Pourquoi ce
site ? Le Courrier
des lecteurs Les envois des lecteurs Le coin de la poésie Les cahiers de Mimi Le coin de l’humour
Le Chemin de la Sagesse et du Bonheur L’Univers du Rêve Les
Nourritures Temporelles L’Egypte que j’ai connue
Faisons connaissance De Fil en Aiguille, A Bâtons
Rompus Kan ya
ma kan L’étreinte du passé témoignages & Souvenirs
Si-Berto
m’était conté timbres poste d’Egypte
Le mot du rédacteur Sites Internet Me contacter
DE FIL EN
AIGUILLE, A BATONS ROMPUS :
Septembre 2014
GRAINES DE
SAGESSE
La véritable richesse ne
se compte pas en louis d’or mais en amis sincères.
Notre bonheur ne dépend
pas de ce que nous possédons mais de ce que nous sommes.
Si tu veux la sérénité,
arrête ta poursuite effrénée des biens matériels, fuit la compagnie de ceux qui
t’incommodent et plonge-toi dans des
lectures enrichissantes.
Le temps c’est la
Vie ! si tu le tue, c’est que tu es en train de
te suicider.
Comme je plains ceux qui
cherchent à « tuer le temps ».
Savourer chaque minute qui
passe est un art qui peut se pratiquer par chacun de nous
sans étude ni
apprentissage : il suffit de le désirer.
ETRE JEUNE
La jeunesse n’est pas une
période de la vie, elle est un état d’esprit, un effet de la volonté, une
qualité de l’imagination, une intensité émotive, une victoire du courage sur la
timidité, du goût de l’aventure
sur l’amour du confort.
On ne devient pas vieux
pour avoir vécu un certain nombre d’années, on devient vieux parce que on a
déserté son idéal. Les années rident la peau, renoncer à son idéal ride l’âme.
Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis
qui, lentement, nous font pencher vers la terre
et devenir poussière avant
la mort.
Jeune est celui qui
s’étonne et s’émerveille. Il demande comme l’enfant insatiable ; et
après ? Il défie
les évènements et trouve de
la joie au jeu de la vie.
Vous êtes aussi jeune que
votre foi. Aussi vieux que votre doute. Aussi jeune que votre confiance en
vous-même. Aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que votre abattement.
Vous resterez jeune tant
que vous resterez réceptif. Réceptif à ce qui est beau, bon et grand.
Réceptif aux messages de
la nature, de l’homme et de l’infini.
Si un jour, votre cœur
allait être mordu par le pessimisme et rongé par le cynisme, puisse Dieu
avoir pitié de votre âme de
vieillard.
Général Mac Arthur 1945
Mai 2014
Reçu le 8 janvier 2014 de Madame Germain
LEVY :
LE CONCOMBRE
EST UN VRAI PETIT BIJOU!
Je savais qu'il fait
fuir les fourmis, mais après cette lecture, vous n'allez plus vous en
passer!
>
1. Les concombres contiennent la plupart des
vitamines dont on a besoin tous les jours : un seul concombre contient de la
Vitamine B1, B2, B3, B5, B6, de l'acide folique, de la vitamine C, du calcium,
du fer, du magnésium, du phosphore, du potassium et du zinc.
2. Vous ressentez de la fatigue au beau milieu
de l'après-midi, laissez tomber votre boisson caféinée
et mangez un concombre, excellente source de vitamine B et de glucides qui
faciliteront une récupération rapide qui se prolongera durant des heures.
3. Votre miroir de salle de bain est tout embué
après la douche? Frottez une tranche de
concombre sur le miroir; ça élimine la buée en plus d'embaumer l'air d'une
odeur agréable qui rappelle le SPA.
4. Les asticots et les limaces envahissent vos
plantes? Prenez quelques tranches de concombre
et déposez dans un moule à tartes en aluminium et votre jardin en sera
débarrassé. La réaction chimique entre
le concombre et l'aluminium produit une odeur imperceptible pour les humains
mais repoussante pour les insectes nuisibles qui les chasse et les fait fuir
l'endroit.
5. Vous cherchez un moyen rapide et efficace de
vous débarrasser de la cellulite sans avoir à sortir ou aller à la
piscine? Frotter de quelques tranches de
concombre la surface concernée durant quelques minutes : la substance physio-chimique du concombre favorise le resserrement du
collagène et raffermit la surface extérieure de la peau et ainsi, réduit la
visibilité de la cellulite. C'est aussi efficace sur les rides!!!
6. Vous voulez vous
éviter la «gueule de bois» ou un terrible mal de tête? Mangez quelques tranches de concombre avant
de vous coucher. Vous vous réveillerez
frais et dispos. Les concombres
contiennent assez de sucre, de vitamine B et d'électrolytes pour récupérer les
nutriments perdus et en maintenant l'équilibre et ainsi, évitant les
«lendemains de veille» et les maux de tête.
7. Pour combattre ces
«petits creux» en plein après-midi, les concombres ont été consommés depuis des
siècles et ont souvent servi aux trappeurs,
commerçants et explorateurs comme repas rapides pour combler leur faim.
8. Vous vous préparez à un rendez-vous ou une
entrevue d'emploi et vous réalisez que vous n'avez pas le temps de polir vos
chaussures? Coupez une tranche de
concombre et frottez-en vos souliers : ses propriétés chimiques procurent un reflet rapide et durable qui non
seulement paraît bien mais aussi qui est imperméable.
9. Votre aérosol WD40
est vide et vous voulez arrêter le grincement d'une porte? Prenez une tranche
de concombre, frottez-le sur la charnière et voilà, plus de grincement!
10. Vous souffrez de stress extrême et n'avez pas
le temps pour un massage, un facial ou un visite au
spa? Coupez un concombre entier et
placez-le dans un contenant d'eau bouillante : ses propriétés chimiques et ses
nutriments réagiront au contact de l'eau bouillante et s'évaporeront en
répandant un arôme reposant et relaxant reconnu pour réduire le stress chez les
nouvelles mamans et les étudiants à la veille d'examens.
11. Vous sortez d'un dîner d'affaires et réalisez
que vous n'avez pas de gomme ou de menthes?
Demandez une tranche de concombre à la serveuse et collez-la au palais
en pressant avec la langue durant 30 secondes pour éliminer la mauvaise
haleine. Ses propriétés physio-chimiques tueront la bactérie qui en est responsable
dans votre bouche .
12. Vous cherchez une façon «verte» de nettoyer
les robinets, les éviers ou l'acier inoxydable?
Prenez une tranche de concombre et frottez-la sur la surface à nettoyer
: non seulement ça va faire disparaître des années de saletés mais aussi, ça ne
fera aucun mal à vos doigts et vos
ongles.
13. Vous écrivez à l'encre et faites une
erreur? Frottez l'extérieur d'un
concombre pour effacer l'erreur. C'est
aussi efficace avec les crayons de
couleur et les marqueurs que les enfant
prennent pour décorer les murs.
Transférez ceci aux
gens en quête de meilleurs moyens sécuritaires de résoudre les problèmes de
tous les jours.
Reçu le 20 janvier 2014 de Solange & Marcello
VAÏS :
Imagines que chaque matin, une banque t’ouvre
un compte de 86400 euros. Simplement, il y a deux règles à respecter :
PREMIERE REGLE : tout ce que tu n’as pas
dépensé dans la journée t’es retiré le soir. Tu ne
peux pas tricher, ne peux virer cet argent sur un autre compte, ne peux que le
dépenser mais chaque matin au réveil, la banque t’ouvre un nouveau compte, avec
à nouveau 86400 euros pour la journée.
DEUXIEME REGLE : La Banque peut
interrompre ce « jeu » sans préavis : à
n’importe quel moment elle peut te dire que c’est fini, qu’elle ferme le
compte, qu’il n’y aura pas d’autre. Que ferais- tu ? Tu dépenseras chaque euro
à te faire plaisir ? Ou offrir quantités de cadeaux aux gens que tu aimes ? Tu
feras en sorte d’utiliser chaque euro pour apporter du bonheur dans ta vie et
ceux qui t’entourent, n’est-ce pas ? Cette banque magique, nous l’avons tous,
c’est LE TEMPS. Chaque matin, au réveil, nous sommes crédités de 86400 secondes
de vie pour la journée et lorsque nous nous endormons le soir, il n’y a pas de
report. Ce qui n’a pas été vécu dans la journée est perdu, hier vient de
passer. Chaque matin, cette magie recommence. Nous jouons avec cette règle
incontournable : la banque peut fermer notre compte à n’importe quel moment,
sans préavis, à tout moment la vie peut d’arrêter. A lors
que faisons nous de nos
86400 secondes quotidiennes ?
La vie est courte même pour ceux qui passent
leur temps à la trouver longue.
Alors profitez-en. Bonne journée mon vieux ! On est riches !!!
LA MORALE DE CETTE HISTOIRE, VIVEZ
PLEINEMENT.
Reçu le 14 février
2014 de Mademoiselle Sylvana PARDO :
L'EAU DANS LE FOUR MICRO-ONDES
> > >
> Il faut absolument se donner 30
secondes pour lire ce qui suit.
> > >
> C’est un phénomène connu et sous estimé!
> > >
> De nombreuses personnes ne sont pas
au courant...
> > >
> Lire texte reçu ce jour :
> > >
> " Il y a environ cinq jours,
mon fils de 26 ans décide de prendre une
tasse de café instantané. Il prend une
tasse d'eau et l'a met dans le four
micro -ondes, pour la réchauffer (quelque chose qu' il avait fait à
maintes reprises).
> > >
>
> > >
> Je ne sais pas exactement combien de temps il a mis sur la minuterie mais il m'
a dit qu' il voulait porter sa tasse à ébullition.
> > >
> Lorsque la minuterie s' est arrêtée,
il enlève la tasse du four micro onde
> > >
> En prenant la tasse, il note que l' eau ne bouillait pas.
> > >
>
> > >
> Soudain l' eau de la tasse, "explose" vers son visage.
> > >
> La tasse semblait normale jusqu’à
ce que toute l'eau lui éclate au visage
dû à une accumulation d' énergie.
> > >
> Il a a
subi des brûlures au premier et deuxième
degré au visage, qui restera probablement marquer.
> > >
> De plus, il a perdu partiellement
la vue de son œil gauche.
> > >
> Lorsqu'il est arrivé à l' hôpital, le médecin lui a dit que c'était un fait
courant, et que l'eau seule ne devrait
JAMAIS être réchauffée au four
micro-ondes :
> > >
> Si l' eau est mise pour être réchauffée de cette manière,
> > >
> quelque chose d' autre doit être introduit dans la tasse, tel un bâton de
> > >
> bois ou une poche de thé (sans agrafe
métallique), afin de diffuser l' énergie.
> > >
> Voici ce qu'un
professeur de sciences nous dit sur
le sujet :
> > >
> "J'ai déjà constaté ce genre d' événement dans le passé. Ceci est causé par un phénomène connu sous le nom de sur-échauffement.
> > >
> Ça se produit lorsque l' eau est chauffée et plus
particulièrement lorsque le contenant est neuf... Ce qui se produit est que l' eau se réchauffe
plus rapidement que les bulles de vapeur
qui peuvent se produire. Considérant que
les bulles ne peuvent se former et dégager la chaleur accumulée, le liquide ne bout
pas, chauffe, chauffe, et dépasse son
point d' ébullition.
> > >
> Lorsque l'eau est déplacée
soudainement, il se produit un choc
thermique suffisant pour causer la
création rapide de bulles qui expulsent l' eau chaude. La formation rapide de bulles
est également la raison pour laquelle
les liquides carbonisés (Coca, Bière,Champagne), se
déversent violemment lorsqu’ ils sont
agités avant de les ouvrir."
> > >
> Prière de faire circuler ces informations aux personnes que vous connaissez afin de prévenir des blessures
graves et éviter de la souffrance aux
autres.
Francine DESCHENES Infirmière, B.Sc.
Assistante-recherche
clinique en pneumologie Hôpital Laval,
PS Tout aliment
passé au micro onde
continue à cuire lorsqu'on le sort
puisque les molécules sollicitées par les ondes sont toujours en action. C
'est pourquoi il ne faut jamais
manger directement ce qui sort du micro onde
TACHEZ
D’ETRE HEUREUX…
Le texte qui suit date de
300 ans.
Il reste d’actualité...
Auteur Inconnu
Allez
tranquillement parmi le vacarme et la hâte et souvenez-vous de la paix qui peut
exister dans le silence. Sans aliénation, vivez autant que possible en bons
termes avec toute personne. Dites doucement et clairement vote vérité et
écoutez les autres, même le simple d’esprit et l’ignorant : ils ont eux
aussi leur histoire. Evitez les individus bruyants et agressifs, ils sont une
vexation pour l’esprit. Ne vous comparez avec personne : vous risquerez de
devenir vain ou vaniteux. Il y a toujours plus grands et plus petits que vous.
Soyez toujours intéressé à votre carrière, si modeste soit-elle ; c’est
une véritable possession dans les prospérités changeantes du temps. Soyez
prudent dans vos affaires…car le monde est plein de fourberies. Mais ne soyez
pas aveuglé en ce qui concerne la vertu qui existe ; plusieurs individus
recherchent les grands idéaux et partout la vie est remplie d’héroïsme. Soyez
vous-même. Surtout n’affectez pas l’amitié. Non plus ne soyez cynique en amour
car il est en face de toute stérilité et de tout désenchantement aussi éternel
que l’herbe. Prenez avec bonté le conseil des années, en renonçant avec grâce à
votre jeunesse. Fortifiez une puissance d’esprit pour vous protéger en cas de
malheur soudain. Mais ne chagrinez pas avec vos chimères. De nombreuses peurs
naissent de la fatigue et de
Trouvé dans une vieille église de Baltimore en
1962, auteur inconnu.
Janvier 2014
Reçu le 17 novembre 2013 de Isaac &
Irène SCHALOM cette belle pensée :
“Family isn't always blood. It's the people in your life who want you in
theirs; The ones who accept you for what you are. The
ones who would do anything to see you smile; And who
love you no matter what.”
-o-o-o-o-o-o-o-o-
COMMENT
ALLEZ-VOUS ?
A partir d’un
certain âge, on commence à subir des maux plus ou moins douloureux et, parfois,
très douloureux. Alors, il y a ceux qui se plaignent, d’autres qui râlent et,
les moins nombreux, les stoïques, qui gardent leur souffrance pour eux.
L’expérience m’a appris ceci : Lorsque quelqu’un me
demande « comment vas-tu », je dis toujours « ça va très bien,
merci » même si je me tords de douleur…Pourquoi ? Parce que si le
demandeur est un être cher, membre de la famille ou un bon ami, si je dis que
ça va mal, cela lui fera de la peine sans
qu’il puisse me soulager. Sans compter que le fait de ressasser mes
douleurs cela me déprime. Et si le demandeur est un faux ami qui me veut du
mal, il exultera en lui-même de me voir souffrir… Alors qu’en disant que je
vais très bien, d’une part ça le fait râler et de l’autre, à force de le
répéter, je me sens mieux…
Reçu le 25 décembre 2013 de Madame Erella AZRIEL :
POUR LES FERUS DE LA
LANGUE FRANÇAISE :
QUELQUES
"ASTUCES" QUE VOUS NE CONNAISSIEZ PEUT-ETRE PAS.
·
Le plus long mot palindrome de la langue française
est« ressasser». C'est-à-dire qu’il se lit dans les deux sens.
·
« Institutionnalisation » est le plus long
lipogramme en « e ». C'est-à-dire qu'il ne comporte aucun « e ».
·
L'anagramme de « guérison » est « soigneur » C'est-à-dire
que le mot comprend les mêmes lettres
·
« Endolori » est l'anagramme de son antonyme «
indolore », ce qui est paradoxal.
·
«Squelette» est le seul mot masculin qui se finit
en «ette ».
·
« Où » est le seul mot contenant un « u » avec un
accent grave. Il a aussi une touche de clavier à lui tout seul !
·
Le mot « simple » ne rime avec aucun autre mot.
Tout comme « triomphe », « quatorze », « quinze », « pauvre », « meurtre , «
monstre », « belge », « goinfre » ou « larve ».
·
« Délice », « amour » et « orgue » ont la
particularité d'être de genre masculin et deviennent féminin à la forme
plurielle. Toutefois, peu sont ceux qui acceptent l'amour au pluriel. C'est
ainsi!
·
« Oiseaux » est, avec 7 lettres, le plus long mot
dont on ne prononce aucune des lettres : [o], [i], [s], [e], [a], [u], [x] , «
oiseau » est aussi le plus petit mot de langue française contenant toutes les
voyelles. Eh oui !
Reçu le 26 Septembre 2013 de
Solange et Marcello VAÏS :
C'est une très belle histoire, elle vaut la peine dêtre lue.
|
Puis, elle leur dit de penser à ce qu'ils pouvaient dire de plus
gentil au sujet de chaque camarade et de le noter à côté de chacun des
noms. Cela prit toute une heure jusqu'à ce que tous aient fini et avant de
quitter la salle de classe, les élèves remirent leur copie à la prof.
Le
week-end, la prof écrivit le nom de chaque élève sur une feuille et à
côté toutes les remarques gentilles que les autres avaient écrit au sujet de
chacun.
Le
lundi, elle donna à chaque élève sa liste.
Peu de temps après, tous souriaient.
« Vraiment? » entendait-on chuchoter...
« Je ne savais pas que j'avais de l'importance pour quelqu'un!
Je ne savais pas que les autres m'aimaient tant était les commentaires que l'on
entendait dans la salle de classe.
Personne ne parla plus jamais de cette liste. La prof ne savait pas si les
élèves en avaient parlé entre eux ou avec leurs parents, mais cela
n'avait pas d'importance. L'exercice avait rempli sa fonction. Les élèves
étaient satisfaits d'eux-mêmes et des autres.
Quelques années plus tard, un élève tomba, mort au Vietnam et la prof alla à
l'enterrement de cet élève.
L'église
était comble. Beaucoup d'amis étaient là. L'un après l'autre, ils
s'approchèrent du cercueil pour lui adresser un dernier adieu. La prof alla en
dernier et elle trembla devant le cercueil. Un des soldats présents lui demanda
Est-ce que vous étiez la prof de maths de Marc. Elle hocha la tête et dit : oui. Alors, il lui dit : » Marc a
souvent parlé de vous. »
Après
l'enterrement, la plupart des amis de Marc s'étaient réunis.
Les parents de Marc étaient aussi là et ils attendaient impatiemment de pouvoir
parler à la prof.
«
Nous voulions vous montrer quelque chose. » dit le père de Marc et il sortit
son portefeuille de sa poche. « On a trouvé cela quand Marc est tombé à la
guerre. Nous pensions que vous le
reconnaîtriez. » Il sortit du portefeuille un papier très usé qui avait dû être
recollé, déplié et replié très souvent.
Sans
le regarder, la prof savait que c'était l'une des feuilles de la fameuse liste
des élèves contenant beaucoup de gentilles remarques écrites à l'époque par les
camarades de classe au sujet de Marc.
«
Nous aimerions vous remercier pour ce que vous avez fait. » Dit la mère
de Marc « Comme vous pouvez le constater, Marc a beaucoup apprécié ce geste.
Tous
les anciens élèves se réunirent autour de la prof.
Charlie sourit et dit : » J'ai encore ma liste. Elle se trouve dans le premier
tiroir de mon bureau. »
La femme de Chuck dit : « Chuck m'a prié de la coller dans notre album de
mariage. »
« Moi aussi, j'ai encore la mienne, » dit Marilyn « Elle est dans mon journal
intime »
Puis, Vicky, une autre élève, prit son agenda et montra sa liste tout usée aux
autres personnes présentes. » Je l'ai toujours avec moi, » dit Vicky et elle
ajouta : » nous l'avons tous gardée. »
La
prof était si émue qu'elle dut s'asseoir et elle pleura.
Elle pleurait pour Marc et pour tous ses amis qui ne le reverraient plus
jamais.
Dans
le quotidien avec les autres, nous oublions trop souvent que toute vie s'arrête
un jour et que nous ne savons pas quand ce jour arrivera.
C'est
pourquoi il est important de dire aux personnes, que l'on aime et qui nous sont
importantes, qu'elles sont particulières et importantes. Dis le leur avant qu'il ne soit trop tard.
Tu peux aussi le faire en continuant d'envoyer cette histoire. Si tu ne le fais
pas, tu vas rater une occasion de faire quelque chose de bien.
Si tu as reçu ce courriel, c'est que quelqu'un pense à toi et que tu as de
l'importance pour au moins une personne.
Si tu es trop occupé, et ne peux pas t'accorder quelques minutes
pour l'envoyer, c'est dommage.
Pense que tu récoltes ce que tu sèmes. Ce que l'on apporte dans la vie des
autres, on le reçoit aussi dans sa propre vie en retour.
Ce
jour doit être un jour béni et quelque chose d'aussi important que tu l'es. Ne
te pose pas de question, joues-y tout simplement!
Envoie
ce message à dix personnes, et aussi à celle qui te l'a envoyé.
Bonne journée!
Reçu le 24 octobre 2013 de Madame
INVITATION DE LA FOLIE !
(fable de Jean de la Fontaine)
La
Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle.Tous les invités y allèrent.
Après le café la Folie proposa :
-
On joue à cache-cache ?
-
Cache-cache ? C'est quoi, ça ? demanda la Curiosité.
- Cache-cache est un
jeu.
Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez. Quand j'ai fini de
compter … je cherche, et le premier que je trouve sera le prochain à compter.
Tous
acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse.
-1,
2, 3… La Folie commença à compter.
L'Empressement se cacha le
premier, n'importe où.
La
Timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe d'arbre.
La
Joie courut au milieu du jardin.
La
Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit
approprié pour se cacher.
L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de
lui derrière un rocher.
La Folie continuait de
compter tandis que ses amis se cachaient.
Le Désespoir était désespéré en
voyant que la Folie était déjà à 99.
CENT
! cria la Folie, je vais commencer à chercher ...
La
première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait
pu s'empêcher de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier
découvert.
En
regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus d'une
clôture ne sachant pas de quel côté il serait mieux caché.
Et
ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité ...
Quand
ils étaient tous réunis, la Curiosité demanda : - Où est l'Amour ? Personne ne
l'avait vu.
La
Folie commença à le chercher. Elle chercha au-dessus d'une montagne,
dans les rivières au pied des rochers. Mais elle ne trouvait pas l'Amour.
Cherchant
de tous côtés, la Folie vit un rosier, prit un bout de bois et
commença à chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri :
c'était l'Amour, qui criait parce
qu'une épine lui avait crevé un œil.
La
Folie ne savait pas quoi faire. Elle s'excusa, implora l'Amour pour avoir son
pardon et alla jusqu'à lui promettre de le suivre pour toujours.
L'Amour accepta les
excuses.
Aujourd'hui, l'Amour
est aveugle et la Folie
l'accompagne toujours ... ... ...
Joli,
n’est-ce pas ! ?
Mai 2013
Reçu le 30 janvier 2013 de Madame
Et le 13 février de Madame Germaine
LEVY :
L'EAU DANS LE FOUR MICRO-ONDES IMPORTANT : DANGER EVENTUEL
|
DEVINETTE
d’Albert
PARDO
A une Correspondante qui souhaitait discrètement
connaître mon âge, j’ai écrit ceci :
Vous m’avez communiqué votre date de
naissance et je vous en remercie. Avant de vous donner la mienne, je vais vous
poser une devinette :
a) De "caractère", j'ai trente
ans. Car j'aime toujours la vie, les amis, les réceptions, les sorties, les
voyages, la danse et la bonne humeur.
b) De " coeur",
j'ai vingt ans puisque j'aime la même
femme depuis toujours.
c) " Dans ma tête " j'ai 35 ans car
j'aime les responsabilités, les occupations, le travail bien fait, la lecture
et l'écriture.
d) " D'espoir ", j'ai cent ans et
plus car j'espère vivre le plus longtemps possible en bonne santé parce que la
vie est belle malgré tous les désagréments qui l'accompagnent.
e) " D'innocence " j'ai un an car
je crois en la bonté de l'Homme malgré que je me suis
laissé "attraper" à plus d'une reprise.
QUEL EST
MON AGE ?
Si vous ne trouvez pas, je vous donnerais
la réponse dans mon prochain mail.
Amitiés.
A. P.
Janvier 2013
Reçu le 12 novembre 2012 de Madame Ety DIDAY :
CAILLOT
DE SANG !!! A LIRE ABSOLUMENT !!!
Autant le reconnaître car on ne sait jamais de quoi
tantôt ou demain sera fait.
Caillot de sang/attaque cérébrale :Ils
ont découvert un quatrième indicateur: la langue.
Je continuerai de transférer ce document toutes les fois que je le
recevrai !C'est important,Faites circuler
ce courriel, vous pourriez sauver la vied’un de vos
amis; c’est sérieux !
ATTAQUE CÉRÉBRALE : pour ceux qui comprennent
l’anglais, rappelez-vous des trois premières lettres du mot : STROKE (qui veut
dire attaque) :S.T.R.
- COMMENT IDENTIFIER UNE ATTAQUE CÉRÉBRALE: Ça ne
prend qu’une minute pour lire ceci…
Un neurologue a dit que s’il pouvait soigner une personne victime
d’une attaque cérébrale dans les 3 heures, il pouvait renverser totalement les
dommages....TOTALEMENT !
Il a dit aussi qu’il est assez difficile de reconnaître une
attaque cérébrale, la diagnostiquer et emmener le patient à l’hôpital dans les
3 heures.
RECONNAITRE UNE ATTAQUE CÉRÉBRALE :
Sachez retenir ces trois étapes : S.T.R.
Quelques fois les symptômes d’une attaque cérébrale sont difficiles
à identifier. Malheureusement, le manque de vigilance est synonyme de désastre
dans certains cas.
La victime d’une telle attaque pourrait souffrir de sévères
dommages au cerveau si les personnes autour d’elle n’arrivent pas à identifier
ces symptômes.
Maintenant, les médecins disent qu’un spectateur peut reconnaître
une attaque cérébrale en posant troisquestions
simples :
S * (smile) Demandez
à la personne de sourire.
T * (Talk) Demandez à la personne de parler, de dire
une phrase simple avec
cohérence (Exemple
: il fait beau aujourd'hui)
R *(raise both
arms) Demandez
lui de lever les deux bras.
Si la personne a des difficultés à exécuter l’une ou l’autre de
ces tâches, appelez immédiatement le 112 et décrivez les symptômes à la
personne en bout de ligne.
Nouveau signe d’une attaque cérébrale : Tirer la langue !
