banque mais qui était expirée.  
Le voleur avait réussi à déverrouiller le casier au centre de sport et avait procédé à l'échange des cartes...
Verdict: La compagnie de cartes de crédit à avisé le client qu'étant donné qu'il n'avait pas rapporté que sa carte avait disparu, il devait payer les frais encourus.  
> > > Il a payé 9,000$ pour des achats qu'il n'a pas faits!  

> > > Pourquoi la Banque n'a-t-elle pas appelé pour vérifier les dits montants d'achats?
> > > Parce que des petits montants chargés sur une carte de crédit vont rarement déclencher un signal d'alarme chez les compagnies de cartes de crédit.  
> > > D'autant plus que, dans le cas présent, ces petits montants se sont accumulés rapidement !
> > > SCÈNE 2.

> > > Un homme s'apprête à payer l'addition de son dîner avec sa carte de crédit.  
> > > La serveuse lui apporte la facture. Il la signe. Elle lui remet sa carte.
> > > D'habitude il prend la carte et la remet dans son portefeuille. Mais cette fois-ci, il la regarde de près et s'apercoit que ce n'est pas la sienne et qu'elle est expirée.  
> > > Il rappelle la serveuse qui le regarde tout étonnée.  
> > > Elle la reprend en s'excusant et retourne vers la caissière sous le regard attentif de l'homme qui l'observe.
> > > Tout ce que la serveuse fait, c'est d'agiter la fausse carte devant la caissière qui aussitôt ressort la bonne. Aucun échange de mots, rien ! La serveuse reprend la bonne carte et la remet au client en s'excusant de l'erreur.  
> > > Conclusion: Assurez-vous que les cartes de crédit dans votre porte-feuille sont bel et bien les vôtres.  
> > > vérifiez le nom chaque fois que vous signez pour quelque chose ou que votre carte passe dans les mains de quelqu'un d'autre, même pour un court moment.
 

> > > La plupart du temps les gens reprennent leur carte sans vérifier, prenant pour acquis que c’est la leur.  
> > > PRENEZ L'HABITUDE DE VERIFIER VOTRE CARTE DE CRÉDIT CHAQUE FOIS QU'ELLE VOUS EST RETOURNÉE À LA SUITE D'UNE TRANSACTION!
> > > SCÈNE 3:

> > > L'autre jour je suis allé prendre livraison d'une pizza que j'avais commandée par téléphone.
> > > J'ai payé avec ma carte Visa-chèque, qui est  directement reliée à mon compte chèque.  
> > > Le jeune homme derrière la caisse a pris ma carte et l'a passée dans la machine, pour ensuite la remettre sur le comptoir en attendant pour l'approbation ,ce qui est tout a fait normal.
> > > Pendant qu'il attendait, il a pris son cellulaire comme pour faire un appel.
> > > J'ai remarqué son téléphone car il est du même modèle que le mien. Rien ne semblait anormal, jusqu'à ce que j'entende le bruit d'un clic comme s'il avait pris une photo avec son téléphone.
> > > Il m'a alors remis ma carte de crédit, tout en gardant son téléphone dans ses mains, comme s'il appuyait sur d'autres touches.
> > > Je me demandais ce qu'il pouvait bien photographier, quand tout d'un coup çà me devient clair dans la tête: La seule chose qu'il avait à la vue c'était ma carte de crédit. Je gardai alors un œil attentif sur ce qu'il continue de faire.
> > > Il  laissa son téléphone ouvert sur le comptoir et, quelques secondes plus tard, j'entendis le bruit d'une sonnerie qui confirmait que la photo avait été sauvegardée sur son téléphone!  
> > > Alors, me voici devant lui, réalisant qu'il vient tout juste de prendre une photo de ma carte de crédit.  
> > > Il avait joué son jeu à la perfection, jusqu'à ce que mon attention soit attirée par le fait qu'il avait le même appareil que moi, sans quoi je ne me serais jamais rendu compte de son jeu.  
> > > Vous pouvez être sûr qu'aussitôt après avoir quitté les lieux j'ai fait annuler ma carte de crédit.
> > > Ce à quoi je veux en venir avec tout cela, c'est d'être prudents dans les endroits que vous fréquentez et ce en tout temps. Lorsque vous vous servez de votre carte de crédit, faites-le avec précaution et jamais avec nonchalance.
> > > Observez les gens qui vous servent et ce qu’ils font lorsque vous vous servez de votre carte. Surveillez particulièrement ceux qui ont des cellulaires car de nos jours ces appareils sont tous munis de caméras.
> > > RETRANSEMETTEZ CE MESSAGE À AUTANT DE GENS QUE POSSIBLE EN LEUR DISANT DE FAIRE ATTENTION ET DE REDOUBLER DE PRÉCAUTION.

> > > Ne perdez jamais de vue votre carte de crédit...vérifiez et revérifiez!


> >
> > >  

 

 

 

 

 

 

Reçu le 25 novembre 2010 de Madame Maguy WASSOUF un diaporama contenant ces

 

JUDICIEUX CONSEILS DU DALAÏ LAMA :

 

-      Prenez en compte le fait que beaucoup d’amour et de grandes réussites impliquent  des grands risques.

-      Lorsque vous perdez, ne perdez pas la leçon.

-      Suivez les trois R : Respect de soi, Respect des autres et la Responsabilité de toutes vos actions.

-      Rappelez-vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est, parfois, un merveilleux coup de chance.

-      Apprenez les règles pour que vous sachiez comment les briser correctement.

-      Ne laissez pas une petite dispute ruiner une grande amitié.

-      Quand vous réalisez que vous avez fait une erreur, prenez immédiatement les mesures pour la corriger.

-      Passez du temps, seul, chaque jour.

-      Ouvrez vos bras au changement mais n’abandonnez pas vos valeurs.

-      Rappelez-vous que le silence est, parfois, la meilleure réponse.

-      Vivez une bonne vie honorable. Puis, quand vous obtenez plus et vous regardez en arrière, vous serez en mesure d’en profiter une seconde fois.

-      Une atmosphère d’amour dans votre maison est le fondement de votre vie.

-      En désaccord avec vos proches, ne traitez que la situation actuelle. Ne revenez pas sur le passé.

-      Partagez vos connaissances. Il s’agit d’un moyen d’atteindre l’immortalité.

-      Soyez doux avec la Terre.

-      Une fois par an, allez quelque part où vous n’êtes jamais allé auparavant.

-      Jugez votre succès par ce que vous avez dû abandonner pour l’obtenir.

-      Approchez la cuisine et l’amour avec un abandon téméraire.



Reçu le 7 décembre 2010 de Madame  Erella AZRIEL :

CURIOSITES DE LA LANGUE FRANCAISE

         
- On remercie un employé quand on n'est pas content de ses services.
- On passe des nuits blanches quand on a des idées noires.
- Pourquoi dit-on d'un pauvre malheureux ruiné  qu'il est dans de beaux draps ?
- Pourquoi, lorsque vous dites à quelqu'un : « Je ne partage pas votre avis »,   il peut répondre « Les avis sont partagés » ?
- Pourquoi un bruit transpire-t-il avant d'avoir couru ?
- Quand un homme se meurt, on dit qu'il s'éteint. Quand il est mort, on l'appelle « feu ».
- Pourquoi lave-t-on une injure et essuie-t-on un affront ?
- Pourquoi parle-t-on des quatre coins de la terre, puisque la terre est ronde ?
- Comment distinguer le locataire du propriétaire lorsque ces deux personnes  vous disent à la fois : « Je viens de louer un appartement ?
- Comment peut-on faire pour dormir sur les deux oreilles ?
- Pourquoi appelle-t-on coup de grâce le coup qui tue ?
- Pourquoi lorsque l'on veut avoir de l'argent devant soi,   faut-il en mettre de côté ?
- Le pot a des oreilles et nous disons : « sourd comme un pot ».
- Pourquoi dit-on : « embarras de voitures » quand il y a trop de voitures,  et « embarras d'argent » quand il n'y a pas assez d'argent ?

 

 

 

Aout 2010

 

Reçu le 29 juillet 2010 de Monsieur Nabil SACCAL :

 

La différence entre http et https:

Ca peut etre interessant de le savoir 

 

Je crois que c'est important de connaître cette information. Alors, je la partage avec vous.
Plusieurs personnes ne sont pas au courant de la principale différence entre 
  http://  et  https: / /
   
 
HTTP signifie Hypertext Transport Protocol, qui est juste une façon de dire que c'est un protocole (un langage, une façon de parler) pour information transmise entre les serveurs Web et les clients.
    
L'important, 
c'est la lettre S qui en fait la différence entre HTTP  et  HTTPS.
Le 
S (grande surprise) synonyme de

 

«Secure (sécurité) ».     exemple :    https://accesd.desjardins.com/

Si vous visitez un site Web ou une page Web, regardez l'adresse dans le navigateur Web, elle commence avec le texte suivant: http://.

Cela signifie que le site est en communication à votre navigateur à l'aide du protocole non sécurisé

 

En d'autres termes, il est possible pour une personne de voir sur votre ordinateur votre conversation avec le site Web.. Si vous remplissez un formulaire sur le site, quelqu'un pourrait voir les informations que vous envoyez à ce site

C'est la raison pour laquelle vous ne devez jamais entrer votre numéro de carte de crédit  ou autre numéro comme Ass. Sociale, dans un site Web http..
 

Mais si l'adresse du site Web commence parhttps: / /, ça signifie que votre ordinateur est en conversation avec le site Web en toute sécurité et que personne ne peut voir ce que vous faites sur votre ordinateur.
Vous comprenez pourquoi il est si important, n'est-ce pas?

Si jamais un site Web vous demande d'entrer votre numéro de carte crédit ou des informations sur votre carte, vous devriez automatiquement vérifier si l'adresse du site Web commence par https: / /
 

Sinon, il n'existe aucun moyen de vous protéger.
    

 

-o-o-o-o-o-o-o-o-

 

 

Reçu le 31 juillet 2010 de Madame Germaine LEVY un diaporama contenant ce texte plein de sagesse :

 

PENSES-Y

 

De nos jours, nous avons des immeubles plus élevés et des autoroutes plus larges mais notre niveau de tolérance st plus bas et notre esprit plus étroit.

Nous dépensons davantage mais nous nous amusons moins.

Nous avons de plus grandes maisons mais de plus petites familles.

Nous avons plus de connaissances mais moins de jugement.

Nous avons plus de médicaments mais moins de santé.

Nous avons multiplié nos possessions mais nous avons réduit nos valeurs.

Nous parlons beaucoup, nous aimons juste un peu et nous détestons trop.

Nous avons atteint la Lune et en sommes revenus mais nous trouvons pénible de traverser notre propre rue pour rencontrer nos voisins.

Nous avons conquis l’espace intersidéral mais pas notre espace intérieur.

Nous avons des revenus plus élevés mais le moral plus bas.

Nous vivons à une époque où il y a plus de liberté mais moins de joie.

Nous avons bien davantage de nourriture mais nous nous nourrissons mal.

Nous vivons à une époque où il faut deux salaires pour chaque foyer mais les divorces augmentent.

C’est une époque où les maisons sont plus belles mais il y a davantage de foyers brisés.

C’est pourquoi je t’invite à partir d’aujourd’hui :

De ne rien garder pour une « occasion spéciale » parce que chaque jour qu’on vit EST une occasion spéciale.

Recherche la connaissance, lis davantage, pose-toi sur ton balcon ( si tu en as un) et admire la vue sans faire attention à tes besoins.

Passe plus de temps avec ta famille et tes amis, mange tes mets préférés et visite les endroits que tu aimes.

La vie est une suite de moments de plaisir, non pas seulement une survie.

Utilisons nos verres en cristal. N’économisons pas notre meilleur parfum et utilisons-le chaque fois que nous en avons envie.

Elimine de ton vocabulaire des phrases comme « un de ce jours » ou « un jour ».

Ecris cette lettre que tu avais pensé écrire « un de ces jours ».

Dis à tes proches et amis à quel point nous les aimons.

Ne retarde rien qui ajoute des rires et de la joie à ta vie.

Chaque jour, chaque heure et chaque instant est spécial et nous ne savons pas si ce sera notre dernier.
Si tu est trop occupé pour trouver le temps d’envoyer ce message à quelqu’un  que tu aimes et que tu te dis je vais l’envoyer « un de ces jours », penses-y « un de ces jours » tu ne seras peut-être plus là pour l’envoyer !

Moi, …..

Je n’attends pas ; je te l’envoie  et te dis

JE PENSE A TOI

 

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Reçu le 21 mars 2010 de Monsieur Marc JAFFE :

 

APPRENDRE A S'AIMER

 

Sais-tu que la personne la plus importante, c'est toi ?
Sais-tu que tu n'es responsable que de toi?
Aimes-toi donc suffisamment
Pour ne prendre en charge que ta vie
C'est déjà si compliqué.
Aimer les autres suffisamment
Pour les laisser en faire autant.
Car vois-tu, tu ne dois la fidélité
Qu'à
tes idées (à toi-même).
Tu possèdes tant de qualités
Pourquoi t'oublier?
Pourquoi te nier?
Pourquoi ne pas t'aimer?
Suis ton chemin, poursuis ta route
Arrêtes-toi de temps en temps
Regarde autour de toi
Il se trouvera toujours
Quelqu'un ou quelque chose
Qui te guidera.
Va au-delà de tes peurs
C'est souvent là que se trouve le bonheur
Vis l'amitié, l'amour
Avec intensité et sincérité.
Prends le temps de te connaître,
Prends le temps de t'apprécier,
Prends le temps de t'aimer,
Et ne laisse surtout passer
Aucune occasion de cheminer.

 

-o-o-o-o-o-o-o-o-

 

Reçu de  le 11 août 2010 de Madame Patricia TUBIANA :

 

 

QUELS SONT LES MEILLEURS MOMENTS DE LA VIE ?

On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être marié, après avoir eu un enfant, et ensuite, après en avoir eu un autre...

Plus tard, on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l'on sera mieux quand ils le seront.

On est alors convaincu que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.

On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint, quand on possédera une plus belle voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite...

La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux que le moment présent. Si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce ? la vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer. Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux maintenant qu’il est encore temps. Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer : La Vraie Vie !

Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, un problème qu'il fallait résoudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer. Et alors la vie allait commencer ! ! ! !  Jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie.

Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au bonheur.  Le bonheur EST le chemin..

Ainsi passe chaque moment que nous avons et plus encore : quand on partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps et, que l'on se rappelle que le temps n'attend pas !

Alors, il faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son salaire, de se marier, d'avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou, simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l’été, l'automne ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux.

 Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux.

Il suffit juste d'apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l'un des meilleurs moments de sa vie

 

 

 

15 Avril 2010

 

Reçu le 1er. janvier 2010 de Madame Germaine LEVY cet Avis que je vous communique à tout hasard :

 

AVIS  AUX  AUTOMOBILISTES

 

 La semaine dernière, nous nous sommes garés sur un parking public. Quand nous sommes partis, j'ai remarqué un papier sur la fenêtre arrière. Lorsque je l'ai enlevé (une fois rentré à la maison), j'ai vu que c'était un reçu d'essence. Heureusement qu'un de mes amis m'avait dit de ne pas m'arrêter, car quelqu'un aurait pu attendre que je sorte de ma voiture....
                            
 MISE EN GARDE DE LA POLICE                     Cela s'applique pour les hommes et les femmes.  
Attention aux papiers collés sur la fenêtre arrière de votre voiture.  
Nouvelle manière pour les vols de voitures (ce n'est pas une plaisanterie !) Attention tout le monde !                                                                                Merci de garder cet e-mail en circulation.                                                       Vous marchez sur le parking, ouvrez votre voiture et rentrez dedans. Vous démarrez le moteur et mettez la marche arrière. Lorsque vous regardez par votre fenêtre arrière pour faire marche arrière, vous remarquez un papier  collé au milieu. Vous vous arrêtez, sortez de votre voiture pour enlever le papier (ou autre) car cela vous bloque la vue. Quand vous atteignez l'arrière de la voiture, c'est là que le voleur de voiture apparaît de nulle part. Il rentre dans la voiture et s'en va. Il vous roule pratiquement dessus en partant à grande vitesse. 
ET devinez quoi mesdames ? Je parie que votre portefeuille/sac à main est encore dans la voiture. Donc, maintenant, le voleur de voiture a votre voiture, votre  adresse, votre argent, vos clés. Votre maison et votre identité sont donc compromis !
                 MISE EN GARDE SUR CETTE NOUVELLE FACON DE PROCEDER.
Si vous voyez un papier  collé à l'arrière de votre voiture, fermez vos portes de voiture à clés, démarrez et partez.   Vous enlèverez le papier plus tard. Merci de faire suivre cet -email à votre famille et vos amis, particulièrement aux femmes                                                                                                                  Un portefeuille contient beaucoup de documents importants et d'identification. Vous ne voulez certainement pas que cela tombe dans de mauvaises mains.  
                      SVP transmettez ce message à tous vos amis

 

 

GRAINS DE SAGESSE

De notre amie NELL LEV

 

UNE LECON DE VIE

PAS SEULEMENT POUR LES VIEUX

MAIS POUR TOUS LES AGES

  Voici une belle histoire avec réflexion positive.

Un homme de 92 ans, petit, très fier, habillé et bien rasé tous les matins à 8h00, avec ses cheveux parfaitement coiffés, malgré qu'il est légalement aveugle, déménage dans un foyer pour personnes âgés aujourd'hui même. Sa femme  de 70 ans est décédée récemment, ce qui l'oblige à quitter sa maison.
Après plusieurs heures d'attente dans le lobby du foyer, il sourit  gentiment lorsqu'on lui dit que sa chambre est prête.
Comme  il se rendait jusqu'à l'ascenseur avec sa marchette, je lui  fis une description visuelle de sa petite chambre, incluant le drap suspendu à  sa fenêtre servant de rideau. Je l'aime beaucoup dit-il, avec l'enthousiasme d'un petit garçon de 8 ans qui vient d'avoir un nouveau petit chien.

- M. Gagné, vous n'avez pas encore vu la chambre, attendez un peu.
- Cela n'a rien à voir, a-t-il répondu.
Le bonheur est quelque chose que tu décides à l'avance. Que j'aime  ma chambre ou pas ne dépend pas des meubles ou de la décoration – ça dépend plutôt de la façon dont moi je les perçois. C'est déjà décidé  dans ma tête que j'aime ma chambre. C'est une décision que je prends tous les matins à mon réveil. J'ai le choix, je peux passer la  journée au lit en comptant les difficultés que j'ai avec les parties de mon corps qui ne fonctionnent plus, ou me lever et remercier le ciel pour celles qui fonctionnent encore. Chaque jour est un cadeau, et aussi longtemps que je pourrai ouvrir mes yeux je vais m'attarder sur le nouveau jour et tous les souvenirs heureux que j'ai amassé tout au long de ma vie.

La vieillesse est comme un compte de banque. Tu retires de ce que tu as amassé. Donc, mon conseil pour vous, serait de déposer beaucoup de bonheur dans votre compte de banque des souvenirs. Merci de votre participation à remplir mon compte de banque car je dépose encore.

Souvenez-vous de ces simples règles pour être heureux :

                                   1.Libérez votre coeur de la haine
                                   2.Libérez votre tête des soucis
                                   3.Vivez simplement
                                   4.Donnez plus
                                   5. Attendez vous à moins.

 

 

 

 

Décembre 2009

 

Reçu le 2 novembre 2009 de de Madame Lucie CALAMARO :

CITATIONS

LUCIE                                                                                                                                                                                                                                                                                                             

L'amour n'est pas seulement un sentiment,
il est aussi un art.

- HONORE DE BALZAC –

L'harmonie la plus douce
est le son de la voix
de celle que l'on aime.

- JEAN DE LA BRUYERE –

 L'amour a son instinct,
il sait trouver le chemin du coeur
comme le plus faible insecte marche à sa fleur
avec une irrésistible volonté.

- HONORE DE BALZAC –

Le centre de toute bonté et de toute joie est l'amour.

- HERMAN HESSE –

 Ce que l'amour peut faire,
l'amour ose le tenter.

- WILLIAM SHAKESPEARE –

Aimer, ce n'est pas regarder l'un l'autre,
c'est regarder ensemble dans la même direction.

- ANTOINE DE SAINT-EXUPERY –

Je t'aime non seulement pour ce que tu es
mais pour ce que je suis quand nous sommes ensemble.

- ROY CROFT –

Aimer et être aimé, c'est sentir le soleil des deux cotés.

-o-o-o-o-o-o-o-o-

Reçu e 29 novembre  2009 de Madame Josette  GUIGUI :

LE TEST DES TROIS PASSOIRES

Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute réputation de sagesse.

Quelqu'un vint un jour trouver le grand philosophe et lui dit : "Sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami ?

-- Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j'aimerais te faire passer un test, celui des trois passoires.

 -- Les trois passoires?

 -- Mais oui, reprit Socrate. Avant de raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l'on aimerait dire. C'est ce que j'appelle le test des trois passoires. La première passoire est celle de la vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai?

 -- Non. J'en ai seulement entendu parler...

 -- Très bien. Tu ne sais donc pas si c'est la vérité. Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bien ?

 -- Ah non! Au contraire.

 -- Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n'es même pas certain si elles sont vraies. Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste une passoire, celle de l'utilité. Est-il utile que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait ?

-- Non. Pas vraiment.

 -- Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n'est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire?"

 

Reçu le 8 décembre de Madame Maguy WASSOUF :

On a demandé au Dalaï Lama

 

« Qu’est-ce qui vous surprend le plus dans l’humanité ? »  Il a répondu :

« Les Hommes » …

Parce qu’ils perdent la santé pour accumuler de l’argent, ensuite ils perdent de l’argent

pour retrouver la santé …

et à penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte qu’ils finissent

par ne vivre ni le présent ni le futur.

