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Aout 2009
LE GOUTEUR
– Joe Rossano
AVIZ -
RIPASSAUR DI LOUXE - Madame Lila LEVY
LES AVANTAGES
D'AVOIR 50 ANS OU 60 ANS ALLANT VERS LES 70 - Lily KHODARA
Juin 2009
À CEUX QUI AIMENT LA LANGUE
FRANÇAISE...! - Alain PEREZ et Nabil SACCAL :
A MEDITER : COMMENT SONT LES
HOMMES - Erella AZRIEL
et BENGHIAT-MUSTACCHI Esther (Booguy)
PETITES ANNONCES - Clément DASSA
Avril 2009
BELLE PENSEE – Lucie CALAMARO
Le
31/12/2008
PETITE BLAGUE POUR RESTER EN
FORME - Patricia Esther
TOUBIANA
UNE NOUVELLE PATHOLOGIE : L'HELLEPARTHIE
- Clément DASSA :
Le
31/10/2008
DEUX BLAGUES - ETTY DIDAY :
Le
31/08/2008
ANNONCES
- Clément
DASSA
Le
30/06/2008
L’EPICIER GREC ET LES
BARBARINS –
Le
30/04/2008
Les perles des mairies - Julie
& Roger NADA
Le
29/02/2008
La
revolte de OM SAYED – Magdi MORCOS
Deviennette –
Le 31/12/2007
The New Oxford Dictionary's latest definition of the
following words - Odette BEHAR
LAUGH A LITTLE EVERY DAY.... - Erella AZRIEL
CONSEIL D’AMI - Sylvana PARDO
Le
31/10/2007
BLAGUE DU JOUR - Patricia TOUBIANA
Hospital Chart Bloopers - Clemy
PINTO :
LA VALEUR DES AINES (50 ans et plus) - Erella
AZRIEL
Le
31/08/2007
COMME IL ETAIT CHARMANT...
- De Madame Racheline BOTTON
5 préceptes de sagesse chinoise, destinés aux femmes
- De Madame
Lily KHODARA :
Toujours la Sagesse Chinoise - De
Monsieur Clément DASSA
Le
30/06/2007
C´EST LE 1ER. MAI : SOURIONS … - Clément DASSA
TROIS BLAGUES
- Sylvana PARDO
EUTHANASIE - Erella AZRIEL
LA BLAGUE DU WEEK END - Esther DIDAY
ARE THERE ANY GREEK JEWS ? - Isaac SCHALOM :
Le
30/04/2007
The
Silent Treatment - Erella AZRIEL
LE BARBECUE - Clément DASSA
A
PASSOVER JOKE -
Suzy VIDAL
COMMENT CHOISIR AVEC QUI SE MARIER ? - Sylvana PARDO
Le
31/03/2007
La retraiTe – Clément DASSA
Blague de Lily
KHODARA :
Le
28/02/2007
FAIT SOMBRE ICI -Yeheskiel DANOUS
L’élément
115 - Victor PARDO
Le 31/01/2007
Blague - D’une amie
I
think it will make you smile - Suzy Vidal
Definitions - Lily KHODARA
Le 31/12/2006
TOUBIB OR NOT TOUBIB - Sylvana PARDO
Ah! la
ponctuation... Clément DASSA
UN VENDEUR MODESTE - Lucien PARDO
Le
25/11/2006
RIRE… LE MEILLEUR REMEDE
–
Le
28/10/2006
UNE
REFLEXION SUR L’HOMME –
Le
28/09/2006
LA RUEE
VERS L ’OR –
Le
25/08/2006
je vous invite À mon enterrement –
Le
30/06/2006
le vœu
unique et ton age avec des maths chocolatés – Sylvana Pardo
Le
25/05/2006
L’HOROSCOPE –
Le
25/04/2006
ORIGINE DE LA BARRE DU CHIFFRE
7 - Lily Khodara
Le
25/03/2006
UNE IDEE GENIALE -
Le
28/02/2006
Oh ! QU’IL EST BEAU MON SQUELETTE -
Le
21/01/2006
AUTO-MEDICATION -
Le
26/11/2005
MON ORDINATEUR ET MOI
-
Le
14/10/2005
CONFESSION -
Reçu le 16 septembre de Monsieur Clément
DASSA :
Les boulangers ont des
problèmes croissants.
Chez Renault la direction fait marche arrière et les salariés débrayent.
A EDF les syndicats sont sous tension.
La tension monte aussi chez les infirmières
Coup de sang de la CGT chez Tampax
Les bouchers se battent pour défendre leur bifteck.
Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce,
ils en ont assez de se faire plumer.
Pour les couvreurs c'est une tuile.
Les faïenciers en ont ras le bol.
Les éleveurs de chiens sont aux abois.
Les brasseurs sont sous pression.
Les cheminots menacent d'occuper les loco,
ils veulent conserver leur train de vie.
Les veilleurs de nuit en ont assez de vivre au jour le jour.
Les pédicures travaillent d'arrache-pied pour de faibles revenus.
Les ambulanciers ruent dans les brancards.
Les pêcheurs haussent le ton.
Les prostituées sont dans une mauvaise passe.
Les sidérurgistes sont laminés.
L'immobilier s'effondre, les maçons sont terrassés.
Les vitriers sont en carafe.
L'économie des pompes funèbres est réduite en cendres.
A cause des taxes, l'industrie du tabac part en fumée.
Sans oublier le textile qui est en lambeaux.
Sans oublier les imprimeurs qui sont déprimés
et les cafetiers qui trinquent !
-o-o-o-o-o-o-
Reçu le 16 octobre 2009
UNE FABLE MODERNE A
Un
berger faisait paître son troupeau au fin fond d'une campagne quand, d'un
nuage de poussière,surgit une rutilante Range-Rover venant dans sa direction.
Le chauffeur, un jeune homme dans un complet Armani, chaussures Gucci
lunettes Ray Ban et cravate Hermès, se penche par la fenêtre et demande au
berger :
-Si je peux vous dire exactement combien de moutons il y a dans votre
troupeau, m'en donnerez-vous un ?
Le berger regarde le jeune homme, puis son troupeau broutant paisiblement et
répond simplement :
- Certainement !
L'homme gare sa voiture, ouvre son ordinateur portable, le branche à son
téléphone cellulaire, navigue sur Internet vers la page de la NASA, communique
avec un système de navigation par satellite, balaie la région, ouvre une base
de données et quelque trente fichiers Excel aux formules complexes.
Finalement, il sort un rapport détaillé d'une dizaine de pages de son imprimante
miniaturisée et s'adresse au berger en disant :
- Vous avez exactement 1586 moutons dans votre troupeau.
- C'est exact, dit le berger. Et comme nous l'avions convenu, prenez-en un. Il
regarde le jeune homme faire son choix et expédier sa prise à l'arrière de son
véhicule, puis il ajoute :
- Si je devine avec précision ce que vous faites comme métier, me rendrez-vous
ma bête ?
- Pourquoi pas ? répondit l'autre.
- Vous êtes Ingénieur Qualité et vous faites des audits, dit le berger.
- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
- C'est facile. Vous débarquez ici alors que personne ne vous l'a demandé,
vous voulez être payé pour avoir répondu à une question dont je connais déjà
la réponse et dont tout le monde se fout et ,manifestement, vous ne connaissez
absolument rien à mon métier.
Maintenant, rendez-moi mon chien...
Conclusion:
C'est parce que la vitesse de la
lumière est supérieure à celle du son,
Que certains ont l'air brillant avant
d'avoir l'air con !!!
-o-o-o-o-o-o-
Reçu le 17
octobre
Il
était une fois quatre personnages que l'on nommait
"Tout le monde"
"Quelqu'un"
"Chacun"
et "Personne"
Mais un jour, il y eut un important travail à faire.
On a alors demandé à « Tout le monde » de s’en occuper.
Mais « Tout le monde » était persuadé que « Quelqu'un » le ferait.
Et il est vrai que « Chacun » pouvait l'avoir fait, mais en réalité
« Personne » ne le fit.
Alors « Quelqu'un » se fâcha car c'était le travail de « Tout le monde » !
« Tout le monde » se dit alors que « Chacun » pouvait le faire. Et « Personne » ne
doutait que « Quelqu'un » le ferait…
En fin de compte, « Tout le monde » fit des reproches à « Chacun » parce que
« Personne » n'avait fait ce que « Quelqu'un » aurait du faire.
La moralité de cette histoire, c’est que
Sans vouloir le reprocher à « Tout le monde », il serait bon que « Chacun »
fasse ce qu'il doit sans nourrir l'espoir que « Quelqu'un » le fasse à sa
place…Car l'expérience montre que là où on attend « Quelqu'un »,
généralement on ne trouve « Personne » !