À NOTER : Un autre “signe” d’une attaque cérébrale a
été découvert : demandez à la personne de tirer
Un cardiologue a dit que si chaque personne qui reçoit ce courriel
l’envoie à 10 personnes; vous pouvez parier qu’au moins une vie sera sauvée.
J’ai fait
ma part, et toi ?
Reçu
le 8 décembre 2012 de nos amis Solange et Marcello VAïS :
TRES IMPORTANT
J'ai
reçu un appel téléphonique hier soir d'un individu s'identifiant comme
appartenant au service de France Telecom qui effectuait un essai sur les lignes
téléphoniques. Il mentionne que pour compléter l'essai, je dois appuyer sur le
neuf(9), le zéro(0), la touche dièse (#) et puis raccrocher.
Heureusement, j'étais méfiant et j'ai refusé.
En contactant la compagnie de téléphone, j'ai été informé qu'en appuyant
sur les touches (9, 0, et #) vous donnez
entièrement accès à l'individu de se servir de votre ligne téléphonique et vous
lui permettez de faire des appels interurbains qui seront facturés à votre
numéro de téléphone de la maison.
J'ai également été informé que cette
fraude provient de plusieurs prisons locales.
Donc N'APPUYEZ PAS sur les touches 9, 0, et # pour PERSONNE Le service de
sécurité GTE demande à ce que je partage cette information avec TOUS CEUX ET
CELLES que JE CONNAIS.
Après
vérification auprès de France Telecom, ils ont confirmé c'était vrai,
donc soyez vigilants ! VEUILLEZ FAIRE CIRCULER. Merci !!!
Septembre 2012
COMMENT BIEN VIVRE JUSQU'A 120 ANS
Grâce à mon Site, je me suis fait de
nombreux Amis dans plusieurs Pays. L’un d’eux m’a adressé ses vœux à l’occasion
de mon 93eme anniversaire et a ajouté cette phrase :
La prochaine fois, tu mettras sur ton Site ta bonne recette :
Comment bien vivre jusqu’à 120 ans…
Voici la réponse que je lui ai
adressée :
Cher
Ami : Après mûre réflexion, je réponds à ta demande
:
Hélas,
je n’ai aucun secret ni aucune recette miracle à recommander à autrui pour bien vivre jusqu’à 120
ans et,
à mon humble avis, je ne pense pas qu’il existe de recette miracle pour vivre longtemps ET en bonne santé.
Mais
je connais des comportements pour vivre agréablement, sainement et avec bonheur
et d’autres, pour souffrir physiquement et moralement et écourter ainsi, SUREMENT, son
existence.
Pour
le premier cas, il faut aimer les gens en commençant par sa propre
famille : Son conjoint, ses enfants, son entourage (voisins, collègues de
travail etc.) et avoir des amis sincères avec qui on peut passer son temps
libre agréablement : sorties, visites et réceptions, excursions, clubs,
voyages, etc…
A
propos d’amis, il est indispensable d’en avoir ceux et celles avec qui on
s’entend parfaitement et ne pas hésiter à s’écarter de ceux qui ont des défauts
graves et qui finissent par semer la zizanie et la haine entre les uns et les
autres. Mais il ne faut jamais oublier cet adage :
IL FAUT TOUJOURS DEFAIRE ET NE JAMAIS DECHIRER L’AMITIE.
(Voir plus bas :L’Art de G arder
ses Amis ou La Charte des Croulants)
Quant
à sa propre famille, il est indispensable que les conjoints s’aiment et se
respectent et donnent TOUJOURS le bon exemple aux enfants. Nous venons
de fêter notre 68 ème anniversaire de mariage et je
suis sûr que ces années nous ont procuré le maximum de bonheur qui, peut-être,
contribue à notre longévité : chi lo sa ?
D’autre
part, il y a malheureusement ceux qui ont mauvais caractère et une vie dissolue . Ils
sont à couteau tiré avec tout le monde : famille, voisins, entourage
et font des excès dans TOUS les
domaines : bouffe, alcool, cigarettes,
veilles, jeux d’argent, sexe, etc. Ce sont des comportements qui, sûrement, contribuent à
écourter leur existence.
L’Art de Garder ses Amis
ou
Qu’est-ce
qu’un Croulant ?
Un
Croulant est une personne, homme ou femme, ayant dépassé
En
général, le Croulant fait partie de l’une de ces deux catégories :
- LES SOLITAIRES : ceux qui aiment vivre
seuls et
- Les GREGAIRES :
, ceux qui aiment vivre avec les autres.
Pour
les premiers, il n’y a aucun problème : aimant vivre seuls, ils
continueront paisiblement leur parcours habituel. C’est pour les grégaires que
les choses risquent de se compliquer. Pourquoi ? C’est que, pour un
septuagénaire grégaire, une ou plusieurs choses changent
fondamentalement plus ou moins en lui, suivant les individus mais, indubitablement
pour tous, au moins ces trois-là : LE BESOIN DE LIBERTE, LE CARACTERE
et
LE
BESOIN DE LIBERTE : Ce besoin se manifeste souvent durant les
sorties et les voyages. A cause de défaillances physiques différentes et
propres à chaque Croulant, nombreux sont ceux ou celles qui ne peuvent
plus faire ce qui leur était très facile auparavant :, le sommeil, la bouffe, la boisson, les promenades la
danse, etc.
Pour
qu’un voyage en compagnie d’amis procure le maximum de plaisir aux uns et
aux autres, il ne faut jamais oublier cet adage : « la
liberté des uns s’arrête là où la liberté des autres commence » Il
faudrait donc que chacun ne ressente aucune contrainte
envers ses compagnons du moment : il prendra son petit déjeuner à l’heure
qui lui plaira, il ira se promener avec eux ou non si cela lui fera
plaisir ou pas, il fera une petite ou une longue sieste ou pas du tout comme ça
lui chante, il prendra ou non l’apéritif avec eux sans que cela soit une OBLIGATION.
Le
soir, après dîner, il assistera ou non aux animations et, enfin, il ira dormir
à l’heure qu’il désirera sans que ses compagnons ne considèrent qu’il les fuit.
Cette
LIBERTE des uns envers les autres procurera à TOUS des grandes satisfactions et
les incitera à répéter les occasions de sortir et de
voyager ensemble,
LE
CARACTERE : Ah ! le caractère ! Là,
c’est encore plus grave suivant les individus : avec l’âge, certains qui
étaient jusqu’à là gentils, serviables, patients et
généreux, deviendront plus ou moins impatients, nerveux, acariâtres,
susceptibles, radins, soupe au lait, etc. Alors, que faire ? Il n’y a pas
cinquante méthodes, je n’en connais que d’eux : ou bien aller se réfugier
dans
Encore
une chose fondamentale : ne jamais oublier que « les bons
comptes font les bons amis »
.
Marseille, le 25 mai 1989
Reçu le 26 mai 2012 de Madame Germaine LEVY
un diaporama qui contient le texte qui suit, du Mahatma GANDHI :
MON DIEU
Mon
Dieu, si tu me donnes de l’argent, ne me prends pas mon bonheur. Et si tu me
donnes la force, ne m’enlève pas mon pouvoir de raisonner.
Si
tu me donnes le succès, ne m’ôte pas l’humilité. Si tu me donnes l’humilité, ne
m’ôte pas
Mon Dieu, ne me
laisses pas m’enivrer par le succès si je l’atteint,
ni me désespérer si j’échoue. Fais-moi plutôt me souvenir que l’échec est
l’épreuve qui conduit au succès.
Mon Dieu, enseigne-moi que la tolérance est le degré le plus élevé de la force
et que le désir de vengeance est la première manifestation de la faiblesse.
Mon
Dieu, si tu me dépouilles des richesses, laisse-moi l’espérance. Et si tu me
dépouilles du succès, laisse-moi la force de volonté pour pouvoir vaincre
l’échec. Si tu me dépouilles du don de la santé, laisse-moi la grâce de la Foi.
Mon
Dieu, si je fais du tort à quelqu’un, donnes-moi la force de demander pardon.
Et si quelqu’un me fait du tort, donnes-moi la force du pardon et de la
clémence.
Mon
Dieu, enseigne-moi à aimer les autres comme je m’aime moi-même et à me juger
comme je juge les autres.
Mon
Dieu, aide-moi à dire la vérité en face des forts et à ne pas mentir pour
m’attirer les applaudissements des faibles. Amen. Amen. Amen.
P E N S E E S
A chaque âge son comportement
Heureux
celui qui a été jeune pendant sa jeunesse et « sage » l’âge venu.
Nous
désirons tous vivre vieux mais refusons de l’être.
C’est
plaisant d’arriver à un grand âge mais pas de l’avoir.
Vieillir
est le meilleur moyen de vivre longtemps.
Vieillir c’est
passer de la passion à la compassion.
Dans les yeux d’un jeune brille la flamme, dans les yeux d’un vieux brille la
lumière.
Mai 2012
Reçu le 24 janvier 2012 de Madame Erella
AZRIEL :
Reçu le 14 avril 2012 de Madame Lily
KHODARA : TU NE SAVAIS PAS
Un message que tous les
adultes devraient lire. Les enfants vous
observent beaucoup sans que vous le réalisiez! Ils font ce qu’ils
voient et non ce qu’on leur dit! Lorsque
tu ne me regardais pas, je t’ai vu accrocher au mur ma
première peinture et j’ai voulu immédiatement en produire une deuxième……. Lorsque
tu ne me regardais pas, je t’ai vu nourrir un chat perdu et j’ai compris
qu’il fallait être bon pour les animaux….. Lorsque
tu ne me regardais pas, je t’ai vu préparer mon gâteau préféré, pour moi,
alors j’ai compris que les petits gestes sont très importantes
dans la vie…… Lorsque
tu ne me regardais pas, je t’ai
entendu prier et j’ai compris qu’il y avait un Dieu et que je pouvais lui
parler et avoir confiance en Lui…. Lorsque
tu ne me regardais pas, je t’ai vu préparer un repas et
aller le porter à un ami qui était malade et j’ai compris qu’il faut
s’entraider les uns les autres... Lorsque
tu ne me regardais pas, je t’ai vu donner du temps et de
l’argent des gens nécessiteux et j’ai compris ceux qui le peuvent
doivent aider ceux qui en ont le besoin… Lorsque tu ne me regardais pas, je t’ai vu
nettoyer la maison et voir aux besoins de chacun de nous et j’ai compris
qu’il fallait respecter les autres et prendre soin de ce qui leur
appartient… Lorsque tu ne me regardais pas, je t’ai vu prendre tes responsabilités au sérieux, même quand tu ne
te sentais pas bien et j’ai compris à être un adulte responsable Lorsque tu ne me regardais pas, j’ai vu des larmes dans tes yeux et j’ai compris qu’il y a des choses
qui nous font souffrir et que l’on peut pleurer… Lorsque tu ne me regardais pas, j’ai vu comment tu nous aimais et j’ai voulu devenir la
meilleure personne qui m’était possible d’être, comme toi… Lorsque tu ne me regardais pas, j’ai appris de toi toutes les leçons importantes de la vie que
j’avais besoin pour devenir une personne productive en grandissant… Lorsque tu ne me regardais pas, je te regardais et voulais te dire merci pour toutes les choses que
je t’ai vues faire pendant que tu ne me regardais pas J’envoie ce document à toutes les personnes que je connais
qui font tellement pour les autres mais ne réalisent même pas qu’il y a
des petits yeux qui les observent constamment ! Chacun de nous ( parents, grand-parents, tantes, oncles, enseignants ou amis )
influence la vie d’un enfant. Comment vais-je toucher la vie de
quelqu’un aujourd’hui? Seulement en envoyant ce texte à quelqu’un
d’autre, tu vas certainement au moins le ou la faire réfléchir sur son
influence sur les autres. Prêcher par l’exemple………….Il
s’agit d’y penser!
-o-o-o-o-o-o-o-o-o-
|
Janvier 2012
Reçu le 16 novembre 2011 de Madame Etty GABRIEL,ce
magnifique texte de Monsieur Yaacon Ben DENOUN :
M E H I L A
C’est un mot
Hebreu qui signifie PARDON
A ceux que j'ai mal aimés,
ou insuffisamment, ou sans allant.
A ceux que j'ai
mécontentés, et qui peuvent m'en vouloir,
Qui se sont sentis touchés
par mes paroles, mes postures, mes faiblesses.
MEHILA
Aux malades que je n'ai
pas visités, aux parents qui m'attendaient,
A ceux à qui j'ai refusé
un geste de justice, un don ou une offrande,
A ceux que j'ai laissés
seuls, sans secours, sans affection.
MEHILA
Aux amis que j'ai déçus, à
ceux qui espéraient de moi plus qu'une consolation,
A ceux qui cherchaient ma présence,
à ceux qui me guettaient du regard,
A ceux qui dans le silence
découvraient l'absence et la prière insatisfaite.
MEHILA
Aux intentions louables, à
mes actes manqués, à l'apparente indifférence,
Aux illusions perdues, aux
rêves imparfaits, aux appels à la chance,
Aux ambitions ultimes, aux
horizons ouverts, aux regrets de l'enfance.
MEHILA
A ceux qui me sont
proches, qui me frôlent le coeur,
Aux fleuves qui
descendent, aux ruisseaux qui remontent,
A la chère incandescence
dans des yeux si peu croisés.
MEHILA
De n'être qu'un souffle,
qu'une exaspération,
De n'être pas sensible aux
tiédeurs de la patience,
A ces incertitudes que
souvent j'affectionne.
MEHILA
De n'être pas intime avec
la perfection,
De ne vouloir les cimes
que par ma prétention,
Et d'oublier la vie qui
palpite et s'enflamme.
MEHILA
De vouloir, d'essayer,
souhait certainement futile,
De ne pas arriver à
embrasser ce monde,
A irriguer ma vie de sèves
de contentement.
MEHILA
Pour mes errances, pour
mes pensées inquiètes,
Pour l'appel à la danse,
pour mon pas qui s'arrête,
Pour n'être pas à l'heure,
à votre rendez-vous.
MEHILA
Pour avoir interrompu
votre quiétude, pour la colère rentrée,
Pour le sort qui nous est
fait, pour ces hivers si rudes,
Pour ne pas être souvent
le héraut de la cause qui vous est chère.
MEHILA
Pour ce temps que nous
partageons, qui ne vous honore pas,
Pour ces murmures
fébriles, ces embrassades furtives,
Pour ces mots de vermeille
qui n'ont pas pris l'envol.
MEHILA
De ne pas saisir le
bonheur de vivre dans votre sillage,
De chercher toujours
ailleurs les liens de l'arrimage,
De regarder vers l'Est des
passions de mon âge.
MEHILA
De ne pas avoir la
ressource de vous aimer plus fort,
Mes amis, mes soleils, mes
compagnons du jour,
De vous porter ombrage en désespérant
encore.
MEHILA
Aux bras délaissés, aux
mains qui s’entrouvraient,
A ce destin fébrile qui
préparait mes pas,
A ces déconvenues
précédant le départ.
MEHILA
Pour ces chemins qui
parfois nous invitent,
Pour ces désirs
torrentiels qui irriguent nos jours,
Pour l’appel de la route,
le rêve d’un ciel plus bleu.
MEHILA
Pour ces regrets que j’ai
pu mettre au monde,
Pour mes paroles sevrées
de l’amour qui est dû,
Pour ces brisures du temps
devenus des parcours.
MEHILA
Pour ces étoiles qui
brillaient dans mon ciel,
Pour l’éclat des prières,
pour l’or des espérances,
Pour ces envies d’azur
aussi fragiles qu’un jour.
MEHILA
Pour mes égarements, pour
les roses fanées,
Pour les herbes jaunies et
les tiges tremblantes,
Pour l’étincelle de vie,
pour la sève dormante.
MEHILA
Pour les écueils, les
rochers aiguisés,
Pour la proue des navires
qui venaient s’y figer,
Pour mon coeur insensible à vos peines intimes.
MEHILA
Pour ces liens distendus,
pour ces maillons épars,
Pour cette âme de passeur,
pour l’envie de donner,
Pour n’avoir pas transmis
ce qui lors pouvait l’être.
MEHILA
Pour ces colères, pour ces
coups de tonnerre,
Pour ces vagues venues
d’océans rugissants,
Pour ces tumultes
inutiles, ces rumeurs aux bruits creux.
MEHILA
Pour ces plaintes, pour
ces lamentations,
Pour les murmures du vent,
les sifflements sonores,
Pour cette conscience de
soi complaisante à l’excès.
MEHILA
Je reviens sur mes pas,
Pour changer d’horizon.
MEHILA
Que votre regard me
pardonne
Avant que les portes se
referment.
MEHILA
Pour ces chants qui ne
sont plus, pour le passé des passions,
Pour tous ces rires
diffus, pour ces traces d'émotion.
Je vais encore vous dire,
le plus tendrement du monde,
Ce mot de l'affliction qui
deviendra la joie.
MEHILA, à tous, MEHILA
Il faut agir en homme de
pensée et penser en homme d’action.
Le mal ne triomphe que par
l'inaction des hommes de bien.
Octobre 2011
A PROPOS
DE FALAFEL
Albert Pardo
Cette
préparation originaire d’Egypte est en train d’envahir le monde entier et elle
le mérite bien pour toutes ses qualités : nourrissante, succulente et peu
chère. J’en rappelle ici ma recette qui se trouve dans mon Site dans la
Rubrique LES NOURRITURES TEMPORELLES à la Section : Les Incontournables.
recette facile et rapide
Voici une
spécialité succulente de la cuisine égyptienne. Mais sa préparation habituelle
demande tant de temps que presque plus personne ne la confectionne chez soi. Cependant, on trouve dans les
épiceries orientales et dans les boucheries cachère des paquets de falafel en poudre dont le goût s’en rapproche beaucoup.
Voici une recette améliorée qui, sans contexte, vous fera retrouver le goût des
falafels de notre enfance. La seule différence est
qu’elle est composée à base de pois chiches au lieu de fèves sèches.
Ingrédients : 1 paquet de falafel
en poudre – 1 morceau de pain de 20 gr. environ – le vert d’un petit poireau –
10 brins de persil plat – autant de coriandre verte ou, à défaut, ½ cuiller à café de graines de coriandre
légèrement grillées et moulues – autant de cumin – une gousse d’ail
(facultatif) – la moitié d’un petit oignon (facultatif) un peu de poivre ou de
piment ou les deux (facultatif) des graines de sésame (facultatif) du sel et de
l’huile
Préparation : Tremper le pain et l’essorer à la main.
Hacher menu avec le couteau, le vert de poireau, le persil, la coriandre verte,
l’ail et l’oignon. Mettre le tout, avec les épices et le pain, dans le hachoir
électrique pour obtenir une pâte homogène. Former des petites boulettes aplaties.
Garnir le dessus de chaque falafel d’une large pincée
de sésame.
Chauffer fortement
l’huile dans une poêle et y glisser les falafels avec
précaution à cause des projections d’huile chaude éventuelles. Il faut que les falafels soient bien frits des deux côtes.
Accompagnés d’une
salade baladi, d’une salade de tehhina,
de pita et d’une bière bien fraîche,
vous vous retrouverez transportés au Caire, Alexandrie, Port-Saïd ou
Ras-el-Barr…
Mais on ne peut
pas parler de FALAFEL sans évoquer son
compagnon inséparrable, LE FOUL MEDAMMESS. Les voici, tous les deux,
tirés de mon article intitulé :
Riches ou pauvres, la majorité des
Égyptiens et de nombreux Européens prennent le petit déjeuner hors de la
maison.
Le choix est vaste et varié mais le plus
courant des petits déjeuners est un sandwich de foul medammess* ou de falafel*, appelé aussi taameya*. Le foul est une
variété de fève sèche qu’on met à bouillir dans de l’eau, à feu doux, toute la
nuit avec une petite quantité de lentilles rouges qui finissent par fondre en
donnant une belle coloration au foul. Quant au falafel ou taameya c’est du foul mis à tremper puis finement moulu avec
de l'oignon frais, ail, persil, coriandre, cumin, sel, etc., Cette pâte est,
ensuite, transformée en boulettes frites dans l’huile. Dans chaque rue
populaire égyptienne, il y a un ou plusieurs restaurants de foul et falafel. C’est la nourriture
habituelle des gens de petite condition qui en consomment plusieurs fois par
semaine, matin, midi et soir. Mais tout le monde en consomme également, riches
ou pauvres, Égyptiens ou Européens car c’est très bon.
Il y a aussi les marchands ambulants
qui s’installent très tôt dans les rues pour servir ceux qui se rendent à leur
travail ou à l’école sans pouvoir s’attabler dans un restaurant populaire, par
manque de temps. Entre ces marchands, il y avait une concurrence effrénée pour
retenir ou augmenter la clientèle. Il y en avait plusieurs sur le chemin de mon
école.
Un sandwich de foul medammess se compose habituellement d’un
petit pain rond et plat dans lequel le marchand enfourne une louche de foul, une ou deux
cuillerées de salade verte, composée de laitue, tomates, concombres, oignons,
persil, le tout coupé menu, une cuillerée de tehhina, (genre de crème préparée
avec des graines de sésame écrasées et assaisonnée) et, enfin, de l’huile, du
jus de citron et du sel. Il mélange le tout intimement et remet ce sandwich au
client, dans un morceau de papier journal. C’est délicieux et consistant.
Quant au sandwich falafel, il comporte toujours le
petit pain rond dans lequel le vendeur met quatre ou cinq boulettes de falafel accompagnées de salade verte et de tehhina.
Mais, pour attirer le chaland, chacun
ajoutait un petit quelque chose en plus et,
celui qui avait ma faveur, ajoutait au sandwich de foul, en plus de tous les
ingrédients énumérés plus haut, un demi œuf dur et une boulette de falafel.
Malgré le prix modique auquel ils vendaient
leur marchandise, certains d’entre eux firent bâtir des immeubles de
rapport ! En hiver, on préférait
parfois prendre un plat de belila chaud. La belila est une
variété de blé rond qu’on fait bouillir avec de l’eau et du lait, comme les
flocons d’avoine. Une grande bassine contenait cette bouillie, sous laquelle brûlait
une petite flamme pour la maintenir chaude car, en refroidissant, elle se
figeait. Quand vous demandiez une belila, le marchand prenait un bol et y mettait :
trois cuillerées de sucre en poudre, une louche de belila, un jet de lait frais, une
noix de beurre, une cuillerée de raisins secs, une giclée d’eau de fleurs
d’orangers, une cuillerée de noisettes pilées, une autre de noix de coco râpée,
quelques pignons de pins, une pincée de cannelle en poudre… et j’en oublie. On
pouvait ajouter, à volonté, chacun suivant son goût, un surplus de lait, de
sucre ou de cannelle.
Ceux qui, pourtant, aiment un petit
déjeuner consistant mais désirent changer du foul medammess ou du falafel habituels ou encore de la
belila,
n’ont que l’embarras du choix. Composé de
lentilles entières et de riz cuits ensembles, le kochari se sert dans de petites
assiettes profondes. Avec des gestes rapides ponctués de coups de louche sur la
bassine ad hoc, le marchand y prélève rapidement plusieurs louches de kochari, très peu
remplies, et construit dans l’assiette un
petit monticule bien symétrique, sur la cime duquel il ajoute, avec ses
doigts, une petite quantité d’oignon frit, grossièrement haché, dont il a
préparé une haute pyramide sur une desserte à pied, dès potron-minet.
Le vendeur de makarona est souvent un ambulant. Il utilise une
variété de très gros macaronis bouillis, dont il remplit une assiette qu’il
asperge de sauce tomate. La sauce se trouve dans des bouteilles fermées par un
bouchon en bois, troué, qui est à l’origine une bobine de fil vide dont il a
enlevé un côté pour l’enfoncer dans la bouteille. Il y a même deux sauces
tomate différentes : la normale et la piquante qui contient de poivre de
Cayenne, pour ouvrir l’appétit. Mais si on préfère un petit déjeuner sucré,
il est difficile de choisir tant le choix est vaste.
La kounafa est un genre de
vermicelle cuite au four avec du beurre et arrosée d’un léger sirop de sucre et
d’eau de fleurs d’orangers. La baklawa est faite de couches alternées de mille feuilles et
de noix pilées et recouverte du même sirop que la kounafa. La bassboussa, préparée avec de la semoule, du beurre et du sucre est
géométriquement recouverte d’amandes entières émondées, de sorte que lorsque le
plateau est découpé en losanges, chaque portion en comporte une en son centre.
Au moment de la servir, toute chaude, le
marchand l’arrose d’une ou deux petites cuillerées de beurre fondu. Eeche el saraya,
littéralement « pain du palais », est un genre de bassboussa
recouverte de crème fraîche épaisse. Mehalabeyya oué rozz : riz cuit dans
un flan composé d’amidon comestible, d’eau et de sucre, arrosé d’eau de fleurs
d’orangers ou d’eau de roses.
Je me souviens d’un
vieux vendeur de mehalabeyya oué rozz qui
partait de grand matin de chez lui, poussant une voiture vitrée des quatre
côtés et comportant plusieurs claies superposées sur lesquelles étaient posées
les petites assiettes contenant ce flan. Il criait à longueur de journée « méhalabeyya
oué rozz » et
parfois, simplement « r.o.o.o.o.z.z. »
en allongeant cette syllabe. Il rentrait très tard le soir chez lui car il attendait la sortie
des cinémas populaires pour écouler ce qui lui restait de marchandise. Après
quoi, tout en poussant sa voiturette vide, dans les rues sombres et désertes, à
moitié endormi, il murmurait d’une voix faible, par habitude ou pour se tenir
compagnie « r.o.o.o.o.z.z.»
bien qu’il n’eut plus rien à vendre ni client en perspective.
Fetir mechalttete: une pâte à l’eau divisée en tas gros
comme un petit poing. Le pâtissier prenait une des boules, l’aplatissait du
plat de la main puis la laminait avec un rouleau à pâtisserie ; quand elle
atteignait un certain diamètre, il saisissait cette feuille de ses deux mains
rapprochées, pouces au dessus, les autres doigts en
dessous, l’arrachait du marbre, la projetait en l’air sans la lâcher tout en
lui imprimant un mouvement circulaire et
la plaquait enfin sur le marbre.
Et encore et encore et, à chaque fois, la pâte s’étendait comme par magie, sans
se déchirer. Lorsqu’il jugeait qu’elle avait un diamètre suffisant, il
rabattait les pans en son centre plusieurs fois, de façon à former un carré d’une vingtaine de
centimètres de côté, qu’il mettait alors au four. Dix minutes plus tard, elle
était cuite et il la servait toute chaude, nappée de beurre fondu et recouverte
de sucre glace. Les raffinés la
préféraient salée. Alors, avant de rabattre les pans et de l’enfourner, il
cassait en son centre un ou deux oeufs entiers qu’il
malaxait de ses doigts, avec un gros morceau de fromage blanc féta.