Ils vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir …et meurent comme s’ils n’avaient

jamais vécu.

Tout est dit,  à méditer ….

 

 

Octobre 2009

 

PENSEE A MEDITER

 

Il y a quatre choses que nous ne pourrons jamais retrouver :

 

-      Le CAILLOU…après l’avoir lancé !

-      Le MOT…après l’avoir prononcé !

-      L’OCCASION…après l’avoir perdue !

-      Et le TEMPS…lorsqu’il s’est écoulé !

 

Reçu le 22 août 2009 de Madame Lucie CALAMARO cette Pensée :

LA RICHESSE DU COEUR

Qui ne veut voir un autre monde
est aveugle.

Qui ne sait dire un mot gentil quand il le faut
est muet.

Qui est tourmenté par un trop grand désir
est pauvre.

Celui dont le coeur est content
est riche

 

 

Aout 2009

 

 

Reçu le 9 juillet 2009 de Mademoiselle Sylvana PARDO :

IL N'Y A PAS DE MEILLEUR MOMENT QUE MAINTENANT POUR ETRE HEUREUX.

On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être
marié, après avoir eu un enfant, et ensuite, après en avoir eu un autre...Plus tard, on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l'on sera mieux quand ils le seront.On est alors convaincu que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.
           On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux  pour notre conjoint, quand on possédera une plus belle voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite...
           La
vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux
que le moment présent. Si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce? La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer. Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux maintenant qu'il est encore temps.
           Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer, ' La Vraie Vie ! 'Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, un problème qu'il fallait résoudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer. Et alors la vie allait commencer ! ! ! ! Jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie.
           Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au bonheur. Le bonheur est le chemin..
           Ainsi passe chaque moment que nous avons et plus encore : quand on partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps et, que l'on se rappelle que le temps n'attend pas.
           Alors, il faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son salaire, de se marier, d'avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou, simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l'été, l'automne ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux.
LE BONHEUR EST UNE TRAJECTOIRE ET NON PAS UNE DESTINATION* !
Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux. Il suffit juste d'apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l'un des meilleurs moments de sa vie.
           La source de ce poème est inconnue, il apporte de la chance à qui le
 transmet. Ne le garde pas.... Donne-le simplement à tes amis à qui tu souhaites de la chance.

 


 
Reçu le 27 juillet 2009 de Madame Nell LEV , de Madame Lily KHODARA, de Monsieur Alain PEREZ et de plusieurs autres Lecteurs…

 

UN TEXTE FRANÇAIS QUI REND FOU...

 

DICTÉE (trouvée dans un vieil almanach)

Monsieur Lamère a épousé Mademoiselle Lepère.
De ce mariage, est né un fils aux yeux pers.
Monsieur est le père, Madame est la mère.
Les deux font la paire.
 
Le
père, quoique père, est resté Lamère,
mais la mère, avant d'être Lamère était Lepère.
Le père est donc le père sans être Lepère,
puisqu'il  est Lamère et la mère est Lamère,
bien que née Lepère.
 
Aucun des deux n'est maire.
N'étant ni le maire ni la mère, le père ne
commet donc  pas d'impair en signant Lamère.
Le fils aux yeux pers de Lepère deviendra maire.
Il sera le maire Lamère, aux yeux pers, fils de
Monsieur  Lamère, son père, et de Mademoiselle
Lepère, sa mère.
 
La mère du maire meurt et Lamère, père du maire, la perd.
Aux obsèques, le père de la mère du maire, le
grand-père Lepère, vient du  bord de mer, et marche
de pair avec le maire Lamère, son petit-fils.
 
Les amis du maire, venus pour la mère, cherchent les
Lamère, ne trouvent que le maire et Lepère, père de la
mère du maire, venu de la mer, et chacun s'y  perd !"

 

 

 

Reçue le 4 avril de Madame Lucie CALAMARO :

Il meurt lentement...

Celui qui ne voyage pas,
Celui qui ne lit pas,
Celui qui n'écoute pas de musique,
Celui qui ne sais pas trouver grâce à ses yeux.

Il meurt lentement...

Celui qui devient esclave de l'habitude
Refaisant tous les jours les mêmes chemins,
Celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements,
Ou qui ne parle jamais à un inconnu.

Il meurt lentement...

Celui qui évite la passion et son tourbillon d'émotions, celles
qui redonnent la lumière dans les yeux et réparent les coeurs blessés.

Il meurt lentement...

Celui qui ne change pas de cap lorsqu'il est malheureux
au travail ou en amour,
Celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves
Celui qui pas une seule fois dans sa vie, n'a fui les conseils sensés.

Vis maintenant ; risque-toi aujourd'hui !
Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d'être heureux !

Texte de Pablo Neruda

 

Reçu le 5 août de Monsieur Alain PEREZ :

 

L’ AMOUR  ET  LA  FOLIE

 

La Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle.

Tous les invités y allèrent. Après le café la Folie proposa :

- On joue à cache-cache ?

- Cache-cache ? C'est quoi, ça ? demanda la Curiosité.

- Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez.

- Quand j'ai fini de compter je cherche, et le premier que je trouve sera le prochain à compter.

* Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse.

-1, 2, 3,... la Folie commença à compter.

* L'Empressement se cacha le premier, n'importe où.

* La Timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe d'arbre.

* La Joie courut au milieu du jardin.

* La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit approprié pour se cacher.

* L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher.

* La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient.

* Le Désespoir était désespéré en voyant que la Folie était déjà à 99.

- CENT ! cria la Folie, je vais commencer à chercher...

* La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert.

* En regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus d'une clôture ne sachant pas de quel côté il serait mieux caché.

* Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité...

* Quand ils étaient tous réunis, la Curiosité demanda

- Où est l'Amour ?

* Personne ne l'avait vu.

* La Folie commença à le chercher. Elle chercha au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais elle ne trouvait pas l'Amour.

Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier, pris un bout de bois et commença à chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri.

* C'était l'Amour, qui criait parce qu'une épine lui avait crevé un œil.

* La Folie ne savait pas quoi faire. Elle s'excusa, implora l'Amour pour avoir son pardon et alla jusqu'à lui promettre de le suivre pour toujours.

* L'Amour accepta les excuses.

* Aujourd'hui, l'Amour est aveugle et la Folie l'accompagne toujours.

 

 

 

Juin 2009

 

 

Reçu le 18 mars de Mademoiselle Sylvana PARDO :

 

L’ART D’ETRE BIEN

Dr. Drauzio VARELLA

 

 

SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…

 

EXPRIMEZ VOS SENTIMENTS

        

Les émotions et les sentiments refoulés, réprimés, finissent par vous rendre malade : troubles gastriques, ulcères, douleurs lombaires. Avec le temps, la répression des sentiments favorise l’émergence d’un cancer. Alors, il faut se trouver une oreille attentive pour partager notre intimité, nos secrets, nos erreurs. Le dialogue, la parole comme les mots sont de puissants remèdes et une excellente thérapie.

 

SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…

 

PRENEZ DES DECISIONS

 

       Une personne indécise demeure dans le doute, l’anxiété, le désespoir. L’indécision favorise l’accumulation de problèmes, de soucis et même d’agressions. L’historie de l’humanité est basée sur la prise de décision. Décider c’est savoir quand renoncer, quad perdre des avantages ou des valeurs pour en gagner des nouvelles. Les personnes indécises sont victimes de troubles ou maladies gastriques, de douleurs associées à na nervosité et des problèmes de peau.

 

SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…

 

TROUVEZ DES SOLUTIONS

 

       Les personnes  négatives ne prennent pas de solutions et grossissent les problèmes. Elles préfèrent se lamenter, se plaindre et s’installer dans le pessimisme. Une abeille est petite mais elle produit une des plus délicieuses substances, le miel. Nous devenons ce que nous pensons. Il est préférable d’allumer une allumette que de se plaindre de l’obscurité. La pensée négative génère une énergie négative qui se transforme en maladie.

 

SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…

 

NE VIVEZ POINT POUR LES APPARENCES

 

       Celui qui cache la réalité, fait semblant et veut toujours donner l’impression que tout va bien. Il veut être perçu comme parfait, facile à vivre, etc. tout en accumulat des tonnes de poids inutiles. C’est comme une statue de bronze avec des pieds moulés dans la glaise. Il n’y a rien de plus mauvais pour la santé que de vivre pour les apparences. Comme les façades. Ce sont des gens avec beaucoup de vernis et peu de substance. Leur destinée c’est la pharmacie, l’hôpital et la douleur.

 

SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…

 

ACCEPTEZ

 

       Le refus de l’acceptation et l’absence de l’estime de soi nous aliène. Faire avec qui nous sommes prédispose à une vie de santé. Ceux qui n’acceptent point de fait deviennent envieux, jaloux, imitateurs, ultra compétitifs et destructeurs. Soyez accepté comme vous êtes, acceptez d’être accepté et acceptez la critique. Cela relève de la sagesse, du gros bon sens et thérapeutiquement bon.

 

SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…

 

FAITES CONFIANCE

 

         Celui qui ne fait pas confiance, ne communique point, n’est pas ouvert et est incapable de créer des relations stables et profondes. Il ne sait pas comment établir une amitié sincère. Sans confiance, il ne peut y avoir de relation. La non confiance est typique de manque de confiance en soi et en ses moyens.

 

SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…

 

NE VIVEZ POINT DANS LA TRISTESSE

 

         Vivez dans la bonne humeur et le rire, reposez vous et soyez heureux. Ces facteurs vous apporteront l’équilibre et la santé!. Une personne heureuse a la capacité de changer son environnement peu importe où elle vit. « La bonne humeur nous sauve des mains du docteur ». La joie de vivre c’est la meilleure thérapie  pour vivre en bonne santé.

EXPEDIEZ CET ARTICLE A VOS AMI(E)S  POUR LES AIDER  RESTER EN SANTE

 

-o-o-o-o-o-o-o-o-

 

 

Reçu le 8 maide Madame Germaine LEVY :

 

UNE BELLE LECON DE PHILOSOPHIE

L'HISTOIRE D'UN POT DE MAYONNAISE ET DE CAFE.  

Quand il te semble qu'il y a « trop » de choses dans ta vie, quand 24heures ne te semblent pas suffisantes...  Rappelle-toi du pot de mayonnaise et du café !                                                                           Il était une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa classe, prit un grand pot de mayonnaise vide et sans dire un mot, commença à le remplir avec des balles de golf. Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot était plein. Les étudiants étaient d'accord pour dire que OUI. *
Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le pot de mayonnaise. Les billes comblèrent les espaces vides entre les balles de golf. Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein.
Ils dirent à nouveau OUI. *
Après, le professeur pris un sachet rempli de sable et le versa dans le pot de mayonnaise. Bien sûr, le sable remplit tous les espaces vides et le prof demanda à nouveau si le pot était plein.. Les étudiants répondirent unanimement OUI. *
Tout de suite après le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu du pot de mayonnaise et effectivement le café combla les espaces entre les grains de sable. Les étudiants se sont alors mis à rire... Quand ils eurent fini, le prof dit : Je veux que vous réalisiez que le pot de mayonnaisereprésente la vie".
Les balles de golf sont les choses importantes comme la famille,la santé, tout ce qui passionne. Nos vies seraient quand même pleines si on perdait tout le reste et qu'il ne nous restait qu'elles. Les billes sont les autres choses qui comptent comme le travail, lamaison, la voiture, etc...
Le sable représente tout le reste, les petites choses de la vie. Si on avait versé le sable en premier, il n'y aurait eu de place pour rien d'autre, ni les billes ni les balles de golf. C'est la même chose dans la vie. Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps pour les petites choses, nous n'aurons jamais de place pour les choses vraiment importantes. Faites attention aux choses qui sont cruciales pour votre
 bonheur. prendre le temps d'aller chez le médecin,  faire du sport ou pratiquer ses loisirs favoris. Il restera toujours du temps pour faire le ménage, réparer le robinet de la cuisine... Occupez-vous des balles de golf en premier, des choses qui importent vraiment. Etablissez des priorités, le reste n'est que du sable.. » Un des étudiants leva alors la main et demanda ce que représente le café. Le professeur sourit et dit C'est bien que tu demandes. C'était juste pour vous démontrer que même si vos vies peuvent paraître bien remplies, il y aura toujours de la place pour une tasse de café avec un ami. » *
Envoie ce mail à toutes les personnes qui comptent pour toi, à moi y
 compris, comme ça je saurai que j'ai une place dans le pot de ton café.


 

Avril 2009

 

Reçu le 8 avril 2009 de Madame Dolly GUEMEI :

(AVIS : pour ceux qui préfèrent lire cet article en Français, ils le trouveront dans cette même Rubrique à la date du 28.09.2006)

 

HOW TO STAY YOUNG

GEORGE CARLIN



. Throw out nonessential numbers. This includes age, weight and height. Let the doctors worry about them. That is why you pay 'them'
2.
Keep only cheerful friends. The grouches pull you down.
3.
Keep learning. Learn more about the computer, crafts, gardening, whatever. Never let the brain idle. 'An idle mind is the devil's workshop.' And the devil's name is Alzheimer's.
4.
Enjoy the simple things.
5.
Laugh often, long and loud. Laugh until you gasp for breath.
6.
The tears happen. Endure, grieve, and move on. The only person, who is with us our entire life, is ourselves. Be ALIVE while you are alive.
7.
Surround yourself with what you love , whether it's family, pets, keepsakes, music, plants, hobbies, whatever.. Your home is your refuge.
8.
Cherish your health: If it is good, preserve it. If it is unstable, improve it. If it is beyond what you can improve, get help.
9.
Don't take guilt trips. Take a trip to the mall, even to the next county; to a foreign country but NOT to where the guilt is.
10.
Tell the people you love that you love them
at every opportunity.
AND ALWAYS REMEMBER :
Life is not measured by the number of breaths we take,
but  by the moments that take our breath away.

 

 

LE 28/02/2009

 

 

Reçu le 12 février 2009 de Madame Esther BENGHIAT-MUSTACCHI (Booguy) 

"Nous y sommes"

par Fred Vargas                                                                       

S'il vous plait, un peu de volonté pour lire ce texte et méditer!

 

Je ne résiste pas à l'envie de partager avec vous tout ce texte de Fred Vargas qui dit avec humour et dérision ce que tous nos hommes scientifiques constatent avec consternation...

 

 

Nous y voilà, nous y sommes. Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l'incurie de l'humanité, nous y sommes. 

Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l'homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu'elle lui fait mal. Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d'insouciance. 
> > Nous avons chanté, dansé. 
> > Quand je dis « nous », entendons un quart de l'humanité tandis que le reste était à la peine. 

Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos pesticides à l'eau, nos fumées dans l'air, nous avons conduit trois voitures, nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du bout monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie, créé des clones, franchement on peut dire qu'on s'est bien amusés. 

On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme faire fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement modifiées sous la terre, déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers des espèces vivantes, faire péter l'atome, enfoncer des déchets radioactifs dans le sol, ni vu ni connu. 
> > Franchement on s'est marrés. 
> > Franchement on a bien profité. 
> > Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu'il est plus rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de biner des pommes de terre. 
> > Certes. 

Mais nous y sommes. 
> > A la Troisième Révolution. 
> > Qui a ceci de très différent des deux premières (la Révolution néolithique et la 
> > Révolution industrielle, pour mémoire) qu'on ne l'a pas choisie. 
> > « On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins. 
> > Oui. 
> > On n'a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis. 
> > C'est la mère Nature qui l'a décidé, après nous avoir aimablement laissés jouer avec elle depuis des décennies. 
> > La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets. 
> > De pétrole, de gaz, d'uranium, d'air, d'eau. 
> > Son ultimatum est clair et sans pitié : 
> > Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l'exception des fourmis et des araignées qui nous survivront, car très résistantes, et d'ailleurs peu portées sur la danse). 
> > Sauvez-moi, ou crevez avec moi. 

Evidemment, dit comme ça, on comprend qu'on n'a pas le choix, on s'exécute illico et, même, si on a le temps, on s'excuse, affolés et honteux. 
> > D'aucuns, un brin rêveurs, tentent d'obtenir un délai, de s'amuser encore avec la croissance. 
> > Peine perdue. 
> > Il y a du boulot, plus que l'humanité n'en eut jamais. 

Nettoyer le ciel, laver l'eau, décrasser la terre, abandonner sa voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en partant, veiller à la paix, contenir l'avidité, trouver des fraises à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes, en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon là où il est, - attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce charbon tranquille - récupérer le crottin, pisser dans les champs (pour le phosphore, on n'en a plus, on a tout pris dans les mines, on s'est quand même bien marrés). 

S'efforcer. Réfléchir, même. 
> > Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être solidaire. 
> > Avec le voisin, avec l'Europe, avec le monde. 
> > Colossal programme que celui de la Troisième Révolution. 
> > Pas d'échappatoire, allons-y. 
> > Encore qu'il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui l'ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante. 
> > Qui n'empêche en rien de danser le soir venu, ce n'est pas incompatible. 
> > A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le retour de la barbarie -une autre des grandes spécialités de l'homme, sa plus aboutie peut-être. 
> > A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution. 
> > A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons encore. 

Fred Vargas , Archéologue et écrivain" 

 

 

 

 

 

LE 31/12/2008

 

Reçu le 13 novembre de Madame Lily KHODARA :

 

LA GESTION DU STRESS

 

 

Un jour un conférencier, expliquant la gestion du stress à son auditoire, lève un verre d'eau et demande : Combien pèse ce verre d’eau ?

Les réponses vont de 20 g jusqu'à 500 g .

Le conférencier réplique : 'Le poids absolu de ce verre n'a aucune

importance. Tout dépend de la durée que vous essayez de le tenir.

« Si je le tiens une minute, ce n'est pas un problème. Si je le tiens pendant une heure, j'aurai de la douleur dans mon bras droit. Si je le tiens pour toute la journée, vous allez devoir appeler une ambulance. Dans tous les cas c'est le même poids,

mais plus longtemps je le tiens, plus il devient lourd. »

Il continue : « Et c'est le même cas avec la gestion du stress. Si on porte un fardeau tout le temps, tôt ou tard, comme le fardeau devient de plus en plus lourd, on ne sera plus capable de continuer. Comme pour le verre d'eau, vous devez le déposer pour un moment et vous reposer avant de le reprendre.

Quand on est frais et dispos, on peut continuer avec son fardeau. Donc, avant de retourner à la maison le soir, déposez votre fardeau de travail. Ne l'apportez pas à la maison. Vous pourrez le reprendre demain. Et si vous partez de la maison, ne l'apportez pas avec vous, vous n'avez pas besoin de ce boulet toute la journée...il sera là au retour et vous aurez l'énergie pour y faire face.

Quel que soit le fardeau que vous portiez maintenant, laissez-le pour un moment si vous le pouvez. Relaxez. Reprenez le plus tard quand vous serez reposés. Il vous semblera plus léger ...

La vie est courte. Tachez d'en profiter!»

Le conférencier a partagé aussi quelques façons de gérer les fardeaux de la vie :

- Acceptez que certains jours vous êtes le pigeon, et certains jours vous êtes la statue.

- Gardez toujours vos paroles douces et tendres, au cas où vous devriez les ravaler ou qu'elles seront les dernières que vous direz.

- Conduisez prudemment. Il n'y a pas que les voitures qui peuvent être rappelées par leur manufacturier.

- Si vous ne pouvez pas être gentil, ayez au moins la délicatesse d'être vague.

- Si vous passez 20$ à quelqu'un et que vous ne le voyez plus jamais, ça en valait probablement la peine.

- Tout le monde s'en fout que vous dansiez mal. Levez vous et dansez!

- Les anniversaires sont bons pour vous. Plus vous en avez, plus vous vivez vieux.

- Vous n'êtes peut-être qu'une personne dans le monde, mais vous pouvez aussi être le monde pour une personne.

- Certaines erreurs sont trop amusantes pour n'être faites qu'une seule fois.

- Passez une très belle journée et sachez que quelqu'un a pensé à vous aujourd'hui.......... Je l'ai fait...

 

 

 

Reçu le 11 novembre de Madame Esther (Booguy) BENGHIAT-MUSTACCHI.

 

MESSAGE DRAMATIQUE

(à l’intention des jeunes et des moins jeunes)

 

WENT TO A PARTY MOM

I went to a party,
And remembered what you said.
You told me not to drink, Mom,
so I had a sprite instead.

I felt proud of myself,
The way you said I would,
that I didn't drink and drive,
though  some friends said I should.

I made a healthy choice,
And your advice to me was right.
The party finally ended,
and the kids drove out of sight.

I got into my car,
Sure to get home in one piece.
I never knew what was coming, Mom,
something I expected least.

Now I'm lying on the pavement,
And I hear the policeman say,
the kid that caused this wreck was drunk,
Mom, his voice seems far away.

My own blood's all around  me,
As I try hard not to cry.
I can hear the paramedic say,
this girl is going to die.

I'm sure the guy had no idea,
While he was flying high.
Because he chose to drink and drive,
now I would have to die.

So why do people do it, Mom
Knowing that it ruins lives?
And now the pain is cutting me,
like a hundred stabbing knives.

Tell sister not to be afraid, Mom
Tell daddy to be brave.
And when I go to heaven,
put ' Mommy's Girl' on my grave.

Someone should have taught him,
That it's wrong to drink and drive.
Maybe if his parents had,
I'd still be alive.

My breath is getting shorter,
Mom I'm getting really scared
These are my final moments,
and I'm so unprepared.

I wish that you could hold me Mom,
As I lie here and die.
I wish that I could say, 'I love you,Mom!'
So I love you and good-bye.