Donc n’hésitez pas à copier cet article et à l’envoyer à « Tout le monde »
afin que « Chacun » puisse l'envoyer à « Quelqu'un »... sans oublier « Personne
»…
-o-o-o-o-o-o-o-o-
VIVE LES
SENIORS
A nous tous les,
anciens...mais ne le dites pas trop fort par crainte de la
création d'un nouvel ISF (Impôt sur la sénilité familiale)
De l'argent dans les cheveux.
De l'or dans les dents.
Des pierres dans les reins.
Du sucre dans le sang
Du plomb dans les pieds.
Du fer dans les articulations.
Et une source inépuisable de Gaz Naturel.
Je n'aurais jamais pensé qu'à partir de 60 ans on pouvait arriver à avoir
tant de richesse!!!
Aout 2009
L’ARTICLE QUI
SUIT EST DE MON EXCELLENT AMI
A PROPOS DE
THE FOUR SEASONS IN THE
ou bien :
CHAM EL NESSIM
que vous trouverez
dans ce Site dans
Mais
laissons-lui la parole : vous finirez par saliver…
(el daoua-angui)
A PROPOS DE CET
ARTICLE :
En Egypte, lorsque on allait acheter un produit chez
l’épicier du coin comme fromage, halawa, torchi ou autre, il était courant que
l’épicier fasse « goûter » le produit
au client, en lui coupant un petit morceau. Parfois, c’était le client
lui-même qui demandait de goûter et il
n’achetait que s’il était à son goût. Mais il y avait parfois un client
vraiment sans gêne comme celui illustré ci-après.
Life in
It was an indescribable pleasure to smell meat
grilling at the Hati restaurant, and while waiting for the order, being served
assorted and wonderful salads with a delicious hot "eich baladi
meladden" (puffed and crusted bread). It was the same pleasure of
anticipation sharpened by hunger while you waited for grilled shrimps and fish.
Waiting for a fresh batch of baked bread to be retrieved from the oven at the
bakery was divine, and then eating both ends of the baguettes on the way
home--more than worth the scolding.
Step aside Dear Heloise*, my preferred method of cleaning a plate was
then, and still is, using my fingers with pieces of bread (ghamess), perfect
for absorbing the last bit of delectable "jus and sauce."
Only a zombie would not be transported by the
wonderful fragrance inside a Middle Eastern grocery store full of exotic
spices, assorted cheeses, olives, sardines preserved in salt, various barrels
of pickles in brine and lemons pickled in oil, smoked fish, lakerda, bastourma,
all sorts of salamis, succulent dried fruits, and sheets of amar el din…. Remember
when you were in a hurry, there was always a 'sampler' holding up the line
"Wallahi ezza samaht ya haboub momken agarab heta mein el gebna el beida,
we la mo akhza heta mein el gebna el h
At the "Khodari's store" the fresh smell
of fruits and vegetables, and many other treasures derived the rich Egyptian
earth and enduring sun.I used to use my index finger to poke a hole in those
delicious sweet lemons, and then pressed them to trickle the juice onto an
appreciative tongue.Being in the right place at the right time meant being in
our kitchen around lunchtime. My mother was an incredible cook. She could
create a symphony of pleasure with nothing more than a grilled cheese sandwich
topped with crushed hot green pepper with garlic, salt and olive oil, or just a
soupcon of lime or lemon.
Watching that beautiful and very seductive
actress Romy Schneider, or the attractive French actress Etchika Choureau, who
appeared only in very few films, certainly warmed the heart and quickened the
pulse.
Reading the very witty, intellectual, and
risqué (for its time) weekly Sunday paper,"La Lanterne", over
"une bonne tasse de cafe sokar zeyada" provided many happy chuckles
and delight.
Oh yes, these were a few of my favorite things.
* Dear Heloise (author) is a syndicated
columnist famed for her household hints, tips and practical advices
Copyright
Reçu le 29 juillet 2009
Authentique : À
l'époque des "khaouagatte" (les Européens d'Égypte), cet avis était
affiché chez un "makouagui" (repasseur)
>
> A mes amis,
Monsieur, Madame et lady,
> je suis
servant Hag Ahmed Hassanein El-Faransawy, les trois selebre Osta des grands
locandas du Cairo.
> Fait toutes
sortes et qualites de lavements pour dames et missieux, repassage et encore
tinturirie des couleurs sans lavements des bantaloon fanella blue, tres bien
one shilling cinq biastres.,
> Hag Ahmed
Hassanein El Faransawy ne pas voleur il est sujette Francaise (Hemoya) et
pouvait avoir confiance aussi il est fidele mosleman
> Venais
prendre un sharbat chez lui haret ibn el shah a Abdine dans le derriere du
docteur Mahfouz Omar el Guergaoui tres selebre.