Fameux ! Kobeba :
composée d’une pâte de semoule et de farine, elle avait la forme d’un obus
pointu des deux côtés, d’une dizaine de centimètres de longueur, farcie de
viande et d’oignons frits, le tout haché
menu.
Au Mousky, quartier
des affaires, un vendeur de kobéba transportait
sa marchandise, maintenue chaude dans un four portatif et criait, en
français : « chic, magnifique,
sympathique, el Kobéba » ce qui
faisait rire les passants et les incitaient à en acheter. Enfin, des dizaines
d’autres pâtisseries salées ou sucrées constituaient de petits déjeuners pour
leurs amateurs, sans compter les innombrables gâteaux, croissants,
kaisers, chtanguels, kiefels,
et autres variétés européennes.
Tiré
de mon livre : L’EGYPTE QUE J’AI CONNUE .
-o-o-o-o-o-o-
Reçu le 11 juin 2011 de Monsieur Clément DASSA :
INTERESSANT !!! > > |
Reçu le 8 juillet 2011 de Madame Lily
KHODARA :
"LE CHINOIS ET LE
RIZ"
LEÇON DE VIE, TOUTE
SIMPLE !
>
Un homme mettait des fleurs sur la tombe
de son épouse, quand il vit un chinois déposer un bol de riz sur la tombe
voisine.
> L'homme
s'adressa au chinois et lui demanda :
> « Excusez moi,
Monsieur, pensez vous que le défunt viendra manger le
riz ? »
> « Oui »
répondit le chinois très calmement « quand le votre
viendra sentir les fleurs… »
> Moralité :
Respecter les opinions des
autres, c'est une des plus grandes vertus que peut avoir un être humain.
> Les personnes sont différentes, donc
agissent différemment, pensent différemment.
> Ne jugez
pas … mais essayez de comprendre, si vous ne le pouvez pas, alors oubliez…
> Rappelle-toi des 5 règles pour être
heureux :
>
> 1- Libère
ton cœur des rancœurs
> 2- Libère ton esprit des soucis
> 3- Vis simplement
> 4- Donne plus
> 5- Espère moins
>
> Et n'oublie pas que « Vieillir est obligatoire, mais grandir est
un choix.
*********
Reçu le 12 juillet 2011 de Madame Lucie CALAMARO :
N’ARRETEZ JAMAIS
N'arrêtez
jamais de
montrer vos sentiments
quand vous êtes heureux.
Plusieurs personnes seront ravies de votre bonheur.
N'arrêtez jamais
d'essayer des nouvelles choses.
Vous pourriez être étonnés des résultats !
Ne prenez jamais
le poids du monde entier sur vos
épaules.
Il ne faut jamais se sentir menacé par l'avenir.
Il faut vivre un jour à la fois !
Ne vous sentez jamais
coupable pour le passé.
Ce qui est fait est fait.
Il suffit d'apprendre de vos erreurs et vous dire que
n'importe qui aurait pu les faire à votre place.
Ne croyez jamais
que vous êtes seuls.
Il y a toujours quelqu'un qui est là... et qui attend pour vous
aider.
N'oubliez jamais
que vous pouvez réaliser
de belles choses que vous ne pouvez même pas imaginer...
Ce n'est pas aussi difficile que vous croyez.
N'arrêtez jamais d'aimer..
N'arrêtez jamais de croire...
N'arrêtez jamais de rêver
-o-o-o-o-o-o-
Reçu le 19 septembre 2011 de Madame Rosette COHEN :
UNE HISTOIRE DE FEVES
J'étais à l'épicerie du coin en
train d'acheter des pommes de terre nouvelles.. J'ai
remarqué un petit garçon, d'ossature délicate, pauvrement vêtu, mais propre,
regardant avec envie un panier de fèves vertes fraîchement cueillies.
J'avais déjà payé pour mes pommes de terre, mais je me suis arrêté aux fèves
vertes. J'adore la soupe aux fèves et aux patates. Choisissant des fèves, je ne
pus m'empêcher d'entendre la conversation entre Monsieur Miller (le propriétaire
du magasin) et le pauvre garçon qui était à côté de moi.
« Allo Barry, comment vas-tu aujourd'hui ? »
« Allo M. Miller, ça va bien merci, j'étais juste en train d'admirer vos fèves.
Elles ont l'air vraiment très bonnes. »
« Elles sont bonnes Barry. Comment va ta mère ? »
« Bien. Elle n'arrête pas de prendre du mieux. »
« Bien. Puis-je faire quelque chose pour toi ? »
« Non Monsieur, je ne faisais qu'admirer ces fèves. »
« Voudrais-tu en rapporter à la maison ? » demanda M. Miller.
« Non Monsieur, je n'ai rien pour les payer. »
« Et bien, que pourrais-tu me donner en échange de quelques fèves ? »
« Tout ce que j'ai, c'est ma précieuse bille que voici. »
« C'est une vraie ? Laisse-moi la voir. » dit M.
Miller
« Voici, elle est de qualité. »
« Oui, je peux voir ça. Hmmmm, la seule chose c'est
qu'elle est bleue et j'en recherche une rouge vif. En
as-tu une rouge comme ça chez toi ? »
« Pas rouge vif, mais presque... »
Tu sais quoi, ramènes ce sac de fèves avec toi à la maison et quand tu
repasseras dans le coin, tu me montreras cette bille rouge » lui dit M...
Miller. « Bien sûr M. Miller. Merci. »
Madame Miller, qui était debout juste à côté, est venue pour m'aider... Avec un
sourire, elle a dit « Il y a 2 autres garçons comme lui dans notre quartier, les
trois sont dans des conditions vraiment précaires. Jim adore marchander avec
eux pour des fèves, des pommes, des tomates ou n'importe quoi d'autre.
Lorsqu'ils reviennent avec leurs billes rouges, et ils le font toujours, Jim
décide que finalement il ne veut plus de rouge et les renvoie chez eux avec un
sac d'une autre marchandise en échange d'une bille verte ou une orange,
lorsqu'ils reviendront au magasin. »
J'ai quitté le magasin avec un sourire au coeur,
impressionné par cet homme. Peu de temps après je suis déménagé au Colorado,
mais je n'avais jamais oublié l'histoire de cet homme, les garçons et leurs
marchandages de billes.
Plusieurs années passèrent, chacune plus rapidement que les précédentes.
Récemment j'ai eu l'occasion de visiter de vieux amis dans ce quartier de
l'Idaho et pendant que j'y étais, ce M. Miller est décédé.
Il y avait les funérailles ce soir-là et sachant que mes amis désiraient s'y
rendre, je les ai accompagnés. À notre arrivée au salon, nous étions dans une
ligne pour rencontrer les personnes éprouvées et leur offrir nos sympathies.
Devant nous dans la ligne il y avait trois jeunes hommes. L'un d'eux était en
uniforme d'armée et les deux autres hommes étaient bien coiffés, en habits
noirs et chemises blanches... tous paraissant vraiment bien. Ils s'approchèrent
de Madame Miller, qui était debout calme et souriante à côté du cercueil de son
mari. Chacun des trois jeunes hommes lui fit une caresse, l'embrassa sur la
joue, lui parla brièvement et s'approcha du cercueil.
Ses yeux bleus clairs rougis les suivirent et, un par un, chacun des jeunes
hommes s'arrêta brièvement et mis sa main tout au-dessus de la main pâle et
froide dans le cercueil. Chacun d'eux sortit maladroitement du salon, en
essuyant leurs yeux.
C'était notre tour de rencontrer Mme Miller. Je lui ai dit qui j'étais et lui
rappela l'histoire d'il y avait longtemps et ce qu'elle m'avait raconté
concernant les marchandages de billes. Avec ses yeux brillants, elle prit ma
main et me conduit au cercueil.
« Ces trois jeunes hommes qui viennent juste de quitter étaient les garçons
dont je vous parlais. Ils viennent tout juste de me dire combien ils avaient
apprécié la façon dont Jim les "marchandait". Maintenant, finalement,
puisque Jim ne pouvait plus changer d'idée concernant la couleur ou la grosseur
de la bille... ils sont venus payer leur dette. »
« Nous n'avons jamais eu l'occasion de faire fortune dans ce monde" me
confia t'elle « Mais présentement, Jim se serait considéré comme l'homme le
plus riche de l'Idaho. »
Avec tendresse, elle leva les doigts de son mari décédé. En dessous de sa main
se trouvaient trois billes d'un rouge éclatant.
La morale: On ne se souviendra pas de nous par nos paroles, mais par nos bonnes
actions... La vie ne se mesure pas par le nombre de respirations que nous
prenons, mais par les moments qui font que l'on retient notre respiration...
Aujourd'hui je vous souhaite une journée remplie de ces petits bonheurs - Du
café frais que vous n'avez pas préparé vous-même... Un coup de téléphone d'un
vieil ami... Des feux verts sur votre chemin pour vous rendre au travail... La
ligne la plus rapide à l'épicerie... Une bonne chanson à la radio... Vos clés
retrouvées à la même place que vous les aviez laissées..
Envoie ce message aux personnes que tu n'oublieras jamais... Je viens juste de
le faire...
Si tu ne l'envoies pas à personne, ça veut dire que tu es trop occupé avec
toutes sortes de choses, même pas capable de voir les petits bonheurs
lorsqu'ils arrivent.
CE N'EST PAS CE QUE TU RÉCOLTES, MAIS CE QUE TU SÈMES QUI DIT QUEL GENRE DE VIE
TU AS VÉCUE
-o-o-o-o-o-o-
QUELQUES
PENSEES.
La Bruyère :
- Il n’y a pour
l’Homme que trois évènements : naître, vivre et mourir ; or, il ne se
sent pas naître, il souffre à mourir et IL OUBLIE DE VIVRE..
- Il faut rire
avant d’être heureux, de peur de mourir sans avoir ri.
Charles
Singer :
Le désir de
l’oiseau, c’est le ciel.
Le désir de la main, c’est la caresse.
Le désir de
l’oreille, c’est la musique.
Le désir des yeux,
c’est l’arc-en-ciel.
Le désir des lèvres, c’est le baiser.
Le désir de la
foi, c’est l’infini.
Quand naît le
désir, la fête commence.
Auteur
Inconnu : LE SOURIRE.
Un sourire ne
coûte rien et produit beaucoup.
Il enrichit ceux qui le reçoivent sans appauvrir ceux qui le donnent.
Il ne dure qu’un
instant mais son souvenir est parfois
éternel.
Personne n’est
assez riche pour s’en passer
Personne n’est
assez pauvre pour ne pas le mériter.
Il crée le bonheur
au foyer, soutient les affaires,
Il est le signe
sensible de l’Amitié.
Un sourire donne
du repos à l’être fatigué, rend du courage aux plus découragés.
Il ne peut ni
s’acheter, ni se prêter, ni se voler car c’est une chose qui n’a de valeur qu’à
partir du moment où il se donne.
Et si quelquefois
vous rencontrez une personne qui ne sait plus avoir le sourire,
Soyez généreux,
donnez-lui le vôtre car nul n’a autant besoin d’un sourire que celui qui ne
peut donner aux autres.
-o-o-o-o-o-o-
Reçu le 26.09.2011 de Monsieur Alain
BENBASSAT :
COMMENT
SURVIVRE A UNE CRISE CARDIAQUE
Imagine-toi qu’il est 19 h.15 et que tu
es en train de rentrer chez toi en voiture (seul bien sûr) après une journée particulièrement chargée.
Tu es vraiment fatigué et irrité en plus. Tu es très stressé et ne sais plus très bien comment te sortir d’un problème
particulier..
Soudain, tu ressens une douleur aiguë
dans la poitrine qui irradie dans le bras et vers la mâchoire. Tu n’es qu’à 5
km de l’Hôpital le plus proche. Hélas, tu n’es pas certain de pouvoir y
parvenir
Que fais-tu maintenant ? Tu es
entraîné au massage cardiaque mais l’entraîneur ne t’as pas appris à t’en faire
un à toi-même…Comment survivre à une crise cardiaque quand on est seul ?
Comme la plupart des gens sont seuls quand
ils subissent une crise cardiaque (en l’absence d’aide immédiate) leur cœur va
se mettre à battre irrégulièrement et ils seront pris d’étourdissement. Cela
prend à peu près 10 secondes avant que
le sujet ne perde conscience. Que dois-tu faire si cela t’arrive ?
R
E P O N S E
Ne panique pas. Commence à tousser fortement
et de manière répétée. Inspire fortement avant chaque toux. La toux doit être
profonde et soutenue comme pou chasser
de la glaire des voies respiratoires. Donc : Alternativement inspire puis
tousse, cela toutes les 2 secondes, sans interruption jusqu’à l’arrivée de
secours ou jusqu’à ce que tu ressentes que ton cœur bat à nouveau normalement.
L’inspiration profonde aide à un
apport suffisant d’oxygène aux poumons et la toux provoque la compression ( le massage) du cœur et entretient la circulation sanguine.
La compression régulière du cœur aidera aussi à récupérer autant que possible
un rythme de battement normal du cœur. C’est ainsi qu’une personne subissant
une crise cardiaque pourra atteindre un téléphone (voire l’hôpital) et, entre
deux respirations, appeler de l’aide.
ARTICLE
PUBLISHED ON N°240 OF JOURNAL OF GENERAL HOSPITAL ROCHESTER
Informe tous tes amis de cette méthode . Ca pourrait un jour leur
sauver la vie. N’imagine pas que tu ne peux être sujet à une crise cardiaque
car tu es encore bien jeune (moins de 25-30 ans). A cause du mode de vie
actuel, les crises cardiaques s’observent aujourd’hui dans tous les groupes d’äge. Sois un bon ami et envoie cette information au plus
grand nombre de tes amis.
-o-o-o-o-o-o-
Juin 2011
Reçu le 16 janvier 2011 de Madame Germaine
LEVY :
-o-o-o-o-o-o-o-
Reçu le 15 mars 2011 de Monsieur Isaac Schalom :
LE COMPLIQUE
DE LA LANGUE FRANÇAISE !
Voici une petite chronique sur notre langue française. Personne ne pousse l'illogisme aussi loin que nous : c'est presque de la démence !
Voici les phrases, pourtant bien "françaises" :
- Nous portions nos portions. Les portions, les portions-nous ?
- Les poules du couvent couvent.
- Mes fils ont cassé mes fils.
- Il est de l'est.
- Je vis ces vis.
- Cet homme est fier; Peut-on s'y fier ?
- Nous éditions de belles éditions.
- Nous relations ces intéressantes relations.
- Nous acceptions ces diverses acceptions de mots.
- Nous inspections les inspections elles-mêmes.
- Nous exceptions ces exceptions.
- Je suis content qu'ils nous content cette histoire.
- Il convient qu'ils convient leurs amis.
- Ils ont un caractère violent et ils violent leurs promesses.
- Ces dames se parent de fleurs pour leurs parents.
- Ils expédient leurs lettres; c'est un bon expédient.
- Nos intentions c'est que nous intentions un procès.
- Ils négligent leur devoir; moi, je suis moins négligent.
- Nous objections beaucoup de choses à vos objections.
- Ils résident à Paris chez le résident d'une ambassade étrangère.
- Ces cuisiniers excellent à composer cet excellent plat.
- Les poissons affluent d'un affluent de la rivière.
etc., etc.,....
Il y a, en effet, de quoi perdre la tête ! Vous rendez-vous compte combien notre langue est difficile à apprendre par les étrangers.
UNE REFLEXION SUR « L’HOMME »
On dit que l’Homme est la seule
créature qui marche à quatre pattes après sa naissance, sur deux pattes de
l’enfance à l’âge mûr et sur trois (deux jambes et une canne) à sa vieillesse.
Ceci, pour illustrer son parcours de vie.
Si on considère que la durée de vie moyenne
actuelle, de l’Homme et de la Femme confondus, est de 80 ans, on constatera
qu’il y a trois périodes importantes à partir de leur naissance qui se
résument, grosso modo, ainsi :
Première
période : de 0 à 20 ans.
Deuxième
période : de
20 à 60 ans.
Troisième
période : de 60 à 80 ans.
Durant la Première et la Troisième période,
l’Homme (et la Femme) dépend en grande partie des autres pour survivre. De 0 à
20 ans, il dépend de son entourage pour sa nourriture, son éducation, son
existence physique et sociale. Mais, à la Deuxième période, de 20 à 60 ans, il
devient indépendant et autonome. Grâce à sa personnalité, à ses talents, à ses
désirs profonds et à de nombreux autres facteurs, il peut devenir ANGE ( Dr.Schweitzer, Sœurs Térésa et
Emmanuelle, Pasteur,etc.) ou bien DEMON (Hitler,
Eichmann et autres racistes et dictateurs sanguinaires…). Entre les Anges et
les Démons, il y a la foule des capitaines d’industrie, des savants érudits,
des foudres de guerre, des politiciens honnêtes ou véreux, des hommes d’église
et, enfin, de la cohorte des gens ordinaires comme vous et moi.
Puis, voici arrivée la Troisième période de
60 à 80 ans ! Ses forces déclinent et tout fout le camp : sa santé,
ses cheveux, sa vue, son audition, ses dents, etc. Petit à petit, il devient
une charge tant pour les siens que pour la société. Les souffrances physiques
et morales l’assaillent. Il se décrépit tout au long des années jusqu’à
devenir, pour certains, sénile ou grabataire, ou les deux. Quelle déchéance et
quelle pitié pour celui censé avoir été créé à l’image de Dieu !
Alors, certains disent que la vie est mal
faite et qu’il aurait été préférable de naître VIEUX et malade et de mourir
BEBE et en bonne santé. Or, cela n’est pas possible ! Peut-on envisager
des futures maman portant un fœtus de 70 kilos, poids
moyen d’un humain ? Non, ce n’est pas possible !
Mais alors, me direz-vous, où est la
solution ? Moi, je propose aux savants qui s’occupent des recherches sur
les gènes et les chromosomes, sur l’A. D. N. et autres manipulations
génétiques, ceci :
Pourquoi ne pas orienter leurs recherches
en vue de DOUBLER la longévité de l’Homme à partir de 65 ans tout en lui
faisant faire, physiquement, un parcours
inverse de celui qu’il aura eu jusqu’ici ? A partir de 65 ans, l’Homme
aura de nouveau 64 ans, puis 63, 62, 61, 60, etc. Petit à petit, il recouvrira
ses forces. Il retrouvera ses cinq sens. Ses cheveux et ses poils repousseront.
Ses rides s’effaceront et, au fur et à mesure qu’il rajeunira, il redeviendra
créatif, combatif, travailleur, pour son bien et celui de la collectivité.
Il continuera à rajeunir jusqu’à redevenir
un simple spermatozoïde que les savants mettront entre deux lames de verre pour
l’étudier au microscope. Ils classeront ces lames dans une SPERMATOZOITEQUE.
Chaque paire de lames portera une référence qui correspondra à un dossier où sera consigné tout ce qui se
rapporte à ce personnage : nom, date de naissance et celle de sa
réintégration in vitro, professions, qualités et défauts, hérédité, hauts
faits, bons ou mauvais.
Il n’y aura donc plus besoin de cimetières
qui s’étendent à l’infini en envahissant les agglomérations urbaines ou
campagnardes. Il n’y aura plus de caveaux somptueux pour les riches et de
fosses communes pour les pauvres, au grand dam des croque-monsieur et
croque-madame, c'est-à-dire des croque-morts qui n’auront plus rien à croquer
et qui resteront ainsi sur leur faim. Les comptes de la Sécurité Sociale
seront, enfin, positifs.
Et un beau jour, un savant plus intelligent
que les autres découvrira que tous ces spermatozoïdes appartenant à des Rois ou
des Présidents, des riches ou des manants, des génies ou des demeurés, des
blancs ou des noirs, des asiates ou des peaux-rouges, des chrétiens ou des
musulmans, des juifs ou des païens, sont tous de la même couleur et, pour autant
que je le sache, de la même composition chimique c’est-à-dire rigoureusement
identiques les uns aux autres.
Partant de là, il n’y aura aucune raison
valable de les « archiver » pour les distinguer les uns des autres.
Alors, on jettera à la poubelle le contenu de toutes les SPERMATOZOITEQUES et
on réduira les heures de présence des fonctionnaires de santé.
PROPOS
A TIRE-LARIGOT
Albert Pardo
Reçu le 13 avril 2011 de Monsieur Marc JAFFE :
.
King
Ferdinand and Queen Isabella, by the grace of God, King and Queen of Castile,
Leon, Aragon and other dominions of the crown - to the prince Juan, to dukes,
marquees, counts, the holy orders, priors, knight commanders, lords of the
castles, cavaliers, and to all Jews, men and women of whatever age, and to
anyone else this letter may concern -- health and grace unto you.
You
well know that in our dominion, there are certain bad Christians that judaised and committed apostasy against our Holy Catholic
faith, much of it the cause of communications between Jews and Christians.
Therefore, in the year 1480, we ordered that the Jews be separated from the
cities and towns of our domains and that they be given separate quarters,
hoping that by such separation the situation would be remedied. And we ordered
that and an Inquisition be established in such domains; and in twelve years it
has functioned, the Inquisition has found many guilty persons.
Furthermore,
we are informed by the Inquisition and others that the great harm done to the
Christians persists, and it continues because of the conversations and
communications that they have with the Jews, such Jews trying by whatever
manner to subvert our holy Catholic faith and trying to draw faithful
Christians away from their beliefs.
These
Jews instruct these Christians in the ceremonies and observances of their Law,
circumcising their children, and giving them books with which to pray, and
declaring unto them the days of fasting, and meeting with them to teach them
the histories of their Law, notifying them when to expect Passover and how to
observe it, giving them the unleavened bread and ceremonially prepared meats,
and instructing them in things from which they should abstain, both with regard
to food items and other things requiring observances of their Law of Moses,
making them understand that there is no other law or truth besides it. All of
which then is clear that, on the basis of confessions from such Jews as well as
those perverted by them, that it has resulted in great damage and detriment of
our holy Catholic faith.
And
because we knew that the true remedy of such damages and difficulties lay in
the severing of all communications between the said Jews with the Christians
and in sending them forth from all our reigns, we sought to content ourselves
with ordering the said Jews from all the cities and villages and places of
Andalusia where it appeared that they had done major damage, believing that
this would suffice so that those from other cities and villages and places in
our reigns and holdings would cease to commit the aforesaid. And because we
have been informed that neither this, nor the justices done for some of the
said Jews found very culpable in the said crimes and transgressions against our
holy Catholic faith, has been a complete remedy to obviate and to correct such
opprobrium and offense to the Christian faith and religion; because every day
it appears that the said Jews increase in continuing their evil and harmful
purposes wherever they reside and converse; and because there is no place left
whereby to more offend our holy faith, as much as those which God has protected
to this day as in those already affected, it is left for this Holy Mother
Church to mend and reduce the matter to its previous state inasmuch as, because
of our frailty of humanity, it could occur that we could succumb to the
diabolical temptation that continually wars against us so easily if its
principal cause were not removed, which would be to expel the said Jews from
the kingdom. Because whenever a grave and detestable crime is committed by some
members of a given group, it is reasonable that the group be dissolved or
annihilated, the minors for the majors being punished one for the other; and
that those who pervert the good and honest living on the cities and villages
and who by their contagion could harm others, be expelled from the midst the
people, still yet for other minor causes, that would be of harm to the
Republic, and all the more so for the major of these crimes, dangerous and
contagious as it is.
Therefore,
with the council and advice of the eminent men and cavaliers of our reign, and
of other persons of knowledge and conscience of our Supreme Council, after much
deliberation, it is agreed and resolved that all Jews and Jewesses be ordered
to leave our kingdoms, and that they never be allowed to return.
And
we further order in this edict that all Jews and Jewesses of whatever age that
reside in our domain and territories, that they leave
with their sons and daughters. their servants and relatives, large and small,
of whatever age, by the end of July of this year, and that they dare not return
to our lands, not so much as to take a step on them not trespass upon them in
any other manner whatsoever. Any Jew who does not comply with this edict and is
to be found in our kingdom and domains, or who return
to the kingdom in any manner, will incur punishment by death and confiscation
of all their belongings. We further order that no person in our kingdom of
whatever station or noble status hide or keep or defend any Jew or Jewess,
either publicly or secretly, from the end of July onwards, in their homes or
elsewhere in our reign, upon punishment of loss of their belongings, vassals,
fortresses, and hereditary privileges. So that the said Jews may dispose of
their household and belongings in the given time period, for the present we
provide our assurance of royal protection and security so that , until the end
of the month of July, they may sell and exchange their belongings and furniture
and other items, and to dispose of them freely as they wish; and that during
said time, no one is to do them harm or injury or injustice to their persons or
to their goods, which is contrary to justice, and which shall incur the
punishment that befalls those who violate our royal security.
Thus
we grant permission to the said Jews and Jewesses to take out their goods and
belongings out of our reigns, either by sea or by land, with the condition that
they not take out either gold or silver or minted money or any other items
prohibited by the laws of the kingdom. Therefore, we order all councilors, justices, magistrates. cavaliers,
shield-bearers, officials, good men of the city of Burgos and of other cities
and villages of our reigns and dominions, and all our vassals and subjects,
that they observe and comply with this letter and all that is contained in it,
and that they give all the help and favor that is
necessary for its execution, subject to punishment by our sovereign grace and
by confiscation of all their goods and offices for our royal state house.
And
so that this may come to the notice of all, and so that no one may pretend
ignorance, we order that this edict be proclaimed in all the plazas and usual
meeting places of any given city; and that in the major cities and villages of
the diocese, that it be done by the town crier in the presence of the public
scribe. and that neither one nor the other should do
the contrary of what was desired, subject to the punishment by our sovereign
grace and deprivation of their offices and by confiscation of their goods to
whosoever does the contrary. And we further order that evidence be provided to
the court, in the manner of signed testimony, regarding the manner in which the
edict is being carried out.
Given in this city of Granada on the thirty first day
of March in the year of our Lord Jesus Christ -1492.
______________________
Signed, I, the King,
______________________
I the Queen,
______________________
Juan de Coloma, Secretary of the King and Queen, which I have written by order
of our Majesties.
-o-o-o-o-o-o-o-
Reçu le 15 Mai 2010 de Monsieur Nabil SACCAL :
|
Janvier 2011
Reçu de Madame Vicky AMMAR et de Monsieur Charles
PARDO :
C'EST
L'HISTOIRE D'UN POT DE MAYONNAISE ET DE CAFE...