 

Reçu de Monsieur Marc JAFFE et de Madame Germaine LEVY ce même message mais en français :

 

Je suis allée à une soirée, Maman

Je suis allée à une soirée,

Et je me suis souvenue de ce que tu m'avais dit.

Tu m'avais dit de ne pas boire et conduire

Alors j'ai pris un sprite à la place.

Je me suis sentie fière de moi

De la manière que tu m'avais dit que je ne pouvais pas boire et conduire

Même si tous mes amis m'ont dit que je devrais.

J'ai fait un choix-santé Et ton conseil était judicieux

La soirée a finalement pris fin

Et les jeunes sont partis quasiment tous saoûls

Je me suis rendue à ma voiture

Certaine de revenir à la maison en une pièce

Je n'ai jamais envisagé ce qui allait se passer

Cela aurait été la dernière chose à laquelle j'aurais pensé

Je suis maintenant allongée sur le pavé, Maman

Et j'ai entendu le policier parler

Dire que le jeune qui m'avait heurtée était saoûl

Maman, sa voix semble loin

Je baigne dans mon propre sang

Et j'ai essayé très fort de ne pas pleurer

Je peux entendre l'infirmier dire

'Cette fille va mourir'

Je suis sûre que le jeune ne sait même pas ce qui s'est passé

Pendant qu'il était très saoûl

Vu qu'il a choisi de boire et conduire

Maintenant moi je dois mourir

Donc pourquoi le monde le fait? Maman

En sachant que ça ruine des vies

Et maintenant je meurs de douleur

Dis à ma soeur de ne pas avoir peur, Maman

Dis à Papa qu'il doit être brave

Et que j'irai au Paradis

Écris La fille à Papa sur ma pierre tombale

Quelqu'un aurait dû lui dire

Que c'était mal de boire et conduire

Peut-être que si ses parents lui avaient dit

Je serais vivante aujourd'hui

Mon souffle diminue, Maman

Je commence vraiment à avoir peur

C'est un moment si soudain

Et je ne suis tellement pas prête!

J'aurais aimé que tu me tiennes dans tes bras

Pendant que je suis allongée et que je meurs.

 

 

 

Reçu le 20 décembre de Madame GILARIANE un diaporama duquel j’ai tiré le texte qui suit :

 

UNE BELLE HISTOIRE

 

         Un jour, un non-voyant était assis sur les marches d’u bâtiment avec un chapeau à ses pieds et un morceau de carton portant l’inscription «  Je suis aveugle, aide-moi s’il vous plaît ». Un publicitaire qui se promenait par là s’arrêta et remarqua qu’il n’y avait que quelques centimes dans son chapeau. Il se pencha et y versa sa monnaie puis, sans demander son avis à l’homme, prit le carton, le retourna et y écrivit une autre phrase Le même après-midi, le publicitaire revint près de l’aveugle et vit que le chapeau était plein de monnaie et de billets. Le non-voyant reconnut le pas de l’homme et il lui demanda si c’était lui qui avait réécrit sur son carton et ce qu’il avait noté. Le publicitaire répondit : « Rien que ne soit pas vrai, j’ai seulement réécris ta phrase d’une autre manière ». Il sourit et s’en alla. Le non-voyant ne sut jamais que sur son carton, il avait écrit : «  Aujourd’hui, c’est l’automne et moi, je ne peux pas le voir ».

Change ta stratégie quand les choses ne se passent pas bien et tu verras que ça ira mieux. L’automne flamboyant va jeter ses feux sur dame nature qui va bientôt s’endormir. Comme chaque année la brise mentale va faire son entrée. Fais-toi une réserve de couleurs pour les jours plus sombres quand les feuilles seront tombées.

 

 

 

LE 31/10/2008

 

Reçu le 10  septembre 2008 de Lily KHODARA cette très belle histoire  :

     

UN BIENFAIT N’EST JAMAIS PERDU

 

Bryan roulait sur une route quasi déserte lorsqu'il vit une Mercedes en panne sur le côté de la route. Malgré  la faible lumière du

jour, il aperçut la conductrice, une vieille dame qui avait l'air complètement affolée. Il s'arrêta devant la  Mercedes, sortit de sa vieille Pontiac et se dirigea vers la pauvre dame désespérée. Malgré le sourire qui se  dessinait sur son visage, il sentit combien elle était effrayée. Depuis le temps qu'elle attendait, personne ne s'était arrêté . Est- ce que ce jeune homme, allait-il lui faire du mal?

         Il pouvait voir qu'elle était effrayée, debout dans le froid, près de sa voiture. Elle grelottait, la peur tout autant que le froid lui donnaient la chair de poule . Bryan perçut sa peur.

Je vais vous aider madame, dit-il, allez-vous asseoir dans la voiture où il fait un peu plus chaud...  mon nom est Bryan Anderson' '.

Il constata qu'elle avait une crevaison; mais en raison de son âge avancé, elle ne pouvait rien faire toute seule. Bryan s'accroupit, regarda sous la voiture pour voir comment placer le cric, frotta ses mains pour se réchauffer les doigts et se mit au travail. Elle vit qu'en remplaçant le pneu, il s'était sali et blessé à une main.

Pendant qu' il resserrait les  écrous, elle abaissa sa vitre et St Louis et était juste de passage. Elle ne pouvait pas assez le remercier pour son aide.

 

      Bryan souriait en refermant le coffre. La dame lui demanda combien elle lui devait. Elle lui dit que son prix n'avait pas d'importance tellement avait eu peur, s'étant  imaginée des choses affreuses auxquelles elle avait été exposée s'il ne s'était pas arrêté.

Bryan lui répondit qu'il n'avait pas à être payé. Ceci n'était pas un travail pour lui. Il n'avait fait qu' aider quelqu'un dans le besoin.  Dieu seul savait combien de fois des gens l'avaient aidé dans le passé.  Il menait  son existence de cette manière et il ne lui venait pas à l' esprit d'agir autrement. Il lui  dit que si elle voulait vraiment le payer de retour, la prochaine fois qu'elle verrait quelqu'un dans le besoin, elle devrait donner à cette personne l'assistance nécessaire; et il conclut, 'Souvenez-vous de moi'

Il attendit qu'elle démarrât son véhicule pour s'en aller. C'était une belle journée froide, la vie n'était pas facile pour lui en ce moment , mais il se sentait bien en prenant le chemin de la maison .

A quelques kilomètres de là, la vieille dame trouva un restaurant. Elle y entra pour se réchauffer et prendre une bouchée avant de continuer sa route.

C'était un restaurant modeste devant lequel se trouvaient deux vieilles pompes à essence .La serveuse l'accueillit et lui offrit une serviette propre pour assécher ses cheveux mouillés. Elle avait un gentil sourire malgré le fait qu'elle était debout toute la journée.  La vieille dame remarqua que la serveuse était enceinte d'environ huit mois mais que ni l'effort ni le travail ne lui enlevaient sa bonne humeur.La vieille se demanda comment une personne avec si peu pouvait être si généreuse envers une étrangère.

Aussitôt, elle se souvint de Bryan. Quand elle  finit son repas, elle paya avec un billet de 100$ . La serveuse alla vite chercher la monnaie.Mais la dame se faufila dehors, quittant avant que la serveuse ne soit de retour. Lorsque la serveuse revint, elle se demanda où la cliente pouvait bien se trouver. Elle remarqua alors une note sur la serviette de table. Des

larmes coulèrent de ses yeux quand elle lut ce que la vieille lui avait écrit

« Vous ne me devez rien. Je suis aussi passée par là. Quelqu'un m'a aidée m'en sortir comme je le fais pour vous. Si vous voulez réellement me payer de retour, voici ce qu'il faut faire : ne permettez pas à cette chaîne d'amour de prendre fin avec vous.»

Et sous la serviette de table, il y avait quatre autres billets de 100 $. Eh bien ! Même s' il y avait des tables à nettoyer, des boîtes de sucre à remplir , la serveuse  décida de le faire un autre jour. Elle rentra chez elle,  et en se mettant au lit , elle pensa à l'argent et à ce que la vieille lui avait écrit. Comment la dame aurait–elle pu savoir qu'elle et son mari en avaient besoin ? Avec un bébé le mois suivant, cela s'annonçait très dur. Elle savait combien son mari était inquiet et en se glissant près de lui, elle lui donna un doux baiser et chuchota  doucement à son oreille :

      « Tout ira bien. Je t 'aime, Bryan Anderson. »

Il y a un vieux dicton qui dit « UN BIENFAIT N'EST JAMAIS PERDU , les mains ouvertes finissent par attraper

Aujourd'hui, je vous envoie cette histoire. Je vous prie de la faire circuler. .. Permettez que cette lumière brille. Ne la supprimez pas !S'il vous plaît, passez- la à un ami. Les bons amis sont comme des étoiles… Vous ne les voyez pas toujours. Mais vous savez qu'ils sont toujours là. ..

 

BONNE JOURNÉE À VOUS TOUS !

 

 

 

Reçu le 20 septembre 2008 de Madame Mimi de CASTRO :

                                                                                                                              

RECETTE POUR UNE ANNÉE NOUVELLE

Prendre 12 mois complets,
Les nettoyer de tout ressentiment, haine et jalousie
Pour les rendre aussi frais et propres que possible.
Maintenant couper chaque mois
en tranches de 28, 30 ou 31 morceaux,
Puis, tout doucement, incorporer dans chaque journée,
Un zeste de courage... une pincée de confiance...
une cuillère de patience... une louche de travail...
Mélanger le tout avec de généreuses portions
d'espoir, de fidélité, de générosité et de douceur.
Assaisonner le tout avec un soupçon de rêves,
une bolée de rires et une pleine tasse de bonne humeur.
Verser maintenant la recette dans un grand bol d'amour
Et pour terminer...

Décorer avec un sourire... Servir avec tendresse...
Maintenant vous avez 365 jours pour la savourer
avec Amour et délicatesse...

Bonne et Heureuse Année !

 

 

 

De Madame Anne KERBYSON :

Me and My Father

أنا وابي



وأنا عمري 4 أعوام : أبي هو الأفضل
When I was 4 Yrs Old : My father is THE BEST 

وأنا عمري 6 أعوام : أبي يعرف كل الناس
When I was 6 Yrs Old : My father seems to know everyone

وأنا عمري 10 أعوام : أبي ممتاز ولكن خلقه ضيق
When I was 10 Yrs Old : My father is excellent but he is short tempered 

وأنا عمري 12عاما : أبي كان لطيفا عندما كنت صغيرا
When I was 12 Yrs Old : My father was nice when I was little 

وأنا عمري 14 عاما : أبي بدأ يكون حساسا جدا
When I was 14 Yrs Old : My father started being too sensitive 

وأنا عمري 16 عاما : أبي لا يمكن أن يتماشى مع العصر الحالي
When I was 16 Yrs Old : My father can't keep up with modern time 

وأنا عمري 18 عاما : أبي ومع مرور كل يوم يبدو كأنه أكثر حدة
When I was 18 Yrs Old : My father is getting less tolerant as the days pass by 

وأنا عمري 20 عاما : من الصعب جدا أن أسامح أبي ، أستغرب كيف استطاعت أمي أن تتحمله
When I was 20 Yrs Old : It is too hard to forgive my father, how could my Mum stand him all these years 

وأنا عمري 25 عاما : أبي يعترض على كل موضوع
When I was 25 Yrs Old : My father seems to be objecting to everything I do 

وأنا عمري 30 عاما : من الصعب جدا أن أتفق مع أبى ، هل ياترى تعب جدي من أبي عندما كان شابا
When I was 30 Yrs Old: It's very difficult to be in agreement with my father, I wonder if my Grandfather was troubled by my father when he was a youth 

وأنا عمري 40 عاما: أبي رباني في هذه الحياة مع كثير من الضوابط، ولابد أن أفعل نفس الشيء
When I was 40 Yrs Old: My father brought me up with a lot of discipline, I must do the same 

وأنا عمري 45 عاما : أنا محتار ، كيف أستطاع أبي أن يربينا جميعا
When I was 45 Yrs Old: I am puzzled, how did my father manage to raise all of us 

وأنا عمري 50 عاما: من الصعب التحكم في أطفالي، كم تكبد أبي من عناء لأجل أن يربينا ويحافظ علينا
When I was 50 Yrs Old : It's rather difficult to control my kids, how much did my father suffer for the sake of upbringing and protecting us 

وأنا عمري 55 عاما: أبي كان ذا نظرة بعيدة وخطط لعدة أشياء لنا ، أبي كان مميزا ولطيفا.
When I was 55 Yrs Old: My father was far looking and had wide plans for us, he was gentle and outstanding. 

وأنا عمري 60 عاما: أبي هو الأفضل
When I became 60 Yrs Old: My father is THE BEST 

جميع ما سبق إحتاج إلى 56 عاما لإنهاء الدورة كاملة ليعود إلى نقطة البدء الأولى عند الـ 4 أعوام .
Note that it took 56 Yrs to complete the cycle and return to the starting point 'My father is THE BEST' ! 

فلنحسن إلى والدينا قبل أن يفوت الأوان ولندع الله أن يعاملنا أطفالنا أفضل مما كنا نعامل والدينا.
Let's be good to our parents before it's too late and pray to Allaah that our own children will treat us even better than the way we treated our parents . 



LE 31/08/2008

 

 

Reçu le 26 mai 2008 de Monsieur Marc JAFFE :

 

This is worth reading through completion…

LIFE IS A GIFT... 
 
There was a blind girl who hated herself just because she was blind. 
She hated everyone, except her loving boyfriend. He was always there for her. 
 She said that if she could only see the world, she would marry her 
boyfriend. 
 One day, someone donated a pair of eyes to her and then she could see 
everything, including her boyfriend. 
 Her boyfriend asked her, "now that you can see the world - Will you marry me?" The girl was shocked when she saw that her boyfriend was blind too, and refused to marry him. 
Her boyfriend walked away in tears, and later wrote a letter to her saying. 
"Just take care of my eyes dear." 
This is how the human brain changes when the status has changed. Only few remember what life was before, and who has always been there even in the most painful situations. 
                                                LIFE IS A GIFT… 
 
Today before you think of saying an unkind word - Think of someone who can't speak. 
Before you complain about the taste of your food - Think of someone who has nothing to eat. 
Before you complain about your husband or wife - Think of someone who's crying out to God for a companion. 
Today before you complain about life - Think of someone who went too early to heaven. 
Before you complain about your children - Think of someone who desires children but they're barren. 
Before you argue about your dirty house that someone didn't clean or 
sweep - Think of the people who are living in the streets. 
Before whining about the distance you drive - Think of someone who walks the same distance with the ir feet. 
And when you are tired and complain about your job - Think of the 
unemployed, the disabled and those who wished they had your job. 
But before you think of pointing the finger or condemning another - Remember that not one of us is without sin and we all answer to one maker. 
And when depressing thoughts seem to get you down - Put a smile on your face and thank God you're alive and still around. 
Life is a gift, Live it, Enjoy it, Celebrate it, And fulfill it As if you >are just about to face your Maker. 
So just be thankful that you are alive and well....whoever...whatever....wherever .... Whenever.... and however you are now...just being thankful.... for you are a part of His Great Plan! 
Think of "A Faithful friend" who is a strong defense and....
whoever has 
found, one has found a treasure.

-o-o-o-o-o-o-o

     

TRADUIT DE L’ANGLAIS par  Monsieur Marc Jaffé -                                                                        

LA VIE EST UN CADEAU...

                                                Ca vaut la peine de lire jusqu'au bout.

Il y avait une jeune fille aveugle qui se haïssait rien que parce qu'elle était aveugle. Elle haïssait tout le monde excepté son cher petit ami qui l'aimait et était toujours là pour elle. Elle disait que si seulement elle pouvait voir le monde elle se marierait avec son petit ami. Un jour, quelqu'un lui donna une paire d'yeux et elle put voir le monde entier, y compris son petit ami. Son petit ami alors lui demanda :" A présent que tu peux voir le monde, est-ce que tu vas te marier avec moi ? ". La jeune fille fut choquée lorsqu'elle vit que son petit  ami était aussi aveugle et refusa de se marier avec lui .Son petit ami s'en alla en larmes et plus tard il lui écrivit une lettre en disant :" Prends  seulement  soin de mes yeux , ma chérie. "  C’est ainsi que le cerveau  humain change lorsque la situation a changé. Rares sont ceux qui se  rappellent ce que la vie était auparavant et de ceux qui étaient toujours là pour eux dans les pires moments.

LA VIE EST UN CADEAU...

Aujourd'hui avant même de penser à dire quelque chose de méchant, pensez a quelqu'un qui ne peut pas parler, un muet.

Avant de vous plaindre du goût de votre manger, pensez a quelqu'un qui n'a rien à manger.

Avant de vous plaindre de votre mari ou de femme, pensez a quelqu'un qui implore Dieu pour avoir un compagnon.

Aujourd'hui avant de vous plaindre a propos de la vie, pensez a quelqu'un qui est parti au paradis bien avant son temps.

Avant de vous plaindre de vos enfants, pensez a quelqu'un qui désire avoir des enfants mais qui est stérile.

Avant de discuter à propos de votre maison qui est sale parce que quelqu'un n'a pas nettoyé ou balayé, pensez aux personnes qui vivent dans la rue.

Avant de rouspéter à propos de la distance pendant laquelle vous conduisez, pensez à quelqu'un qui doit couvrir la même distance, à pieds.

Et lorsque vous êtes fatigué et vous vous plaignez de votre travail,  pensez aux chômeurs , aux handicapés et à ceux qui aimeraient avoir votre travail.

Mais avant même de penser à montrer du doigt ou à blâmer quelqu'un, rappelez vous que personne de nous n'est sans péchés et que chacun de nous répond au même Seigneur.

Et lorsque des pensées déprimantes vous assaillent, souriez et remerciez Dieu d'être vivant et encore dans ce monde.

La vie est un cadeau,  Vivez la, Jouissez en , Célébrez la, et Remplissez la tout comme si vous étiez prêt à vous confronter à votre Seigneur. 

Alors,  soyez juste reconnaissant d'être vivant et donc....quiconque....quoi que ce soit....ou  que ce soit....quand que ce soit....et quel que ce soit comment vous êtes a présent.... tout juste appréciez le....parce que vous faites partie de Son Grand Plan !

Pensez que c’est  " Un ami Sincère" qui est une forte défense et ....quiconque l’ a trouve, a trouvé un trésor.

Auteur inconnu.

-

o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Reçu le 13 juillet 2008 de Monsieur Sabatino MUSTACCHI :

SO MANY GODS, SO MANY CREEDS,

SO MANY PATHS THAT TWIST AND WIND

WHILE JUST THE ART OF BEING KIND

IS ALL THIS SAD WORLD NEEDS.

 

(Merci, cher Ami, pour ces quatre vers simples et, en même temps merveilleux : il suffit d’y penser de temps en temps et de les appliquer pour améliorer les rapports entre les gens. A.P.)

 

 

LE 30/06/2008

GRAINS DE PHILOSOPHIE

Albert Pardo

 

SENEQUE, sous Rome, dans ses LETTRES  A LUCILIUS, en parlant de leur ami commun METRONAX, disait :

Les hommes peuvent être souvent, entre eux, équitables mais jamais envers les Dieux. Chaque jour nous gourmandons le Destin : pourquoi celui-ci a-t-il été emporté au milieu de sa course ? Comme s’il avait pu et dû vivre plus longtemps ! Pourquoi celui-là n’est-il pas emporté ? Pourquoi tire-t-il en longueur une vieillesse à charge aux autres autant qu’à lui-même ? Lequel des deux juges-tu plus raisonnable ? Obéir à la nature ou la voir t’obéir ? Et que t’importe de sortir tôt d’un lieu d’où il faudra, de toutes façons, sortir ? La durée de la vie ne doit pas nous soucier mais sa plénitude. Car, pour vivre longtemps, il est besoin du Destin.

Quel fruit cet octogénaire oisif tire-t-il de sa vie ? Il n’a pas VECU mais s’est attardé à vivre. Il n’est pas mort tard mais il a mis longtemps à mourir. Pourquoi cet autre est-il parti dans sa fleur ? Mais n’a-t-il pas rempli ses devoirs de bon citoyen, de bon ami, de bon fils ? Sur aucun point il n’a fait défaut. Sa vie a été complète. A moins que tu ne dises vivre au sens dont on le dit des arbres. Comme les choses précieuses elles ne se mesurent pas par leur étendue ni leur volume mais sur leur valeur. Une petite taille n’empêche pas un homme d’être complet. De même, dans une moindre mesure de temps, la vie peut être complète. L’âge n’est qu’un accessoire. Sa durée ne dépend de personne.

Il n’est pas nécessaire d’atteindre jusqu’à la dernière borne d’un chemin mais  à l’essentielle. Tout supplément n’aurait pas changé la qualité de la période semblable déjà vécue. Juges-tu le gladiateur plus heureux d’être tué à la moitié du spectacle qu’à la fin ? Penses-tu qu’il soit assez sottement épris de la vie pour mieux aimé être égorgé au vestiaire que sur l’arène ? C’est à peu près la même distance qui devance  les mortels. La mort ne fait pas d’exceptions. Celui qui reste suit de près qui est tombé. Une seconde ne peut nous soucier tant. Et qu’importe pendant combien de temps tu évites ce que tu ne peux éviter ?

Adieu, Lucilius…

 

Albert Pardo

 

 

LE 30/04/2008

La Charte des  Croulants

ou

L’Art de Garder ses Amis

 

Durant une quarantaine d’années, ma femme et moi avons voyagé en France et dans de nombreux pays  en compagnie de  ceux de nos amis qui pouvaient le faire. Souvent à six ou huit , il nous est arrivé d’être plus de douze. Et nous avons été confrontés, parfois,  à des situations  embarrassantes. J’ai écrit cette «charte» il y a quelque temps et je suis persuadé qu’elle rendra service car elle est toujours d’actualité.