Reçu le 20 août 2009
LES AVANTAGES D'AVOIR
50 ANS OU 60 ANS ALLANT VERS LES 70
Je sais que vous tous mes amis n’avaient pas encore
50 ans mais lisez tout ce qui nous attend et que nous ratons actuellement.
Quelq'un me l'a rappelé alors je te l'envoie pour te le rappeler aussi.
Ne ris pas... c'est très vrai...
01. Tu n'intéresses plus les ravisseurs.
02. Lors d'une prise d'otages tu seras probablement
relâché un des premiers.
03. Personne ne s'attend à te voir courir nulle
part.
04. Les gens te téléphonent à 9h00 du soir et
te demandent s'ils t'ont réveillé.
05. On ne te considère plus comme un hypocondriaque.
06. Il ne te reste plus rien à apprendre à la sueur
de ton front.
07. Les choses que tu achètes maintenant n'auront
pas le temps de s'user.
08. Tu peux souper à 4h00 de l'après-midi.
09. Tu peux vivre sans sexe mais pas sans tes
lunettes.
10. Tu ne considères plus les limites de vitesse sur
la route comme des défis.
11. Tu n'as plus à rentrer ton estomac pour qui que
ce soit.
12 Ta vue ne baissera pas beaucoup plus.
13 . L'argent que tu as investi pour ton
assurance maladie commence enfin à rapporter.
14. Tes articulations sont de meilleures prédictions
pour la température à venir que ce qui se dit à la télévision.
15. Tes secrets sont en sécurité avec tes amis parce
qu'ils ne s'en souviennent probablement pas.
Transmet ce message sans tarder à tout le monde dont tu te souviens !
UN CONSEIL BIEN IMPORTANT:
Ne
jamais, au grand jamais, prendre une pilule pour dormir en même temps
qu'un laxatif...
Juin 2009
Reçu
À ceux qui aiment la langue française...!
LES MÉTIERS :
Le pâtissier
s'est fait une religieuse en un éclair.
Le facteur
légèrement timbré, prend tout à la lettre.
Le coiffeur se
barbe à force de couper les cheveux en quatre
Le
cafetier a servi un demi à un jeune mousse.
Le poissonnier
fait le maquereau avec une morue.
Le croque-mort
a enterré sa vie de garçon en buvant une bière.
Le viticulteur
prend de la bouteille et demande qu'on lui lâche la grappe.
Le plombier
a pris la fuite en fumant un joint.
Le menuisier
a attrapé la gueule de bois en abusant du buffet.
Le charcutier
a épousé un boudin, quel andouille !
Le boucher s'est
mordu la langue en taillant une bavette.
Le boulanger
s'est fait rouler dans la farine, il est dans le pétrin.
L'
épicier a pris une amende en passant à l'orange.
L' avocat
s'est trouvé bec dans l'eau en défendant une cruche.
Le
vétérinaire a un chat dans la gorge et une fièvre de cheval.
Le bûcheron
est resté sous le charme en écoutant Dutronc.
Le couturier
a choisi de monter un col plutôt que de traverser la Manche.
Le cordonnier
s'est fendu le cuir chevelu sur une route en lacets.
Le
pharmacien a passé ses vacances au lac Satif, il s'est emmerdé.
L' électricien
a été déclaré positif alors qu'il était neutre.
L' horloger
n'a plus une minute à lui depuis qu'il a perdu la grande aiguille.
Le bijoutier
a lâché une perle dans une rivière de diamants.
Le sculpteur
a coulé un bronze dans un moule à plâtre
Le cuisinier
fait sa sauce tartare très tôt le matin.
Le volailler
court après les poules et y laisse des plumes.
Le curé
est à l'arrêt entre les messes.
Le relieur s’est retranché dans la marge du livre.
Reçu le 24 avril
A
MEDITER : COMMENT SONT LES HOMMES
|
REG A LEZ VOUS MESD A MES
1. Les hommes sont comme les vacances.
Ca ne
dure pas longtemps
2. Les hommes sont comme les bananes.
Plus ça vieillit et moins c'est dur.
3. Les hommes sont comme le temps.
Tu ne peux rien faire pour le changer.
4. Les hommes sont comme le café.
Les meilleurs sont chauds, forts et te maintiennent réveillée toute la
nuit.
5. Les hommes sont comme les ordinateurs.
Dur à comprendre et constamment sans mémoire.