Voici une belle métaphore qui
nous donne une autre vision de
la vie !!!
Quand il te semble qu'il y
a "trop" de choses dans ta vie, quand 24 heures ne te
semblent pas suffisantes ! Rappelle-toi du pot de mayonnaise et du café
! Il était une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa classe,
prit un grand pot de mayonnaise vide et, sans dire un mot, commença à le
remplir avec des balles de golf. Ensuite, il demanda à ses élèves si le
pot était plein. Les étudiants étaient d'accord pour dire que
OUI. Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la
versa dans le pot de mayonnaise. Les billes comblèrent les espaces vides
entre les balles de golf. Le prof redemanda aux étudiants si le
pot était plein. Ils dirent à nouveau OUI. Après, le professeur prit
un sachet rempli de sable et le versa dans le pot de mayonnaise. Bien
sûr, le sable remplit tous les espaces vides et le prof demanda à nouveau
si le pot était plein... Les
étudiants répondirent unanimement…OUI.
Tout de suite après, le prof ajouta deux tasses de
café dans le contenu du pot de mayonnaise et, effectivement, le café
combla les espaces entre les grains de sable. Les étudiants se sont alors
mis à rire. Quand ils eurent fini, le prof dit : "Je veux que vous
réalisiez que le pot de mayonnaise représente la vie.
Les balles de golf sont les choses
importantes, comme la famille, les enfants, la santé, tout ce qui passionne.
Nos vies seraient quand même pleines si on perdait tout le reste et qu'il ne
nous restait qu'elles. Les billes sont les autres choses qui comptent,
comme le travail, la maison, la voiture, etc... Le sable représente tout
le reste, les petites choses de la vie. Si on avait versé le sable en premier,
il n'y aurait eu de place pour rien d'autre, ni les billes ni les balles
de golf. C'est la même chose dans la vie. Si on dépense toute notre
énergie et tout notre temps pour les petites choses, nous n'aurons jamais de
place pour les choses vraiment importantes. Faites attention aux choses
qui sont cruciales pour votre bonheur. Jouer avec ses enfants, prendre le temps
d'aller chez le médecin, dîner avec son conjoint, faire du sport ou pratiquer
ses loisirs favoris... Il restera toujours du temps pour faire le ménage,
réparer le robinet de la cuisine. Occupez-vous des balles de golf en
premier, des choses qui importent vraiment. Etablissez des priorités, le
reste n'est que du sable..." Un des étudiants leva alors la main
et demanda ce que représentait le café. Le professeur sourit et dit :
"C'est bien que tu demandes. C'était juste pour vous démontrer que
même si vos vies peuvent paraître bien remplies, il y aura toujours de la place
pour une tasse de café avec un ami."
-o-o-o-o-o-o-o-
Reçu le 18
octobre 2010 de Mademoiselle Sylviane PARDO :
|
|||||||||
|
Reçu le 25 novembre 2010 de Madame Maguy WASSOUF un diaporama contenant ces
JUDICIEUX
CONSEILS DU DALAÏ LAMA :
-
Prenez en compte le fait que beaucoup
d’amour et de grandes réussites impliquent
des grands risques.
-
Lorsque vous perdez, ne perdez pas la
leçon.
-
Suivez les trois R : Respect de soi,
Respect des autres et la Responsabilité de toutes vos actions.
-
Rappelez-vous que ne pas obtenir ce que
vous voulez est, parfois, un merveilleux coup de chance.
-
Apprenez les règles pour que vous sachiez
comment les briser correctement.
-
Ne laissez pas une petite dispute ruiner
une grande amitié.
-
Quand vous réalisez que vous avez fait une
erreur, prenez immédiatement les mesures pour la corriger.
-
Passez du temps, seul, chaque jour.
-
Ouvrez vos bras au changement mais
n’abandonnez pas vos valeurs.
-
Rappelez-vous que le silence est, parfois,
la meilleure réponse.
-
Vivez une bonne vie honorable. Puis, quand
vous obtenez plus et vous regardez en arrière, vous serez en mesure d’en
profiter une seconde fois.
-
Une atmosphère d’amour dans votre maison
est le fondement de votre vie.
-
En désaccord avec vos proches, ne traitez
que la situation actuelle. Ne revenez pas sur le passé.
-
Partagez vos connaissances. Il s’agit d’un
moyen d’atteindre l’immortalité.
-
Soyez doux avec la Terre.
-
Une fois par an, allez quelque part où vous
n’êtes jamais allé auparavant.
-
Jugez votre succès par ce que vous avez dû abandonner
pour l’obtenir.
-
Approchez la cuisine et l’amour avec un
abandon téméraire.
Reçu
le 7 décembre 2010 de Madame Erella AZRIEL :
CURIOSITES DE LA LANGUE
FRANCAISE
|
Aout 2010
Reçu le 29 juillet 2010
La
différence entre http et https:
Ca peut etre interessant de le savoir
|
-o-o-o-o-o-o-o-o-
Reçu le 31 juillet 2010 de Madame
De
nos jours, nous avons des immeubles plus élevés et des autoroutes plus larges
mais notre niveau de tolérance st plus bas et notre esprit plus étroit.
Nous
dépensons davantage mais nous nous amusons moins.
Nous
avons de plus grandes maisons mais de plus petites familles.
Nous
avons plus de connaissances mais moins de jugement.
Nous
avons plus de médicaments mais moins de santé.
Nous
avons multiplié nos possessions mais nous avons réduit nos valeurs.
Nous
parlons beaucoup, nous aimons juste un peu et nous détestons trop.
Nous
avons atteint la Lune et en sommes revenus mais nous trouvons pénible de
traverser notre propre rue pour rencontrer nos voisins.
Nous
avons conquis l’espace intersidéral mais pas notre espace intérieur.
Nous
avons des revenus plus élevés mais le moral plus bas.
Nous
vivons à une époque où il y a plus de liberté mais moins de joie.
Nous
avons bien davantage de nourriture mais nous nous nourrissons mal.
Nous
vivons à une époque où il faut deux salaires pour chaque foyer mais les
divorces augmentent.
C’est
une époque où les maisons sont plus belles mais il y a davantage de foyers
brisés.
C’est
pourquoi je t’invite à partir d’aujourd’hui :
De
ne rien garder pour une « occasion spéciale » parce que chaque jour
qu’on vit EST une occasion spéciale.
Recherche
la connaissance, lis davantage, pose-toi sur ton balcon ( si tu en as un) et
admire la vue sans faire attention à tes besoins.
Passe
plus de temps avec ta famille et tes amis, mange tes mets préférés et visite
les endroits que tu aimes.
La
vie est une suite de moments de plaisir, non pas seulement une survie.
Utilisons
nos verres en cristal. N’économisons pas notre meilleur parfum et utilisons-le
chaque fois que nous en avons envie.
Elimine
de ton vocabulaire des phrases comme « un de ce jours » ou « un
jour ».
Ecris
cette lettre que tu avais pensé écrire « un de ces jours ».
Dis
à tes proches et amis à quel point nous les aimons.
Ne
retarde rien qui ajoute des rires et de la joie à ta vie.
Chaque jour,
chaque heure et chaque instant est spécial et nous ne savons pas si ce sera
notre dernier.
Si tu est trop occupé pour trouver le temps d’envoyer
ce message à quelqu’un que tu aimes et
que tu te dis je vais l’envoyer « un de ces jours », penses-y « un
de ces jours » tu ne seras peut-être plus là pour l’envoyer !
Moi, …..
Je n’attends pas ; je te l’envoie et te dis
JE PENSE A TOI
-o-o-o-o-o-o-o-o-
Reçu le 21 mars 2010 de Monsieur
Sais-tu
que la personne la plus importante, c'est toi ?
Sais-tu que tu n'es responsable que de toi?
Aimes-toi donc suffisamment
Pour ne prendre en charge que ta vie
C'est déjà si compliqué.
Aimer les autres suffisamment
Pour les laisser en faire autant.
Car vois-tu, tu ne dois
Qu'à
Tu possèdes tant de qualités
Pourquoi t'oublier?
Pourquoi te nier?
Pourquoi ne pas t'aimer?
Suis ton chemin, poursuis ta route
Arrêtes-toi de temps en temps
Regarde autour de toi
Il se trouvera toujours
Quelqu'un ou quelque chose
Qui te guidera.
Va au-delà de tes peurs
C'est souvent là que se trouve le bonheur
Vis l'amitié, l'amour
Avec intensité et sincérité.
Prends le temps de te connaître,
Prends le temps de t'apprécier,
Prends le temps de t'aimer,
Et ne laisse surtout passer
Aucune occasion de cheminer.
-o-o-o-o-o-o-o-o-
Reçu de le 11
août 2010 de Madame Patricia TUBIANA :
QUELS SONT LES MEILLEURS MOMENTS DE LA VIE ?
On se
persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être marié, après
avoir eu un enfant, et ensuite, après en avoir eu un autre...
Plus tard,
on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on
pense que l'on sera mieux quand ils le seront.
On est alors
convaincu que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.
On se dit
que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint,
quand on possédera une plus belle voiture ou une plus grande maison, quand on
pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite...
La vérité
est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux que le moment présent.
Si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce ? la vie sera toujours pleine de
défis à atteindre et de projets à terminer. Il est préférable de l'admettre et
de décider d'être heureux maintenant qu’il est encore temps. Pendant longtemps,
j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer : La Vraie Vie !
Mais il y
avait toujours un obstacle sur le chemin, un problème qu'il fallait résoudre en
premier, un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer. Et alors
la vie allait commencer ! ! ! ! Jusqu'à
ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie.
Cette
perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au
bonheur. Le bonheur EST le chemin..
Ainsi passe
chaque moment que nous avons et plus encore : quand on partage ce moment avec
quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps et, que
l'on se rappelle que le temps n'attend pas !
Alors, il
faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son salaire, de se
marier, d'avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou,
simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l’été, l'automne
ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour
être heureux.
Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux.
Il suffit
juste d'apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l'un des meilleurs
moments de sa vie
15 Avril 2010
Reçu le 1er. janvier 2010
La semaine dernière, nous nous
sommes garés sur un parking public. Quand nous sommes partis, j'ai remarqué un
papier sur la fenêtre arrière. Lorsque je l'ai enlevé (une fois rentré à la
maison), j'ai vu que c'était un reçu d'essence. Heureusement qu'un de
mes amis m'avait dit de ne pas m'arrêter, car quelqu'un aurait pu attendre
que je sorte de ma voiture....
MISE EN GARDE DE
Attention aux papiers collés sur
la fenêtre arrière de votre voiture.
Nouvelle manière
pour les vols de voitures (ce n'est pas une plaisanterie !) Attention tout
le monde ! Merci
de garder cet e-mail en circulation.
Vous marchez sur le parking, ouvrez votre voiture et rentrez dedans.
Vous démarrez le moteur et mettez la marche arrière. Lorsque vous regardez par
votre fenêtre arrière pour faire marche arrière, vous remarquez un papier collé au milieu. Vous vous arrêtez, sortez de
votre voiture pour enlever le papier (ou autre) car cela vous bloque
ET devinez quoi mesdames ?
Je parie que votre portefeuille/sac à main est encore dans
MISE EN GARDE SUR CETTE NOUVELLE FACON DE PROCEDER.
Si vous voyez un papier
collé à l'arrière de votre voiture, fermez vos portes de voiture
à clés, démarrez et partez. Vous enlèverez le papier plus tard.
Merci de faire suivre cet -email à votre famille et vos amis, particulièrement
aux femmes
Un portefeuille contient beaucoup de documents importants et
d'identification. Vous ne voulez certainement pas que cela tombe dans de
mauvaises mains.
SVP transmettez ce
message à tous vos amis
De notre amie NELL LEV
UNE LECON DE
VIE
PAS SEULEMENT
POUR LES VIEUX
MAIS POUR TOUS
LES AGES
Voici une belle histoire avec réflexion
positive.
Un homme de 92 ans, petit, très fier, habillé et bien rasé tous les matins à
8h00, avec ses cheveux parfaitement coiffés, malgré qu'il est légalement
aveugle, déménage dans un foyer pour personnes âgés aujourd'hui même. Sa
femme de 70 ans est décédée récemment, ce qui l'oblige à quitter sa
maison.
Après plusieurs heures d'attente dans le lobby du foyer, il sourit gentiment lorsqu'on lui dit que sa chambre
est prête.
Comme il se rendait jusqu'à l'ascenseur avec sa marchette, je
lui fis une description visuelle de sa
petite chambre, incluant le drap suspendu à
sa fenêtre servant de rideau. Je l'aime beaucoup dit-il, avec
l'enthousiasme d'un petit garçon de 8 ans qui vient d'avoir un nouveau petit
chien.
- M. Gagné, vous n'avez pas encore vu la chambre, attendez un peu.
- Cela n'a rien à voir, a-t-il répondu.
Le bonheur est quelque chose que tu décides à l'avance. Que j'aime ma chambre ou pas ne dépend pas des meubles
ou de la décoration – ça dépend plutôt de la façon dont moi je les perçois.
C'est déjà décidé dans ma tête que
j'aime ma chambre. C'est une décision que je prends tous les matins à mon
réveil. J'ai le choix, je peux passer la
journée au lit en comptant les difficultés que j'ai avec les parties de
mon corps qui ne fonctionnent plus, ou me lever et remercier le ciel pour
celles qui fonctionnent encore. Chaque jour est un cadeau, et aussi longtemps
que je pourrai ouvrir mes yeux je vais m'attarder sur le nouveau jour et tous
les souvenirs heureux que j'ai amassé tout au long de ma vie.
La vieillesse est comme un compte
de banque. Tu retires de ce que tu as amassé. Donc, mon conseil pour vous,
serait de déposer beaucoup de bonheur dans votre compte de banque des
souvenirs. Merci de votre participation à remplir mon compte de banque car je
dépose encore.
Souvenez-vous
de ces simples règles pour être heureux :
1.Libérez
votre coeur de la haine
2.Libérez votre tête des soucis
3.Vivez simplement
4.Donnez plus
5. Attendez vous à moins.
Décembre 2009
Reçu le 2 novembre 2009 de de Madame Lucie
CALAMARO :
LUCIE
L'amour n'est
pas seulement un sentiment,
il est aussi un art.
- HONORE DE BALZAC –
L'harmonie la
plus douce
est le son de la voix
de celle que l'on aime.
-
L'amour
a son instinct,
il sait trouver le chemin du coeur
comme le plus faible insecte marche à sa fleur
avec une irrésistible volonté.
- HONORE DE BALZAC –
Le centre de
toute bonté et de toute joie est l'amour.
- HERMAN HESSE –
Ce que
l'amour peut faire,
l'amour ose le tenter.
- WILLIAM SHAKESPEARE –
Aimer, ce
n'est pas regarder l'un l'autre,
c'est regarder ensemble dans la même direction.
- ANTOINE DE SAINT-EXUPERY –
Je t'aime non
seulement pour ce que tu es
mais pour ce que je suis quand nous sommes ensemble.
- ROY CROFT –
Aimer et être
aimé, c'est sentir le soleil des deux cotés.
-o-o-o-o-o-o-o-o-
Reçu
e 29 novembre 2009
Socrate
avait, dans la Grèce antique, une haute réputation de sagesse.
Quelqu'un
vint un jour trouver le grand philosophe et lui dit : "Sais-tu ce que je
viens d'apprendre sur ton ami ?
--
Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j'aimerais te faire
passer un test, celui des trois passoires.
-- Les trois passoires?
-- Mais oui, reprit Socrate. Avant de raconter
toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de
filtrer ce que l'on aimerait dire. C'est ce que j'appelle le test des trois
passoires. La première passoire est celle de la vérité. As-tu vérifié si ce que
tu veux me dire est vrai?
-- Non. J'en ai seulement entendu parler...
-- Très bien. Tu ne sais donc pas si c'est la
vérité. Essayons de filtrer autrement en utilisant une deuxième passoire, celle
de la bonté. Ce que tu veux m'apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de
bien ?
-- Ah non! Au contraire.
-- Donc, continua Socrate, tu veux me raconter
de mauvaises choses sur lui et tu n'es même pas certain si elles sont vraies.
Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste une passoire, celle de
l'utilité. Est-il utile que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait ?
--
Non. Pas vraiment.
-- Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à
me raconter n'est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le
dire?"
Reçu
le 8 décembre de Madame Maguy WASSOUF :
On a demandé au Dalaï Lama
« Qu’est-ce qui vous surprend le plus dans l’humanité ? » Il a répondu :
« Les Hommes » …
Parce qu’ils perdent la santé pour accumuler de l’argent, ensuite ils perdent de l’argent
pour retrouver la santé …
et à penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte qu’ils finissent
par ne vivre ni le présent ni le futur.
Ils vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir …et meurent comme s’ils n’avaient
jamais vécu.
Tout est dit, à méditer ….
Octobre 2009
Il
y a quatre choses que nous ne pourrons jamais retrouver :
- Le CAILLOU…après
l’avoir lancé !
- Le MOT…après
l’avoir prononcé !
- L’OCCASION…après
l’avoir perdue !
- Et le TEMPS…lorsqu’il
s’est écoulé !
Reçu
le 22 août 2009 de Madame Lucie CALAMARO cette Pensée :
Qui ne veut voir un
autre monde
est aveugle.
Qui ne sait dire un mot
gentil quand il le faut
est muet.
Qui est tourmenté par un
trop grand désir
est pauvre.
Celui dont le coeur est content
est riche
Aout 2009
Reçu le 9 juillet 2009
IL
N'Y A PAS DE MEILLEUR MOMENT QUE MAINTENANT POUR ETRE HEUREUX.
On se persuade souvent soi-même que la vie sera
meilleure après s'être
marié, après avoir eu un enfant, et ensuite, après en avoir eu un autre...Plus
tard, on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands
et on pense que l'on sera mieux quand ils le seront.On
est alors convaincu que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette
étape.
On
se dit que
La
que le moment présent. Si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce? La vie sera
toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer. Il est
préférable de l'admettre et de décider d'être heureux maintenant qu'il est
encore temps.
Pendant
longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer, '
Cette
perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au
bonheur. Le bonheur est le chemin..
Ainsi
passe chaque moment que nous avons et plus encore : quand on partage ce moment
avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps et,
que l'on se rappelle que le temps n'attend pas.
Alors,
il faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son salaire, de
se marier, d'avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou,
simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l'été, l'automne
ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour
être heureux.
LE BONHEUR EST UNE TRAJECTOIRE ET NON
PAS UNE DESTINATION* !
Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux. Il suffit juste d'apprécier
chaque petit moment et de le sacrer comme l'un des meilleurs moments de sa vie.
La
source de ce poème est inconnue, il apporte de la chance à qui le
transmet. Ne le garde pas.... Donne-le
simplement à tes amis à qui tu souhaites de la chance.
Reçu le 27 juillet 2009
UN TEXTE FRANÇAIS QUI REND FOU...
DICTÉE (trouvée dans un vieil almanach) |
|
Reçue le 4 avril de Madame Lucie CALAMARO :
Il
meurt lentement...
Celui
qui ne voyage pas,
Celui
qui ne lit pas,
Celui
qui n'écoute pas de musique,
Celui
qui ne sais pas trouver grâce à ses yeux.
Il meurt lentement...
Celui qui devient esclave de
l'habitude
Refaisant
tous les jours les mêmes chemins,
Celui
qui ne change jamais de repère,
Ne
se risque jamais à changer la couleur de ses vêtements,
Ou
qui ne parle jamais à un inconnu.
Il meurt lentement...
Celui
qui évite la passion et son tourbillon d'émotions, celles
qui
redonnent la lumière dans les yeux et réparent les coeurs
blessés.
Il meurt lentement...
Celui qui ne change pas de cap
lorsqu'il est malheureux
au
travail ou en amour,
Celui
qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves
Celui
qui pas une seule fois dans sa vie, n'a fui les conseils sensés.
Vis maintenant ; risque-toi aujourd'hui !
Agis
tout de suite !
Ne
te laisse pas mourir lentement !
Ne
te prive pas d'être heureux !
Texte de Pablo
Neruda
Reçu le 5 août
La Folie décida d'inviter ses amis pour
prendre un café chez elle.
Tous les invités y allèrent. Après le
café la Folie proposa :
- On joue à cache-cache ?
- Cache-cache ? C'est quoi, ça ? demanda
la Curiosité.
- Cache-cache est un jeu. Je compte
jusqu'à cent et vous vous cachez.
- Quand j'ai fini de compter je cherche,
et le premier que je trouve sera le prochain à compter.
* Tous acceptèrent, sauf la Peur et la
Paresse.
-1, 2, 3,... la Folie commença à
compter.
* L'Empressement se cacha le premier,
n'importe où.
* La Timidité, timide comme toujours, se
cacha dans une touffe d'arbre.
* La Joie courut au milieu du jardin.
* La Tristesse commença à pleurer, car
elle ne trouvait pas d'endroit approprié pour se cacher.
* L'Envie accompagna le Triomphe et se
cacha près de lui derrière un rocher.
* La Folie continuait de compter tandis
que ses amis se cachaient.
* Le Désespoir était désespéré en voyant
que la Folie était déjà à 99.
- CENT ! cria la Folie, je vais
commencer à chercher...
* La première à être trouvée fut la
Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher de sortir de sa cachette pour voir
qui serait le premier découvert.
* En regardant sur le côté, la Folie vit
le Doute au-dessus d'une clôture ne sachant pas de quel côté il serait mieux
caché.
* Et ainsi de suite, elle découvrit la
Joie, la Tristesse, la Timidité...
* Quand ils étaient tous réunis, la
Curiosité demanda
- Où est l'Amour ?
* Personne ne l'avait vu.
* La Folie commença à le chercher. Elle
chercha au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais
elle ne trouvait pas l'Amour.
Cherchant de tous côtés, la Folie vit un
rosier, pris un bout de bois et commença à chercher parmi les branches, lorsque
soudain elle entendit un cri.
* C'était l'Amour, qui criait parce
qu'une épine lui avait crevé un œil.
* La Folie ne savait pas quoi faire.
Elle s'excusa, implora l'Amour pour avoir son pardon et alla jusqu'à lui
promettre de le suivre pour toujours.
* L'Amour accepta les excuses.
* Aujourd'hui, l'Amour est aveugle et la
Folie l'accompagne toujours.
Juin 2009
Reçu le 18 mars
Dr. Drauzio VARELLA
SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…
EXPRIMEZ
VOS SENTIMENTS
Les
émotions et les sentiments refoulés, réprimés, finissent par vous rendre
malade : troubles gastriques, ulcères, douleurs lombaires. Avec le temps,
la répression des sentiments favorise l’émergence d’un cancer. Alors, il faut
se trouver une oreille attentive pour partager notre intimité, nos secrets, nos
erreurs. Le dialogue, la parole comme les mots sont de puissants remèdes et une
excellente thérapie.
SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…
PRENEZ
DES DECISIONS
Une
personne indécise demeure dans le doute, l’anxiété, le désespoir. L’indécision
favorise l’accumulation de problèmes, de soucis et même d’agressions. L’historie de l’humanité est basée sur la prise de décision.
Décider c’est savoir quand renoncer, quad perdre des avantages ou des valeurs
pour en gagner des nouvelles. Les personnes indécises sont victimes de troubles
ou maladies gastriques, de douleurs associées à na nervosité et des problèmes
de peau.
SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…
TROUVEZ
DES SOLUTIONS
Les personnes négatives ne prennent pas de solutions et
grossissent les problèmes. Elles préfèrent se lamenter, se plaindre et
s’installer dans le pessimisme. Une abeille est petite mais elle produit une
des plus délicieuses substances, le miel. Nous devenons ce que nous pensons. Il
est préférable d’allumer une allumette que de se plaindre de l’obscurité. La
pensée négative génère une énergie négative qui se transforme en maladie.
SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…
NE
VIVEZ POINT POUR LES APPARENCES
Celui
qui cache la réalité, fait semblant et veut toujours donner l’impression que
tout va bien. Il veut être perçu comme parfait, facile à vivre, etc. tout en
accumulat des tonnes de poids inutiles. C’est comme une statue de bronze avec
des pieds moulés dans
SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…
ACCEPTEZ
Le
refus de l’acceptation et l’absence de l’estime de soi nous aliène. Faire avec
qui nous sommes prédispose à une vie de santé. Ceux qui n’acceptent point de
fait deviennent envieux, jaloux, imitateurs, ultra compétitifs et destructeurs.
Soyez accepté comme vous êtes, acceptez d’être accepté et acceptez
SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…
FAITES
CONFIANCE
Celui
qui ne fait pas confiance, ne communique point, n’est pas ouvert et est
incapable de créer des relations stables et profondes. Il ne sait pas comment
établir une amitié sincère. Sans confiance, il ne peut y avoir de relation. La
non confiance est typique de manque de confiance en soi et en ses moyens.
SI VOUS NE VOULEZ PAS ËTRE MALADE…
NE
VIVEZ POINT DANS LA TRISTESSE
Vivez
dans la bonne humeur et le rire, reposez vous et
soyez heureux. Ces facteurs vous apporteront l’équilibre et la santé!. Une
personne heureuse a la capacité de changer son environnement peu importe où
elle vit. « La bonne humeur nous sauve des mains du docteur ».
La joie de vivre c’est la meilleure thérapie
pour vivre en bonne santé.
EXPEDIEZ CET ARTICLE A VOS AMI(E)S POUR LES AIDER RESTER EN SANTE
-o-o-o-o-o-o-o-o-
Reçu le 8 maide Madame
UNE BELLE
LECON DE PHILOSOPHIE
L'HISTOIRE D'UN POT
DE MAYONNAISE ET DE CAFE.
Quand il te semble
qu'il y a « trop » de choses dans ta vie, quand 24heures ne te semblent pas
suffisantes... Rappelle-toi du
pot de mayonnaise et du café !
Il était une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa
classe, prit un grand pot de mayonnaise vide et sans dire un mot, commença à le
remplir avec des balles de golf. Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot
était plein. Les étudiants étaient d'accord pour dire que OUI. *
Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le pot de
mayonnaise. Les billes comblèrent les espaces vides entre les balles de golf.
Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein.
Ils dirent à nouveau OUI. *
Après, le professeur pris un sachet rempli de sable et le versa dans le pot de
mayonnaise. Bien sûr, le sable remplit tous les espaces vides et le prof
demanda à nouveau si le pot était plein.. Les étudiants répondirent unanimement
OUI. *
Tout de suite après le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu du pot
de mayonnaise et effectivement le café combla les espaces entre les grains de
sable. Les étudiants se sont alors mis à rire... Quand ils eurent fini, le prof
dit : Je veux que vous réalisiez que le
pot de mayonnaisereprésente la vie".