 

Qu’est-ce qu’un Croulant ?

 

Un Croulant est une personne, homme ou femme, ayant dépassé la septantaine. A ce stade, il n’est pas encore tout à fait « cuit » et ses envies sont encore intactes mais ses possibilités sont de plus en plus défaillantes. En général, le Croulant fait partie de l’une de ces deux catégories :

 

-      LES SOLITAIRES : ceux qui aiment vivre seuls

-      Les GREGAIRES    : ceux qui aiment vivre en groupe.

 

Pour les premiers, il n’y a aucun problème : aimant vivre seuls, ils continueront paisiblement leur parcours habituel. C’est pour les grégaires que les choses risquent de se compliquer. Pourquoi ? C’est que, pour un septuagénaire grégaire,  une ou plusieurs choses changent fondamentalement plus ou moins en lui, suivant les individus mais, indubitablement pour tous, au moins ces trois-là : LE BESOIN DE LIBERTE,  LE CARACTERE et LA SANTE.

 

LE BESOIN DE LIBERTE : Ce besoin se manifeste souvent  durant les voyages et les sorties. A cause de défaillances physiques différentes et propres à chaque Croulant, nombreux sont ceux ou celles qui ne peuvent plus faire ce qui leur était très facile auparavant :, se promener longuement, veiller, danser , etc. Mais, pour qu’un voyage en compagnie d’amis procure le maximum de plaisir aux  uns et aux autres,  il ne faut jamais oublier cet adage : « la liberté des uns s’arrête là où la liberté des autres commence » Il faudrait donc que chacun ne ressente aucune contrainte envers  ses compagnons du moment : il prendra son petit déjeuner à l’heure qui lui plaira, il ira se promener avec eux ou non si cela lui fera  plaisir ou pas, il fera une petite ou une longue sieste ou pas du tout comme ça lui chante, il prendra ou non l’apéritif avec eux sans que cela soit une OBLIGATION. Le soir, après dîner, il assistera ou non aux animations et, enfin, il ira dormir à l’heure qu’il désirera sans que ses compagnons ne considèrent qu’il les fuit. Cette LIBERTE des uns envers les autres procurera à TOUS des grandes satisfactions et les incitera à répéter les occasions de sortir  et de voyager ensemble,

 

LE CARACTERE : Ah ! le caractère ! Là, c’est encore plus grave suivant les individus : avec l’âge, certains qui étaient jusqu’à gentils, serviables, patients et généreux, deviendront plus ou moins acariâtres, impatients, nerveux,  susceptibles, radins, soupe au lait, gloutons, etc. Alors, que faire ? Il n’y a pas cinquante méthodes, je n’en connais que d’eux : ou bien aller se réfugier dans LA SOLITUDE au risque de sombrer dans le chagrin et la dépression ou bien, si on a un caractère gai, amical, sociable,  FAIRE LES EFFORTS NECESSAIRES pour supporter, dans la mesure du possible, la personnalité de ceux que l’on désire continuer à fréquenter, sauf s’il y a abus. Dans ce dernier cas, ne pas hésiter à changer de partenaires, de compagnons  de sorties et de voyages ou même d’amis.

 

LA SANTE : il n’y a besoin d’aucune démonstration pour prouver que l’on n’a pas la même santé à 70 ans qu’à 40, 50 ou 60 ! Etant donné que chacun de nous EST ou SERA atteint, plus ou moins gravement, dans une ou plusieurs de ses facultés, le septuagénaire vivant en société se gardera d’accabler son entourage de ses plaintes et jérémiades concernant ses bobos et ce, afin   qu’il ne fasse pas le vide autour de lui.  Chacun aura à cœur de n’effleurer que délicatement ses propres problèmes de santé et de faire plus ou moins semblant de s’intéresser aux problèmes de santé des autres SI  il a la patience d’écouter et la résistance morale de  supporter cela. Dans le cas contraire, on  fera tout son possible de s’esquiver d’une façon élégante afin de ne pas blesser la personne qui l’accable de ses plaintes.

 

Encore une chose fondamentale : ne jamais  oublier que « les bons comptes font les bons amis » et donc, insister toujours pour payer sa quote-part ou bien, si cela n’est pas possible sur le moment, faire un geste équivalent à la première occasion.

                                                                            Albert Pardo

 

 

LE 29/02/2008

 

Reçu le 19.01.2008 de Monsieur Clement DASSA :

 

PEU IMPORTE LE VIN….

 

Il y a un proverbe qui dit : "Peu importe le vin, pourvu qu'on ait l'ivresse",mais je trouve ça vraiment idiot

 C'est comme si on disait : "Peu importe la femme, pourvu qu'on ait...le vertige de l'amour."

 D'ailleurs à ce propos, il m'est arrivé une histoire dont il faut que je vous donne, si je puis dire, la primeur.

 C'était il y a quelque temps, au bal de la Nuits Saint Georges que j'ai rencontré la petite Juliénas ,une fille drôlement Gigondas, un sacré beau Meursault, bien charpentée, et sous sa robe vermillon un grand cru classé, avec des arômes de cassis et de fraises des bois. On a dansé Anjou contre Anjou sur un Sylvaner à la mode et plus tard lorsque je lui ai proposé de l'emmener dans mon Châteauneuf-du-Pape, elle est devenue toute Croze-Hermitage !!!

 Le temps d'aller chercher un Chablis au vestiaire, de mettre un petit Corton dans ses cheveux, on est montés dans ma Banyuls et on a roulé jusqu'au matin.

 Ah quelle belle journée ! On s'est baladé Entre-deux-mers, il faisait beau, on a Vacqueyras sur la plage, les pieds dans l'eau Clairette, on s'est Pouilly-Fuissé dans les dunes et puis comme le Mercurey montait sérieusement et qu'on commençait à avoir les Côtes-Rôties on a décidé de rentrer.

 Mais voilà, en partant nous nous sommes retrouvé coincés dans les embouteillages, enfin les bouchons, quoi ! Je commençais à Minervois sérieusement et là, Julienas et moi, nous avons commencé à nous crêper le Chinon .D'un seul coup elle a claqué la Corbière de la Banyuls et elle est partie ! Je me suis retrouvé comme Macon. Quoi, me suis-je dit, elle s'est déjà Sauvignon avant même que j'ai le temps de la Sauternes !

 Mais je vous Jurançon, je l'avais dans la Pouillac, en effet, j'étais tellement Tokay que j'ai couru après elle dans Lalande et les Chardonnay pour la rattraper.

 Quand on s'est retrouvés, et que je l'ai vue devant moi en Gros-plant, je lui ai dit -" Ne fais pas ta Pomerol, et ne t'en va plus Gamay ! "

 En pleurant, elle est tombée dans mes bras en Madiran "Ne m'en veut pas, je voulais juste être sure que ton Saint-Amour était vraiment Sancerre".

 Depuis on ne s?est plus cuités.

 

 

 

LE 31/12/2007

 

Reçu de Madame Lily KHODARA le 9.11.07 :

GABRIEL GARCIA MARQUEZ

 

Gabriel Garcia Marquez a abandonné la vie publique pour des raisons de santé : cancer lymphatique. Dernièrement sa situation s'aggrave. Il a envoyé une lettre d'adieu à ses amis et, grâce à Internet, elle est diffusée à travers le réseau. Je vous recommande de la lire car cette courte lettre écrite par un des latino-américains les plus brillants des derniers temps est très touchante.

« Si pour un instant Dieu oubliait que je suis une marionnette en chiffon, qu'il m'offre un morceau de vie, je profiterais de ce temps le plus possible.
Je suppose que je ne dirais pas tout ce que je pense, mais en définitif je penserais tout ce que je dis.

Je donnerais une valeur aux choses, pas pour ce qu'elles valent, mais pour ce qu'elles signifient.
Je dormirais peu, je rêverais plus, je crois que chaque minute passée les yeux fermés représente soixante secondes en moi de lumière.
Je marcherais quand les autres s'arrêtent, je me réveillerais quand les autres dorment.
Si Dieu m'offrait un morceau de vie, je m'habillerais simplement, me déshabillerais sous le soleil, en laissant à nu non seulement mon corps, mais aussi mon âme.
Je prouverais aux hommes combien ils se trompent en pensant qu'on ne tombe plus amoureux en vieillissant et qui ne savent pas qu'on vieillit lorsqu'on cesse de tomber amoureux.
Je donnerais des ailes à un enfant, mais je le laisserais apprendre à voler seul.
J'enseignerais aux vieux que la mort ne vient pas avec l'âge, mais avec l'oubli.
J'ai appris tant de choses de vous, vous les hommes. J'ai appris que tout le monde veut vivre au sommet de la montagne, sans savoir que le véritable bonheur réside dans la manière de l'escalader.
J'ai appris que quand un nouveau né serre fort de son petit poing, pour la première fois, la main de son père, il le retient pour toujours.

J'ai appris qu'un homme n'a le droit d'en regarder un autre de haut que pour l'aider à se lever.
J'ai appris tant de choses de vous, malheureusement, elles ne me serviront plus à grand-chose, car lorsqu'on me rangera dans ce coffre, je serai malheureusement mort.

Dis toujours ce que tu sens, et fais ce que tu penses.
Si je savais que je te vois dormir pour la dernière fois, je t'embrasserais très fort et je prierais le Seigneur pour pouvoir être le gardien de ton
âme.
Si je savais que ce sont les dernières minutes où je te vois, je te dirais « je t'aime », sans présumer bêtement que tu le sais déjà.
Il y a toujours un lendemain et la vie nous donne une autre occasion de faire bien des choses, mais si jamais je me trompe et que je n'ai plus que ce jour, j'aimerais te dire combien je t'aime et que je ne t'oublierai jamais. Le lendemain n'est garanti à personne, qu'il soit jeune ou vieux.
Aujourd'hui peut être le dernier jour où tu vois ceux que tu aimes.
N'attends pas, fais-le aujourd'hui, car si demain ne vient pas, tu regretteras sûrement de n'avoir pas pris le temps d'un sourire, d'une caresse, d'un baiser, car tu étais trop occupé pour pouvoir faire plaisir.
Garde près de toi ceux que tu aimes, dis-leur à l'oreille combien tu as besoin d'eux, aime-les et traite-les bien, prends le temps de leur dire « je regrette », « pardonne-moi », « s'il te plaît », « merci » et tous les mots d'amour que tu connais. Personne ne se souviendra de toi pour tes pensées secrètes.
Demande au Seigneur la force et la sagesse de les exprimer. Montre à tes amis et aux êtres chers combien ils sont importants pour toi. »
Et la personne qui m'a envoyé ce texte, m'a dit que j'étais importante pour elle. Et vous savez quoi? cela m'a fait chaud au coeur...vraiment...

 

 

Reçu le 1er novembre 2007 de Monsieur Clément DASSA :

 

PROVERBES CHINOIS

Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire.

La loi est sage mais les hommes ne le sont pas.

Un frère est un ami qui a nous a été donné par la nature.

Un fils qui fait verser des larmes à sa mère peut seul les essuyer.

Le chemin du devoir est toujours proche mais l’homme le cherche loin de lui.

Gouverne-toi bien pour gouverner le monde.

Laisse toujours une petite place à l’erreur.

Le malheur n’entre guère que par la porte qu’on lui a ouverte.

Est sage celui qui connaît les autres.

Connaître son ignorance est la meilleure part de la connaissance.

Hier, Aujourd’hui, Demain, sont les trois jours de l’Homme.

Quand un homme est fou d’une femme, il n’y a qu’elle qui le puisse guérir de sa folie.

Etre Homme est facile, être UN HOMME est difficile.

Ne craignez pas d’être Lent, craignez seulement d’être à l’Arrêt.

On peut être intelligent toute sa vie et stupide en un instant.

Qui fait l’âne, ne doit pas s’étonner si les autres lui montent dessus.

Ne vous mettez pas en avant, mais ne restez pas en arrière.

Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos.

Point n’est besoin d’élever la voix quand on a raison.

Si vous ne voulez pas qu’on le sache, mieux vaut encore ne pas le faire.

 

 

 

 

LE 31/10/2007

 

UNE PENSEE

 

TOUT AGE PORTE SES FRUITS……..

                   IL FAUT SAVOIR LES CUEILLIR.

 

 

 

 

Reçu de Madame Josette GUIGUI et de Monsieur Isaac Schalom :

 

Le Test des Trois Passoires

 

Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute réputation de sagesse.

Quelqu’un vint un jour trouver le grand philosophe et lui dit : « Sais-tu ce que je viens d’apprendre sur ton ami ? 

Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j’aimerais te faire passer un test, celui des trois passoires.

 -- Les trois passoires ?

Mais oui, reprit Socrate. Avant de raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l’on aimerait dire. C’est ce que j’appelle le test des trois passoires. La première passoire est celle de la vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ?

Non. J’en ai seulement entendu parler…

Très bien. Tu ne sais donc pas si c’est la vérité. Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. Ce que tu veux m’apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bien ?

 -- Ah non ! Au contraire.

 -- Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n’es même pas certain si elles sont vraies. Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste une passoire, celle de l’utilité. Est-il utile que tu m’apprennes ce que mon ami aurait fait ? 

Non. Pas vraiment.

 -- Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n’est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ? »

 

 

 

…et cette Réflexion de Platon

reçue de Madame Josette GUIGUI

 

 

« Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au-dessus d’eux, l’autorité de rien et de personne, alors c’est là, en toute beauté et en toute jeunesse le début de la tyrannie

 

 

De Nina & Samy COHENCA :

On a demandé au Dalai Lama….

« Qu’est ce qui vous surprend le plus dans l’humanité ? »

Il a répondu :

« Les hommes….Parce qu’ils perdent la santé pour accumuler de l’argent,

ensuite ils perdent de l’argent pour retrouver la santé.

Et à penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte

qu’ils finissent par non vivre ni le présent ni le futur.

Ils vivent comme s'ils n’allaient jamais mourir…..

…Et meurent comme s'ils n’avaient jamais vécu.

 

LE 31/08/2007

 

 

De Monsieur Carlo EZBAN

ETRE  JEUNE

 

     La jeunesse n’est pas une période de la vie, elle est un état d’esprit, un effet de la volonté, une qualité de l’imagination, une intensité émotive, une victoire du courage sur la timidité, du goût de l’aventure sur l’amour du confort.

        

On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années, on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal. Les années rident la peau, renoncer à son idéal, ride l’âme. Les réoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre et devenir poussière avant la mort.

        

Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille. Il demande comme l’enfant insatiable : et après ? Il défie les évènements et trouve de la joie au jeu de la vie.

        

Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi veux que votre doute. Aussi jeune que votre confiance en vous-même. Aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que votre abattement.

        

Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif. Réceptif à ce qui est beau, bon, grand. Réceptif aux messages de la nature, de l’homme et de l’infini.

Si un jour, votre cœur allait être mordu par la pessimisme et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard.

 

                                                                  Général Mac Arthur 1945

 

 

 

 

DE L’EXPERIENCE VECUE…

 

 

Conduis ta vie comme si tu allais mourir DEMAIN  et, en même temps, JAMAIS.

 

Sois indulgent envers l’imbécile, le fourbe et le voleur : ce n’est pas de leur faute, c’est leur nature profonde.

 

Ne cherche pas à convaincre l’entêté : tu y perdras ton latin et il ne te sera pas reconnaissant ; au contraire !

 

Ne collectionne pas les adages et les proverbes rien que pour le plaisir ; choisis-en un chaque jour et essayes de l’appliquer.

 

Attelles-toi en premier et sans tergiverser à la tâche LA PLUS DIFFICILE ou la

PLUS ENNUYEUSE : tu en seras débarrassé puis, HEUREUX, TRES HEUREUX !

 

Pourquoi es-tu si dur avec ceux qui ont les mêmes défauts et les mêmes vices, que toi ?

 

A.P

 

 

 

LE 30/06/2007

 

De Messieurs  Marc et Raymond REVAH :

A VOUS DE JUGER : L’EAU

Un verre d'eau enlève la sensation de faim pendant la nuit pour presque 100% des personnes au régime comme le démontre l'université de Washington. Le manque d'eau est le facteur N°1 de la cause de fatigue pendant la journée. Des études préalables indiquent que de 8 à 10 verres d'eau par jour pourraient soulager significativement les douleurs de dos et d'articulations pour 80% des personnes qui souffrent de ces maux..

Une simple réduction de 2% d'eau dans le corps humain peut provoquer une incohérence de la mémoire à court terme, des problèmes avec les mathématiques et une difficulté de concentration devant un ordinateur ou une page imprimée. Boire 5 verres d'eau par jour :

- Diminue le risque de cancer du colon de 45 %

- Peut diminuer le risque de cancer du sein de 79% et de 50% la probabilité de cancer à la vessie.

Bois-tu la quantité d'eau que tu devrais, tous les jours ?

 

 

De Madame Nell LEV

BEL EXERCICE DE LANGUE FRANCAISE.

 

 

« Myope comme une taupe », « Rusé comme un renard »... Les termes  empruntés au monde animal sont partout.La preuve: Que vous soyez fier comme un coq fortcomme un boeuf, têtu comme une mule, malin comme un singe, chaud lapin ou fine mouche, vous êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche.

Vous arrivez frais comme un gardon à votre premierrendez-vous et là, pas un chat! Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Le type qui vous a obtenu ce rancard, avec lequel vous êtes copain comme cochon, vous l'a certifié: Cette poule a du chien, Une vraie panthère !

C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour.Mais toutde même, elle vous traite comme un chien.   Vous êtes prêt à gueuler comme un putois, mais non, elle arrive. Bon, dix minutes de retard, il n'y apas de quoi casser trois pattes à un canard.  Sauf que la fameuse souris, avec sa crinière de lion est en fait plate comme une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine.

Vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par noyer le poisson.   Vous avez le bourdon, envie de verser des larmes de crocodile.

Vous finissez par vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. Vous avez beau être doux comme un agneau, faut tout de même pas vous prendre pour un pigeon !

 

 

 

De Messieurs Sabatino MUSTACCHI et de Raymond REVAH :

MERCI DE FAIRE SUIVRE !

 Pour une fois que c'est un truc intelligent à faire suivre !!!!!

Sujet : Cela peut servir ! Prenez quelques minutes pour lire ceci et peut-être sauver une vie ..... et contribuer à faire connaître le danger que représente l'Accident Vasculaire Cérébral.

Lors d'un barbecue, Julie trébuche et fait une chute. Elle affirme aux autres invités qu'elle va bien et qu'elle s'est accrochée les pieds à cause de ses nouveaux souliers. Les amis l'aident à s'asseoir et lui apportent une nouvelle assiette. Même si elle a l'air un peu secouée, Julie profite joyeusement du reste de l'après-midi... Plus tard le mari de Julie téléphone à tous leurs amis pour dire que sa femme a été transportée à l'hôpital....Julie meurt à 18h.

Elle avait eu un Accident Vasculaire Cérébral lors du barbecue. Si les personnes présentes avaient été en mesure d'identifier les signes d'un tel accident, Julie aurait pu être sauvée.

Un neurologue dit que s'il peut atteindre une victime d'AVC dans les trois heures, il peut renverser entièrement les effets de la crise. Il affirme que le plus difficile est que l'AVC soit identifié, diagnostiqué et que le patient soit vu en moins de trois heures par un médecin

 Reconnaître les symptômes d'un AVC : Poser trois questions très simples à la personne en crise :

1. * Lui demander de SOURIRE.

2. * Lui demander de lever LES DEUX BRAS.

3. * Lui demander de PRONONCER UNE PHRASE TRÈS SIMPLE (ex. Le soleil est magnifique aujourd'hui).

Si elle a de la difficulté à exécuter l'une de ces tâches, appelez une ambulance et décrivez les symptômes au répartiteur.

Selon un cardiologue, si tous ceux qui reçoivent cet e-mail l'envoient à leur tour à 10 personnes, une vie au moins pourrait être sauvée.

Merci à toutes et à tous

 

REPONSE A UNE CORRESPONDANTE

qui m’accable de jérémiades en partageant avec moi ses problèmes

 

Chère  Amie,

…..Pour votre voisin de table originaire de Gerardmer, je sais ce que c’est : ma femme et moi avons été souvent confrontés à ce genre de problème dans la vie courante et durant nos séjours dans les clubs de vacances.

Pendant longtemps nous avons été des auditeurs attentionnés et des conseilleurs pour nos amis et relations et même des arbitres amicaux entre mari et femme. Maintenant, nous ne le supportons plus car cela nous épuise moralement, physiquement et intellectuellement . Il arrive un moment où ON NE PEUT PLUS (et alors ON NE DOIT PLUS) prendre en charge ou endosser les problèmes de qui que ce soit.

Un moyen élégant  de fuir ce genre d’embûche est de dire à son interlocuteur, très gentiment dès le début : ‘’excusez-moi, je ne me sens pas bien, je suis un peu oppressé, je dois aller m’aérer un peu ! ‘’ C’est très dur de se FORCER à devenir égoïste lorsque on ne l’est pas de nature mais, à notre âge, c’est de la LEGITIME DEFENSE !

Je vais vous faire un aveu : tous les matins, lorsque je me lève, je pense à tous les plaisirs que je pourrais m’octroyer dans cette JOURNEE-CI ! HIER est passé, DEMAIN n’est pas encore né et je n’ai qu’AUJOURD’HUI seulement pour profiter de la vie. Ces plaisirs ne sont pas seulement matériels ou alimentaires : cela va de l’écriture d’une lettre à un ami ou à un parent, ou un coup de fil, jusqu’à la lecture d’un passage d’un livre en passant par une visite qu’on rend ou que l’on reçoit ou encore en achetant un petit cadeau à quelqu’un. JE REFUSE de me laisser démolir le moral par les inondations au Bengladesh, les tueries des Serbes et Croates, la famine en Ethiopie et les catastrophes ferroviaires et aériennes !