6. Les hommes sont comme la publicité.
Ne jamais croire un mot de ce qui est dit
7. Les hommes sont comme les comptes
en banque.
Sans argent, ils ne génèrent aucun intérêt.
9. Les hommes sont comme les tempêtes
de neige.
On ne sait jamais quand ça arrive, combien de centimètres ils donneront et
combien de temps ça durera.
10. Les hommes sont comme les photocopieurs.
Ils servent que pour la reproduction.
11. Les hommes sont comme les places
de stationnement.
Toutes les bonnes places sont occupées, les autres sont pour les handicapés.
Maintenant envoyer aux femmes incroyables que vous connaissez, et aux éventuels
hommes compréhensifs, sympathiques et amusants que vous avez la chance de
connaître !!!!!!!!!!
Reçu le 30 mai 2009 de Monsieur Clément DASSA :
RENCONTRES
- Astronaute recherche femme lunatique.
- Artificier cherche femme canon.
- Sourd rencontrerait sourde pour trouver terrain d'entente.
- Jeune homme désintéressé épouserait
jeune fille laide, même fortunée.
- Abeille épouserait frelon. Lune de miel assurée.
EMPLOI
- Metteur en scène cherche
nain pour rôle dans court métrage.
- On recherche deux hommes de paille (1 grand, 1 petit) pour tirage au sort.
- Cannibale mélomane cherche travail dans opéra-bouffe.
- Offre bonne place de gardien de vaches. Paiement par traites.
- Inventeur produit amaigrissant cherche grossiste.
ACHAT - VENTE
- Cause fausse alerte, vends cercueil en ébène, jamais servi.
- Chien à vendre : mange n'importe quoi. Adore les enfants.
- A vendre robe de mariée portée une seule fois par erreur.
DIVERS
- Homme sans histoires recherche éditeur pour devenir
écrivain.
- Souffrant d'insomnies, échangerais matelas de plumes contre sommeil de plomb
- Échangerais voiture de sport endommagée contre fauteuil roulant en bon état.
- Analphabète ? Ecrivez-nous dès aujourd'hui pour obtenir une brochure
gratuite sur nos formations accélérées.
Avril 2009
Reçu de Madame
Lucie CALAMARO cette :
Pour qui j'écris
Bien sûr, j'écris pour moi.
Bien sûr, aussi pour toi.
J'écris pour vous, pour l'inconnu.
Parfois, dans l'espoir d'être lue
Souvent dans l'ombre, qu'ils restent tous
ces mots.
Dans un fond d'un tiroir, ils seront les
plus beaux.
Mais, tout au fond de moi, j'aimerai qu'on
les lisent.
S'ils sont nuls, je souffrirai qu'on me le
dise.
S'ils ont plu que l'on me le....re-dise.
Je prie celle
ou celui qui m’a adressé ces deux histoires
de me pardonner de ne pas mentionner son nom : j’ai oublié de le noter.
PETITE
HISTOIRE
Une dame distinguée rentre de Suisse
en avion. Elle s'y retrouve assise à côté d'un brave curé à qui elle demande:-
Pardon, père, est-ce que je pourrais vous demander une faveur? - Bien sûr, ma
fille, que puis-je faire pour vous? - Voici: je me suis acheté un épilateur
électrique super sophistiqué que j'ai payé extrêmement cher. J'ai vraiment
dépassé les limites permises, j'ai peur de me le faire confisquer à
VOUS DITES
POSITIF !
Un homme d´affaires doit se rendre à l´étranger pour quelques jours; il convoque le bon Saïd, son fidèle domestique, et lui explique la situation :- « Tu vois, je dois aller à l´étranger quelques jours ; fais bien attention à ce que tout se passe bien ici, et pour n´importe quel problème, appelle-moi.
- « Oui monsieur, toi pas faire de soucis ».
Après quelques jours, l´homme d´affaires, n´ayant pas de nouvelles, appelle Saïd :
:- « Ciao, Saïd, comment ça va? »
- « Tout très mal ! »
- « Pourquoi ? Qu´est-ce qui s´est passé ? »
- « Manche de la pelle cassé>»
- « Mais Saïd, sacrebleu, tu m´as presque flanqué un infarctus Tu me dis que ça va mal, et ce n´est que le manche de la pelle qui est cassé !? » Mais, pris de remords, il pense que Saïd pourrait se froisser, et il cherche alors à adoucir le ton :
- « Comment c´est arrivé ? »
- « Oh rien, j´enterrais le chien »
- « Quoi ?! mon chien, que j´aime comme un fils ?! Mais comment s´est arrivé ? »
- « Tombé dans piscine ! »
- « Mais Saïd, c´est un Terre-neuve, un chien qui nage;
commenta-t-il pu se noyer dans la
>piscine?"