Les balles de golf sont les choses importantes comme la famille,la
santé, tout ce qui passionne. Nos vies seraient quand même pleines si on
perdait tout le reste et qu'il ne nous restait qu'elles. Les billes sont les
autres choses qui comptent comme le travail, lamaison,
la voiture, etc...
Le sable représente tout le reste, les petites choses de
bonheur. prendre le temps d'aller chez
le médecin, faire du sport ou pratiquer ses loisirs favoris. Il restera
toujours du temps pour faire le ménage, réparer le robinet de
Envoie ce mail à toutes les personnes qui
comptent pour toi, à moi y
compris, comme ça je saurai que j'ai une
place dans le pot de ton café.
Avril 2009
Reçu le 8 avril 2009 de Madame
(AVIS : pour ceux qui préfèrent lire
cet article en Français, ils le trouveront dans cette même Rubrique à la date
du 28.09.2006)
GEORGE CARLIN
. Throw out nonessential numbers. This includes age, weight and height. Let the doctors worry about them.
That is why you pay 'them'
2. Keep only cheerful friends. The grouches pull you down.
3. Keep learning. Learn
more about the computer, crafts, gardening, whatever. Never let the brain idle.
'An idle mind is the devil's workshop.' And the devil's name is Alzheimer's.
4. Enjoy the simple things.
5. Laugh often, long and loud.
Laugh until you gasp for breath.
6. The tears happen.
Endure, grieve, and move on. The only person, who is with us our entire life,
is ourselves. Be ALIVE while you are alive.
7. Surround yourself with what you love , whether it's family, pets, keepsakes, music, plants, hobbies,
whatever.. Your home is your refuge.
8. Cherish your health: If it
is good, preserve it. If it is unstable, improve it. If it is beyond what you
can improve, get help.
9. Don't take guilt trips. Take
a trip to the mall, even to the next county; to a foreign country but NOT to
where the guilt is.
10. Tell the people you love that you love them
at every opportunity.
AND ALWAYS REMEMBER :
Life is not measured by the number of
breaths we take, but by the
moments that take our breath away.
LE
28/02/2009
Reçu le 12 février 2009
par Fred Vargas
S'il vous plait, un peu
de volonté pour lire ce texte et méditer!
Je
ne résiste pas à l'envie de partager avec vous tout ce texte de Fred Vargas
qui dit avec humour et dérision ce que tous nos hommes scientifiques
constatent avec consternation...
|
LE
31/12/2008
Reçu le 13 novembre de Madame
Un jour un conférencier, expliquant la gestion du stress à son
auditoire, lève un verre d'eau et demande : Combien pèse ce verre d’eau ?
Les réponses vont de
Le conférencier réplique : 'Le poids absolu de ce verre n'a
aucune
importance. Tout dépend de la durée que vous essayez de le
tenir.
« Si je le tiens une minute, ce n'est pas un problème. Si je le
tiens pendant une heure, j'aurai de la douleur dans mon bras droit. Si je le
tiens pour toute la journée, vous allez devoir appeler une ambulance. Dans tous
les cas c'est le même poids,
mais plus longtemps je le tiens, plus il devient lourd. »
Il continue : « Et c'est le même cas avec la gestion du stress.
Si on porte un fardeau tout le temps, tôt ou tard, comme le fardeau devient de
plus en plus lourd, on ne sera plus capable de continuer. Comme pour le verre
d'eau, vous devez le déposer pour un moment et vous reposer avant de le
reprendre.
Quand on est frais et dispos, on peut continuer avec son
fardeau. Donc, avant de retourner à la maison le soir, déposez votre fardeau de
travail. Ne l'apportez pas à
Quel que soit le fardeau que vous portiez maintenant, laissez-le
pour un moment si vous le pouvez. Relaxez. Reprenez le plus tard quand vous
serez reposés. Il vous semblera plus léger ...
La vie est courte. Tachez d'en profiter!»
Le conférencier a partagé aussi quelques façons de gérer les
fardeaux de la vie :
- Acceptez que certains jours vous êtes le pigeon, et certains
jours vous êtes la statue.
- Gardez toujours vos paroles douces et tendres, au cas où vous
devriez les ravaler ou qu'elles seront les dernières que vous direz.
- Conduisez prudemment. Il n'y a pas que les voitures qui peuvent
être rappelées par leur manufacturier.
- Si vous ne pouvez pas être gentil, ayez au moins la
délicatesse d'être vague.
- Si vous passez 20$ à quelqu'un et que vous ne le voyez plus
jamais, ça en valait probablement la peine.
- Tout le monde s'en fout que vous dansiez mal. Levez vous et dansez!
- Les anniversaires sont bons pour vous. Plus vous en avez, plus
vous vivez vieux.
- Vous n'êtes peut-être qu'une personne dans le monde, mais vous
pouvez aussi être le monde pour une personne.
- Certaines erreurs sont trop amusantes pour n'être faites
qu'une seule fois.
- Passez une très belle journée et sachez que quelqu'un a pensé
à vous aujourd'hui.......... Je l'ai fait...
Reçu le 11
novembre de Madame Esther (Booguy)
BENGHIAT-MUSTACCHI. (à l’intention
des jeunes et des moins jeunes)
|
Reçu de Monsieur
Marc JAFFE et de Madame Germaine LEVY ce même message mais en français :
Je suis allée à
une soirée, Maman
Je suis allée à
une soirée,
Et je me suis
souvenue de ce que tu m'avais dit.
Tu m'avais dit de
ne pas boire et conduire
Alors j'ai pris un
sprite à la place.
Je me suis sentie
fière de moi
De la manière que
tu m'avais dit que je ne pouvais pas boire et conduire
Même si tous mes
amis m'ont dit que je devrais.
J'ai fait un
choix-santé Et ton conseil était judicieux
La soirée a
finalement pris fin
Et les jeunes sont
partis quasiment tous saoûls
Je me suis rendue
à ma voiture
Certaine de
revenir à la maison en une pièce
Je n'ai jamais
envisagé ce qui allait se passer
Cela aurait été la
dernière chose à laquelle j'aurais pensé
Je suis maintenant
allongée sur le pavé, Maman
Et j'ai entendu le
policier parler
Dire que le jeune
qui m'avait heurtée était saoûl
Maman, sa voix
semble loin
Je baigne dans mon
propre sang
Et j'ai essayé
très fort de ne pas pleurer
Je peux entendre
l'infirmier dire
'Cette fille va
mourir'
Je suis sûre que
le jeune ne sait même pas ce qui s'est passé
Pendant qu'il
était très saoûl
Vu qu'il a choisi
de boire et conduire
Maintenant moi je
dois mourir
Donc pourquoi le
monde le fait? Maman
En sachant que ça
ruine des vies
Et maintenant je
meurs de douleur
Dis à ma soeur de ne pas avoir peur, Maman
Dis à Papa qu'il
doit être brave
Et que j'irai au
Paradis
Écris La fille à
Papa sur ma pierre tombale
Quelqu'un aurait
dû lui dire
Que c'était mal de
boire et conduire
Peut-être que si
ses parents lui avaient dit
Je serais vivante
aujourd'hui
Mon souffle
diminue, Maman
Je commence
vraiment à avoir peur
C'est un moment si
soudain
Et je ne suis
tellement pas prête!
J'aurais aimé que
tu me tiennes dans tes bras
Pendant que je
suis allongée et que je meurs.
Reçu le 20
décembre de Madame GILARIANE un diaporama duquel j’ai tiré le texte qui suit :
Un jour, un non-voyant était assis sur
les marches d’u bâtiment avec un chapeau à ses pieds et un morceau de carton portant
l’inscription « Je suis aveugle,
aide-moi s’il vous plaît ». Un publicitaire qui se promenait par là s’arrêta et remarqua qu’il n’y avait que quelques
centimes dans son chapeau. Il se pencha et y versa sa monnaie puis, sans
demander son avis à l’homme, prit le carton, le retourna et y écrivit une autre
phrase Le même après-midi, le publicitaire revint près de l’aveugle et vit que
le chapeau était plein de monnaie et de billets. Le non-voyant reconnut le pas
de l’homme et il lui demanda si c’était lui qui avait réécrit sur son carton et
ce qu’il avait noté. Le publicitaire répondit : « Rien que ne soit pas vrai,
j’ai seulement réécris ta phrase d’une autre manière ». Il sourit et s’en alla.
Le non-voyant ne sut jamais que sur son carton, il avait écrit : « Aujourd’hui, c’est l’automne et moi, je ne
peux pas le voir ».
Change ta
stratégie quand les choses ne se passent pas bien et tu verras que ça ira
mieux. L’automne flamboyant va jeter ses feux sur dame nature qui va bientôt
s’endormir. Comme chaque année la brise mentale va faire son entrée. Fais-toi
une réserve de couleurs pour les jours plus sombres quand les feuilles seront
tombées.
LE
31/10/2008
Reçu le 10 septembre
2008 de
UN
BIENFAIT N’EST JAMAIS PERDU
Bryan roulait sur une route quasi déserte lorsqu'il vit une
Mercedes en panne sur le côté de
jour, il aperçut la conductrice, une vieille dame qui avait
l'air complètement affolée. Il s'arrêta devant la Mercedes, sortit de sa vieille Pontiac et se
dirigea vers la pauvre dame désespérée. Malgré le sourire qui se dessinait sur son visage, il sentit combien
elle était effrayée. Depuis le temps qu'elle attendait, personne ne s'était
arrêté . Est- ce que ce jeune homme, allait-il lui faire du mal?
Il pouvait voir qu'elle était effrayée,
debout dans le froid, près de sa voiture. Elle grelottait, la peur tout autant
que le froid lui donnaient la chair de poule . Bryan perçut sa peur.
Je vais vous aider madame, dit-il, allez-vous asseoir dans la
voiture où il fait un peu plus chaud...
mon nom est Bryan Anderson' '.
Il constata qu'elle avait une crevaison; mais en raison de son
âge avancé, elle ne pouvait rien faire toute seule. Bryan s'accroupit, regarda
sous la voiture pour voir comment placer le cric, frotta ses mains pour se
réchauffer les doigts et se mit au travail. Elle vit qu'en remplaçant le pneu,
il s'était sali et blessé à une main.
Pendant qu' il resserrait les
écrous, elle abaissa sa vitre et St Louis et était juste de passage.
Elle ne pouvait pas assez le remercier pour son aide.
Bryan souriait en refermant le coffre. La
dame lui demanda combien elle lui devait. Elle lui dit que son prix n'avait pas
d'importance tellement avait eu peur, s'étant
imaginée des choses affreuses auxquelles elle avait été exposée s'il ne
s'était pas arrêté.
Bryan lui répondit qu'il n'avait pas à être payé. Ceci n'était
pas un travail pour lui. Il n'avait fait qu' aider quelqu'un dans le
besoin. Dieu seul savait combien de fois
des gens l'avaient aidé dans le passé.
Il menait son existence de cette
manière et il ne lui venait pas à l' esprit d'agir autrement. Il lui dit que si elle voulait vraiment le payer de
retour, la prochaine fois qu'elle verrait quelqu'un dans le besoin, elle
devrait donner à cette personne l'assistance nécessaire; et il conclut,
'Souvenez-vous de moi'
Il attendit qu'elle démarrât son véhicule pour s'en aller.
C'était une belle journée froide, la vie n'était pas facile pour lui en ce
moment , mais il se sentait bien en prenant le chemin de la maison .
A quelques kilomètres de là, la vieille dame trouva un
restaurant. Elle y entra pour se réchauffer et prendre une bouchée avant de
continuer sa route.
C'était un
restaurant modeste devant lequel se trouvaient deux vieilles pompes à essence
.La serveuse l'accueillit et lui offrit une serviette propre pour assécher ses
cheveux mouillés. Elle avait un gentil sourire malgré le fait qu'elle était
debout toute
Aussitôt, elle se souvint de Bryan. Quand elle finit son repas, elle paya avec un billet de
100$ . La serveuse alla vite chercher la monnaie.Mais
la dame se faufila dehors, quittant avant que la serveuse ne soit de retour.
Lorsque la serveuse revint, elle se demanda où la cliente pouvait bien se
trouver. Elle remarqua alors une note sur la serviette de table. Des
larmes
coulèrent de ses yeux quand elle lut ce que la vieille lui avait écrit
« Vous
ne me devez rien. Je suis aussi passée par là. Quelqu'un m'a aidée m'en sortir
comme je le fais pour vous. Si vous voulez réellement me payer de retour, voici
ce qu'il faut faire : ne permettez pas à cette chaîne d'amour de prendre fin
avec vous.»
Et sous la serviette de table, il y avait quatre autres billets
de 100 $. Eh bien ! Même s' il y avait des tables à nettoyer, des boîtes de
sucre à remplir , la serveuse décida de
le faire un autre jour. Elle rentra chez elle,
et en se mettant au lit , elle pensa à l'argent et à ce que la vieille
lui avait écrit. Comment la dame aurait–elle pu savoir qu'elle et son mari en
avaient besoin ? Avec un bébé le mois suivant, cela s'annonçait très dur. Elle
savait combien son mari était inquiet et en se glissant près de lui, elle lui
donna un doux baiser et chuchota
doucement à son oreille :
« Tout ira bien. Je t 'aime, Bryan
Anderson. »
Il y a
un vieux dicton qui dit « UN BIENFAIT N'EST JAMAIS PERDU , les mains ouvertes
finissent par attraper
Aujourd'hui, je vous envoie cette histoire. Je vous prie de la
faire circuler. .. Permettez que cette lumière brille. Ne la supprimez pas
!S'il vous plaît, passez- la à un ami. Les bons amis sont comme des étoiles…
Vous ne les voyez pas toujours. Mais vous savez qu'ils sont toujours là. ..
BONNE JOURNÉE À VOUS TOUS !
Reçu le 20 septembre 2008 de Madame
|
De Madame
Anne KERBYSON :
أنا
وابي
|
LE
31/08/2008
Reçu le 26 mai 2008 de Monsieur Marc JAFFE :
This is worth reading through completion…
LIFE IS A GIFT...
There was a blind girl who hated
herself just because she was blind.
She hated everyone, except her loving boyfriend. He was always there
for her.
She said that if she could only see the world, she would marry her
boyfriend.
One day, someone donated a pair of eyes to her and then she could
see
everything, including her boyfriend.
Her boyfriend asked her, "now that you can see the world - Will you
marry me?" The girl was shocked when she saw that her boyfriend was
blind too, and refused to marry him.
Her boyfriend walked away in tears, and later wrote a letter to her
saying.
"Just take care of my eyes dear."
This is how the human brain changes when the status has changed. Only
few remember what life was before, and who has always been there even in
the most painful situations.
LIFE IS A GIFT…
Today before you think of saying an unkind word - Think of someone who
can't speak.
Before you complain about the taste of your food - Think of someone who has nothing
to eat.
Before you complain about your husband or wife - Think of someone
who's crying out to God for a companion.
Today before you complain about life - Think of someone who went too
early to heaven.
Before you complain about your children - Think of someone who
desires children but they're barren.
Before you argue about your dirty house that someone didn't clean or
sweep - Think of the people who are living in the streets.
Before whining about the distance you drive - Think of someone who walks
the same distance with the ir feet.
And when you are tired and complain about your job - Think of the
unemployed, the disabled and those who wished they had your job.
But before you think of pointing the finger or condemning another -
Remember that not one of us is without sin and we all answer to one
maker.
And when depressing thoughts seem to get you down - Put a smile on your
face and thank God you're alive and still around.
Life is a gift, Live it, Enjoy it, Celebrate it, And fulfill
it As if you >are just about to face your Maker.
So just be thankful that you are alive
and well....whoever...whatever....wherever .... Whenever.... and
however you are now...just being thankful.... for you are a part of
His Great Plan!
Think of "A Faithful friend" who is a strong defense
and.... whoever has
found, one has found a treasure.
-o-o-o-o-o-o-o
TRADUIT DE L’ANGLAIS par
Monsieur Marc Jaffé -
Ca vaut la peine de lire jusqu'au bout.
Il y avait une jeune fille aveugle qui se
haïssait rien que parce qu'elle était aveugle. Elle haïssait tout le monde
excepté son cher petit ami qui l'aimait et était toujours là pour elle. Elle disait que
si seulement elle pouvait voir le monde elle se marierait avec son petit ami.
Un jour, quelqu'un lui donna une paire d'yeux et elle put voir le monde
entier, y compris son petit ami. Son petit ami alors lui demanda :" A
présent que tu peux voir le monde, est-ce que tu vas te marier avec moi
? ". La jeune fille fut choquée lorsqu'elle vit que son petit
ami était aussi aveugle
et refusa de se marier avec lui .Son petit ami s'en alla en larmes et plus tard
il lui écrivit une lettre en disant :" Prends seulement
soin de mes yeux , ma chérie. "
C’est ainsi que le cerveau humain change lorsque la situation
a changé. Rares sont ceux qui se
rappellent ce que la vie était auparavant et de ceux qui étaient
toujours là pour eux dans les pires moments.
Aujourd'hui avant même de penser à dire quelque chose de méchant, pensez a
quelqu'un qui ne peut pas parler, un muet.
Avant de vous plaindre du goût de votre manger, pensez a quelqu'un qui n'a rien à manger.
Avant de vous plaindre de votre mari ou de femme, pensez a
quelqu'un qui implore
Dieu pour avoir un compagnon.
Aujourd'hui avant de vous plaindre a
propos de la vie, pensez a quelqu'un qui est parti au
paradis bien avant son temps.
Avant de vous plaindre de vos enfants, pensez a quelqu'un qui désire avoir des enfants mais qui est stérile.
Avant de discuter à propos de votre maison qui est sale parce
que quelqu'un n'a pas
nettoyé ou balayé, pensez aux personnes qui vivent dans la rue.
Avant de rouspéter à propos de la distance pendant laquelle vous
conduisez, pensez
à quelqu'un qui doit couvrir la même distance, à pieds.
Et lorsque vous êtes fatigué et vous vous plaignez de votre
travail, pensez aux chômeurs , aux handicapés et
à ceux qui aimeraient avoir votre travail.
Mais avant même de penser à montrer du doigt ou à blâmer
quelqu'un, rappelez vous que personne de nous n'est
sans péchés et que chacun de nous répond au même Seigneur.
Et lorsque des pensées déprimantes vous assaillent, souriez et remerciez Dieu d'être vivant
et encore dans ce monde.
La vie est un cadeau, Vivez
la, Jouissez en , Célébrez la, et Remplissez la tout comme si vous étiez prêt à
vous confronter à votre Seigneur.
Alors, soyez juste
reconnaissant d'être vivant et donc....quiconque....quoi que ce soit....ou que ce soit....quand que ce soit....et quel
que ce soit comment vous êtes a présent.... tout
juste appréciez le....parce que vous faites partie de Son Grand Plan !
Pensez que c’est " Un
ami Sincère" qui est une forte défense et ....quiconque l’ a trouve, a trouvé un trésor.
Auteur inconnu.
-
o-o-o-o-o-o-o-o-o-
Reçu le 13 juillet
2008 de Monsieur Sabatino MUSTACCHI :
SO MANY
GODS, SO MANY CREEDS,
SO MANY
PATHS THAT TWIST AND WIND
WHILE
JUST THE ART OF BEING KIND
IS ALL
THIS SAD WORLD NEEDS.
(Merci, cher Ami,
pour ces quatre vers simples et, en même temps merveilleux : il suffit d’y
penser de temps en temps et de les appliquer pour améliorer les rapports entre
les gens. A.P.)
LE
30/06/2008
SENEQUE, sous
Rome, dans ses LETTRES A LUCILIUS, en
parlant de leur ami commun METRONAX, disait :
Les hommes peuvent
être souvent, entre eux, équitables mais jamais envers les Dieux. Chaque jour
nous gourmandons le Destin : pourquoi celui-ci a-t-il
été emporté au milieu de sa course ? Comme s’il avait pu et dû vivre plus
longtemps ! Pourquoi celui-là n’est-il pas emporté ? Pourquoi tire-t-il en
longueur une vieillesse à charge aux autres autant qu’à lui-même ? Lequel des
deux juges-tu plus raisonnable ? Obéir à la nature ou la voir t’obéir ? Et que
t’importe de sortir tôt d’un lieu d’où il faudra, de toutes façons, sortir ? La
durée de la vie ne doit pas nous soucier mais sa plénitude. Car, pour vivre
longtemps, il est besoin du Destin.
Quel fruit cet
octogénaire oisif tire-t-il de sa vie ? Il n’a pas VECU mais s’est attardé à
vivre. Il n’est pas mort tard mais il a mis longtemps à mourir. Pourquoi cet
autre est-il parti dans sa fleur ? Mais n’a-t-il pas
rempli ses devoirs de bon citoyen, de bon ami, de bon fils ? Sur aucun point il
n’a fait défaut. Sa vie a été complète. A moins que tu ne dises vivre au sens
dont on le dit des arbres. Comme les choses précieuses elles ne se mesurent pas
par leur étendue ni leur volume mais sur leur valeur. Une petite taille
n’empêche pas un homme d’être complet. De même, dans une moindre mesure de
temps, la vie peut être complète. L’âge n’est qu’un accessoire. Sa durée ne
dépend de personne.
Il n’est pas
nécessaire d’atteindre jusqu’à la dernière borne d’un chemin mais à l’essentielle. Tout supplément n’aurait pas
changé la qualité de la période semblable déjà vécue. Juges-tu le gladiateur
plus heureux d’être tué à la moitié du spectacle qu’à la fin ? Penses-tu qu’il
soit assez sottement épris de la vie pour mieux aimé être égorgé au vestiaire
que sur l’arène ? C’est à peu près la même distance qui devance les mortels. La mort ne fait pas
d’exceptions. Celui qui reste suit de près qui est tombé. Une seconde ne peut
nous soucier tant. Et qu’importe pendant combien de temps tu évites ce que tu
ne peux éviter ?
Adieu, Lucilius…
Albert Pardo
LE
30/04/2008
ou
L’Art de Garder ses Amis
Durant
une quarantaine d’années, ma femme et moi avons voyagé en France et dans de
nombreux pays en compagnie de ceux de nos amis qui pouvaient le faire.
Souvent à six ou huit , il nous est arrivé d’être plus de douze. Et nous avons
été confrontés, parfois, à des situations embarrassantes. J’ai écrit cette «charte» il
y a quelque temps et je suis persuadé qu’elle rendra service car elle est
toujours d’actualité.
Qu’est-ce qu’un Croulant ?
Un Croulant est une personne, homme ou femme,
ayant dépassé
- LES SOLITAIRES : ceux qui aiment vivre
seuls
- Les GREGAIRES : ceux qui aiment vivre en groupe.
Pour
les premiers, il n’y a aucun problème : aimant vivre seuls, ils
continueront paisiblement leur parcours habituel. C’est pour les grégaires que
les choses risquent de se compliquer. Pourquoi ? C’est que, pour un
septuagénaire grégaire, une ou plusieurs
choses changent fondamentalement plus ou moins en lui, suivant les individus
mais, indubitablement pour tous, au
moins ces trois-là : LE BESOIN DE LIBERTE,
LE CARACTERE et
LE
BESOIN DE LIBERTE :
Ce besoin se manifeste souvent durant
les voyages et les sorties. A cause de défaillances physiques différentes et
propres à chaque Croulant, nombreux sont ceux ou celles qui ne peuvent plus
faire ce qui leur était très facile auparavant :, se promener longuement,
veiller, danser , etc. Mais, pour qu’un voyage en compagnie d’amis procure le
maximum de plaisir aux uns et aux
autres, il ne faut jamais oublier cet
adage : « la liberté des uns
s’arrête là où la liberté des autres commence » Il faudrait donc
que chacun ne ressente aucune contrainte envers
ses compagnons du moment : il prendra son petit déjeuner à l’heure qui
lui plaira, il ira se promener avec eux ou non si cela lui fera plaisir ou pas, il fera une petite ou une
longue sieste ou pas du tout comme ça lui chante, il prendra ou non l’apéritif
avec eux sans que cela soit une OBLIGATION.
Le soir, après dîner, il assistera ou non aux animations et, enfin, il ira
dormir à l’heure qu’il désirera sans que ses compagnons ne considèrent qu’il
les fuit. Cette LIBERTE des uns envers les autres procurera à TOUS des grandes
satisfactions et les incitera à répéter
les occasions de sortir et de voyager
ensemble,
LE
CARACTERE : Ah !
le caractère ! Là, c’est encore plus grave suivant les individus :
avec l’âge, certains qui étaient jusqu’à là gentils,
serviables, patients et généreux, deviendront plus ou moins acariâtres,
impatients, nerveux, susceptibles,
radins, soupe au lait, gloutons, etc. Alors, que faire ? Il n’y a pas
cinquante méthodes, je n’en connais que d’eux : ou bien aller se réfugier
dans
Encore
une chose fondamentale : ne jamais
oublier que « les bons
comptes font les bons amis » et donc, insister toujours
pour payer sa quote-part ou bien, si cela n’est pas possible sur le
moment, faire un geste équivalent à
la première occasion.
LE
29/02/2008
Reçu le 19.01.2008
de Monsieur Clement DASSA :
Il
y a un proverbe qui dit : "Peu importe le vin, pourvu qu'on ait l'ivresse",mais je trouve ça vraiment idiot
C'est comme si on disait : "Peu importe
la femme, pourvu qu'on ait...le vertige de l'amour."
D'ailleurs à ce propos, il m'est arrivé une
histoire dont il faut que je vous donne, si je puis dire, la primeur.
C'était il y a quelque temps, au bal de
Le temps d'aller chercher un Chablis au
vestiaire, de mettre un petit Corton dans ses cheveux, on est montés dans ma
Banyuls et on a roulé jusqu'au matin.
Ah quelle belle journée ! On s'est baladé
Entre-deux-mers, il faisait beau, on a Vacqueyras sur la plage, les pieds dans
l'eau Clairette, on s'est Pouilly-Fuissé dans les
dunes et puis comme le Mercurey montait sérieusement et qu'on commençait à avoir
les Côtes-Rôties on a décidé de rentrer.
Mais voilà, en partant nous nous sommes
retrouvé coincés dans les embouteillages, enfin les bouchons, quoi ! Je
commençais à Minervois sérieusement et là, Julienas
et moi, nous avons commencé à nous crêper le Chinon .D'un seul coup elle a
claqué
Mais je vous Jurançon, je l'avais dans
Quand on s'est retrouvés, et que je l'ai vue
devant moi en Gros-plant, je lui ai dit -" Ne fais pas ta Pomerol, et ne
t'en va plus Gamay ! "
En pleurant, elle est tombée dans mes bras en
Madiran "Ne m'en veut pas, je voulais juste être sure que ton Saint-Amour était vraiment Sancerre".