Rien qu’en écoutant ces nouvelles au poste ou en les regardant à la télé, ma tension saute au plafond  et mon coeur bat la chamade. A qui cela va-t-il profiter si je tombe raide mort à force de penser à tous les malheurs de l’humanité ou bien, encore pire, de tomber paralysé ou comateux ? J’ai un budget de bienfaisance : C’EST TOUT CE QUE JE PEUX FAIRE, MAINTENANT, A MON AGE ET DANS MON ETAT DE SANTE ACTUEL !

                                                                                                       A.P.

 

 

V I V R E

 

JE VEUX VIVRE PLEINEMENT CHAQUE JOUR,

COMME LE PREMIER ET LE DERNIER

ENCORE POUVOIR ECRIRE DES ODES A L'AMOUR

ET VOIR CHAQUE MATIN LE SOLEIL SE LEVER.

ETRE COMPLICE DE LA NUIT ET DES ETOILES,

ECOUTER LE SILENCE ET MEDITER

DESSINER L'AMOUR SUR UNE TOILE

ETRE HEUREUX ET TOUT PARTAGER.

LA VIE EST TROP COURTE POUR QU'ON LA GASPILLE,

CAR ON NE PEUT VIVRE MILLE ANS

ET ON NE PEUT ARRETER LES AIGUILLES

MAIS ON PEUT LAISSER UNE EMPREINTE DANS LE TEMPS.

MOI, J'AI LE RESPECT DE MA PLANETE,

J'AIME LES OISEAUX, LES ENFANTS ET LES FLEURS

UN ARC-EN-CIEL ECLAIRE MA TETE

ET JE FAIS DE CHAQUE JOUR UN HYMNE AU BONHEUR

 

Auteur Inconnu

 

 

LE 30/04/2007

 

De Madame Patricia TOUBIANA :

 

UN CONSEIL UTILE :

 

Chers tous !
 
Je voulais partager ceci avec vous :
Les ambulanciers ont remarqué que très souvent lors d'accidents de la route, les blessés ont un téléphone portable sur eux. Toutefois, lors des interventions, on ne sait pas qui contacter de ces listes interminables de contacts.
Les ambulanciers ont donc lancé l'idée que chacun rentre dans sa liste des contacts, la personne à contacter en cas d'urgence sous le même pseudonyme.
Le pseudonyme internationalement connu est ICE (= In Case of Emergency). C'est sous ce nom qu'il faudrait entrer le numéro de la personne à contacter, utilisable par les ambulanciers, la police, les pompiers ou les premiers secours.
Lorsque plusieurs personnes doivent être contactées on peut utiliser : ICE1, ICE2, ICE3, etc.
Facile à faire, ne coûte rien et peut apporter beaucoup. Si vous pensez que c'est bien, faites passer le message afin que ça rentre dans les mœurs.
Bonne journée

 

 

De Madame Lily KHODARA :

TODAY’S “ MESSAGE OF THE DAY “  is :

  Life is short, Break the rules, Forgive quickly, Kiss slowly,
  Love truly, Laugh  uncontrollably, And never regret anything that
  made you smile.

 

Send (in a new email) to all the people you love and don't want to
  lose in 2007, even me.... If you get 3 back, you are a great friend.

     

 

De Madame Liliane SALTIEL :

LES  JUIFS D’EGYPTE

des Arabes à Nasser

Par Alec Nacamuli

Paru dans «!La Méditerranée des Juifs!»

sous la direction de Paul Balta, Catherine Dana, Regine Dhoquois-Cohen-

L'Harmattan, Paris 2003.

 

LES SAVANTS JUIFS SOUS LES FATIMIDES ET SALADIN

C’est en 642 qu’Amr Ibn Al’As, un des compagnons du Prophète, acheva la conquête de l’Égypte par la prise d’Alexandrie et la fondation d’une nouvelle capitale Fostat. Bien que cette période soit relativement mal connue, il est certain qu’il instaura le régime de la “Dhimma” qui offrait protection aux

infidèles, contre paiement de taxes et un statut de citoyen de second classe marqué par des restrictions socio-professsionelles et l’obligation du port de signes distinctifs, voire discriminatoires. Redevances fiscales et règles répressives seront appliquées avec plus ou moins de rigueur par les gouverneurs, pachas et autres beys qui se succèderont pendant les siècles à venir. Du point de vue de la pensée juive, la personalité marquante de cette époque fut Saadia ben Joseph, né au Fayoum (l’ancienne Pythom de la Haggadah), futur Gaon de l’Académie de Soura; outre ses contributions philosophiques et liturgiques, il influença profondément les juifs arabophones par ses traductions de la Torah et du Siddur en arabe.

En 969 s’implanta la dynastie Fatimide, venue de Mahdiya, capitale qu’elle avait fondé en 911 dans l’Ifriqiya (l’actuelle Tunisie) et se réclamant de Fatima, la fille du Prophète. Deux Juifs convertis à l’Islam exercèrent une forte influence: Paltiel, médecin et conseiller du calife al-Mu’izz fondateur de la nouvelle capitale Le Caire, et Ya’Kub Ibn Killis qui devint son vizir et fut chargé de la réforme administrative et de la collecte des impôts. La période Fatimide fut caracterisée par une prospérité industrielle et l’expansion du commerce extérieur dont bénéficièrent les juifs qui acquirent une position prépondérante grâce à leurs relations avec les communautés juives dans d’autres pays. Ceci favorisa l’éclosion d’une classe bourgeoise juive à côté des artisans citadins et des agriculteurs en province. La communauté juive, arabophone et bien assimilée à la population locale, était régie par un Nagid (chef communautaire). Cette prospérité fut interrompue pendant le règne du “calife fou” al-Hakim qui instaura un régime répressif envers les dhimmis et qui, en 1011, força les juifs du Caire à se concentrer dans le Har’t el Yahoud, le quartier juif. Bien que cet événement anticipe le ghetto de Venise d’environ quatre siècles, il restera unique dans l’histoire du judaïsme égyptien et la restriction fut levée peu après sa mort.

Il est imposssible de parler de cette période sans mentioner la Gueniza du Caire (ou plus précisément de Fostat) datant de 882 et découverte par Salomon Schechter en 1896. Outre une partie perdue de la version hébraïque de l’Ecclésiaste, des extraits de la traduction grecque de la Bible par Aquila et des fragments des prêtres Zadokiens, elle comprend également une collection inestimable de lettres et documents qui nous permettent de retracer l’histoire, et la vie quotidienne de la communauté juive, surtout du Xème au XIIème siècles.

Le dernier calife Fatimide fut déposé par son vizir d’origine kurde, Salah-el-Din el Ayyoubi (Saladin) en 1171 qui se proclama caliphe et fonda la dynastie des

Ayyoubides, qui restaura le sunnisme. La vie communautaire juive fut relativement peu affectée ce qui encouragea plusieurs savants juifs à s’établir en Egypte dont Anatoli ben Joseph Dayyan d’Alexandrie et l’illustre Maïmonide qui devint médecin de la cour et conseiller priviliégé, bien qu’il n’assuma aucun titre officiel. Il vécut au Caire jusqu’à sa mort en 1204 et y écrivit ses oeuvres les plus importantes: le Michné Torah et le Guide des Perplexes rédigé en arabe.

LA DOMINATION OTTOMANE

Les Mamelouks formaient une milice d’élite recrutée parmi les esclaves blancs (Grecs, Turcs, Slaves et Tcherkasses). En 1250 leur chef exécuta le derniersultan ayyoubide dont il épousa la belle-mère et s’installa sur le trône. Périodenoire pour tous les dhimmis et l’Égypte en général qui souffrit de l’instabilitécausée par les luttes de successions. Le sultan turc Sélim I profita de cet affaiblissement pour conquérir l’Égypte en 1517, tout en conservant les Mamelouks comme gouverneurs de province avec le titre de Bey, sous l’autorité du Pacha nommé par Constantinople. Les Ottomans continuèrent leur tradition d’accueillir les juifs expulsés d’Espagne; ceux d’Égypte se divisèrent en trois communautés: ha-Mostarabim (Egyptiens autochtones), ha-Maghrebim (Nord-Africains), et ha-Sefaradim (Espagnols), chacune avec ses structures indépendantes (tribunaux, institutions charitables). Les Ottomans nommèrent également des juifs aux fonctions de directeur de l’Hôtel des Monnaies (Chélébi) et de collecteur d’impôts, ce qui ne manqua pas de leur attirer la haine de la population égyptienne. Plusieurs furent lynchés lors d’émeutes (Youssef el-Yahoudi et Léon Zaphir) et la fête du Pourim Misraïm était célébrée par les Cairotes en mémoire du sauvetage in extremis du chélébi Léon de Castro.

L’Égypte sombra peu à peu dans l’anarchie pendant le XVIIIe siècle, ce dont les juifs souffrirent. Les Mamelouks reprirent le pouvoir à la suite de la révolte d’Ali Bey contre la Sublime Porte en 1766. C’est donc une Égypte affaiblie qui devint la proie facile de Bonaparte qui débarqua à Alexandrie en 1798. Il était accompagné de savants et d’historiens qui travaillèrent à la “Découverte de l’Egypte”, monumentale nomenclature archéologique et naturaliste, sans oublier Champollion qui déchiffra les hiéroglyphes permettant la reconstitution de l’histoire du pays. Les Français entreprirent également une réforme administrative complète. Les juifs n’en bénéficièrent malheureusement pas dans l’immédiat: de lourdes taxes furent imposées par Bonaparte qui ordonna également la destruction de la synagogue Eliahou Hanabi à Alexandrie.

MOHAMED ALI ENCOURAGE L’IMMIGRATION JUIVE

Du désordre qui suivit le retrait de la France face à l’Angleterre et la Turquie émergea la figure de Mohamed Ali, Mamelouk d’origine albanaise qui fut nommé Pacha en 1805. Il massacra les Mamelouks rivaux en les attirant dans un guet-apens à la Citadelle du Caire, prit le titre de vice-roi, se distança d’Istanbul en se contentant de payer les redevances et fonda une dynastie qui règnera jusqu’à l’abdication du roi Farouk en 1952. Notons au passage qu’en 1835 Sir Moses Montefiore, le philanthrope anglais, entama sans succès des négociations avec lui pour établir un État juif tampon entre l’Égypte et la Turquie. Père de l’Égypte moderne, Mohamed Ali entreprit un travail de modernisation du pays et d’expansion du commerce extérieur qui furent poursuivis par ses successeurs Saïd et Ismaïl, culminant en l’ouverture du Canal de Suez en 1869. L’immigration juive fut encouragée, le statut de Dhimmis aboli et la communauté qui comptait 6 000 âmes au milieu du siècle en dénombra 30 000 vers 1890 grâce à l’arrivée de juifs du Moyen-Orient (Syrie, Irak), du bassin méditerranéen (Italie, Grèce, Turquie, Afrique du Nord) et d’Europe Occidentale.

La dette extérieure croissante de l’Égypte inquiétait cependant les puissances occidentales. Prétextant la révolte nationaliste d’Orabi Pacha en 1882 qui coûta la vie à quelques Européens, les Anglais occupèrent le pays militairement. Un régime de Capitulations fut instauré sous lequel les étrangers étaient jugés par leurs tribunaux consulaires ou des Tribunaux Mixtes. L’expansion de l’économie s’accéléra, nourrie surtout par l’exportation cotonnière, le coton égyptien à fibre longue étant particulièrement apprécié.

UNE PARTICIPATION TRÈS ACTIVE À LA VIE ECONOMIQUE ET POLITIQUE DU PAYS

Cette période marque, pour les juifs d’Égypte, !le début de l’âge d’or qui devait durer jusqu’à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. Aux juifs

ashkénazes expulsés de Palestine par les Turcs durant la Grande Guerre étaient venus s’ajouter des juifs de Salonique et de Smyrne (l’actuelle Izmir) lors du démembrement de l’Empire ottoman. En 1917, selon le recensement officiel, la communauté comptait 60 000 âmes, réparties entre Le Caire (29 000), Alexandrie (25 000) et le Delta (4 000). Ethniquement on distinguait quatre groupes: trois “rabbanites” (Orientaux, Sépharades et Ashkénazes) et les Karaïtes. Les juifs indigènes se concentraient dans le Har’t el Yahoud et le Delta. Le terme “Sépharades” était utilisé (à tort) pour désigner à la fois les authentiques Sépharades et les Juifs du Moyen-Orient qui constituaient les couches moyenne et supérieure de la communauté, auxquels se joignirent plus tard les Ashkénazes. Les Karaïtes maintenaient leur indépendance, dictée par leur rite: ils ne reconnaissaient que le Pentateuque, ignoraient la loi orale, ne fêtaient en conséquence pas Hanoukah et rejetaient Tefilim et Mezuzot comme amulettes.

Jusqu’à la moitié du XIXe siècle, les juifs exerçaient surtout les activités délaissées par les musulmans: artisanat, orfèvrerie, commerce, prêteurs contre intérêts ou sur gages. Leur niveau d’éducation supérieur et leur connaissance des langues, s’ajoutant à l’expérience acquise dans leur pays d’origine, leur permit de contribuer d’une manière significative, certainement disproportionnée par rapport à leur nombre, au développement économique de l’Égypte. Au-delà de l’import-export, domaine dans lequel ils excellaient depuis plusieurs siècles, nous retrouvons une prépondérance juive dans pratiquement tous les domaines d’activités:

Banque et finance: de Menasce, Mosseri, Suarès, Rollo, Zilkha Grands magasins: Adès, Ben Zion, Chemla, Cicurel, Gattegno, Hannaux, Salon Vert, Oreco. Il est intéressant à noter que ces «!brands!» demeurent aujourd’hui: qu’elle n’a pas été ma surprise de voir Ben Zion (!) affiché en lettres géantes au-dessus d’un magasin bondé à Assouan lors de mon dernier voyage en 2000.

Bourse et courtage: Argi, Levy, Messiqua, Rossano; les Bourses des Valeurs et la Bourse du Coton fermaient lors des fêtes Juives. Industrie: égrenage du coton et industrie textile (Arrripol, el-Dereyi, Hassan, Salama, Toriel), sucreries de Kom-Ombo (Naus, Harari) Urbanisme et transports: Politi, Smouha (l’idyllique Smouha City, cité-jardin, à Alexandrie), Suarès (tramways, chemins de fer et autobus) sans compter tous ceux qui ne peuvent être mentionnés ici faute de place. La communauté

juive égyptienne était reconnue comme la plus prospère du Moyen-Orient. Forte contribution également au développement artistique et culturel: pièces de théâtre populaire de James Zaradel Sanoua et introduction du cinéma par Togo Mizrahi. Parmi les écrivains de langue française jouissant d’une réputation internationale citons Edmond Jabès et Carlo Suarès.

Plus surprenante peut-être est l’intégration de la communauté juive dans la vie politique égyptienne et surtout au sein des mouvements nationalistes militantspour l’indépendance. Le journaliste Victor Sanoua, plus connu sous son nom de plume Abou Naddara (l’homme aux lunettes), participa à la révolte d’Orabi Pacha en 1882. Après la Première Guerre Mondiale, nous retrouvons de nombreux juifs à côté de musulmans et de coptes parmi les dirigeants du Wafd, parti nationaliste de Saad Zaghloul Pacha: Felix Benzakein, Victor Sonsino et David Hazan, condamné à mort par contumace par les Anglais. L’avocat Léon de Castro, fondateur du journal wafdiste Al Horeyya, “La Liberté” et ami personnel de Saad Zaghloul, devint son ambassadeur itinérant en Europe.

L’Égypte accéda à l’indépendance en 1922 et le Sultan Fouad devint roi, les Anglais lui octroyant un statut de protectorat tout en conservant une présence militaire autour du Canal de Suez. Parmi les membres du premier cabinet présidé par Saad Zaghloul Pacha nous trouvons Joseph Aslan de Cattaouicomme Ministre des Finances. Ce dernier siégeait également aux côtés de Salvator Cicurel et de Sir Victor Harari aux Conseils d’administration de la Banque Nationale et de la Banque Misr, la plus importante banque commerciale. Le Grand Rabbin du Caire, Haïm Nahum Effendi, était Sénateur et rédigeait les discours du roi Fouad dont il était un des conseillers les plus écoutés. Notons par ailleurs que le roi assistait chaque année à l’office du Kol Nidrei la veille de Kippour à la Grande Synagogue du Caire. Ce tableau serait incomplet sans mentionner, à l’autre extrémité du spectre politique, les noms de Jacques Rosenthal, Hillel Schwartz et Henri Curiel comme membres fondateurs du parti communiste égyptien.

Nous pouvons donc dresser le tableau social suivant d’une communauté qui, selon le recensement officiel, comptait 62 916 âmes en 1937, mais que l’on estimait plus proche des 80 000:

Une couche “aristocratique” de banquiers, grands industriels, hommes politiques et propriétaires terriens

Une classe moyenne relativement prospère de commerçants, hommes d’affaires, employés, professions libérales et intellectuels

Un soubassement de juifs indigènes ou orientaux, assimilés à la population égyptienne et concentrés dans le Har’t el Yahoud ou ils vivaient, assistés par la charité communautaire, aux marges de la pauvreté.

La vie religieuse et communautaire était très active. Le Caire comptait près de 25 synagogues, dont la Grande Synagogue de la rue Adly et celles de Ben Ezra,célèbre par la Gueniza, et de Rabbi Moshé (Maïmonide). Alexandrie en avait 12: indépendamment d’une nostalgie inévitable, je considère la Grande Synagogue Eliahou Hanabi, que j’ai revisitée, comme la plus belle de celles que je connais. Je garde encore le souvenir des Sepher Tora entourés de bois recouverts de velours serti d’argent et couronnés par les Rimonim: les retirer avant la Lecture était une Mitzvah que les pères “achetaient” pour leurs enfants. Beaucoup de familles aisées entretenaient également des oratoires privés (Cattaoui, Mosseri, Charbit, etc.) Les juifs indigènes du Har’t el Yahoud respectaient généralement la Halakha plus scrupuleusement que les Sépharades, et le Jeûne du 9 Ab était davantage observé qu’en Europe aujourd’hui.

Le Rachat des Premiers Nés donnait lieu à de grandes fêtes de famille. Quand les garçons atteignaient leur majorité religieuse, mettre les Tephilin pour la première fois était considéré plus important que de monter à la Tora, et les réjouissances revêtaient un côté plus familial et intime que les festivités extravagantes qui marquent les Bar Mitzvah aujourd’hui. Les mariages se célébraient souvent dans la maison du Hattan (marié), précédés par la visite de la Kala (fiancée) à la Mikvah. Si la famille de la mariée donnait une dot, le marié souscrivait également une contre-dot, d’un montant généralement double, comme garantie en cas de décès ou de divorce à ses torts.

Les Communautés du Caire et d’Alexandrie opéraient indépendamment, avec le français comme langue officielle. En plus des activités religieuses, elles agissaient comme État Civil, enregistrant naissances, mariages et décès. Comme l’on pouvait s’y attendre, elles entretenaient un vaste réseau d’oeuvres de charité: hôpitaux, “La Goutte de Lait” pour enfants nécessiteux et orphelins, asiles de vieillards et même un fond pour doter les jeunes filles de familles pauvres. En plus de l’enseignement religieux, de nombreuses écoles furent créées (Aghion, Cattaoui, de Menasce) pour propager l’enseignement des langues européennes, particulièrement le français et l’italien. En 1925, à la suite de l’accusation de meurtre rituel dans une école catholique, le B’nai Brith fonda le Lycée de l’Union Juive à Alexandrie. Pourtant la plupart des familles aisées envoyait leurs enfants dans les Lycées de la Mission Laïque Française, les écoles anglaises (Victoria College, British Boys School, English Girls College) et même les écoles catholiques (Collège St Marc, Collège des jésuites La Sainte Famille, Notre Dame de Sion, Mère de Dieu, etc.).

SIONISME, NATIONALISME ET FRÈRES MUSULMANS

Un mouvement sioniste embryonnaire existait déjà en Égypte à la fin du XIXe siècle, surtout recruté parmi les Ashkénazes et renforcé par l’arrivée des réfugiés expulsés de Palestine pendant la Première Guerre Mondiale. Des manifestations de soutien, rassemblant 3 000 personnes au Caire et 8 000 à Alexandrie, se déroulèrent lors de la Déclaration Balfour en 1917, immédiatement suivies par la fondation de la Fédération Sioniste d’Egypte par Jack Mosseri, soutenue par deux publications Israël et La Revue Sioniste. S’il nous semble contradictoire aujourd’hui de retrouver parmi ses dirigeants les mêmes qui militaient dans le mouvement nationaliste égyptien (Léon de Castro, Félix Benzakein, Alfred Yallouz, Israel Wolfensohn), souvenons nous que les deux poursuivaient un objectif commun: le départ des Anglais. La Fédération Sioniste dût quand même mettre une sourdine à ses activités lorsque le roi Fouad signifia son désaveu lors de l’Indépendance en 1922 et la Communauté du Caire publia une déclaration antisioniste. Notons que peu de juifs égyptiens émigrèrent en Palestine à cette époque, se contentant d’aider l’aliyah des communautés européennes par l’entremise du B’nai Brith.

Pendant les années 30 les mouvements nationalistes égyptiens virèrent à droite : le Misr el-Fatat (Jeune Egypte) s’inspirant des Jeunesses fascistes et hitlériennes. Plus important, cette époque coïncide avec l’émergence des Frères Musulmans pour qui la libération nationale n’était qu’un premier pas vers une nation islamique transcendant frontières et ethnies. “Mein Kampf” et les “Protocoles des Sages de Sion” furent traduits en Arabe et l’on note une recrudescence d’articles antisémites dans la presse qui inspirèrent plusieurs émeutes et attaques contre les juifs et leurs biens.