- « Pas d´eau dans piscine, et lui tombé, mort »
- « Mais comment ça, il n´y avait pas d´eau dans la piscine ?! Mais puisque la semaine dernière on a fait le nettoyage et mis l´eau pour l´été ! »
- « Oui mais l´eau prise par pompiers pour éteindre incendie »
- « Incendie, mais quel incendie Saïd?"
- « La maison a pris feu ! »
- « Ma maison ?! Mais comment ça s´est passé ? »
- « Chapelle ardente de madame maman, une bougie près de tenture, tout brûlé . »
- « Chapelle ardente, ma mère est morte ? Mais on a fêté l´autre jour ses 70 ans, et elle était en pleine forme!"
- « Oui, mais hier nuit votre mère n´arrivait pas à dormir, alors allée demander aide à votre femme, mais l´a vue dans le lit avec votre meilleur ami, et elle morte d´infarctus ».-
« Mais enfin Saïd, ma femme me trahit avec mon meilleur ami?
Saïd, je m´absente 4 jours et ma vie est foutue!... Il n´y n'a
vraiment riende positif ? »
- « Si, patron, vous souvenir que l´autre
semaine, vous faire test pour Sida ? »
- « Oui. »
- « Voilà... ça positif ! »
Le
31/12/2008
PETITE BLAGUE POUR RESTER EN FORME
de
Pour rester en bonne santé, on
nous dit qu'il faut manger 5 légumes et 5 fruits par jour.
Je suis allé voir mon banquier, il est au top du top.
Il m'a dit:
Vos comptes, c'est la fin des haricots. L'oseille n'a
plus
Il ne vous reste plus qu'à prendre un avocat.
Je lui ai répondu:
Si je comprends bien, je n'ai plus de poire
pour la soif, plus de cerise sur le gâteau.
Mes économies sont mi-figue, mi-raisin, en
plus je ne peux pas ramener ma fraise.
Toutes ces années de labeur, pour des prunes.
J'ai eu mon compte pour la journée..........
ooooooooooooo
Reçu le 9 décembre de Monsieur Clément
DASSA :
Une nouvelle pathologie
: l'Helléparthie
Si un café
t'empêche de dormir
Si une bière t'envoie directement aux toilettes
Si tout te paraît
trop cher
Si n'importe quelle bêtise te met en rogne
Si un léger excès
fait monter l'aiguille de ta balance
Si tu arrives à
l'âge des métaux (cheveux d'argent,
dents en or, pacemaker en titane)
Si tu fais l'amour
presque 3 fois par semaine (presque le
lundi, presque le mercredi, presque le
samedi), c'est-à-dire jamais
Si la viande te
fait mal à l'estomac, le poivre t'irrite
et l'ail te fait roter
Si le sel fait
monter ta tension
Si tu demandes au
maître d'hôtel une table loin de la musique
et des gens
Si attacher tes
lacets te fait mal au dos
Si la télé t'endort
Si tu dois te
servir de plusieurs paires de lunettes (de près, de loin, de soleil)
Si on te donne du
Monsieur ou du Madame
Si tu as des douleurs d'origine inconnue
Si tu pleures pour
rien
Si tu as ces symptomes, ATTENTION ! C'est sûr, tu souffres
d'Helléparthie !
Et oui ! Helléparthie ta jeunesse
!
Allez ! Sans rancune
Le
31/10/2008
Reçu ces deux blagues de Madame Etty DIDAY :
Un mec complètement bourré vient sonner avec insistance chez des
gens en pleine nuit.
L'homme de la maison se lève et demande furieux :
- Qu'est-ce que tu veux ?
L'autre lui répond :
- Viens me pousser ! Il faut que tu viennes me pousser !
Excédé le propriétaire de la maison lui dit :
- Je ne te connais pas, et en plus il est 4 heures du matin, tu me réveilles
pour me dire de te pousser et j'en ai pas envie, alors dégage d'ici et ne me
déranges plus !
De retour dans la chambre, il se remet au lit, mais sa femme qui a tout
entendu, le sermonne :
- Quand même tu exagères, cela t'est déjà arrivé d'être en panne la nuit, tu
aurais pu le pousser ce pauvre type.
- Ouais, mais il fait froid et en plus il est bourré !
- Raison de plus pour l'aider, il ne va pas y parvenir tout seul. Non ??