Depuis on ne s?est
plus cuités.
LE
31/12/2007
Reçu de Madame
Lily KHODARA le 9.11.07 :
Gabriel Garcia
Marquez a abandonné la vie publique pour des raisons de santé : cancer
lymphatique. Dernièrement sa situation s'aggrave. Il a envoyé une lettre
d'adieu à ses amis et, grâce à Internet, elle est diffusée à travers le réseau.
Je vous recommande de la lire car cette courte lettre écrite par un des
latino-américains les plus brillants des derniers temps est très touchante.
« Si pour un
instant Dieu oubliait que je suis une marionnette en chiffon, qu'il m'offre un
morceau de vie, je profiterais de ce temps le plus possible.
Je suppose que je ne dirais pas tout ce que je pense, mais en définitif je
penserais tout ce que je dis.
Je donnerais une
valeur aux choses, pas pour ce qu'elles valent, mais pour ce qu'elles
signifient.
Je dormirais peu, je rêverais plus, je crois que chaque minute passée les yeux
fermés représente soixante secondes en moi de lumière.
Je marcherais quand les autres s'arrêtent, je me réveillerais quand les autres
dorment.
Si Dieu m'offrait un morceau de vie, je m'habillerais simplement, me
déshabillerais sous le soleil, en laissant à nu non seulement mon corps, mais
aussi mon âme.
Je prouverais aux hommes combien ils se trompent en pensant qu'on ne tombe plus
amoureux en vieillissant et qui ne savent pas qu'on vieillit lorsqu'on cesse de
tomber amoureux.
Je donnerais des ailes à un enfant, mais je le laisserais apprendre à voler
seul.
J'enseignerais aux vieux que la mort ne vient pas avec l'âge, mais avec
l'oubli.
J'ai appris tant de choses de vous, vous les hommes. J'ai appris que tout le
monde veut vivre au sommet de la montagne, sans savoir que le véritable bonheur
réside dans la manière de l'escalader.
J'ai appris que quand un nouveau né serre fort de son
petit poing, pour la première fois, la main de son père, il le retient pour
toujours.
J'ai appris qu'un
homme n'a le droit d'en regarder un autre de haut que pour l'aider à se lever.
J'ai appris tant de choses de vous, malheureusement, elles ne me serviront plus
à grand-chose, car lorsqu'on me rangera dans ce coffre, je serai
malheureusement mort.
Dis toujours ce
que tu sens, et fais ce que tu penses.
Si je savais que je te vois dormir pour la dernière fois, je t'embrasserais
très fort et je prierais le Seigneur pour pouvoir être le gardien de ton
âme.
Si je savais que ce sont les dernières minutes où je te vois, je te dirais « je
t'aime », sans présumer bêtement que tu le sais déjà.
Il y a toujours un lendemain et la vie nous donne une autre occasion de faire
bien des choses, mais si jamais je me trompe et que je n'ai plus que ce jour,
j'aimerais te dire combien je t'aime et que je ne t'oublierai jamais. Le
lendemain n'est garanti à personne, qu'il soit jeune ou vieux.
Aujourd'hui peut être le dernier jour où tu vois ceux que tu aimes.
N'attends pas, fais-le aujourd'hui, car si demain ne vient pas, tu regretteras
sûrement de n'avoir pas pris le temps d'un sourire, d'une caresse, d'un baiser,
car tu étais trop occupé pour pouvoir faire plaisir.
Garde près de toi ceux que tu aimes, dis-leur à l'oreille combien tu as besoin
d'eux, aime-les et traite-les bien, prends le temps de leur dire « je regrette
», « pardonne-moi », « s'il te plaît », « merci » et tous les mots d'amour que
tu connais. Personne ne se souviendra de toi pour tes pensées secrètes.
Demande au Seigneur la force et la sagesse de les exprimer. Montre à tes amis
et aux êtres chers combien ils sont importants pour toi. »
Et la personne qui m'a envoyé ce texte, m'a dit que j'étais importante pour
elle. Et vous savez quoi? cela m'a fait chaud au coeur...vraiment...
Reçu le 1er
novembre 2007 de Monsieur Clément DASSA :
Il faut deux ans
pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire.
La loi est sage
mais les hommes ne le sont pas.
Un frère est un
ami qui a nous a été donné par la nature.
Un fils qui fait
verser des larmes à sa mère peut seul les essuyer.
Le chemin du
devoir est toujours proche mais l’homme le cherche loin de lui.
Gouverne-toi bien
pour gouverner le monde.
Laisse toujours
une petite place à l’erreur.
Le malheur n’entre
guère que par la porte qu’on lui a ouverte.
Est sage celui qui
connaît les autres.
Connaître son
ignorance est la meilleure part de la connaissance.
Hier, Aujourd’hui,
Demain, sont les trois jours de l’Homme.
Quand un homme est
fou d’une femme, il n’y a qu’elle qui le puisse guérir de sa folie.
Etre Homme est
facile, être UN HOMME est difficile.
Ne craignez pas
d’être Lent, craignez seulement d’être à l’Arrêt.
On peut être
intelligent toute sa vie et stupide en un instant.
Qui fait l’âne, ne
doit pas s’étonner si les autres lui montent dessus.
Ne vous mettez pas
en avant, mais ne restez pas en arrière.
Si perçante soit
la vue, on ne se voit jamais de dos.
Point n’est besoin
d’élever la voix quand on a raison.
Si vous ne voulez
pas qu’on le sache, mieux vaut encore ne pas le faire.
LE
31/10/2007
TOUT AGE PORTE SES FRUITS……..
IL FAUT SAVOIR LES CUEILLIR.
Reçu de Madame
Josette GUIGUI et de Monsieur Isaac Schalom :
Socrate avait, dans
Quelqu’un vint un jour trouver le grand philosophe et lui dit : « Sais-tu ce que je viens d’apprendre sur ton ami ?
Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j’aimerais te faire passer un test, celui des trois passoires.
-- Les trois passoires ?
Mais oui, reprit Socrate. Avant de raconter toutes sortes de
choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l’on
aimerait dire. C’est ce que j’appelle le test des trois passoires. La première
passoire est celle de
Non. J’en ai seulement entendu parler…
Très bien. Tu ne sais donc pas si c’est
-- Ah non ! Au contraire.
-- Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n’es même pas certain si elles sont vraies. Tu peux peut-être encore passer le test, car il reste une passoire, celle de l’utilité. Est-il utile que tu m’apprennes ce que mon ami aurait fait ?
Non. Pas vraiment.
-- Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n’est ni vrai, ni bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire ? »
reçue de Madame Josette GUIGUI
« Lorsque
les pères s’habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent
plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves
et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois
parce qu’ils ne reconnaissent plus au-dessus d’eux, l’autorité de rien et de
personne, alors c’est là, en toute beauté et en toute jeunesse le début de la
tyrannie
De Nina & Samy COHENCA :
« Qu’est ce qui vous surprend le plus dans l’humanité ? »
Il a répondu :
« Les hommes….Parce qu’ils perdent la santé pour accumuler de l’argent,
ensuite ils perdent de l’argent pour retrouver la santé.
Et à penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte
qu’ils finissent par non vivre ni le présent ni le futur.
Ils vivent comme s'ils n’allaient jamais mourir…..
…Et meurent comme s'ils
n’avaient jamais vécu.
LE
31/08/2007
De Monsieur Carlo EZBAN
La
jeunesse n’est pas une période de la vie, elle est un état d’esprit, un effet de
la volonté, une qualité de l’imagination, une intensité émotive, une victoire
du courage sur la timidité, du goût de l’aventure sur l’amour du confort.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un
certain nombre d’années, on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal. Les
années rident la peau, renoncer à son idéal, ride l’âme. Les réoccupations, les
doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis qui, lentement, nous
font pencher vers la terre et devenir poussière avant la mort.
Jeune est celui qui s’étonne et
s’émerveille. Il demande comme l’enfant insatiable : et après ? Il
défie les évènements et trouve de la joie au jeu de la vie.
Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi
veux que votre doute. Aussi jeune que votre confiance en vous-même. Aussi jeune
que votre espoir. Aussi vieux que votre abattement.
Vous resterez jeune tant que vous resterez
réceptif. Réceptif à ce qui est beau, bon, grand. Réceptif aux messages de la
nature, de l’homme et de l’infini.
Si un jour, votre cœur allait être mordu
par la pessimisme et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de votre âme
de vieillard.
Général
Mac Arthur 1945
Conduis ta vie comme si tu
allais mourir DEMAIN et, en même temps,
JAMAIS.
Sois indulgent envers
l’imbécile, le fourbe et le voleur : ce n’est pas de leur faute, c’est
leur nature profonde.
Ne cherche pas à convaincre
l’entêté : tu y perdras ton latin et il ne te sera pas
reconnaissant ; au contraire !
Ne collectionne pas les adages
et les proverbes rien que pour le plaisir ; choisis-en un chaque jour et
essayes de l’appliquer.
Attelles-toi en premier et
sans tergiverser à
PLUS ENNUYEUSE : tu en
seras débarrassé puis, HEUREUX, TRES HEUREUX !
Pourquoi es-tu si dur avec
ceux qui ont les mêmes défauts et les mêmes vices, que toi ?
A.P
LE
30/06/2007
De Messieurs Marc et Raymond REVAH :
Un verre d'eau enlève la sensation de faim pendant la nuit
pour presque 100% des personnes au régime comme le démontre l'université
de Washington. Le manque d'eau est le facteur N°1 de la cause de fatigue
pendant la journée. Des études préalables indiquent que de 8 à 10 verres
d'eau par jour pourraient soulager significativement les douleurs de dos
et d'articulations pour 80% des personnes qui souffrent de ces maux..
Une simple réduction de 2% d'eau dans le corps humain
peut provoquer une incohérence de la mémoire à court terme, des problèmes
avec les mathématiques et une difficulté de concentration devant un
ordinateur ou une page imprimée. Boire 5 verres d'eau par jour :
- Diminue le risque de cancer du colon
de 45 %
- Peut diminuer le risque de cancer du sein
de 79% et de 50% la probabilité de cancer à la vessie.
Bois-tu la quantité d'eau que tu devrais, tous les jours ?
De Madame Nell LEV
BEL EXERCICE DE LANGUE FRANCAISE.
« Myope comme une taupe », « Rusé comme un
renard »... Les termes empruntés au
monde animal sont partout.La preuve: Que vous soyez
fier comme un coq fortcomme un boeuf,
têtu comme une mule, malin comme un singe, chaud lapin ou fine mouche, vous
êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche.
Vous arrivez frais comme un gardon à votre premierrendez-vous et là, pas un chat! Vous faites le pied
de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Le
type qui vous a obtenu ce rancard, avec lequel vous êtes copain comme cochon,
vous l'a certifié: Cette poule a du chien, Une vraie panthère !
C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour.Mais toutde même, elle vous
traite comme un chien. Vous êtes prêt à gueuler comme un putois,
mais non, elle arrive. Bon, dix minutes de retard, il n'y apas
de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris,
avec sa crinière de lion est en fait plate comme une limande, myope comme une
taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine.
Vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien
de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par
noyer le poisson. Vous avez le bourdon, envie de verser des larmes
de crocodile.
Vous finissez par vous inventer une fièvre de
cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. Vous avez beau être doux comme
un agneau, faut tout de même pas vous prendre pour un pigeon !
De Messieurs Sabatino MUSTACCHI et
de Raymond REVAH :
Pour une fois que c'est un truc intelligent à faire
suivre !!!!!
Sujet : Cela peut servir ! Prenez quelques minutes pour lire ceci
et peut-être sauver une vie ..... et contribuer à faire connaître le danger que
représente l'Accident Vasculaire Cérébral.
Lors d'un barbecue, Julie trébuche et fait une chute. Elle
affirme aux autres invités qu'elle va bien et qu'elle s'est accrochée les pieds
à cause de ses nouveaux souliers. Les amis l'aident à s'asseoir et lui
apportent une nouvelle assiette. Même si elle a l'air un peu secouée, Julie
profite joyeusement du reste de l'après-midi... Plus tard le mari de Julie
téléphone à tous leurs amis pour dire que sa femme a été transportée à
l'hôpital....Julie meurt à 18h.
Elle avait eu un Accident Vasculaire Cérébral lors du
barbecue. Si les personnes présentes avaient été en mesure d'identifier les
signes d'un tel accident, Julie aurait pu être sauvée.
Un neurologue dit que s'il peut atteindre une victime d'AVC
dans les trois heures, il peut renverser entièrement les effets de
Reconnaître les symptômes d'un AVC : Poser trois
questions très simples à la personne en crise :
1. * Lui demander de SOURIRE.
2. * Lui demander de lever LES DEUX BRAS.
3. * Lui demander de PRONONCER UNE PHRASE TRÈS SIMPLE (ex. Le
soleil est magnifique aujourd'hui).
Si elle a de la difficulté à exécuter l'une de ces tâches,
appelez une ambulance et décrivez les symptômes au répartiteur.
Selon un cardiologue, si tous ceux qui reçoivent cet e-mail
l'envoient à leur tour à 10 personnes, une vie au moins pourrait être sauvée.
Merci à toutes et à tous
qui
m’accable de jérémiades en partageant avec moi ses problèmes
Chère
Amie,
…..Pour votre voisin de table originaire de
Gerardmer, je sais ce que c’est : ma femme et moi
avons été souvent confrontés à ce genre de problème dans la vie courante et
durant nos séjours dans les clubs de vacances.
Pendant longtemps nous avons été des
auditeurs attentionnés et des conseilleurs pour nos amis et relations et même
des arbitres amicaux entre mari et femme. Maintenant, nous ne le supportons
plus car cela nous épuise moralement, physiquement et intellectuellement . Il
arrive un moment où ON NE PEUT PLUS (et alors ON NE DOIT PLUS) prendre en
charge ou endosser les problèmes de qui que ce soit.
Un moyen élégant de fuir ce genre d’embûche est de dire à son
interlocuteur, très gentiment dès le début : ‘’excusez-moi, je ne me sens pas
bien, je suis un peu oppressé, je dois aller m’aérer un peu ! ‘’ C’est très dur
de se FORCER à devenir égoïste lorsque on ne l’est pas de nature mais, à notre
âge, c’est de
Je vais vous faire un aveu : tous les
matins, lorsque je me lève, je pense à tous les plaisirs que je pourrais
m’octroyer dans cette JOURNEE-CI ! HIER est passé, DEMAIN n’est pas encore né
et je n’ai qu’AUJOURD’HUI seulement pour profiter de
Rien qu’en écoutant ces nouvelles au poste
ou en les regardant à la télé, ma tension saute au plafond et mon coeur bat
A.P.
JE VEUX VIVRE PLEINEMENT CHAQUE JOUR,
COMME LE PREMIER ET LE DERNIER
ENCORE POUVOIR ECRIRE DES ODES A L'AMOUR
ET VOIR CHAQUE MATIN LE SOLEIL SE LEVER.
ETRE
COMPLICE DE
ECOUTER LE SILENCE ET MEDITER
DESSINER L'AMOUR SUR UNE TOILE
ETRE HEUREUX ET TOUT PARTAGER.
CAR ON NE PEUT VIVRE MILLE ANS
ET ON NE PEUT ARRETER LES AIGUILLES
MAIS ON PEUT LAISSER UNE EMPREINTE DANS LE TEMPS.
MOI, J'AI LE RESPECT DE MA PLANETE,
J'AIME LES OISEAUX, LES ENFANTS ET LES FLEURS
UN ARC-EN-CIEL ECLAIRE MA TETE
ET JE FAIS DE CHAQUE JOUR UN HYMNE AU BONHEUR
Auteur
Inconnu
LE 30/04/2007
De
Madame Patricia TOUBIANA :
Chers tous !
Je voulais partager ceci avec vous :
Les ambulanciers ont remarqué que très souvent lors d'accidents de la route,
les blessés ont un téléphone portable sur eux. Toutefois, lors des
interventions, on ne sait pas qui contacter de ces listes interminables de
contacts.
Les ambulanciers ont donc lancé l'idée que chacun rentre dans sa liste des
contacts, la personne à contacter en cas d'urgence sous le même pseudonyme.
Le pseudonyme internationalement connu est ICE (= In Case of Emergency).
C'est sous ce nom qu'il faudrait entrer le numéro de la personne à contacter,
utilisable par les ambulanciers, la police, les pompiers ou les premiers
secours.
Lorsque plusieurs personnes doivent être contactées on peut utiliser : ICE1,
ICE2, ICE3, etc.
Facile à faire, ne coûte rien et peut apporter beaucoup. Si vous pensez que
c'est bien, faites passer le message afin que ça rentre dans les mœurs.
Bonne journée
De Madame Lily KHODARA :
TODAY’S “ MESSAGE OF THE DAY “ is :
Life is short, Break the rules, Forgive quickly, Kiss slowly,
Love truly, Laugh uncontrollably, And never regret anything that
made you smile.
Send
(in a new email) to all the people you love and don't want to
lose in 2007, even me.... If you get 3 back, you are a great friend.
De
Madame Liliane SALTIEL :
des
Arabes à Nasser
Par Alec Nacamuli
Paru dans «!
sous la
direction de Paul Balta, Catherine Dana, Regine Dhoquois-Cohen-
L'Harmattan, Paris 2003.
LES SAVANTS JUIFS SOUS LES
FATIMIDES ET SALADIN
C’est en 642
qu’Amr Ibn Al’As, un des compagnons du Prophète,
acheva la conquête de l’Égypte par la prise d’Alexandrie et la fondation d’une
nouvelle capitale Fostat. Bien que cette période soit
relativement mal connue, il est certain qu’il instaura le régime de
infidèles, contre paiement de
taxes et un statut de citoyen de second classe marqué par des restrictions socio-professsionelles et l’obligation du port de signes distinctifs,
voire discriminatoires. Redevances fiscales et règles répressives seront
appliquées avec plus ou moins de rigueur par les gouverneurs, pachas et autres
beys qui se succèderont pendant les siècles à venir. Du point de vue de la
pensée juive, la personalité marquante de cette
époque fut Saadia ben Joseph, né au Fayoum (l’ancienne Pythom
de la Haggadah), futur Gaon de l’Académie de Soura; outre ses contributions
philosophiques et liturgiques, il influença profondément les juifs arabophones
par ses traductions de
En 969 s’implanta
Il
est imposssible de parler de cette période sans mentioner
Le
dernier calife Fatimide fut déposé par son vizir d’origine kurde, Salah-el-Din el Ayyoubi (Saladin) en 1171
qui se proclama caliphe et fonda la dynastie des
Ayyoubides,
qui restaura le sunnisme. La vie communautaire juive fut relativement peu
affectée ce qui encouragea plusieurs savants juifs à s’établir en Egypte dont
Anatoli ben Joseph Dayyan d’Alexandrie et l’illustre
Maïmonide qui devint médecin de la cour et conseiller priviliégé,
bien qu’il n’assuma aucun titre officiel. Il vécut au Caire jusqu’à sa mort en
1204 et y écrivit ses oeuvres les plus importantes:
le Michné Torah et le Guide des Perplexes rédigé en
arabe.
Les
Mamelouks formaient une milice d’élite recrutée parmi les esclaves blancs
(Grecs, Turcs, Slaves et Tcherkasses). En 1250 leur
chef exécuta le derniersultan ayyoubide dont il
épousa la belle-mère et s’installa sur le trône. Périodenoire
pour tous les dhimmis et l’Égypte en général qui
souffrit de l’instabilitécausée par les luttes de
successions. Le sultan turc Sélim I profita de cet
affaiblissement pour conquérir l’Égypte en 1517, tout en conservant les
Mamelouks comme gouverneurs de province avec le titre de Bey, sous l’autorité
du Pacha nommé par Constantinople. Les Ottomans continuèrent leur tradition
d’accueillir les juifs expulsés d’Espagne; ceux d’Égypte se divisèrent en trois
communautés: ha-Mostarabim (Egyptiens autochtones),
ha-Maghrebim (Nord-Africains), et ha-Sefaradim (Espagnols), chacune avec ses structures
indépendantes (tribunaux, institutions charitables). Les Ottomans nommèrent
également des juifs aux fonctions de directeur de l’Hôtel des Monnaies (Chélébi) et de collecteur d’impôts, ce qui ne manqua pas de
leur attirer la haine de la population égyptienne. Plusieurs furent lynchés
lors d’émeutes (Youssef el-Yahoudi et Léon Zaphir) et la fête du Pourim Misraïm
était célébrée par les Cairotes en mémoire du sauvetage in extremis du chélébi Léon de Castro.
L’Égypte
sombra peu à peu dans l’anarchie pendant le XVIIIe siècle, ce dont les juifs
souffrirent. Les Mamelouks reprirent le pouvoir à la suite de la révolte d’Ali
Bey contre
MOHAMED ALI ENCOURAGE
L’IMMIGRATION JUIVE
Du
désordre qui suivit le retrait de
La
dette extérieure croissante de l’Égypte inquiétait cependant les puissances
occidentales. Prétextant la révolte nationaliste d’Orabi
Pacha en 1882 qui coûta la vie à quelques Européens, les Anglais occupèrent le
pays militairement. Un régime de Capitulations fut instauré sous lequel les
étrangers étaient jugés par leurs tribunaux consulaires ou des Tribunaux
Mixtes. L’expansion de l’économie s’accéléra, nourrie surtout par l’exportation
cotonnière, le coton égyptien à fibre longue étant particulièrement apprécié.
UNE PARTICIPATION TRÈS ACTIVE À
Cette
période marque, pour les juifs d’Égypte, !le début de l’âge d’or qui devait
durer jusqu’à la fin de
ashkénazes
expulsés de Palestine par les Turcs durant
Jusqu’à
la moitié du XIXe siècle, les juifs exerçaient surtout les activités délaissées
par les musulmans: artisanat, orfèvrerie, commerce, prêteurs contre intérêts ou
sur gages. Leur niveau d’éducation supérieur et leur connaissance des langues,
s’ajoutant à l’expérience acquise dans leur pays d’origine, leur permit de
contribuer d’une manière significative, certainement disproportionnée par
rapport à leur nombre, au développement économique de l’Égypte. Au-delà de
l’import-export, domaine dans lequel ils excellaient depuis plusieurs siècles,
nous retrouvons une prépondérance juive dans pratiquement tous les domaines
d’activités:
Banque et
finance: de Menasce, Mosseri,
Suarès, Rollo, Zilkha
Grands magasins: Adès, Ben Zion, Chemla,
Cicurel, Gattegno, Hannaux, Salon Vert, Oreco. Il
est intéressant à noter que ces «!brands!» demeurent aujourd’hui: qu’elle n’a
pas été ma surprise de voir Ben Zion (!) affiché en lettres géantes au-dessus
d’un magasin bondé à Assouan lors de mon dernier voyage en 2000.
Bourse et
courtage: Argi, Levy, Messiqua, Rossano;
les Bourses des Valeurs et la Bourse du Coton fermaient lors des fêtes Juives.
Industrie: égrenage du coton et industrie textile (Arrripol,
el-Dereyi, Hassan, Salama, Toriel), sucreries de Kom-Ombo (Naus, Harari) Urbanisme et transports: Politi,
Smouha (l’idyllique Smouha
City, cité-jardin, à Alexandrie), Suarès (tramways, chemins de fer et autobus)
sans compter tous ceux qui ne peuvent être mentionnés ici faute de place. La
communauté
juive
égyptienne était reconnue comme la plus prospère du Moyen-Orient. Forte
contribution également au développement artistique et culturel: pièces de
théâtre populaire de James Zaradel Sanoua et introduction du cinéma par Togo Mizrahi. Parmi les écrivains de langue française jouissant
d’une réputation internationale citons Edmond Jabès et Carlo Suarès.
Plus
surprenante peut-être est l’intégration de la communauté juive dans la vie
politique égyptienne et surtout au sein des mouvements nationalistes militantspour l’indépendance. Le journaliste Victor Sanoua, plus connu sous son nom de plume Abou Naddara (l’homme aux lunettes), participa à la révolte d’Orabi Pacha en 1882. Après
L’Égypte
accéda à l’indépendance en 1922 et le Sultan Fouad devint roi, les Anglais lui
octroyant un statut de protectorat tout en conservant une présence militaire
autour du Canal de Suez. Parmi les membres du premier cabinet présidé par Saad Zaghloul Pacha nous trouvons Joseph Aslan de Cattaouicomme Ministre des Finances. Ce dernier siégeait
également aux côtés de Salvator Cicurel et de Sir
Victor Harari aux Conseils d’administration de
Nous
pouvons donc dresser le tableau social suivant d’une communauté qui, selon le
recensement officiel, comptait 62 916 âmes en 1937, mais que l’on estimait plus
proche des 80 000:
Une couche
“aristocratique” de banquiers, grands industriels, hommes politiques et
propriétaires terriens
Une
classe moyenne relativement prospère de commerçants, hommes d’affaires,
employés, professions libérales et intellectuels
Un
soubassement de juifs indigènes ou orientaux, assimilés à la population
égyptienne et concentrés dans le Har’t el Yahoud ou ils vivaient, assistés par la charité
communautaire, aux marges de la pauvreté.
La
vie religieuse et communautaire était très active. Le Caire comptait près de 25
synagogues, dont
Le
Rachat des Premiers Nés donnait lieu à de grandes fêtes de famille. Quand les
garçons atteignaient leur majorité religieuse, mettre les Tephilin
pour la première fois était considéré plus important que de monter à
Les
Communautés du Caire et d’Alexandrie opéraient indépendamment, avec le français
comme langue officielle. En plus des activités religieuses, elles agissaient
comme État Civil, enregistrant naissances, mariages et décès. Comme l’on
pouvait s’y attendre, elles entretenaient un vaste réseau d’oeuvres
de charité: hôpitaux, “
SIONISME, NATIONALISME ET FRÈRES
MUSULMANS
Un
mouvement sioniste embryonnaire existait déjà en Égypte à la fin du XIXe
siècle, surtout recruté parmi les Ashkénazes et renforcé par l’arrivée des
réfugiés expulsés de Palestine pendant
Pendant
les années 30 les mouvements nationalistes égyptiens virèrent à droite : le
Misr el-Fatat (Jeune Egypte) s’inspirant des
Jeunesses fascistes et hitlériennes. Plus important, cette époque coïncide avec
l’émergence des Frères Musulmans pour qui la libération nationale n’était qu’un
premier pas vers une nation islamique transcendant frontières et ethnies. “Mein
Kampf” et les “Protocoles des Sages de Sion” furent traduits en Arabe et l’on
note une recrudescence d’articles antisémites dans la presse qui inspirèrent
plusieurs émeutes et attaques contre les juifs et leurs biens.