Le roi Farouk, qui succéda à son père en 1936, ne cachait pas son admiration pour Hitler comme le montre ce télégramme retrouvé dans les archives allemandes :

“Il [le Roi] est rempli du plus haut respect pour le Führer et le peuple allemand, dont il souhaite ardemment la victoire sur l’Angleterre. Il se sait uni avec son peuple dans le désir de voir les troupes allemandes victorieuses en Égypte et libératrices le plus tôt possible du joug brutal et insupportable del’Angleterre.”

A la veille de la bataille d’El Alamein, l’ambassadeur Britannique Sir Miles Lampson pénétra avec des chars dans le Palais d’Abdine et força le roi à changer de cabinet. Faut-il rappeler qu’El Alamein est à moins de 100 Km d’Alexandrie ? Plusieurs juifs quittèrent la ville et le ciel du Caire se noircit de la fumée des papiers brûlés par l’ambassade britannique ….

Après la guerre, la virulence du nationalisme égyptien et les aspirations sionistes en Palestine, devenues en contradiction totale, s’accumulèrent pour rendre la situation des juifs de plus en plus difficile. La distinction entre antisionisme et antisémitisme s’estompa rapidement. L’anniversaire de la déclaration Balfour, en novembre, donnait lieu régulièrement à de violentes émeutes instiguées par les Frères Musulmans. En 1945, dix juifs furent tués lors d’incursions dans le Har’t el Yahoud et le saccage de magasins et biens juifs; la synagogue ashkénaze fut détruite: le gouvernement présenta néanmoins ses excuses et contribua à sa reconstruction. De fortes pressions furent exercées sur la Communauté pour répudier le sionisme et le Grand Rabin Haïm Nahum envoya la note suivante au Premier Ministre:

“ Les Juifs d’Égypte considèrent non seulement qu’il est un devoir sacré, mais espèrent que leurs sentiments seront suivis comme exemple dans le monde entier pour régler la question Juive, renforcé par une demande aux Alliés de trouver pour les Juifs sans patrie un refuge autre que l’étroite Palestine. Quant à la question Palestinienne il n’y a d’autre solution, ainsi que nous l’avons déjà exprimé, qu’une coopération étroite entre Arabes et Juifs, dans une atmosphère de confiance et de compréhension réciproques ”.

Notons l’ambiguïté du texte et la dernière phrase qui apparaît ô combien prophétique aujourd’hui.

Deux changements législatifs eurent des conséquences profondes sur la situation des étrangers: la Loi sur les Sociétés (Company Law) de 1947 qui décréta que 75% des employés et 51% du capital des entreprises devaient être égyptiens, ce qui poussa de nombreux juifs à acquérir la nationalité égyptienne, et l’abolition des Tribunaux Mixtes deux ans plus tard.

LE DÉBUT DE LA FIN

De nouvelles manifestations marquèrent le vote des Nations Unies sur le partage de la Palestine en novembre 1947 et la création de l’État d’Israël en mai

1948, ce qui donna au gouvernement le prétexte d’arrêter non seulement les juifs “sionistes” mais également des activistes Frères Musulmans et communistes. Émeutes et attentats contre entreprises juives, visant particulièrement le Har’t el Yahoud et la communauté Karaïte, jalonnèrent la guerre d’Indépendance d’Israël en 1948-1949. Ces évènements déclenchèrent la première vague d’émigration : 15 000 à 20 000 juifs quittèrent entre 1949 et 1951, mais la majorité de la classe commerçante et supérieure demeura.

La défaite militaire renforça l’impopularité du roi Farouk qui négligeait de plus en plus ses responsabilités au profit d’une vie dissolue dans les casinos européens. Un incident avec les troupes anglaises sur le Canal de Suez déclencha, en janvier 1952, des émeutes violentes contre un gouvernement totalement discrédité et l’incendie du Caire; en plus du fameux Hôtel Shepherd, plusieurs magasins et cinémas juifs furent détruits ou saccagés. Les Anglais évacuèrent le Canal. Finalement, le roi abdiqua et quitta le pays à la suite du putsch des Officiers Libres le 23 juillet 1952 qui installa le général Naguib au pouvoir, avec la figure du colonel Nasser se profilant déjà à l’arrière-plan. La présence de Naguib à l’office du Kol Nidrei de cette même année, poursuivant la tradition, contribua à bercer les juifs dans l’illusion d’un retour à la normalité.

Il est facile aujourd’hui de critiquer ceux qui restèrent. N’oublions pas que la majorité de la classe commerçante vivait très confortablement d’entreprises ou de biens immobiliers difficilement transférables. Puisant à nouveau dans mes souvenirs teintés de rose d’un Alexandrin de 12 ans, c’était “la belle vie”. Mon père nous déposait au Lycée Français en route pour le bureau, nous reprenait à 1 heure, déjeuner préparé par un cuisinier et servi par des domestiques en “galabyeh” (tunique) et tarbouche, sieste, retour au bureau vers 4 heures en nous déposant au Sporting Club pour le tennis et retrouver les amis. Vie mondaine, visites régulières de compagnies théâtrales françaises ou d’opéra italiennes, cabine à la plage en été, voyages réguliers en Europe pour se convaincre que les hivers parisiens ou londoniens (sans domestiques!!) n’avaient vraiment rien de mieux à offrir…

LE DEUXIEME EXODE

Cette vie paradisiaque durera jusqu’en juillet 1956 quand Nasser, qui avait écarté Naguib en 1954, nationalisa la Compagnie du Canal de Suez. S’ensuivit ce que les Égyptiens dénommèrent “la triple et lâche agression” par l’Angleterre, la France et Israël en octobre, plus connue comme la Guerre du Sinaï. Victoire militaire, mais échec politique à la suite de l’intervention des États-Unis qui empêcheront les alliés de concrétiser leur avance. Français, Anglais et de nombreux juifs furent expulsés après que leurs biens eurent été nationalisés. Le sionisme fut proclamé activité criminelle, permettant les arrestations arbitraires, l’internement dans des camps de travail (Toura, Huckstep) et la séquestration de biens. Si beaucoup de juifs pouvaient se prévaloir de nationalités étrangères, les plus durement touchés furent ceux qui avaient acquis la citoyenneté égyptienne pour contourner les lois sur la Nationalité de 1947 et qui furent contraints de quitter apatrides. Tous devaient obtenir le visa de sortie, ce qui permettait aux officiels d’imposer vexations et “bakchiche ”. Plus de 30 000 Juifs quitteront en quelques mois, laissant seulement 2 500 au moment de la Guerre de Six Jours en juin 1967.

QUI RESTE AUJOURD’HUI ?

A la fin de 2002, on estimait a moins de soixante-dix le nombre de juifs vivant encore en Égypte. En mai 2000 je suis retourné a la synagogue Eliahou Hanabi à Alexandrie (la seule qui ait survécu, la Communauté ayant vendu les autres pour en assurer l’entretien) pour un office du Shabbat dont l’horaire m’avait été fixé le matin à 7 heures 30. Un homme était assis, seul: il vient tous les samedis réciter ses prières pour que l’on puisse dire que se célèbre encore un office du Shabbat à la Grande Synagogue de la rue Nébi Daniel (rue du

Prophète Daniel)…..

La Teba n’est plus ouverte que pour montrer les Sepher Tora aux touristes de passage. Dans les bureaux attenants de la Communauté, une dame et un monsieur âgés vous aident à retracer un acte de mariage ou de naissance parmi les archives. Un homme seul au milieu des rangées de sièges vides, arborant encore les plaques de cuivres portant les noms des disparus, est tout ce qui reste des 25 000 Juifs d’Alexandrie….

 

SOURCES ET BIBLIOGRAPHIE

 

Yahudiya Masriya: Les Juifs en Egypte ; Les Editions de l’Avenir, Genève, 1971

Maurice Mizrahi: L’Egypte et ses Juifs, le temps révolu ; chez l’auteur, Lausanne, 1977

Jacques Hassoun: Juifs du Nil ; Le Sycomore, Paris 1981

Juifs d’Egypte, Images et textes ; Editions du Scribe, Paris 1984

Gudrun Krämer: The Jews in Modern Egypt, 1914 – 1952 ; I.B. Tauris & Co. Ltd, London 1989

 

 

LE 31/03/2007

 

Reçu, en même temps, de nos Amis Sabatatino MUSTACCHI et Raymond REVAH 

MERCI DE FAIRE SUIVRE  !

Pour une fois que c'est un truc intelligent à faire suivre !!!!! 
Sujet : Cela peut servir ! Prenez quelques minutes pour lire ceci et
peut-être sauver une vie..... et contribuer à faire connaître le danger que représente l'Accident Vasculaire Cérébral.
 
Lors d'un barbecue, Julie trébuche et fait une chute.
Elle affirme aux autres invités qu'elle va bien et qu'elle  s'est accrochée les pieds à cause de ses nouveaux souliers.

Les amis l'aident à s'asseoir et lui apportent une nouvelle assiette.
Même si elle a l'air un peu secouée, Julie profite joyeusement du reste de l'après-midi...

Plus tard le mari de Julie téléphone à tous leurs amis pour dire que sa femme a été transportée à l'hôpital....Julie meurt à 18h. Elle avait eu un Accident Vasculaire Cérébral lors du barbecue. Si  les personnes présentes avaient été en mesure d'identifier les signes d'un tel accident, Julie aurait pu être sauvée.

Un neurologue dit que s'il peut atteindre une victime d'AVC dans les  trois heures, il peut renverser entièrement les effets de la crise. Il affirme que le plus difficile est que l'AVC soit identifié, diagnostiqué et que le patient soit vu en moins de trois heures par un médecin
Reconnaître les symptômes d'un AVC : Poser trois questions très simples à la personne en crise :
 1. * Lui demander de SOURIRE.
 2. * Lui demander de lever LES DEUX BRAS.
 3. * Lui demander de PRONONCER UNE PHRASE TRÈS SIMPLE (ex. Le soleil est magnifique aujourd'hui).

Si elle a de la difficulté à exécuter l'une de ces tâches, appelez  une ambulance et décrivez les symptômes au répartiteur.

Selon un cardiologue, si tous ceux qui reçoivent cet e-mail l'envoient à leur tour à 10 personnes, une vie au moins  pourrait être sauvée.

Merci à toutes et à tous

 

Reçu ce sympathique message de notre Amie Nell LEV  :

Ce matin, en ouvrant une fenêtre dans le ciel, un ange m'a vue et m'a demandé :
Quel est ton meilleur souhait pour aujourd'hui ?
Je lui ai répondu, s'il te plaît, prends soin de la personne qui est en train de lire ce message, et de sa famille, parce qu'ils le méritent et que je les apprécie beaucoup.
L'amour de l'ange est comme la mer: tu peux voir le début mais pas la fin. Ceci fonctionne le jour que tu le reçois... peut-être cela te semblera ridicule, mais la personne qui me l'a envoyé était impressionnée par le timing. On verra si c'est vrai.
Les anges existent mais parfois, lorsqu'ils n'ont pas d'ailes, on les appelle simplement amis. A ton tour, envoies-le aux personnes que tu apprécies...
Quelque chose de bien t'arrivera ce soir à 20h25. Quelque chose que tu espérais entendre. Ceci n'est pas une blague, quelqu'un t'appellera ou te parlera.
Ne coupe pas cette chaîne, envoie-la à au moins 7 personnes...
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Reçu de Monsieur Léon SION et de Madame Lily KHODARA

 

DECLARATION  DE  NAPOLEON  BONAPARTE :

Proclamation à la nation Juive Quartier général Jérusalem, 1er floréal, an VII de la République Française (20 avril 1799)

"Bonaparte, commandant en chef des armées de la République Française en Afrique et en Asie, aux héritiers légitimes de la Palestine :

Israelites, nation unique que les conquêtes et la tyrannie ont pu, pendant des milliers d'années, priver de leur terre ancestrale, mais ni de leur nom, ni de leur existence nationale !
Les observateurs attentifs et impartiaux du destin des nations, même s'ils n'ont pas les dons prophétiques d'Israël et de Joël, se sont rendus compte de la justesse des prédictions des grands prophètes qui, à la veille de la destruction de Sion, ont prédit que les enfants du Seigneur reviendraient dans leur patrie avec des chansons et dans la joie et que la tristesse et que les soupirs s'enfuiraient à jamais. (Isaïe 35.10)
Debout dans la joie, les exiles ! Cette guerre sans exemple dans toute l'histoire, a été engagée pour sa propre défense par une nation, de qui les terres héréditaires étaient considérées par ses ennemis comme une proie offerte à dépecer. Maintenant cette nation se venge de deux mille ans d'ignominie. Bien que l'époque et les circonstances semblent peu favorables à l'affirmation ou même à l'expression de vos demandes, cette guerre vous offre aujourd'hui, contrairement à toute attente, le patrimoine israélien.
La Providence m'a envoyé ici avec une jeune armée, guidée par la justice et accompagnée par la victoire. Mon quartier général est à Jérusalem et dans quelques jours je serais à Damas, dont la proximité n'est plus à craindre pour la ville de David.

Héritiers légitimes de la Palestine !
La Grande Nation qui ne trafique pas les hommes et les pays selon la façon de ceux qui ont vendu vos ancêtres à tous les peuples (Joël 4.6) ne vous appelle pas à conquérir votre patrimoine. Non, elle vous demande de prendre seulement ce qu'elle a déjà conquis avec son appui et son autorisation de rester maitre de cette terre et de la garder malgré tous les adversaires.
Levez-vous ! Montrez que toute la puissance de vos oppresseurs n'a pu anéantir le courage des descendants de ces héros qui auraient fait honneur à Sparte et à Rome (Macchabée 12.15). Montrez que deux mille ans d'esclavage n'ont pas réussi à étouffer ce courage.
Hâtez vous ! C'est le moment qui ne reviendra peut-être pas d'ici mille ans, de réclamer la restauration de vos droits civils, de votre place parmi les peuples du monde. Vous avez le droit à une existence politique en tant que nation parmi les autres nations. Vous avez le droit d'adorer librement le Seigneur selon votre religion. (Joël 4.20)

Signé : Général BONAPARTE, Commandant en Chef des Armées de la République Française

 

 

LE 28/02/2007

 

D’une Lectrice  du Site :

LE JEU DE CACHE CACHE

 

La Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle.

Tous les invités y allèrent. Après le café, la Folie proposa :

- On joue à cache-cache ?

- Cache-cache ? C'est quoi, ça ? demanda la Curiosité.

- Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez.

Quand j'ai fini de compter je cherche, et le premier que je trouve sera le

prochain à compter.

Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse.

- 1, 2, 3 ... la Folie commença à compter.

L'Empressement se cacha le premier, n'importe où.

La Timidité , timide comme toujours, se cacha dans une touffe d'arbre.

La Joie courut au milieu du jardin.

La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit

approprié pour se cacher.

L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher.

La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient.

Le Désespoir était désespéré en voyant que la Folie était déjà à

quatre-vingt-dix-neuf.

- CENT ! cria la Folie. Je vais commencer à chercher ...

La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher

de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert. En

regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus

d'une clôture ne sachant pas de quel côté il serait mieux caché.

Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité ...

Quand ils étaient tous réunis, la Curiosité demanda :

- Où est l'Amour ?

Personne ne l'avait vu. La Folie commença à le chercher. Elle chercha

au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais

elle ne trouvait pas l'Amour.

Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier, prit un bout de bois et

commença à chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri.

C'était l'Amour, qui criait parce qu'une épine lui avait crevé un oeil.

La Folie ne savait pas quoi faire. Elle s'excusa, implora l'Amour pour

avoir son pardon et alla jusqu'à lui promettre de le suivre pour toujours.

L'Amour accepta ses excuses.

Aujourd'hui, l'Amour est aveugle et la Folie l'accompagne toujours ...

 

Pour que cette nouvelle année vous soit belle

Laisser vous guider par la Folie,

Qui sait, l'Amour suivra peut-être

Une chose reste sûre

Cela pimentera votre vie

 

 

De  Madame Erella AZRIEL :

 

NEW  OXFORD  DICTIONARY

Divorce: Future tense of marriage.

Cigarette: A pinch of tobacco rolled in paper with fire at one end & a fool on the other.

Lecture: An art of transferring information from the notes of the lecturer to the notes of the students without passing through the minds of either

Conference: The confusion of one man multiplied by the number present.

Compromise: The art of dividing a cake in such a way that everybody believes he got the biggest piece.

Tears: The hydraulic force by which masculine will-power is defeated by feminine water power

Conference Room: A place where everybody talks nobody listens and everybody disagrees later on.

Smile: A curve that can set a lot of things straight.

Office: A place where you can relax after your strenuous home life

Yawn: The only time some married men ever get to open their mouth.

Etc.: A sign to make others believe that you know more than you actually do

Committee: Individuals who can do nothing individually and sit to decide that nothing can be done together.

Experience: The name men give to their mistakes.

Atom Bomb: An invention to end all inventions

Diplomat: A person who tells you to go to hell in such a way that you actually look forward to the trip.

Opportunist: A person who starts taking a bath if he accidentally falls into a river

Optimist: A person who while falling from Eiffel tower says in midway See, I am not injured yet.

Miser: A person who lives poor so that he can die rich.

Father: A banker provided by nature.

Criminal: A guy no different from the rest....except that he got caught.

Boss: Someone who is early when you are late and late when you are early.

Doctor: A person who kills your ills by pills, and kills you with his bills

 

 

 

 

LE 31/01/2007

 

 

De Madame Erella AZRIEL :

21-st Century... :
  Our communication - Wireless
  Our dress - Topless
  Our telephone - Cordless
  Our cooking - Fireless
  Our youth - Jobless
  Our  food - Fatless
  Our labour - Effortless
  Our conduct - Worthless
  Our relation - Loveless
  Our attitude - Careless
  Our feelings - Heartless
  Our politics - Shameless
  Our education - Valueless
  Our follies - Countless
  Our arguments - Baseless
  Our boss - Brainless
  Our Job - Thankless
  Our Salary - Very  less
  Our Future - Hopeless!

 

 

De Madame Mimi de CASTRO

           (auteur inconnu)

Une histoire pleine de sagesse

 

Un corbeau est perché sur un arbre, à ne rien faire de toute la journée.

 

Un petit lapin repère le corbeau et lui demande : « Crois-tu  que je peux

m'asseoir comme toi et ne rien faire de toute la journée ? »

 

Le corbeau lui répond: " Bien sûr, pourquoi ne pourrais-tu pas ? "

 

Le Lapin s'assoit alors par terre sous l'arbre, et reste là  à se reposer.

 

Quand tout à coup, un renard apparaissant, se jette sur le lapin, et le

dévore.

MORALITÉ :

Si vous voulez rester assis à ne rien faire, mieux vaut être très

haut placé.

 

ORIGINE DE L’ORDRE DE LA JARRETIERE

C'est au cours d'un bal que la Comtesse de Salisbury, maîtresse du roi d'Angleterre Edouard III, perdit lors d'une danse la jarretière bleue qui maintenait son bas. Edouard III s'empressa de la ramasser et de la lui rendre. Devant les sourires entendus et railleurs de l'assemblée, le roi se serait écrié en français, alors langue officielle de la cour d'Angleterre : "Messieurs, honni soit qui mal y pense ! Ceux qui rient en ce moment seront un jour très honorés d'en porter une semblable, car ce ruban sera mis en tel honneur que les railleurs eux-mêmes le rechercheront avec empressement."
Dès le lendemain, le roi aurait institué l'Ordre très noble de la Jarretière (the most noble Order of the Garter), ordre de chevalerie qui reste aujourd'hui encore un des ordres les plus prestigieux dans le monde. Son emblème est une jarretière bleue sur fond or, sur laquelle est inscrit la devise "Honni soit qui mal y pense". Ayant pour grand maître le roi d'Angleterre, cet ordre rassemblait à l'origine 13 compagnons. En 1805, le nombre de membres fut étendu à 25, qui se réunissent chaque 23 avril, jour de la saint George, dans la chapelle Saint George du château de Windsor. Les Armoiries  de la Grande-Bretagne portent cette devise  HONI SOIT QUI MAL Y PENSE.                                                                

 

De Madame Edna ANZARUT-TURNER mail du 18.12.2006

 

Happy Hannukah again Albert.  I hope you and your family are well.

 I corrected and added some more reminiscences and believe this last effort about my memories of El Alamein will make enjoyable reading to your membership list, as well as bringing back memories for them as well. :

 

Edna

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MY MEMORIES OF EL ALAMEIN

A friend of mine, an expat from Cairo who lives in California, recently sent me a video clip of present day El Alamein.....

 

...an incoherent agglomeration of hotels, lagoons, canals between buildings..... and Italian gondolas. manned by Arab gondoliers.... all replicas of ersatz glitzy Hollywood props..desecrating one of the most beautiful places in the world.  A built up visual outrage which is supposed to attract tourists,  reminiscent of the same fate that has destroyed the pristine beauty of Sharm el Sheikh at the tip of the Sinai, and  Sokhna, on the Red Sea.
I do not have to delve extensively to remember the El Alamein of my tender years, and my youth. The name conjures stories that my parents had told me,  and I clearly recall several trips  that we took, driving all the way from Alexandria to El Alamein and further on to Mersa Matruh.
Historically, El Alamein was a last stand for the Allies in North Africa.   It lay 150 miles from Cairo.  To the north of the insignificant  town was the Mediterranean Sea and to the south was the Qattara Depression.
The battle  involved 220,000 men, 1,100 tanks and 900 guns on the Allied side with Field Marshal Bernard Montgomery  commanding the 8th army which included  Australia’s 9th division, a New Zealand division, both parts of of the British 30th Corps famous for its defence of Tobruk,
There were actually two battles of El Alamein. and the decisive one, with Montgomery in charge, started on October 23 and lasted until November 3rd 1942.
These brave heroes faced the 180,000 men, 600 tanks and 500 guns of the Axis powers of Rommel's famous Afrika Korps

On June 1942. Irwin Rommel's armies had captured Tobruk and started their onslaught on the defensive British line at El Alamein.
Had the German army not been eventually vanquished by Monty's army, the Axis forces would have marched victoriously into Egypt, and the country we lived in would have fallen.  Being Jews, my family, and all the other Jewish families in Egypt, would have all been sent to Auschwitz as were all the Jews who were caught living in the various German invaded Mediterranean islands and countries.