Vraiment, je ne te reconnais pas, je suis très déçue de ton attitude...!
Son mari, pris de remords, se rhabille et descend. Il ouvre la porte et crie :
- Eh mec !!! C'est d'accord, je me suis habillé exprès pour venir te pousser ;
Tu es où ?
Et le mec bourré répond :
- Là, sur la balançoire...!!!
LES DEUX
SACS
Une petite vieille avançait dans la rue en
traînant deux grands sacs-poubelles, un dans chaque main.L’un des sacs était
troué et, de temps en temps, un billet de 100€ s’en échappait et tombait dans
la rue.
En voyant cela, un policier l’arrête et lui dit :« Madame, il
y a des billets de 100€ qui tombent de ce sac !
-Merci de m’en aviser, dit la petite vieille. Il faut que je retourne
récupérer ces billets. Encore merci !
-Un instant, pas si vite, fait le policier.
D’où sortez-vous tout cet argent ? L’avez-vous volé ?
- Oh non ! répond la petite vieille. Voilà : le terrain qui
est derrière chez moi sert de stationnement au stade de foot et chaque fois
qu’on joue et que les spectateurs veulent faire pipi avant d’entrer ou en
sortant du stade, ils s’arrêtent devant les arbustes qui bordent ma maison et
ils pissent sur les fleurs que j’ai semées. Alors, je me planque derrière les
arbustes avec une grande paire de ciseaux et chaque fois que quelqu’un sort son
instrument pour pisser, je lui dis : Donne-moi 100€ ou je te la
coupe !
- C’est pas une mauvaise idée, ça, dit le policier. Alors, bonne
chance ! Mais…
dites-moi qu’y a-t-il dans l’autre sac ?
-Ah ben ! répond la vieille, c’est qu’ils ne paient pas tous !!! »
Le
31/08/2008
Reçu le 7 juillet 2008 de notre ami Clément
DASSA :
ANNONCES
|
Le
30/06/2008
L’ EPICIER
GREC ET LES BARBARINS
Il y avait en Egypte une grande communauté
grecque. De nombreux grecs étaient épiciers. Non seulement dans les artères
européennes mais aussi dans les rues populaires indigènes et rares étaient les villages
égyptiens, même les plus reculés, qui ne comptaient pas, au moins, un épicier
grec.
Parallèlement à ceux-ci, il y avait
aussi une communauté noire soudanaise dont les membres étaient, pour la plupart
d’entre eux, des portiers ou « baouabs » c’est-à-dire des gardiens
d’immeubles. On les appelait les
barbarins. Ils étaient renommés pour leur honnêteté et, aussi, pour leur
goût immodéré pour le thé très fort additionné soit de lait, soit de feuilles
de menthe. Ils en buvaient force tasses dès qu’ils ouvraient les yeux chaque
matin et tout au long de la journée.
D’autre part, tant la plupart des grecs
d’Egypte que les barbarins prononçaient très mal l’arabe égyptien, chacun dans
son charabia.
Voici l’histoire :
Un épicier grec qui était très gros, venait
d’ouvrir son épicerie et, aussitôt, un barbarin entra dans le magasin et lui
dit :
-
Saba el hèr ya haouda ( bonjour monsieur )
-
Sabakh el khèr ya khabibi, inti ayza eh ? (bonjour mon ami, qu’est-ce que
tu veux ?
-
Ana ayèz bé étnen mallim ninah ( je veux pour DEUX millièmes de menthe). A noter que UN millième
était la plus petite pièce de monnaie.
L’épicerie comportait des étagères
pleines de marchandises mais l’épicier mettait la menthe fraîche sur la plus
haute, pour qu’elle sèche.
Il pose son échelle et y monte
péniblement. Il prend un peu de menthe, descend, la donne à son client et
encaisse les deux millièmes. Et il range l’échelle.
Deux minutes après, un autre barbarin
entre et c’est le même scénario :
-
Saba el hèr ya haouada.(bonjour monsieur)
-
Sabakh el khèr ya khabibi, inti ayza eh ? (bonjour mon ami, etc.)