Le
roi Farouk, qui succéda à son père en 1936, ne cachait pas son admiration pour
Hitler comme le montre ce télégramme retrouvé dans les archives allemandes :
“Il [le Roi]
est rempli du plus haut respect pour le Führer et le peuple allemand, dont il
souhaite ardemment la victoire sur l’Angleterre. Il se sait uni avec son peuple
dans le désir de voir les troupes allemandes victorieuses en Égypte et
libératrices le plus tôt possible du joug brutal et insupportable del’Angleterre.”
A
la veille de la bataille d’El Alamein, l’ambassadeur
Britannique Sir Miles Lampson pénétra avec des chars
dans le Palais d’Abdine et força le roi à changer de
cabinet. Faut-il rappeler qu’El Alamein est à moins
de
Après
la guerre, la virulence du nationalisme égyptien et les aspirations sionistes
en Palestine, devenues en contradiction totale, s’accumulèrent pour rendre la
situation des juifs de plus en plus difficile. La distinction entre
antisionisme et antisémitisme s’estompa rapidement. L’anniversaire de
“
Les Juifs d’Égypte considèrent non seulement qu’il est un devoir sacré, mais
espèrent que leurs sentiments seront suivis comme exemple dans le monde entier
pour régler
Notons
l’ambiguïté du texte et la dernière phrase qui apparaît ô combien prophétique
aujourd’hui.
Deux
changements législatifs eurent des conséquences profondes sur la situation des
étrangers:
LE DÉBUT DE
De
nouvelles manifestations marquèrent le vote des Nations Unies sur le partage de
1948, ce qui
donna au gouvernement le prétexte d’arrêter non seulement les juifs “sionistes”
mais également des activistes Frères Musulmans et communistes. Émeutes et
attentats contre entreprises juives, visant particulièrement le Har’t el Yahoud et
La
défaite militaire renforça l’impopularité du roi Farouk qui négligeait de plus
en plus ses responsabilités au profit d’une vie dissolue dans les casinos
européens. Un incident avec les troupes anglaises sur le Canal de Suez
déclencha, en janvier 1952, des émeutes violentes contre un gouvernement
totalement discrédité et l’incendie du Caire; en plus du fameux Hôtel Shepherd,
plusieurs magasins et cinémas juifs furent détruits ou saccagés. Les Anglais
évacuèrent le Canal. Finalement, le roi abdiqua et quitta le pays à la suite du
putsch des Officiers Libres le 23 juillet 1952 qui installa le général Naguib
au pouvoir, avec la figure du colonel Nasser se profilant déjà à
l’arrière-plan. La présence de Naguib à l’office du Kol
Nidrei de cette même année, poursuivant la tradition,
contribua à bercer les juifs dans l’illusion d’un retour à la normalité.
Il
est facile aujourd’hui de critiquer ceux qui restèrent. N’oublions pas que la
majorité de la classe commerçante vivait très confortablement d’entreprises ou
de biens immobiliers difficilement transférables. Puisant à nouveau dans mes
souvenirs teintés de rose d’un Alexandrin de 12 ans, c’était “la belle vie”.
Mon père nous déposait au Lycée Français en route pour le bureau, nous
reprenait à 1 heure, déjeuner préparé par un cuisinier et servi par des
domestiques en “galabyeh” (tunique) et tarbouche,
sieste, retour au bureau vers 4 heures en nous déposant au Sporting
Club pour le tennis et retrouver les amis. Vie mondaine, visites régulières de
compagnies théâtrales françaises ou d’opéra italiennes, cabine à la plage en
été, voyages réguliers en Europe pour se convaincre que les hivers parisiens ou
londoniens (sans domestiques!!) n’avaient vraiment rien de mieux à offrir…
LE DEUXIEME EXODE
Cette
vie paradisiaque durera jusqu’en juillet 1956 quand Nasser, qui avait écarté
Naguib en 1954, nationalisa
QUI RESTE AUJOURD’HUI ?
A
la fin de 2002, on estimait a moins de soixante-dix le nombre de juifs vivant
encore en Égypte. En mai 2000 je suis retourné a
Prophète
Daniel)…..
SOURCES ET
BIBLIOGRAPHIE
Yahudiya Masriya: Les Juifs en Egypte ;
Les Editions de l’Avenir, Genève, 1971
Maurice
Mizrahi: L’Egypte et ses Juifs, le temps révolu ;
chez l’auteur, Lausanne, 1977
Jacques
Hassoun: Juifs du Nil ; Le Sycomore, Paris 1981
Juifs
d’Egypte, Images et textes ; Editions du Scribe, Paris 1984
Gudrun Krämer: The Jews in
Modern
LE 31/03/2007
Reçu, en même temps, de nos
Amis Sabatatino MUSTACCHI et Raymond REVAH
MERCI DE FAIRE SUIVRE !
Pour une fois que c'est un truc
intelligent à faire suivre !!!!!
Sujet : Cela peut servir ! Prenez quelques minutes pour lire ceci et
peut-être sauver une vie..... et contribuer à faire connaître le danger que
représente l'Accident Vasculaire Cérébral.
Lors d'un barbecue, Julie trébuche et
fait une chute.
Elle affirme aux autres invités qu'elle va bien et qu'elle s'est
accrochée les pieds à cause de ses nouveaux souliers.
Les amis l'aident à s'asseoir et lui apportent une nouvelle assiette.
Même si elle a l'air un peu secouée, Julie profite joyeusement du reste
de l'après-midi...
Plus tard le mari de Julie téléphone à tous leurs amis pour dire que sa femme a
été transportée à l'hôpital....Julie meurt à 18h. Elle avait eu un Accident
Vasculaire Cérébral lors du barbecue. Si les personnes présentes avaient
été en mesure d'identifier les signes d'un tel accident, Julie aurait pu être
sauvée.
Un neurologue dit que s'il peut
atteindre une victime d'AVC dans les trois heures, il peut renverser
entièrement les effets de
Reconnaître les symptômes d'un AVC : Poser trois questions très simples à la
personne en crise :
1. * Lui demander de SOURIRE.
2. * Lui demander de lever LES DEUX BRAS.
3. * Lui demander de PRONONCER UNE PHRASE TRÈS SIMPLE (ex. Le soleil est
magnifique aujourd'hui).
Si elle a de la difficulté à exécuter
l'une de ces tâches, appelez une ambulance et décrivez les symptômes au
répartiteur.
Selon un cardiologue, si tous ceux qui reçoivent cet e-mail l'envoient à leur
tour à 10 personnes, une vie au moins pourrait être sauvée.
Merci à toutes et à tous
Reçu ce sympathique message de notre Amie Nell LEV :
Ce matin, en
ouvrant une fenêtre dans le ciel, un ange m'a vue et m'a demandé :
Quel est ton meilleur souhait pour aujourd'hui ?
Je lui ai répondu, s'il te plaît, prends soin de la personne qui est en train de
lire ce message, et de sa famille, parce qu'ils le méritent et que je les
apprécie beaucoup.
L'amour de l'ange est comme la mer: tu peux voir le début mais pas
Les anges existent mais parfois, lorsqu'ils n'ont pas d'ailes, on les appelle
simplement amis. A ton tour, envoies-le aux personnes que tu apprécies...
Quelque chose de bien t'arrivera ce soir à 20h25. Quelque chose que tu espérais
entendre. Ceci n'est pas une blague, quelqu'un t'appellera ou te parlera.
Ne coupe pas cette chaîne, envoie-la à au moins 7 personnes... Ti-Cri.
Reçu de Monsieur Léon SION et de Madame Lily
KHODARA
DECLARATION DE
NAPOLEON BONAPARTE :
Proclamation
à
"Bonaparte, commandant en chef des armées de
Israelites, nation unique que les conquêtes et la tyrannie
ont pu, pendant des milliers d'années, priver de leur terre ancestrale, mais ni
de leur nom, ni de leur existence nationale !
Les observateurs attentifs et impartiaux du destin des
nations, même s'ils n'ont pas les dons prophétiques d'Israël et de Joël, se
sont rendus compte de la justesse des prédictions des grands prophètes qui, à
la veille de la destruction de Sion, ont prédit que les enfants du Seigneur
reviendraient dans leur patrie avec des chansons et dans la joie et que la tristesse
et que les soupirs s'enfuiraient à jamais. (Isaïe 35.10)
Debout dans la joie, les exiles ! Cette guerre sans exemple dans toute l'histoire, a été
engagée pour sa propre défense par une nation, de qui les terres héréditaires
étaient considérées par ses ennemis comme une proie offerte à dépecer.
Maintenant cette nation se venge de deux mille ans d'ignominie. Bien que
l'époque et les circonstances semblent peu favorables à l'affirmation ou même à
l'expression de vos demandes, cette guerre vous offre aujourd'hui,
contrairement à toute attente, le patrimoine israélien.
La Providence m'a envoyé ici avec une jeune armée, guidée
par la justice et accompagnée par
Héritiers
légitimes de
Levez-vous ! Montrez que toute la puissance de vos oppresseurs n'a pu
anéantir le courage des descendants de ces héros qui auraient fait honneur à
Sparte et à Rome (Macchabée 12.15). Montrez que deux mille ans d'esclavage
n'ont pas réussi à étouffer ce courage.
Hâtez vous ! C'est le moment qui ne reviendra peut-être pas d'ici
mille ans, de réclamer la restauration de vos droits civils, de votre place
parmi les peuples du monde. Vous avez le droit à une existence politique en
tant que nation parmi les autres nations. Vous avez le droit d'adorer librement
le Seigneur selon votre religion. (Joël 4.20)
Signé :
Général BONAPARTE, Commandant en Chef des Armées de
LE
28/02/2007
D’une
Lectrice du Site :
La Folie décida d'inviter
ses amis pour prendre un café chez elle.
Tous les invités y
allèrent. Après le café, la Folie proposa :
- On joue à
cache-cache ?
- Cache-cache ?
C'est quoi, ça ? demanda la Curiosité.
- Cache-cache est un
jeu. Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez.
Quand j'ai fini de
compter je cherche, et le premier que je trouve sera le
prochain à
compter.
Tous acceptèrent,
sauf la Peur et la Paresse.
- 1, 2, 3 ... la
Folie commença à compter.
L'Empressement se
cacha le premier, n'importe où.
La Timidité ,
timide comme toujours, se cacha dans une touffe d'arbre.
La Joie courut au
milieu du jardin.
La Tristesse
commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit
approprié pour se
cacher.
L'Envie accompagna
le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher.
La Folie
continuait de compter tandis que ses amis se cachaient.
Le Désespoir était
désespéré en voyant que la Folie était déjà à
quatre-vingt-dix-neuf.
- CENT ! cria
La première à être
trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher
de sortir de sa
cachette pour voir qui serait le premier découvert. En
regardant sur le
côté, la Folie vit le Doute au-dessus
d'une clôture ne
sachant pas de quel côté il serait mieux caché.
Et ainsi de suite,
elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité ...
Quand ils étaient
tous réunis, la Curiosité demanda :
- Où est l'Amour ?
Personne ne
l'avait vu. La Folie commença à le chercher. Elle chercha
au-dessus d'une
montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais
elle ne trouvait
pas l'Amour.
Cherchant de tous
côtés, la Folie vit un rosier, prit un bout de bois et
commença à
chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri.
C'était l'Amour,
qui criait parce qu'une épine lui avait crevé un oeil.
La Folie ne savait
pas quoi faire. Elle s'excusa, implora l'Amour pour
avoir son pardon
et alla jusqu'à lui promettre de le suivre pour toujours.
L'Amour accepta
ses excuses.
Aujourd'hui,
l'Amour est aveugle et la Folie l'accompagne toujours ...
Pour que cette
nouvelle année vous soit belle
Laisser vous
guider par la Folie,
Qui sait, l'Amour
suivra peut-être
Une chose reste
sûre
Cela pimentera
votre vie
De Madame Erella
AZRIEL :
Divorce: Future tense of marriage.
Cigarette: A pinch of tobacco rolled in paper with
fire at one end & a fool on the other.
Lecture: An art of transferring information from
the notes of the lecturer to the notes of the students without passing through �the minds of either�
Conference: The confusion of one man multiplied by
the number present.
Compromise: The art of dividing a cake in such a way
that everybody believes he got the biggest piece.
Tears: The hydraulic force by which masculine
will-power is defeated by feminine water power
Conference
Room: A place where everybody
talks nobody listens and everybody disagrees later on.
Smile: A curve that can set a lot of things
straight.
Office: A place where you can relax after your
strenuous home life
Yawn: The only time some married men ever get
to open their mouth.
Etc.: A sign to make others believe that you
know more than you actually do
Committee: Individuals who can do nothing
individually and sit to decide that nothing can be done together.
Experience: The name men give to their mistakes.
Atom
Bomb: An invention to end all
inventions
Diplomat: A person who tells you to go to hell in
such a way that you actually look forward to the trip.
Opportunist: A person who starts taking a bath if he
accidentally falls into a river
Optimist: A person who while falling from Eiffel
tower says in midway �See,
I am not injured yet.�
Miser: A person who lives poor so that he can
die rich.
Father: A banker provided by nature.
Criminal: A guy no different from the
rest....except that he got caught.
Boss: Someone who is early when you are late
and late when you are early.
Doctor: A person who kills your ills by pills,
and kills you with his bills
LE
31/01/2007
De Madame Erella AZRIEL :
21-st Century...
:
Our communication - Wireless
Our dress - Topless
Our telephone - Cordless
Our cooking - Fireless
Our youth - Jobless
Our food - Fatless
Our labour - Effortless
Our conduct - Worthless
Our relation - Loveless
Our attitude - Careless
Our feelings - Heartless
Our politics - Shameless
Our education - Valueless
Our follies - Countless
Our arguments - Baseless
Our boss - Brainless
Our Job - Thankless
Our Salary - Very less
Our Future - Hopeless!
De Madame Mimi de CASTRO
(auteur inconnu)
Une histoire pleine de sagesse
Un corbeau est
perché sur un arbre, à ne rien faire de toute la journée.
Un petit lapin
repère le corbeau et lui demande : « Crois-tu que je peux
m'asseoir comme
toi et ne rien faire de toute la journée ? »
Le corbeau lui
répond: " Bien sûr, pourquoi ne pourrais-tu pas ? "
Le Lapin s'assoit
alors par terre sous l'arbre, et reste là
à se reposer.
Quand tout à
coup, un renard apparaissant, se jette sur le lapin, et le
dévore.
MORALITÉ :
Si vous voulez
rester assis à ne rien faire, mieux vaut être très
haut placé.
ORIGINE DE L’ORDRE DE
C'est
au cours d'un bal que
Dès le lendemain, le roi aurait institué l'Ordre très noble de
De Madame Edna ANZARUT-TURNER mail du 18.12.2006
Happy Hannukah again Albert. I hope you and your family are
well.
I
corrected and added some more reminiscences and believe this last effort about
my memories of
Edna
----------------------------------------------------------------------------------------
MY MEMORIES OF
EL ALAMEIN
A friend of mine, an expat from
...an
incoherent agglomeration of hotels, lagoons, canals between buildings..... and
Italian gondolas. manned by Arab gondoliers.... all replicas of ersatz glitzy
I do not have to delve extensively to remember the
Historically, El Alamein was a last stand for the Allies in
The battle involved 220,000 men, 1,100 tanks and 900 guns on the Allied
side with Field Marshal Bernard Montgomery commanding the 8th army
which included Australia’s 9th division, a New Zealand division, both
parts of of the British 30th Corps famous for its
defence of Tobruk,
There were actually two battles of El Alamein. and the decisive one, with
These brave heroes faced the 180,000 men, 600 tanks and 500 guns of the Axis
powers of Rommel's famous Afrika Korps.
On June 1942.
Irwin Rommel's armies had captured Tobruk and started
their onslaught on the defensive British line at
Had the German army not been eventually vanquished by Monty's army, the Axis
forces would have marched victoriously into
The
visual features of
Leaving Alexandria far behind us, and already surrounded to the left and
right by sand dunes, I recall seeing groves and groves of fig trees growing by
the wayside on the chalk embankments nearest the road, and separated from
the road by barbed wire.
We
stopped for a short while, and I clambered the knolls leading to the fig
trees, picking and eating some of the ripe fruit, which dripped with sweetness.
I suppose there must have been a high content of chalk mixed with the sand
hence the glistening white sand dunes.
I remember, on
the way , we could see miles and miles of unending dunes to the right
and to the left of the winding WW2 road..and
northwards, past the sand dunes, to our right, there glittered a sea so
breathtakingly limpid blue. Mirages appeared and dissipated as we neared
them, keeping a respectful distance away.
Further
west and on both sides of the road, we came upon areas which had been
isolated from the road by barbed wire.
We had reached
the region that everyone calls
At first, we came upon large shapeless pieces of metal embedded in the
sand. My dad explained that they were relics of WW.2.
Further
on, I felt quite unsettled to see the burnt out emasculated shells of
British military might: lorries,
A tragic toll, that resulted from the punishing battles that finally decimated
Rommel's forces. We drove past those wartime emblems, until we
came across the rusting metallic, twisted, gnarled motorized and heavy
artillery remains of the Desert Fox's defeated Afrika
Korps..
We advanced very slowly,and stopped to read
the wooden signposts on both sides of the road. They stood stolidly in
place, trembling slightly as gusts of desert wind mingled with grains of sand
pounded at them. The signs warned that one must not get off the road onto the
desert sections as there was serious danger of tripping unexploded land
mines.
My father
explained that between the two armies was the ‘Devil’s Garden’. This was a mine
field laid by the Germans which was
We finally
stopped, and I jumped out of the car and took a deep breath of that wonderfully
salubrious air, inhaling the salty whiffs of the
I ran up and down, ignoring the ominous warning signs, and my parents'
terrified calls, and then hopped over and across the barbed wired on to
the desert area between the corroding trucks and tanks, and
gingerly touched some of them in great awe.
Everything
was so very quiet..but for the sounds of the desert..
A sheet of paper, yellow with age, floated down and landed
fluttering like a youthful beating heart at my feet. It was a poem
handwritten in English. I read it and wept. I wondered where the author
of the poem was. Had he been killed, maimed perhaps..or
had he been saved?
God only knows where the sheet of paper is now....I remember taking it home
with me, back to
I returned to the car and was told off by my parents. It was then that my
mother recounted to me the tragic story of one of the French Vice-Consuls in
He had
taken a group of French journalists to view this very area, and had ignored the
warnings signs.. There was a deafening explosion, and his leg was blown
off.
I
remember meeting him one day when there was an important vernissage
at the "Atelier" in
Returning
to my memories of
He was
delighted to have living company, and escorted us around answering our
questions in English. My dad asked him what other languages he
spoke apart from Arabic and English, and he said he also understood and spoke
fluent German,,and had never gone to school so could
not read or write.
My father
later told me that Bedouins had been very canny spies, because of their
ability to meld in the landscape and wander around with their camels and goats,
anywhere they wished....it was therefore highly probable our Bedouin had been
well employed as a spy either by the British, or the Germans...or both.
I stared
at the neat rows upon rows of graves with crosses, many had short
heart-wrenching poems inscribed on them. My parents pointed out to me
other graves with the tragic inscription stating that the person or
persons buried there were "Known Unto God".
In
a separate section, further away, there were graves with Magen Davids, the Jewish Star of
David.
There
wasn't a living soul around apart from us, and the Bedouin, and when we
silently looked at the graves all I could hear was the sad
sigh and sometimes soulful moan of the
We returned to our car and drove a little further, until we reached an
area with signposts informing us that it was safe to go on the sand dunes
leading to the sea..
We opened
the doors and my dog Teddy and I hopped out of the car. He raced
around thrilled to be out in the open again...and then became
quite intrigued by a beetle that was crawling on the ground, and
started barking ferociously at it. The beetle just ignored him...so Teddy
resumed sniffing everything and anything that was sniffable.
Carrying our
beach umbrella and other beach paraphernalia we made our way across the
dunes, towards the seashore. We had to return to the car several
times, trudging across the dunes to bring the picnic baskets full of delicacies
to the place near the sea where we had propped the umbrella.
Alas, the scrumptious food eventually got peppered with grains of sand, but we
were all starving and the extra bit of crunch did not deter us from enjoying
our picnic. Flocks of uninvited sea gulls swirled above, attracted by the
food, so we accepted them as our guests.
I can still see, in my mind's eye, the azure blue of the
The sand was a glistening diamond white and so very fine that it stuck like a
veil to my feet and legs. The cobalt blue sky had a few
fluffy cotton ball clouds gently sailing past, and the sea shimmered
invitingly.
Sand rays came close to the edge of the beach, and then fluttered away.
We had been warned that we should not swim far from the shore as the
place was teeming with sharks...
What amazingly beautiful and unspoilt scenery.
After spending as much time as I could playfully chasing Teddy up and down
the beach and into the water, running with my home made kite
watching it soar to the heavens, it was time for me to loll around and do some
serious sunbathing. I would then dive in the sea in order to cool
off, swimming parallel to the shore... somehow dreading a shark
attack. My parents called me...it was time to leave, and I half heartedly returned to our car, for the return trip
home to
On the way back, we passed by the battle scarred remnants of the heavy
artillery of WW2, past the sand dunes, past the groves of fig
trees, past the quaint Arab villages,until we
arrived in Dekhela with its small practically
intact Roman harbour where I used to go fishing.
I vividly remember the inn and restaurant there. We went up the stairs,
and were ushered onto the covered wooden verandah
overlooking the beach and the harbour.. My parents ordered
a delectable fish supper - catch of the day, minus the crunchy addition of
grains of sand. There were several friends of ours sitting at
tables that were laid with clean crisp ironed table
cloths.
It was a
popular place for Alexandrians who owned cars. In those days, cars and telephones
were considered a luxury, and the majority of people had neither. My
parents' friends had come with their children, and they waved to us insisting
we join them, calling us "Edgar, Sophie, Edna...how lovely to see you..please come and sit with us".
The amiable
smiling waiters rushed over and added an extra table and chairs and there
ensued such joyous and erudite conversations between the grown-ups.
There was so much laughter. So many jokes were exchanged, with my dad who was
an amazing wit adding his hilarious in-put to the general laughter.
After supper, as it was still warm and sunny outside, my friends and I put
our swimsuits on and rushed to the beach. We jumped in the
sea giggling loudly, and laughingly splashed each other and swam as fast
as we could.
Later on,
for a few millimes we rented donkeys. clambered
on their back and rode up and down the beach, trying to have races.
The smiling little "donkey" boy wearing a long robe called
a gallabiyah and a skull cap called a ta'eyah, lightly wacked the donkey's rear
end with a stick, whenever the donkey slowed down..
Sadly, it was finally time to say goodbye to Dekhela. I
hugged some of my friends, and waved goodbye to others. We
made plans to meet at the Alexandria Sporting Club for tennis and a swim
in the pool.
Sun
tanned, the picture of health, and replete with memories of the desert, and the
beach, and with fine sand still stubbornly clinging to my feet
and legs, I clambered into the car with Teddy, and regretfully
returned to the "Big City of Alexandria"...which was far from that at
the time!
I was recently told that from
We were so lucky to have seen all those places, and so fortunate to have left
when we did - long before the beautiful Egyptian countryside became a
Paradise Lost, and was turned into a vast non-ending metropolis
comprising a glitzy pastiche of
Aaah...progress..what
a lot of crimes were committed and erected in your name!!!!
Edna Anzarut-Turner
Beaconsfield (Quebec) Canada,
16 December 2006
LE
31.12.2006
L'Exode des Juifs d'Egypte il y a une cinquantaine
d'années et, par la suite, celui des Commnunautés
Etrangères de toutes nationalités et confessions les ont dispersés dans de très nombreux pays.
Certains s'établirent dans des pays anglophones et d'autres, francophones. Jusqu'ici, j'ai publié dans mon
site le Courrier des Lecteurs et les
Articles reçus, dans la langue utilisée par leurs expéditeurs : soit en
Français soit en Anglais. Mais, bien que tous les Européens nés en Egypte pratiquaient couramment les
deux langues il advient que, après 50 années passées dans leur pays d'adoption,
de nombreux anglophones ne sont plus
très à l'aise en Français et de nombreux
francophones se trouvent dans le même cas, en Anglais. C'est pourquoi certains de mes lecteurs
français me demandent de traduire dans cette langue les articles reçus en
anglais et vice versa. Alors, je lance
aujourd'hui un appel à ceux de mes Lecteurs qui voudraient bien m'aider :
traduire en anglais des articles reçus en français ou le contraire . Ceux qui
voudraient bien tenter l'expérience pourraient commencer avec un petit texte
et, par la suite, soit continuer soit arrêter et ce, sans aucune obligation.
Les volontaires sont priés de me contacter à cette
adresse :
albpardo@club-internet.fr
Merci.
-o-o-o-o-o-o-o-
De Madame Mimi de Castro :
A good friend of mine sent me the following excerpt
written by Elenor
I thought I'd like to share it with all of you:
Many people will walk in and out of your life. But only true friends will leave footprints
in your heart.
To handle yourself, use your head. To handle others,
use your heart.
Anger is only one letter short of danger.
If someone betrays you once, it is his fault. If
someone betrays you twice, it is your fault.
Great minds discuss ideas. Average minds discuss
events. Small minds discuss people.
He, who loses money, loses much. He, who loses a
friend, loses much more. He, who loses faith, loses all.
Beautiful young people are accidents of nature. But
beautiful old people are works of art.
Learn from the mistakes of others. You can't live long enough to make them all
yourself.
Friends, you and me....
You brought another friend....
And then there were 3....
We start our group....
Our circle of friends....
There is no beginning or end....
Yesterday is history;
To-morrow is mystery;
To-day is a gift.
o-o-o-o-o-o-
De Madame Erella AZRIEL :
Voici quelques
extraits de phrases trouvées dans les copies des bacheliers :
1. Castor a pris le pouvoir grace a une guerilla urbaine dans les campagnes
2. Comme souvent, le peuple s'en est pris a un bouc
et mystere
3. D'apres le calendrier hebraique,
on est en 5757 apres Jesus-Christ
4. Depuis Archimede les bateaux flottent...
5. En 1934, Citroen revolutionne
la construction automobile en sortant la
traction a vent.