 The visual features of El Alamein easily surface in my vivid memories of the area.  The road to El Alamein had been built by our British armed forces during WW2 and was a  winding one.My first visit there was when I was a little girl.  During the war, my dad had been in the British Armed forces, in Montgomery's 8th army, and had fought in the North African campaign under his command. He was very insistent that we go and visit El Alamein so I could see the graves of all the fallen British soldiers, the heroes who had saved our life during the war.
Leaving Alexandria far behind us, and already  surrounded to the left and right by sand dunes, I recall seeing groves and groves of fig trees growing by the wayside on the chalk embankments nearest the road, and separated from the road by barbed wire.

 We stopped  for a short while, and I clambered the knolls leading to the fig trees, picking and eating some of the ripe fruit, which dripped with sweetness.
I suppose there must have been a high content of chalk mixed with the sand hence the glistening white  sand dunes.

I remember, on the way , we could see miles and miles of unending dunes to the right and to the left of the winding WW2 road..and northwards, past the sand dunes, to our right, there glittered a sea so breathtakingly limpid blue.  Mirages appeared and dissipated as we neared them, keeping a respectful distance away.

 Further west and on both sides of the road, we came upon areas which had been isolated from the road by barbed wire.

We had reached the region that everyone calls North Africa.
At first, we came upon large shapeless pieces of metal embedded in the sand.  My dad explained that they were relics of WW.2. 

 Further on, I felt quite unsettled to see the  burnt out emasculated shells of British military might:  lorries, Sherman tanks, and guns, haphazard rows upon rows of metallic motionless sepulchres to the dead.  These were the relics of WW2 , A  poignant reminder of the terrible death toll suffered by the heroic  youth that comprised  Field Marshall Montgomery's army.  
A tragic toll, that resulted from the punishing battles that finally decimated Rommel's forces.  We drove past those wartime emblems,  until we came across the rusting metallic, twisted, gnarled motorized and heavy artillery remains of  the Desert Fox's defeated Afrika Korps..
We advanced very slowly,and stopped to read the wooden signposts on both sides of the road. They stood stolidly in place, trembling slightly as gusts of desert wind mingled with grains of sand pounded at them. The signs warned that one must not get off the road onto the desert sections as there was serious danger of tripping unexploded land mines. 

 My father explained that between the two armies was the ‘Devil’s Garden’. This was a mine field laid by the Germans which was 5 miles wide and littered with a huge number of anti-tank and anti-personnel mines.  The British engineers division had cleared as much as they could, but a large number of land mines still remained. I found all this very exciting.

We finally stopped, and I jumped out of the car and took a deep breath of that wonderfully salubrious  air, inhaling the salty whiffs of the Mediterranean Sea that wafted across the desert.
I ran up and down, ignoring the ominous warning signs, and my parents'  terrified calls, and then hopped over and across the barbed wired on to the desert area between the corroding  trucks and tanks, and gingerly touched some of them in great awe.

 Everything was so very quiet..but for the sounds of the desert..  A sheet of  paper, yellow with age, floated down and landed fluttering like a youthful beating heart at my feet.  It was a poem handwritten in English. I read it and wept.  I wondered where the author of the poem was.  Had he been killed, maimed perhaps..or had he been saved?
God only knows where the sheet of paper is now....I remember taking it home with me, back to Alexandria....but like everything else it stayed in Nasser's Egypt.
I returned to the car and was told off by my parents.  It was then that my mother recounted to me the tragic story of one of the French Vice-Consuls in Alexandria.

 He had taken a group of French journalists to view this very area, and had ignored the warnings signs..  There was a deafening explosion, and his leg was blown off.

 I remember meeting him one day when there was an important vernissage at the "Atelier"  in Alexandria.  My mother was sitting comfortably in an armchair chatting with another guest.  The Vice Consul approached to greet her,  and much to my amazement, she got up and gave him her seat.   Later on, when we were on our own, she explained that this was the Consul who had lost his leg  having stepped on a land mine in El Alamein.

 Returning to my memories of El Alamein, I recall that we drove to the cemetery, and pushed open the creaking wooden gates leading to the gravel covered graveyard. At the entrance, there was a small cabin where a lone Bedouin sat.  His job was to look after the cemetery.The meagre pay he probably received enabled him to feed his family with a little more than fava beans.

 

He was delighted to have living company, and escorted us around answering our questions in English.  My dad asked him what other languages he spoke apart from Arabic and English, and he said he also understood and spoke fluent German,,and had never gone to school so could not read or write.

 My father later told me that  Bedouins had been very canny spies, because of their ability to meld in the landscape and wander around with their camels and goats, anywhere they wished....it was therefore highly probable our Bedouin had been well employed as a spy either by the British, or the Germans...or both.

 I stared at the neat rows upon rows of graves with crosses, many had short heart-wrenching poems inscribed on them. My parents pointed out to me other graves with the tragic inscription stating that the person or persons buried there were "Known Unto God". 

  In a separate section, further away,  there were graves with Magen Davids, the Jewish Star of David.

 There wasn't a living soul around apart from us, and the Bedouin, and when we silently looked at the graves  all I could hear  was the sad sigh and sometimes soulful moan of the Libyan desert wind.
We returned to our car and drove a little further, until we reached an area with signposts informing us that it was safe to go on the sand dunes leading to the sea..

 We opened the doors and my dog Teddy and I hopped out of the car.  He raced around thrilled to be out in the open again...and then became quite intrigued by a beetle  that was crawling on the ground, and started barking ferociously at it.  The beetle just ignored him...so Teddy resumed sniffing everything  and anything that was sniffable.  

Carrying our beach umbrella and other beach paraphernalia we made our way across the dunes,  towards the seashore.  We had to return to the car several times, trudging across the dunes to bring the picnic baskets full of delicacies to the place near the sea where we had propped  the umbrella.
Alas, the scrumptious food eventually got peppered with grains of sand, but we were all starving and the extra bit of crunch did not deter us from enjoying our picnic.  Flocks of uninvited sea gulls swirled above, attracted by the food, so we accepted them as our guests.
I  can still see, in my mind's eye, the azure blue of the Mediterranean sea.  It was such a transparent aqua blue that I was able to watch with absolute delight, the large schools of cheeky fluttering, flickering minnows, the lonely translucent shelled crabs crawling over the fine grainy sand, and the occasional large fish meandering close to the shore.
The sand was a glistening diamond white and so very fine that it stuck like a veil to my feet and legs.  The  cobalt blue sky  had a few fluffy cotton ball clouds gently sailing past, and the sea shimmered invitingly.
Sand rays came close to the edge of the beach, and then fluttered away.  We had been warned that we should not swim far from the shore as the place was teeming with sharks...
What amazingly beautiful and unspoilt scenery.  
After spending as much time as I could playfully chasing Teddy up and down the beach and into the water, running with  my home made kite  watching it soar to the heavens, it was time for me to loll around and do some serious sunbathing.  I would then dive in the sea  in order to cool off, swimming parallel to the shore... somehow dreading a shark attack.    My parents called me...it was time to leave, and I half heartedly returned to our car, for the return trip home to Alexandria.
On the way back, we passed by the battle scarred remnants of the heavy artillery of WW2,  past the sand dunes,  past the groves of fig trees,  past the quaint Arab villages,until we arrived in Dekhela with its small practically intact Roman harbour where I used to go fishing.
I vividly remember the  inn and restaurant there. We went up the stairs, and were ushered  onto the covered wooden verandah overlooking the beach and the harbour..  My parents ordered a delectable fish supper - catch of the day, minus the crunchy addition of grains of sand.  There were several friends of ours sitting at tables  that were laid with clean crisp  ironed table cloths. 

It was a popular place for Alexandrians who owned cars. In those days, cars and telephones were considered a luxury, and the majority of people had neither. My parents' friends had come with their children, and they waved to us insisting we join them, calling us "Edgar, Sophie, Edna...how lovely to see you..please come and sit with us".

 The amiable smiling waiters rushed over and added an extra table and chairs and there ensued such  joyous and erudite conversations between the grown-ups.  There was so much laughter. So many jokes were exchanged, with my dad who was an amazing wit adding his hilarious in-put to the general laughter.
After supper, as it was still warm and sunny outside, my friends and I put our swimsuits on and rushed  to the beach.  We jumped in the sea  giggling loudly, and laughingly splashed each other and swam as fast as we could. 

 Later on, for a  few millimes we rented donkeys. clambered on their back and rode up and down the beach, trying to have races.  The smiling little "donkey" boy wearing a long  robe called a gallabiyah and a skull cap called a ta'eyah, lightly wacked the donkey's rear end with a stick, whenever the donkey slowed down..
Sadly, it was finally time to say goodbye to Dekhela.    I hugged some of my friends, and waved goodbye to others.   We made plans to meet at the Alexandria Sporting Club  for tennis and a swim in the pool.

 Sun tanned, the picture of health, and replete with memories of the desert, and the beach, and with  fine sand  still stubbornly clinging to my feet and legs, I clambered into the car with Teddy, and regretfully returned to the "Big City of Alexandria"...which was far from that at the time!
I was recently told that from Alexandria to El Alamein there is now one long string of towns and hotels....
We were so lucky to have seen all those places, and so fortunate to have left  when we did - long before the beautiful Egyptian countryside became a Paradise Lost, and was turned into a vast non-ending metropolis comprising  a glitzy pastiche of Hollywood  movie props.

Aaah...progress..what a lot of crimes were committed and erected in your name!!!!

Edna Anzarut-Turner
Beaconsfield (Quebec) Canada,
16 December 2006                                                                                                                                                                                                                                                       

 

 

LE 31.12.2006

 

DEMANDE DE VOLONTAIRES

 

L'Exode des Juifs d'Egypte il y a une cinquantaine d'années et, par la suite, celui des Commnunautés Etrangères de toutes nationalités et confessions les ont  dispersés dans de très nombreux pays. Certains s'établirent dans des pays anglophones et d'autres,  francophones. Jusqu'ici, j'ai publié dans mon site le Courrier des Lecteurs  et les Articles reçus, dans la langue utilisée par leurs expéditeurs : soit en Français soit en Anglais. Mais, bien que tous les Européens  nés en Egypte pratiquaient couramment les deux langues il advient que, après 50 années passées dans leur pays d'adoption, de nombreux  anglophones ne sont plus très à l'aise en Français et de nombreux  francophones se trouvent dans le même cas, en Anglais.  C'est pourquoi certains de mes lecteurs français me demandent de traduire dans cette langue les articles reçus en anglais  et vice versa. Alors, je lance aujourd'hui un appel à ceux de mes Lecteurs qui voudraient bien m'aider : traduire en anglais des articles reçus en français ou le contraire . Ceux qui voudraient bien tenter l'expérience pourraient commencer avec un petit texte et, par la suite, soit continuer soit arrêter et ce, sans aucune obligation.

Les volontaires sont priés de me contacter à cette adresse :

albpardo@club-internet.fr

Merci.

 

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De Madame Mimi de Castro :

 

A good friend of mine sent me the following excerpt written by Elenor

Roosevelt.

 

I thought I'd like to share it with all of you:

 

Many people will walk in and out of your life.  But only true friends will leave footprints in your heart.

 

To handle yourself, use your head. To handle others, use your heart.

 

Anger is only one letter short of danger.

 

If someone betrays you once, it is his fault. If someone betrays you twice, it is your fault.

 

Great minds discuss ideas. Average minds discuss events. Small minds discuss people.

 

He, who loses money, loses much. He, who loses a friend, loses much more. He, who loses faith, loses all.

 

Beautiful young people are accidents of nature. But beautiful old people are works of art.

 

Learn from the mistakes of others.  You can't live long enough to make them all yourself.

 

Friends, you and me....

You brought another friend....

And then there were 3....

We start our group....

Our circle of friends....

There is no beginning or end....

Yesterday is history;

To-morrow is mystery;

To-day is a gift.

 

o-o-o-o-o-o-

 

De Madame Erella AZRIEL :

 

Voici quelques extraits de phrases trouvées dans les copies des bacheliers :
1. Castor a pris le pouvoir
grace a une guerilla urbaine dans les campagnes
2. Comme souvent, le peuple s'en est pris a un bouc et mystere
3. D'apres le calendrier hebraique, on est en 5757 apres Jesus-Christ
4. Depuis Archimede les bateaux flottent...
5. En 1934, Citroen revolutionne la construction automobile en sortant la

   traction a vent.
6. En 2020, il n'y aura plus assez d'argent pour les retraites a cause
   des vieux qui refusent de mourir
7. II fut condamne apres un proces en bonnet de forme
8. L'hippopotamus est le siege du systeme neurovegetatif
9. L'homosexualite n'est pas une maladie, mais personne n'aimerait
   l'attraper
10. L'indice de fecondite doit etre egal a deux pour assurer le
     renouvellement des generations parce qu'il faut etre deux pour faire
     un enfant. On peut s'y mettre a trois ou quatre mais deux suffisent
11. La datation au carbone 14 permet de savoir si quelqu'un est mort a
     la guerre

12. La force de Coriolis provoque des cyclones dans les lavabos
13. La terre rote sur elle-meme
14. Le cerveau a des capacites tellement etonnantes qu'aujourd'hui
     pratiquement tout le monde en a un.
15. Le cerveau a deux hemispheres, l'un pour surveiller l'autre
16. Le chauffage au gaz revient moins cher mais disjoncte tout le temps
17. Le chevre est un fromage fait avec du lait de brebis
18. Le gouvernement de Vichy siegeait a Bordeaux
19. Le metre est la dix-millionieme partie du quart du meridien
     terrestre, pour que ca tombe juste on a arrondi la terre
20. Le Tsar a perdu le pouvoir malgre les occases
21. Le Vietnam est la capitale du Liban
22. Les Allemands nous ont attaques en traversant les Pyrenees a
      Grenoble
23. Les continents derivent, peinards
24. Les escargots sont homosexuels
25. Les Francais sont de plus en plus interesses par leur arbre
      gynecologique
26. Les passagers de premiere classe ont moins d'accident que les
      passagers de deuxieme classe
27. Les riches bouffent le gateau ; les pauvres se contentent des
      miettes.  Plus le gateau est gros plus les miettes sont grosses

28. Les vegetaux fixent l'oxygene grace aux globules verts
29. Lenine et Stallone
30. Napoleon III etait le neveu de son grand-pere
31. Prive de frites, Parmentier inventa la pomme de terre
32. Quand il voit, l'oeil ne sait pas ce qu'il voit. II envoie une photo
      au cerveau qui lui explique
34. Un collectionneur de timbres est un pedophile
35. Un litre d'eau a 20°, plus un litre d'eau a 20°, egalent deux litres
      d'eau a 40°
36. Un prevenu est quelqu'un qu'on a mis au courant
37. Un ver solitaire est un ver qui vit tout seul a la campagne

 

 

 

LE 25.11.2006

 

CURIOSITÉS LINGUISTIQUES

La langue française abonde en curiosités surprenantes pour l'étranger, en
voici quelques-unes :

*On remercie un employé quand on n'est pas content de ses services.
*On passe bien souvent des nuits blanches quand on a des idées noires.
*Pourquoi dit-on d'un pauvre malheureux ruiné, qui n'a plus où se coucher,
  qu'il est dans de beaux draps ?
*Pourquoi, lorsque vous dites à quelqu'un : " Je ne partage pas votre avis ",
  il peut répondre : " Les avis sont partagés " ?
*Pourquoi un bruit transpire-t-il avant d'avoir couru ?
*Quand un homme se meurt, on dit qu'il s'éteint. Quand il est mort, on
  l'appelle " feu ".
*Pourquoi lave-t-on une injure et essuie-t-on un affront ?
*Pourquoi parle-t-on des quatre coins de la terre, puisque la terre est
  ronde ?
*Comment distinguer le locataire du propriétaire lorsque ces deux
  personnes vous disent à la fois : " Je viens de louer un appartement " ?
*Comment peut-on faire pour dormir sur les deux oreilles ?
*Pourquoi appelle-t-on coup de grâce le coup qui tue ?
*Pourquoi lorsque l'on veut avoir de l'argent devant soi, faut-il en
  mettre de côté ?
*Le pot a des oreilles et l'on dit : " sourd comme un pot ".
*Pourquoi dit-on : " embarras de voitures " quand il y a trop de voitures,
  et " embarras d'argent " quand il n'y a pas assez d'argent ?

                                                   
Envoi de Madame Mimi de Castro




UNE MERVEILLEUSE HISTOIRE

 

Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.

L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons . Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre devait passer ses journées couché sur le dos.

Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, décrivaient leur maison leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances. Et, chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

         L'homme, dans l'autre lit, commença à revivre pendant ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur. De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.      

Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre coté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.
         Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre,
il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante. Les jours et les semaines passèrent.
         Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
         Dès qu'il sentit que le moment était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul. Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or, tout ce qu'il vit, fut un mur ! L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager,commenta-t-elle.

E P I L O G U E
         Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de
nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter. Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent.
                                              

                                                  Envoi de Mademoiselle Sylvana Pardo

 

 

GRAINS DE SAGESSE

 

UNE LECON DE VIE

PAS SEULEMENT POUR LES VIEUX

MAIS POUR TOUS LES AGES

Voici une belle histoire avec réflexion positive.

Un homme de 92 ans, petit, très fier, habillé et bien rasé tous les matins à 8h00, avec ses cheveux parfaitement coiffés, malgré qu'il est légalement aveugle, déménage dans un foyer pour personnes âgés aujourd'hui même. Sa femme  de 70 ans est décédée récemment, ce qui l'oblige à quitter sa maison.
Après plusieurs heures d'attente dans le lobby du foyer, il sourit gentiment lorsqu'on lui dit que sa chambre est prête.
Comme  il se rendait jusqu'à l'ascenseur avec sa marchette, je lui fis une description visuelle de sa petite chambre, incluant le drap suspendu à  sa fenêtre servant de rideau. Je l'aime beaucoup dit-il, avec l'enthousiasme d'un petit garçon de 8 ans qui vient d'avoir un nouveau petitchien.
- M.Gagné, vous n'avez pas encore vu la chambre, attendez un peu.
-  Cela n'a rien à voir, a-t-il répondu. Le bonheur est quelque chose que tu décides à l'avance. Que j'aime ma chambre ou pas ne dépend pas des meubles ou de la décoration – ça dépend plutôt de la façon dont moi je les perçois. C'est déjà décidé dans ma tête que j'aime ma chambre. C'est une décision que je prends
tous les matins à mon réveil. J'ai le choix, je peux passer la journée au lit en comptant les difficultés que j'ai avec les parties de mon  corps qui ne fonctionnent plus, ou me lever et remercier le ciel  pour celles qui fonctionnent encore. Chaque jour est un cadeau, et aussi longtemps que je pourrai ouvrir mes yeux je vais m'attarder sur le nouveau jour et tous les souvenirs heureux que j'ai amassé tout au long de ma vie. La vieillesse est comme un compte de banque. Tu retires de ce que tu as amassé. Donc, mon conseil pour vous, serait de déposer beaucoup de bonheur dans votre compte de banque des souvenirs. Merci de votre participation à remplir mon compte de banque car je dépose encore. Souvenez-vous de ces simples règles pour être heureux :

1.Libérez votre coeur de la haine
2.Libérez votre tête des soucis
3.Vivez simplement
4.Donnez plus

5. Attendez-vous à moins

Envoi de Madame Nell Lev

 

 

 

 

LE 28.10.2006

 

De Monsieur Victor CHAMLA :

BEL EXERCICE DE  LANGUE FRANCAISE
 
          " Myope comme une taupe ", " Rusé comme un renard "?... les termes empruntés au monde animal sont partout. La preuve :
         Que vous soyez fier comme un coq, fort comme un bœuf, têtu comme une mule, malin comme un singe, chaud lapin ou fine mouche, vous êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche.
         Vous arrivez frais comme un gardon à votre premier rendez-vous et là, pas un chat ! Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Le type qui vous a obtenu ce rancard, avec lequel vous êtes copain comme cochon, vous l'a certifié :

Cette poule a du chien, Une vraie panthère ! "
         C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour. Mais tout de même, elle vous traite comme un chien. Vous êtes prêt à gueuler comme un putois, mais non, elle arrive. Bon, dix minutes de retard, il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard.  Sauf que la fameuse souris, avec sa crinière de lion, est en fait plate comme une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine.

 Vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par noyer le poisson Vous avez le bourdon, envie de verser des larmes de crocodile. Vous finissez par vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. Vous avez beau être doux comme un agneau, faut tout de même pas vous prendre pour un pigeon !

 

 

De Monsieur Samy TORIEL :

 Let's see if you send it back.

 

We all know or knew someone like this!!
One day, when I was a freshman in high school,I saw a kid from my class was walking home from school. His name was Kyle.It looked like he was carrying all of his books. I thought to myself, "Why would anyone bring home all his books on a Friday? He must really be a nerd."
I had quite a weekend planned (parties and a football game with my friends tomorrow afternoon), so I shrugged my shoulders and went on. As I was walking, I saw a bunch of kids running toward him. They ran at him, knocking all his books out of his arms and tripping him so he landed in the dirt. His glasses went flying, and I saw them land in the grass about ten feet from him. He looked up and I saw this terrible sadness in his eyes My heart went out to him. So, I jogged over to him and as he crawled around looking for his glasses, and I saw a tear in his eye. As I handed him his glasses, I said, "Those guys are jerks. "  They really should get lives. " He looked at me and said, "Hey thanks!"There was a big smile on his face. It was one of those smiles that showed real gratitude. I helped him pick up his books, and asked him where he lived. As it turned out, he lived near me, so I asked him why I had never seen him before He said he had gone to private school before now.
I would have never hung out with a private school kid before. We talked all the way home, and I carried some of his books. He turned out to be a pretty cool kid. I asked him if he wanted to play a little football with my friendsHe said yes.
We hung out all weekend and the more I got to know Kyle, the more I liked him, and my friends thought the same of him. Monday morning came! , and there was Kyle with the huge stack of books again. I stopped him and said, "Boy, you are gonna really build some serious muscles with this pile of books everyday! " He just laughed and handed me half the books.  Over the next four years, Kyle and I became best friends. When we were seniors, we began to thin about college.
Kyle decided on Georgetown, and I was going to Duke. I knew that we would always be friends, that the miles would never be a problem. He was going to be a doctor, and I was going for business on a football scholarship.
Kyle was valedictorian of our class. I teased him all the time about being a nerd.
He had to prepare a speech for graduation. I was so glad it wasn't me having to get up there and speak
Graduation day, I saw Kyle. He looked great. He was one of those guys that really found himself during high school. He filled out and actually looked good in glasses. He had more dates than I had and all the girls loved him

Boy, sometime I was jealous. !Today was one of those days. I could see that he was nervous about his speech. So, I smacked him on the back and said, "Hey, big guy, you'll be great!"  He looked at me with one of those looks (the really grateful one) and smiled." Thanks," he said.
As he started his speech, he cleared his throat, and began "Graduation is a time to thank those who helped you make it through those tough years. Your parents, your teachers, your siblings, maybe a coach...but mostly your friends...I am here to tell all of you that being friend to someone is the best gift you can give them.
I am going to tell you a story."

I just looked at my friend with disbelief as he told the story of the first day we met. He had planned to kill himself over the weekend. He talked of how he had cleaned out his locker so his Mom wouldn't have to do it later and was carrying his stuff home. He looked hard at me and gave me a little smile."Thankfully, I was saved. My friend saved me from doing the unspeakable." I heard the gasp go through the crowd as this handsome, popular boy told us all about his weakest moment. I saw his Mom and dad looking at me and smiling that same grateful smile. Not until that moment did I realize it's depth. Never underestimate the power of your actions.
With one small gesture you can change a person's life. For better or for worse.
God puts us all in each other's lives to impact one another in some way.Look for God in others.You now have two choices, you can:
1) Pass this on to your friends or
2) Delete it and act like it didn't touch your heart.
As you can see, I took choice number 1.
"Friends are angels who lift us to our feet when our wings have trouble remembering how to fly."
There is no beginning or end..

Yesterday is history.
Tomorrow is mystery.
Today is a gift.
It's National Friendship Week Show your friends how much you care. Send this to everyone you consider a FRIEND.
If it comes back to you, then you'll know you have a circle of friends.
WHEN YOU RECEIVE THIS LETTER, YOU'RE REQUESTED TO SEND IT TO AT LEAST 10 PEOPLE, INCLUDING THE PERSON WHO SENT IT TO YOU.

 

 

 

De Madame Lily KHODARA 

LES PERLES du BAC 2006
Elles sont arrivées !!!!!

 

 

(En dessous le commentaire du correcteur)
-----------------------------

Comme Bonaparte, Jules César pouvait dicter plusieurs lettres à la fois, c'était un dictateur
(Eh oui)
Les dolmens étaient des espèces d'abribus postés tous les 100 mètres
(C'est ça)
L'histoire de Rome commence en 753 avenue Jésus-Christ.
(
ַça me laisse sans voix)
Les amazones étaient comme les femmes, mais encore plus méchantes.
(Misogyne)
Jeanne d'Arc voyait des apparitions invisibles.
(C'est pour ça qu'on l'a brûlée)
Au Moyen Age, la bonne santé n'avait pas encore été inventée.
(Eh non)
François 1er était le fils de François 0.
(qui était arrivé avec son cheval, etc.)
C'est Richelieu qui fonda la Star Acaéיmy française.
(Le con !)
Louis XV était l'arrère petit fils de son oncle Louis XIV.
(Ah, la famille)
La drôle de guerre, cependant, n'a fait rire personne.
(J'aime bien celle )
Le pôle est recouvert de glace: c'est la capote glaciaire.
(obsédé)
Dans le monde, il n'y a que la France qui n'est pas un pays étranger.
(C'est bien vrai !)
Le Mexique était autrefois, le pays des pastèques.
( ça m'en bouche un coin)
La Suisse est une fée des rations.
(On le sait, ce sont des rats)
La mer des caraïbes baigne les lentilles françaises.
(Entre autres)
L'eau de mer sert, en particulier, à remplir les océans.
(On y avait pas pensé)

On peut suivre une riviטre dans un sens en amont et dans l'autre sens en
l'avalant.
(Bon courage)
Les quatre points cardinaux sont le haut, le bas, l'est et l'ouest.
(C'est pourtant simple)
La Terre tourne en rond dans un sens et en travers dans l'autre sens.
( c'est pas très clair)
Socrate parlait beaucoup car il avait la langue bien pendante.
(Ben oui, ça donne soif)
Au pluriel, on dit des "cristaux" car il y a plusieurs cristals.
(Logique imparable)
Les devoirs il y a des conjugaisons s'appellent les devoirs conjugaux.
(Voila qui est bien dit)
Victor Hugo est à l'âge de 2 ans.
(Le pauvre)
Un sonnet est formé de deux quatrains et de deux tiercés.
(Gagnants bien sûr)
Toute sa vie, Montaigne a voulu écrire mais il n'a fait que des essais.
(J'aime bien aussi)
A la fin de sa vie, l'écrivain Hemingway s'est suicidé pour mettre fin à ses
jours.
(The end)
Un polygone est une figure qui a des côtés un peu partout.
(C'est à peu près ça !)
On dit qu'une ligne droite est perpendiculaire quand elle se met à tourner
d'un coup.
(Rouler bourré)
L'ovale est un cercle presque rond, mais quand même pas.
(Il ne faut pas exagérer)
Le losange est un carré tordu en biais.
(C'est pourtant vrai)
Le 0 est très utile, surtout si on le met derrière les autres nombres.
(Fils de banquier ?)
Un nombre réel est un nombre qu'on peut toucher du doigt.
(Fils de magicien ?)
La loi des probabilités s'appelle ainsi car on n'est pas sûr qu'elle existe.
(Peut-on en douter ?)
L'ordinateur peut faire plus de calculs que le cerveau de l'homme car il n'a
que ça à faire.
(La vérité !)

 

 

 

De Madame Patricia TUBIANA :

L’allégorie de la grenouille ...


Il était une fois une course ...Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : cid:001701c6fb83$d8d98760$0201a8c0@ALBERT Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : cid:001701c6fb83$d8d98760$0201a8c0@ALBERTDescription : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : cid:001701c6fb83$d8d98760$0201a8c0@ALBERTDescription : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : cid:001701c6fb83$d8d98760$0201a8c0@ALBERTDescription : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : cid:001701c6fb83$d8d98760$0201a8c0@ALBERTDescription : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : cid:001801c6fb83$d8de4250$0201a8c0@ALBERT de grenouilles

L’objectif était d’arriver en haut d’une grande tour.

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Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir.Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : mirenlo que esta muy bueno6Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : cid:001b01c6fb83$d8de4250$0201a8c0@ALBERTDescription : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : cid:001b01c6fb83$d8de4250$0201a8c0@ALBERTDescription : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : cid:001b01c6fb83$d8de4250$0201a8c0@ALBERT

 

La course commença.

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En fait, les gens ne croyaient pas possible que les grenouilles atteignent la cime et toutes les phrases que l’on entendit furent de ce genre :

Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : cid:001c01c6fb83$d8de4250$0201a8c0@ALBERT  "Inutile !!!
Elles n’y arriveront jamais!"



Les grenouilles commencèrent peu à peu à se décourager,

sauf une qui continua de grimper  et

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Les gens continuaient :

"... Vraiment pas la peine  !!! Elles n’y arriveront jamais!..."

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Et les grenouilles s’avouèrent vaincues, sauf une qui continuait envers et contre tout …

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A la fin, toutes abandonnèrent, sauf cette grenouille qui, seule et au prix d'un énorme effort, rejoignit la cime.

Les autres, stupéfaites, voulurent savoir comment elle avait fait.
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L’une d’entre elles s’approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l’épreuve.

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Et découvrit qu’elle...

 

Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : cid:001f01c6fb83$d8e0b350$0201a8c0@ALBERTétait sourde !

...

N'écoutez donc pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d’être négatives ...
car elles volent les meilleurs espoirs de votre coeur!

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Rappelez-vous du pouvoir qu’ont les mots que vous entendez
ou que vous lisez.

et soyez TOUJOURS

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POSITIF !

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En résumé :


Soyez toujours sourd quand quelqu’un vous dit

que vous ne pouvez réaliser vos rêves.

Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : Description : cid:002301c6fb83$d8e0b350$0201a8c0@ALBERTPortez-vous bien!

Renvoyez ce message à 5 personnes; cela contribuera peut-être à rendre le monde un peu meilleur…

 

 

 

LE 28.09.2006

 

 

Pour « étrenner » cette nouvelle Rubrique, voici un article de Georges Carlin que nous adresse  Madame Erella AZRIEL de Haïfa,  qui mérite que l’on en dise qu’il vaut son pesant d’or.

                                                                 Traduit de l’Anglais par Albert Pardo.

 

 

COMMENT  ETRE  HEUREUX 

ET RESTER JEUNE ?

 

C’EST FACILE ! IL N’Y A QU’A OBSERVER LES 10 REGLES SUIVANTES :

 

  1. Jetez les chiffres non essentiels : Age, Poids et Taille. Laissez vos médecins s’en inquiéter. C’est pour cela que vous les payez, non ?
  2. Gardez de vos amis SEULEMENT CEUX QUI SONT GAIS. Les grincheux vous démolissent.
  3. Continuez à apprendre. Apprenez plus à propos de l’ordinateur, des travaux manuels, du jardinage, de quoi que ce soit. Ne laissez jamais votre cerveau paresser. Un cerveau paresseux est l’atelier du démon. Et le nom de ce démon est : ALZHEIMER.
  4. Soyez heureux avec des choses simples.
  5. Riez souvent. Longtemps et fort. Riez jusqu’à perdre haleine.
  6. Les déchirements, les séparations d’avec ceux qu’on aime arrivent. Souffrez et supportez puis, fuyez-en la cause. La SEULE PERSONNE qui nous accompagne durant toute notre vie est nous-même. Soyez VIVANT pendant  que vous êtes ENCORE en VIE ;
  7. Entourez-vous de ceux que vous aimez : que ce soit la famille, les amis, les souvenirs, la musique, les plantes, les occupations favorites (hobbies) ou quoi que ce soit d’autre. VOTRE HOME EST VOTRE REFUGE ;
  8. Entretenez votre santé. Si elle est bonne, préservez-la. Si elle n’est pas solide, améliorez-la. Si cela est au-dessus de vos possibilités d’amélioration, DEMANDEZ DE L’AIDE ;
  9. EVITEZ DE VOUS CULPABILISER : faites une longue promenade ou un petit voyage ou, même, partez à l’étranger MAIS PAS VERS LA CULPABILITE ;
  10. Dites à ceux que vous aimez que vous les aimez : à chaque occasion.

 

 

 

RAPPELEZ-VOUS TOUJOURS

 

La VIE ne se mesure pas au nombre de respirations que nous prenons mais par les moments de détente. Partagez ceci avec quelqu’un. Nous avons tous besoin de vivre notre vie à son maximum, CHAQUE JOUR .

 

                                                        Georges CARLIN

 

o-o-o-o-o-o-o

 

Une mère entre dans la chambre de sa fille et trouve une lettre sur son lit. Avec beaucoup de réticence, elle décide de la lire, les mains tremblantes.

Chère maman,

C'est avec regret et tristesse que je t'annonce que je me suis enfuie avec mon nouvel amoureux. J'ai trouvé la vraie passion et il est vraiment gentil, avec tous ses piercings, ses tatous et sa grosse moto. Ce n'est pas tout. Je suis enceinte et Ahmed dit que nous serons très heureux dans sa maison mobile, en pleine forêt .Il veut beaucoup d'enfants et moi, tu sais, c'est mon plus grand rêve. J'ai appris que la marijuana n'est pas néfaste et nous avons décidé d'en cultiver pour nous et nos amis qui nous fournissent en cocaïne et en ecstasy. Je te demande de joindre tes prières aux nôtres pour que la science trouve un remède au SIDA ; Ahmed mérite vraiment de guérir. Surtout maman, ne t'inquiète pas. J'ai 15 ans et je sais prendre soin de moi Je te visiterai un jour pour te présenter tes petits-enfants. Ta fille qui t'aime, Julie

 P.S. : Maman, tout ça n'est qu'une blague. Je suis chez Mélanie. Je voulais seulement te montrer qu'il y a des choses pires que des mauvaises notes sur un bulletin. Tu trouveras le mien sur ma commode. Bisous

 

o-o-o-o-o-o-o

 

Le docteur sort de la chambre d’une malade et s’adresse au mari :

Vous savez Monsieur Durand, j’ai examiné votre épouse et je dois vous dire que je ne la trouve pas bien du tout !

-       Moi non plus répond l’homme, mais si vous saviez ce qu’elle a comme fric..

 

o-o-o-o-o-o-o

 

CHEZ  LA  MARCHANDE  DE REVES

 

Plongé dans mes pensées du moment tout en déambulant par les rues, je pris soudain conscience que je m’étais perdu dans ce quartier où je venais pour la première fois. Je me trouvais dans une rue étroite bordée, à droite et à gauche, de magasins fermés. Je lisais les noms de leurs anciens propriétaires sur les enseignes  et l’objet de leur commerce : Boulangerie, Charcuterie, Cordonnerie, Vins & Liqueurs, Droguerie, Boucherie, etc. Toutes ces boutiques avaient leurs  rideaux de fer tirés. Un air de tristesse régnait dans cette rue et cela me prenait à la gorge. Maintenant, rares étaient les rues qui ne ressemblaient pas à celle-ci à cause de la  désertification des petits commerces de proximité. Je me souviens que lorsque nous sommes arrivés à Marseille, un demi-siècle plus tôt, tous ces magasins étaient animés par la clientèle de passage ou des alentours, les rideaux de fer relevés et faisant apercevoir l’intérieur des boutiques et les devantures pleines de marchandises de toutes sortes, les vitrines éclairées  et exposants à la vue des passants les denrées proposées, les cris et les rires des enfants, les commères qui devisaient entre elles à haute voix à la porte de ces mêmes magasins et se donnant les nouvelles du moment. Il y avait de la joie, de la gaîté, de la VIE,  remplacées maintenant par ce silence de mort qui provoquait en moi un sentiment de tristesse indéfinissable. Hélas, les supermarchés et les grandes surfaces ont tué ce genre de petit commerce pour toujours. A un certain moment, perdu dans mes pensées, je relevais la tête et O ! miracle ! j’ai aperçu une toute petite boutique ouverte portant sur son enseigne  ces mots ‘’LA MARCHANDE DE REVES’’ et en dessous, en  caractères plus petits,  ‘’ Madame ESPERANZA ‘’. Tout heureux de voir un signe de vie dans cette rue déserte, j’y suis entré sans réfléchir. Une gentille personne d’un certain âge vint au devant de moi et me dit avec un grand et doux sourire :

-       Bonjour, monsieur, quy-a-t’il pour votre service ?

J’ai hésité un moment et lui ai ensuite demandé :

-     Ainsi, vous vendez des rêves ?

-     Oui, oui, me répondit-elle, tous genres de rêves  et de souhaits.  En voulez-vous ?

J’ai hésité encore un petit moment et puis je me suis jeté à l’eau :

-      Combien valent les rêves  et à quel prix sont les souhaits ?

-      Oh ! il y en a à tous les prix ! Combien voulez-vous mettre ?

-      Je ne sais pas, moi, ….disons dix euros !

-      Dix euros ? Vous n’aurez pas grand chose avec dix euros !

-      Vous ne pouvez pas me donner une idée de ce que vous proposez et du prix de chaque rêve  et de chaque souhait ?

-      Je n’impose pas les rêves, c’est au client de dire ce qu’il aimerait  rêver ou les souhaits qu’il voudrait voir exaucés et moi je fixe les prix. Mais je vais vous faciliter les choses : Voulez-vous rêver au passé ou à l’avenir ? Par exemple : voulez-vous rêver de vos amours anciennes ou futures ? de votre santé passée ou de celle que vous aurez ? de votre beauté de jeunesse ou de celle de l’âge mûr ? de votre situation financière  précédente ou celle à  venir ? D’autre part, souhaitez-vous la richesse, ou préférez-vous la jeunesse, la santé, l’amour ? Prenez votre temps, réfléchissez et faites-moi part de vos désirs profonds. A propos, si vous désirez cumuler plusieurs souhaits et plusieurs rêves en même temps et que leur prix  total s’avérait important, je vous signale que je fais des facilités de paiement qui peuvent s’échelonner jusqu’à six mois. Elle m’avança une chaise, près d’une petite table sur laquelle se trouvaient un calepin et un stylo-bille et elle s’éclipsa.

 

On croit que c’est facile d’émettre des souhaits ou de désirer avoir des rêves plus ou moins mirobolants mais j’ai constaté rapidement que c’est beaucoup plus difficile que je ne le pensais. Mais enfin ! que pouvais-je souhaiter ? La richesse ? pourquoi faire ? Grâce au ciel, mes enfants et leurs familles  sont à l’abri du besoin et quant à mon épouse et à moi, nous nous suffisons avec ce que nous avons. Après tout, à nos âges, nous ne mangeons pas énormément, nous sortons moins souvent qu’auparavant, nous limitons nos voyages à nos possibilités physiques et nos garde-robes sont largement pourvues. A quoi servirait-il d’avoir encore et encore des sous que nous ne pourrions pas utiliser et qui nous causeraient des soucis  pour les placer judicieusement ? La Bourse ne dégringole-t-elle pas tous les jours et depuis un certain temps déjà ? Non, non,  il vaut mieux laisser ce souhait-là  à ceux qui sont dépourvus d’argent, n’est-ce pas ?

Quant à la santé, il faut être raisonnable ! Nous ne pouvons pas nous en plaindre étant donné nos âges respectifs, mon épouse et moi. Enfin, nous ne sommes pas de la première jeunesse ! Nous ne pouvons donc pas demander l’impossible, c’est à dire des années nombreuses et une santé de fer ! Quelques petits ennuis mécaniques d’ici et de là sont, après tout, supportables, n’est-ce pas ?

Pour ce qui est de l’Amour, là nous sommes entièrement satisfaits. Vous ne trouverez pas de nombreux couples comme nous qui fêteraient  bientôt leur soixantième année de mariage dans la sérénité, le bonheur, l’affection et l’amour que nous éprouvons l’un pour l’autre  Alors, que demander de plus ? ! N’est-ce pas ?

Pour l’âge, il ne faut pas exagérer non plus ! Personnellement, je ne souhaite avoir ni un jour, ni une année, ni une décade de moins afin de regagner le temps qui est passé ou bien de paraître plus jeune. Déjà et je le dis sans fausse modestie, tout le monde me donne dix ans de moins que mon âge qui est déjà respectable  ! Alors ? que désirer de plus ?  Ce n’est pas que je sois  pressé de passer l’arme à gauche, dans l’autre monde, non, car la vie est trop belle malgré les petites misères de l’existence  mais je crains surtout  de tomber dans la sénilité, la dépendance ou toutes autres maladies attachées au Grand Age. Alors, je laisse voir venir. C’est raisonnable, n’est-ce pas ?

Arrivé là de mes pensées, la Marchande de Rêve revint me voir et me demanda : 

-    Alors ? avez-vous choisi ?

Je lui ai fait part de tout ce qui précède et elle me dit :

-      Mon bon Monsieur, je n’ai jamais eu affaire à quelqu’un tel que vous. De tous ceux qui viennent ici, personne n’est content de son sort et tous ont des souhaits plus ou moins mirobolants ; vous êtes, je crois, l’exception qui confirme la règle.

Alors je lui ai dit :

-      Et pour les rêves ?

-      Je pense franchement que vous n’en avez pas besoin puisque vous êtes si content de votre sort. Vous êtes un homme heureux et je vous envie.

-      Vraiment ? Vous n’auriez quand même pas un tout petit rêve pour moi ?

-      J’ai beau chercher je n’en trouve pas et, en tous cas, c’est à vous de m’annoncer les rêves que vous désirez voir réalisés afin que je leur fasse prendre corps ! Si vous n’en avez pas, je ne peux rien pour vous.

-      Des rêves ? oh ! oui ! Puis-je vous faire une confidence ? Toutes les nuits, j’ai un ou plusieurs rêves dont la plupart sont agréables ; rares sont les mauvais rêves et ceux-là, je les oublie dès mon réveil.

-      Tout ce que je peux faire pour vous, c’est vous donner ce conseil : Ecrivez vos rêves, vos souhaits  et vos expériences de la vie et racontez-les autour de vous. Vous ferez plaisir à vos lecteurs  et à vous-même !

 

                                                                    Propos à Tire-Larigot

                                                                             Albert Pardo

 

 

 

 

 

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