6. En 2020, il n'y aura plus assez d'argent pour les retraites a cause
des vieux qui refusent de mourir
7. II fut condamne apres un proces
en bonnet de forme
8. L'hippopotamus est le siege
du systeme neurovegetatif
9. L'homosexualite n'est pas une maladie, mais
personne n'aimerait
l'attraper
10. L'indice de fecondite doit etre
egal a deux pour assurer le
renouvellement des generations parce qu'il faut etre
deux pour faire
un enfant. On peut s'y mettre a trois ou quatre mais deux suffisent
11. La datation au carbone 14 permet de savoir si quelqu'un est mort a
la guerre
12. La force de Coriolis provoque des cyclones dans les
lavabos
13. La terre rote sur elle-meme
14. Le cerveau a des capacites tellement etonnantes qu'aujourd'hui
pratiquement tout le monde
en a un.
15. Le cerveau a deux hemispheres, l'un pour
surveiller l'autre
16. Le chauffage au gaz revient moins cher mais disjoncte tout le temps
17. Le chevre est un fromage fait avec du lait de
brebis
18. Le gouvernement de Vichy siegeait a Bordeaux
19. Le metre est la dix-millionieme
partie du quart du meridien
terrestre, pour que ca tombe juste on a arrondi la terre
20. Le Tsar a perdu le pouvoir malgre les occases
21. Le Vietnam est la capitale du Liban
22. Les Allemands nous ont attaques en traversant les Pyrenees
a
Grenoble
23. Les continents derivent, peinards
24. Les escargots sont homosexuels
25. Les Francais sont de plus en plus interesses par leur arbre
gynecologique
26. Les passagers de premiere classe ont moins
d'accident que les
passagers de deuxieme classe
27. Les riches bouffent le gateau ; les pauvres se
contentent des
miettes. Plus le gateau est gros plus les miettes sont grosses
28. Les vegetaux fixent l'oxygene grace aux globules verts
29. Lenine et Stallone
30. Napoleon III etait le
neveu de son grand-pere
31. Prive de frites, Parmentier inventa la pomme de terre
32. Quand il voit, l'oeil ne sait pas ce qu'il voit.
II envoie une photo
au cerveau qui lui
explique
34. Un collectionneur de timbres est un pedophile
35. Un litre d'eau a 20°, plus un litre d'eau a 20°, egalent deux litres
d'eau a
40°
36. Un prevenu est quelqu'un qu'on a mis au courant
37. Un ver solitaire est un ver qui vit tout seul a la campagne
LE 25.11.2006
CURIOSITÉS
LINGUISTIQUES
La langue française abonde en curiosités surprenantes pour l'étranger, en
voici quelques-unes :
*On remercie un employé quand on
n'est pas content de ses services.
*On passe bien souvent des nuits blanches quand on a des idées noires.
*Pourquoi dit-on d'un pauvre malheureux ruiné, qui n'a plus où se coucher,
qu'il est dans de beaux draps ?
*Pourquoi, lorsque vous dites à quelqu'un : " Je ne partage pas votre avis
",
il peut répondre : " Les avis sont
partagés " ?
*Pourquoi un bruit transpire-t-il avant d'avoir couru ?
*Quand un homme se meurt, on dit qu'il s'éteint. Quand il est mort, on
l'appelle " feu ".
*Pourquoi lave-t-on une injure et essuie-t-on un affront ?
*Pourquoi parle-t-on des quatre coins de la terre, puisque la terre est
ronde ?
*Comment distinguer le locataire du propriétaire lorsque ces deux
personnes vous disent à la fois :
" Je viens de louer un appartement " ?
*Comment peut-on faire pour dormir sur les deux oreilles ?
*Pourquoi appelle-t-on coup de grâce le coup qui tue ?
*Pourquoi lorsque l'on veut avoir de l'argent devant soi, faut-il en
mettre de côté ?
*Le pot a des oreilles et l'on dit : " sourd comme un pot ".
*Pourquoi dit-on : " embarras de voitures " quand il y a trop de
voitures,
et " embarras d'argent "
quand il n'y a pas assez d'argent ?
Envoi de Madame Mimi de Castro
Deux hommes, tous les deux
gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.
L'un d'eux devait
s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les
sécrétions de ses poumons . Son lit était à côté de la seule fenêtre de
Les deux
compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs
épouses et de leurs familles, décrivaient
leur maison leur travail, leur participation dans le service militaire et
les endroits ou ils avaient été en vacances. Et,
chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait
s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce
qu'il voyait dehors.
L'homme, dans l'autre lit, commença à
revivre pendant ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par
toutes les activités et les couleurs du monde extérieur. De la chambre, la vue
donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur
l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèles réduits.
Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux
couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait
apercevoir au loin la ville se dessiner.
Pendant que l'homme
près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre coté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène
pittoresque.
Lors
d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait
par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre,
il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le
dépeignait de façon vivante. Les jours et les semaines passèrent.
Un
matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près
de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les
préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Dès
qu'il sentit que le moment était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait
être déplacé à coté de
E
P I L O G U E
Il
y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de
nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le
bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé. Si vous voulez vous sentir
riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez,
celles que l'argent ne peut acheter. Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi
on l'appelle présent.
Envoi de Mademoiselle Sylvana
Pardo
UNE LECON DE VIE
PAS SEULEMENT POUR LES VIEUX
MAIS POUR TOUS LES AGES
Voici
une belle histoire avec réflexion positive.
Un homme de 92 ans, petit, très fier, habillé et bien rasé tous les matins à
8h00, avec ses cheveux parfaitement coiffés, malgré qu'il est légalement
aveugle, déménage dans un foyer pour personnes âgés aujourd'hui même. Sa
femme de 70 ans est décédée récemment, ce qui l'oblige à quitter sa
maison.
Après plusieurs heures d'attente dans le lobby du foyer, il sourit gentiment
lorsqu'on lui dit que sa chambre est prête.
Comme il se rendait jusqu'à l'ascenseur avec sa marchette, je lui
fis une description visuelle de sa petite chambre, incluant le drap suspendu
à sa fenêtre servant de rideau. Je
l'aime beaucoup dit-il, avec l'enthousiasme d'un petit garçon de 8 ans qui
vient d'avoir un nouveau petitchien.
- M.Gagné, vous n'avez pas encore vu la chambre,
attendez un peu.
- Cela n'a rien à voir, a-t-il répondu. Le bonheur est quelque chose que tu décides
à l'avance. Que j'aime ma chambre ou pas ne dépend pas des meubles ou de la
décoration – ça dépend plutôt de la façon dont moi je les perçois. C'est déjà
décidé dans ma tête que j'aime ma chambre. C'est une décision que je prends
tous les matins à mon réveil. J'ai le choix, je peux passer la journée au lit
en comptant les difficultés que j'ai avec les parties de mon corps qui ne fonctionnent plus, ou me lever
et remercier le ciel pour celles qui
fonctionnent encore. Chaque jour est un cadeau, et aussi longtemps que je pourrai
ouvrir mes yeux je vais m'attarder sur le nouveau jour et tous les souvenirs
heureux que j'ai amassé tout au long de ma vie. La vieillesse est comme un
compte de banque. Tu retires de ce que tu as amassé. Donc, mon conseil pour
vous, serait de déposer beaucoup de bonheur dans votre compte de banque des
souvenirs. Merci de votre participation à remplir mon compte de banque car je
dépose encore. Souvenez-vous de ces simples règles pour être heureux :
1.Libérez votre coeur
de la haine
2.Libérez votre tête des soucis
3.Vivez simplement
4.Donnez plus
5.
Attendez-vous à moins
Envoi de Madame Nell
Lev
LE 28.10.2006
De Monsieur Victor
CHAMLA :
BEL EXERCICE
DE LANGUE FRANCAISE
"
Myope comme une taupe ", " Rusé comme un renard "?... les termes
empruntés au monde animal sont partout. La preuve :
Que vous soyez fier comme
un coq, fort comme un bœuf, têtu comme une mule, malin comme un singe, chaud
lapin ou fine mouche, vous êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour
une caille aux yeux de biche.
Vous arrivez frais comme un
gardon à votre premier rendez-vous et là, pas un chat ! Vous faites le pied de
grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Le type
qui vous a obtenu ce rancard, avec lequel vous êtes copain comme cochon, vous
l'a certifié :
Cette
poule a du chien, Une vraie panthère ! "
C'est sûr, vous serez un
crapaud mort d'amour. Mais tout de même, elle vous traite comme un chien. Vous
êtes prêt à gueuler comme un putois, mais non, elle arrive. Bon, dix minutes de
retard, il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris, avec sa crinière
de lion, est en fait plate comme une limande, myope comme une taupe, elle
souffle comme un phoque et rit comme une baleine.
Vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien
de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par
noyer le poisson Vous avez le bourdon, envie de verser des larmes de crocodile.
Vous finissez par vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer
comme un lièvre. Vous avez beau être doux comme un agneau, faut tout de même
pas vous prendre pour un pigeon !
De Monsieur Samy TORIEL :
Let's see if you send it back.
We all know or knew
someone like this!!
One day, when I was a freshman in high school,I saw a
kid from my class was walking home from school. His name was Kyle.It looked like he was carrying all of his books. I
thought to myself, "Why would anyone bring home all his books on a Friday?
He must really be a nerd."
I had quite a weekend planned (parties and a football game with my friends
tomorrow afternoon), so I shrugged my shoulders and went on. As I was walking,
I saw a bunch of kids running toward him. They ran at him, knocking all his
books out of his arms and tripping him so he landed in the dirt. His glasses
went flying, and I saw them land in the grass about ten feet from him. He
looked up and I saw this terrible sadness in his eyes My heart went out to him.
So, I jogged over to him and as he crawled around looking for his glasses, and
I saw a tear in his eye. As I handed him his glasses, I said, "Those guys
are jerks. " They really
should get lives. " He looked at me and said, "Hey thanks!"There was a big smile on his face. It was one
of those smiles that showed real gratitude. I helped him pick up his books, and
asked him where he lived. As it turned out, he lived near me, so I asked him
why I had never seen him before He said he had gone to private school before
now.
I would have never hung out with a private school kid before. We talked all the
way home, and I carried some of his books. He turned out to be a pretty cool
kid. I asked him if he wanted to play a little football with my friendsHe said yes.
We hung out all weekend and the more I got to know Kyle, the more I liked him,
and my friends thought the same of him. Monday morning came! , and there was
Kyle with the huge stack of books again. I stopped him and said, "Boy, you
are gonna really build some serious muscles with this
pile of books everyday! " He just laughed and
handed me half the books. Over the next
four years, Kyle and I became best friends. When we were seniors, we began to thin about college.
Kyle decided on
Kyle was valedictorian of our class. I teased him all the time about being a
nerd.
He had to prepare a speech for graduation. I was so glad it wasn't me having to
get up there and speak
Graduation day, I saw Kyle. He looked great. He was one of those guys that
really found himself during high school. He filled out and actually looked good
in glasses. He had more dates than I had and all the girls loved him
Boy, sometime I was
jealous. !Today was one of those days. I could see that he was nervous about
his speech. So, I smacked him on the back and said, "Hey, big guy, you'll
be great!" He looked at me with one
of those looks (the really grateful one) and smiled." Thanks," he
said.
As he started his speech, he cleared his throat, and began "Graduation is
a time to thank those who helped you make it through those tough years. Your
parents, your teachers, your siblings, maybe a coach...but mostly your
friends...I am here to tell all of you that being friend to someone is the best
gift you can give them.
I am going to tell you a story."
I just looked at my
friend with disbelief as he told the story of the first day we met. He had
planned to kill himself over the weekend. He talked of how he
had cleaned out his locker so his Mom wouldn't have to do it later and was
carrying his stuff home. He looked hard at me and gave me a little smile."Thankfully, I was saved. My friend saved me
from doing the unspeakable." I heard the gasp go through the crowd as this
handsome, popular boy told us all about his weakest moment. I saw his Mom and
dad looking at me and smiling that same grateful smile. Not until that moment
did I realize it's depth. Never underestimate the power of your actions.
With one small gesture you can change a person's life. For better or for worse.
God puts us all in each other's lives to impact one another in some way.Look for God in others.You
now have two choices, you can:
1) Pass this on to your friends or
2) Delete it and act like it didn't touch your heart.
As you can see, I took choice number 1.
"Friends are angels who lift us to our feet when our wings have trouble
remembering how to fly."
There is no beginning or end..
Yesterday is
history.
Tomorrow is mystery.
Today is a gift.
It's National Friendship Week Show your friends how much you care. Send this to
everyone you consider a FRIEND.
If it comes back to you, then you'll know you have a circle of friends.
WHEN YOU RECEIVE THIS LETTER, YOU'RE REQUESTED TO SEND IT TO AT LEAST 10
PEOPLE, INCLUDING THE PERSON WHO SENT IT TO YOU.
De Madame Lily KHODARA
LES PERLES du BAC
2006
Elles sont arrivées !!!!!
(En dessous le commentaire du correcteur)
-----------------------------
Comme
Bonaparte, Jules César pouvait dicter
plusieurs lettres à la fois, c'était un dictateur
(Eh oui)
Les dolmens étaient des espèces d'abribus postés tous les
(C'est ça)
L'histoire
de Rome commence en 753 avenue
Jésus-Christ.
(ַça me laisse sans voix)
Les amazones étaient comme les femmes, mais encore
plus méchantes.
(Misogyne)
Jeanne d'Arc voyait des apparitions
invisibles.
(C'est pour ça qu'on
l'a brûlée)
Au Moyen Age, la bonne santé
n'avait pas encore été inventée.
(Eh non)
François 1er était le fils de François 0.
(qui était
arrivé avec son cheval, etc.)
C'est
Richelieu qui fonda
(Le con !)
Louis XV était l'arrère petit fils de son oncle Louis XIV.
(Ah, la famille)
La drôle de guerre, cependant, n'a fait rire
personne.
(J'aime bien celle là)
Le pôle est recouvert de glace: c'est la capote glaciaire.
(obsédé)
Dans
le monde, il n'y a que
(C'est bien vrai !)
Le Mexique était autrefois, le pays des pastèques.
(Là ça
m'en bouche un coin)
(On le sait, ce sont des rats)
La mer des caraïbes baigne les lentilles françaises.
(Entre autres)
L'eau
de mer sert, en particulier, à remplir les océans.
(On y avait pas pensé)
On
peut suivre une riviטre
dans un sens en amont et dans l'autre
sens en
l'avalant.
(Bon courage)
Les quatre points cardinaux sont le haut, le bas, l'est et l'ouest.
(C'est pourtant simple)
(Là c'est
pas très clair)
Socrate
parlait beaucoup car il avait la langue
bien pendante.
(Ben oui, ça donne soif)
Au pluriel, on dit des "cristaux" car il y a plusieurs cristals.
(Logique imparable)
Les devoirs où il y a des conjugaisons
s'appellent les devoirs conjugaux.
(Voila qui est bien dit)
Victor
Hugo est né à l'âge de 2 ans.
(Le pauvre)
Un sonnet est formé de deux quatrains et de deux tiercés.
(Gagnants bien sûr)
Toute
sa vie, Montaigne a voulu écrire mais il
n'a fait que des essais.
(J'aime bien aussi)
A la fin de sa vie, l'écrivain Hemingway s'est
suicidé pour mettre fin à ses
jours.
(The end)
Un polygone est une figure qui a des côtés un peu partout.
(C'est à peu près ça
!)
On
dit qu'une ligne droite est
perpendiculaire quand elle
se met à tourner
d'un
coup.
(Rouler bourré)
L'ovale
est un cercle presque rond, mais
quand même pas.
(Il ne
faut pas exagérer)
Le losange est un carré tordu en biais.
(C'est pourtant vrai)
Le 0 est très utile, surtout
si on le met derrière les autres nombres.
(Fils de banquier ?)
Un nombre réel est un nombre qu'on peut toucher du doigt.
(Fils de magicien ?)
La loi des probabilités s'appelle ainsi car on n'est
pas sûr qu'elle
existe.
(Peut-on en douter ?)
L'ordinateur
peut faire plus de calculs
que le cerveau de l'homme
car il n'a
que ça à faire.
(La vérité !)
De Madame Patricia TUBIANA :
L’allégorie
de la grenouille ...
Il était une fois une course ...
de grenouilles
L’objectif était d’arriver en
haut d’une grande tour.
Beaucoup de gens se
rassemblèrent pour les voir et les soutenir.
La course commença.
En fait, les gens ne croyaient
pas possible que les grenouilles atteignent la cime et toutes les phrases que
l’on entendit furent de ce genre :
"Inutile !!!
Elles n’y arriveront jamais!"
Les grenouilles commencèrent peu à peu à se décourager,
sauf une qui continua de
grimper et
Les gens continuaient :
"...
Vraiment pas la peine !!! Elles n’y
arriveront jamais!..."
Et les grenouilles s’avouèrent vaincues, sauf une qui continuait envers et
contre tout …
A la fin, toutes abandonnèrent,
sauf cette grenouille qui, seule et au prix d'un énorme effort, rejoignit la
cime.
Les autres, stupéfaites,
voulurent savoir comment elle avait fait.
L’une d’entre elles s’approcha pour lui demander comment elle avait fait pour
terminer l’épreuve.
Et découvrit qu’elle...
était sourde !
...
N'écoutez donc pas les
personnes qui ont la mauvaise habitude d’être négatives ...
car elles volent les meilleurs espoirs de votre coeur!
Rappelez-vous du pouvoir qu’ont les mots que vous entendez
ou que vous lisez.
et soyez TOUJOURS
POSITIF !
En résumé :
Soyez toujours sourd quand quelqu’un vous dit
que vous ne pouvez réaliser vos
rêves.
Portez-vous bien!
Renvoyez ce
message à 5 personnes; cela contribuera peut-être à rendre le monde un peu
meilleur…
LE
28.09.2006
Pour « étrenner » cette nouvelle
Rubrique, voici un article de Georges Carlin que nous adresse Madame Erella
AZRIEL de Haïfa, qui
mérite que l’on en
dise qu’il vaut son pesant d’or.
Traduit de l’Anglais
par Albert Pardo.
COMMENT ETRE HEUREUX
C’EST
FACILE !
IL N’Y
A QU’A
OBSERVER LES 10 REGLES SUIVANTES :
Georges
CARLIN
o-o-o-o-o-o-o
Une mère entre dans la chambre de sa fille et trouve une lettre sur son
lit. Avec beaucoup de réticence, elle décide de la lire, les mains tremblantes.
Chère maman,
C'est avec regret et tristesse que je t'annonce que
je me suis enfuie avec mon nouvel amoureux. J'ai trouvé la vraie passion et il
est vraiment gentil, avec tous ses piercings, ses tatous et sa grosse moto. Ce
n'est pas tout. Je suis enceinte et Ahmed dit que nous serons très heureux dans
sa maison mobile, en pleine forêt .Il veut beaucoup d'enfants et moi, tu sais, c'est
mon plus grand rêve. J'ai appris que la marijuana n'est pas néfaste et nous
avons décidé d'en cultiver pour nous et nos amis qui nous fournissent en
cocaïne et en ecstasy. Je te demande de joindre tes prières aux nôtres pour que
la science trouve un remède au SIDA ; Ahmed mérite vraiment de guérir. Surtout
maman, ne t'inquiète pas. J'ai 15 ans et je sais prendre soin de moi Je te
visiterai un jour pour te présenter tes petits-enfants. Ta fille qui t'aime,
Julie
P.S. : Maman, tout ça n'est qu'une blague. Je
suis chez Mélanie. Je voulais seulement te montrer qu'il y a des choses pires
que des mauvaises notes sur un bulletin. Tu trouveras le mien sur ma commode.
Bisous
o-o-o-o-o-o-o
Le docteur sort de la chambre d’une
malade et s’adresse au mari :
Vous savez Monsieur Durand, j’ai
examiné votre épouse et je dois vous dire que je ne la trouve pas bien du tout !
- Moi non plus
répond l’homme, mais si vous saviez ce qu’elle a comme fric..
o-o-o-o-o-o-o
Plongé
dans mes pensées du moment tout en déambulant par les rues, je pris soudain
conscience que je m’étais perdu dans ce quartier où je venais pour la première fois. Je me trouvais dans une rue
étroite bordée, à droite et à gauche, de magasins fermés. Je lisais les noms de
leurs anciens propriétaires sur les enseignes
et l’objet de leur commerce :
Boulangerie, Charcuterie, Cordonnerie, Vins & Liqueurs, Droguerie,
Boucherie, etc. Toutes ces boutiques avaient leurs rideaux de fer tirés. Un air de tristesse
régnait dans cette rue et cela me prenait à
- Bonjour, monsieur, qu’y-a-t’il pour votre service ?
J’ai
hésité un moment et lui ai
ensuite demandé :
- Ainsi, vous vendez des rêves ?
- Oui, oui, me répondit-elle, tous genres de
rêves et de souhaits. En
voulez-vous ?
J’ai hésité encore un petit moment et puis je
me suis jeté à l’eau :
- Combien valent les rêves et à quel
prix sont les souhaits ?
- Oh ! il y en a à tous les prix !
Combien voulez-vous mettre ?
- Je ne sais pas, moi, ….disons
dix euros !
- Dix euros ? Vous n’aurez
pas grand
chose avec dix euros !
- Vous ne pouvez pas me donner une idée de ce
que vous proposez et du prix de chaque rêve et de chaque souhait ?
- Je n’impose pas les rêves, c’est au client de dire ce qu’il
aimerait rêver ou les souhaits qu’il
voudrait voir exaucés et moi
je fixe les prix. Mais je vais vous faciliter les choses : Voulez-vous
rêver au passé ou à l’avenir ? Par exemple : voulez-vous rêver de vos
amours anciennes ou futures ? de votre santé passée ou de celle que vous
aurez ? de votre beauté de jeunesse ou de celle de l’âge
mûr ? de votre situation financière
précédente ou celle à venir ? D’autre
part, souhaitez-vous la
richesse, ou préférez-vous la jeunesse, la santé, l’amour ? Prenez votre temps, réfléchissez et
faites-moi part de vos désirs profonds. A propos, si vous désirez cumuler
plusieurs souhaits et plusieurs rêves en même temps et que leur prix total s’avérait important, je vous signale que je fais des facilités de
paiement qui peuvent s’échelonner jusqu’à six mois. Elle
m’avança une chaise, près d’une petite
table sur laquelle se trouvaient un calepin et un stylo-bille et elle s’éclipsa.
On croit que c’est
facile d’émettre des souhaits
ou de désirer avoir des rêves plus ou moins mirobolants mais j’ai constaté rapidement que c’est
beaucoup plus difficile que je ne le pensais. Mais enfin ! que pouvais-je souhaiter ? La
richesse ? pourquoi faire ? Grâce au ciel, mes enfants et leurs
familles sont à l’abri
du besoin et quant à mon
épouse et à moi, nous nous suffisons avec ce que nous avons. Après tout, à nos
âges, nous ne mangeons pas énormément, nous sortons moins souvent qu’auparavant,
nous limitons nos voyages à nos
possibilités physiques et nos garde-robes sont largement pourvues. A quoi
servirait-il d’avoir encore et encore des sous que nous ne pourrions pas utiliser et qui nous causeraient des
soucis pour les placer judicieusement ?
Quant à la santé, il faut être
raisonnable ! Nous ne pouvons pas nous en plaindre étant donné nos âges
respectifs, mon épouse et moi. Enfin, nous ne sommes pas de la première
jeunesse ! Nous ne pouvons donc pas demander l’impossible,
c’est à dire des années nombreuses et
une santé de fer ! Quelques petits ennuis mécaniques d’ici
et de là sont, après tout,
supportables, n’est-ce pas ?
Pour ce qui est de l’Amour,
là nous sommes entièrement
satisfaits. Vous ne trouverez pas de nombreux couples comme nous qui
fêteraient bientôt leur soixantième
année de mariage dans la sérénité, le bonheur, l’affection et l’amour que
nous éprouvons l’un
pour l’autre Alors, que
demander de plus ? ! N’est-ce pas ?
Pour l’âge, il ne faut pas exagérer non plus ! Personnellement,
je ne souhaite avoir ni un jour, ni une année, ni une décade de moins afin de regagner
le temps qui est passé ou bien de paraître plus jeune. Déjà et je le dis sans
fausse modestie, tout le monde me donne dix ans de moins que mon âge qui est
déjà respectable ! Alors ? que désirer de plus ? Ce n’est pas que je sois
pressé de passer l’arme à gauche, dans l’autre monde, non, car la vie est trop
belle malgré les petites
misères de l’existence mais je crains surtout de tomber dans la sénilité, la dépendance ou
toutes autres maladies attachées au Grand Age. Alors, je laisse voir venir. C’est
raisonnable, n’est-ce pas ?
Arrivé
là de mes pensées,
- Alors ? avez-vous choisi ?
Je
lui ai fait part de tout ce qui précède et elle me dit :
- Mon bon Monsieur, je n’ai
jamais eu affaire à quelqu’un tel que vous. De tous ceux qui viennent ici, personne n’est content de son sort et tous ont des
souhaits plus ou moins mirobolants ; vous êtes, je crois, l’exception
qui confirme la règle.
Alors
je lui ai dit :
- Et pour les rêves ?
- Je pense franchement que vous n’en
avez pas besoin puisque vous êtes si content de votre sort. Vous êtes un homme heureux et je vous envie.
- Vraiment ? Vous n’auriez
quand même pas un tout petit rêve pour moi ?
- J’ai
beau chercher je n’en trouve pas et, en tous cas, c’est à vous de m’annoncer les rêves que vous désirez voir réalisés
afin que je leur fasse prendre corps ! Si vous n’en
avez pas, je ne peux rien pour vous.
- Des rêves ? oh ! oui !
Puis-je vous faire une confidence ? Toutes les nuits, j’ai un
ou plusieurs rêves dont la plupart sont agréables ; rares sont les mauvais rêves et ceux-là, je les oublie
dès mon réveil.
- Tout ce que je peux faire pour vous, c’est
vous donner ce conseil : Ecrivez vos
rêves, vos souhaits et vos expériences
de la vie et racontez-les autour de vous. Vous ferez plaisir à vos
lecteurs et à vous-même !
Propos à Tire-Larigot
Pourquoi ce site ? Le Courrier des lecteurs Les envois des lecteurs Le coin de la poésie Les cahiers de Mimi Le coin de l’humour
Le Chemin de la Sagesse et du Bonheur L’Univers du Rêve Les
Nourritures Temporelles L’Egypte que j’ai connue
Faisons connaissance De Fil en Aiguille, A Bâtons
Rompus Kan ya
ma kan L’étreinte du passé témoignages & Souvenirs
Si-Berto
m’était conté timbres poste d’Egypte
Le mot du rédacteur Sites Internet Me contacter