-
Ana ayèz bé étnen mallim ninah….( je veux pour DEUX millièmes de menthe)
Le pauvre épicier se dit en lui-même
qu’aujourd’hui c’était un mauvais jour. Il re-pose l’échelle et remonte encore
plus péniblement que la première fois, en soufflant comme un phoque. Il prend
un peu de menthe et, au moment de redescendre, il voit un troisième barbarin
entrer au magasin. Pensant qu’il voulait, lui aussi, de la menthe, il lui
demande avant de descendre :
-
Inti kamane ayza bé étnène mallim ninah ? ( Toi aussi tu veux pour DEUX millièmes de menthe ? Il pensait que si
c’était la cas, il prendrait un peu plus de menthe pour ce troisième client, ce
qui lui éviterait de grimper une troisième fois sur l’échelle). Le nouveau
client lui répond :
-
la’, la’ ya haouada. (non, non, monsieur)
L’épicier descend, remet la menthe au
deuxième barbarin, encaisse les DEUX millièmes et demande au nouveau
venu :
-
Inti ayza eh ? (qu’est-ce que tu veux ?)
-
Ana ayèz BEMALLIM ninah…( je veux
pour UN millième de menthe….)
Le
30/04/2008
Reçu le 8 mars
2008 de Julie & Roger NADA
LES PERLES
DES MAIRIES….cela vaut celles du bac ....
Mes impôts pour la
commune j'aimerai bien les voir dans les trous de la route et pas dans votre
poche
Depuis que vous
avez acheté un ordinateur à la mairie y'a plus moyen de trafiquer les papiers
comme vous faisiez avant.
Je ne veux pas
vous embêter avec mes histoires de poubelle mais avouez quand même que c'est
pas normal que la mairie ne ramasse pas des ordures comme mon voisin.
Ça sert à rien de
faire des activités pour les vieux puisqu'ils sont inactifs.
Les ralentisseurs
que vous avez mis devant l'école sont trop hauts et ma femme se fait sauter
quatre fois par jour.
Le cimetière est
dans un état pas possible et tous ceux qui y habitent pensent comme moi
Est ce qu'on ne
pourrait pas déplacer le bal du 14 juillet au 15 août?
Si les morts
votaient c'est sûr que vous seriez battu à force de vous en foutre du cimetière
Je suis sûr que le
maire se touche les dessous de table
J'ai dit à votre
secrétaire de mairie : de deux choses l'une ! ou c'est comme ça ... ou c'est
pas autrement.
De quoi vous
discutez aux réunions du conseil municipal ? De mes intérêts ou de conneries
comme de refaire la route qui est encore très bien ?
A la mairie vous
êtes des moins que rien, pour ne pas dire plus.
J'ai bien reçu votre
bulletin de la mairie et je vous pose la question : c'est avec notre argent que
vous écrivez des âneries comme ça ?
Oui Monsieur le
maire vous êtes responsable des cacas de chien dans les rues même si ce n'est
pas vous qui les faites personnellement.
Le maire est une
vraie mafia à lui tout seul.
J'ai toujours voté
comme il fallait c'est-à-dire pour celui qui a été élu.
Le toit de
l'église fuit depuis deux ans et la vierge est toujours mouillée. Faites
quelque chose pour elle s'il vous plait Monsieur le maire.
Nous sommes la
commune française où il y a le plus de chômage au monde.
Mes taxes elles
servent des feux d'artifice au 14 juillet.
Votre cantonnier,
à part discuter le coup avec des verres de vin rouge, il n'a rien d'autre à
foutre ?
C'était une cabine
téléphonique où il fallait mettre des cartes et toutes les pièces que j'ai
voulu mettre ne rentraient pas.
Vos promesses de
marchand de soupe qui mange à tous les râteliers, j'en ai entendu depuis des
centaines d'années.
Depuis que vous
avez été élu, la cabine téléphonique tombe toujours en panne.
On ne vous demande
pas de faire grand chose sauf d'en faire beaucoup.
A la mairie vous
me prenez pour un imbécile parce que je suis pauvre mais les gens riches ne
sont pas plus intelligents que moi. Regardez les politiciens.
S'il faut gueuler
pour que l'on m'entende alors attention parce que je vais parler plus fort.
Etre élu c'est
facile pour vous parce que vous êtes pas mal foutu et que vous embrassez toutes
les femmes sur le marché.
Parce que vous
avez fait la route pas assez large, mon voisin est obligé de faire pleins de
manoeuvres difficiles avec sa voiture dans son garage qui est juste contre le
notre alors ce qui devait arriver est arrivé. Un matin ou il était sûrement
bourré, il a fini par réussir à rentrer dans ma femme. Faut l'faire.
Si c'est le maire
qui est chargé d'enlever les ordures, comment dois-je faire avec ma femme.
Vous êtes le
maire, c'est-à-dire le président de la république de la commune ; moi, à votre
place, je m'occuperai un peu plus gentiment de toutes les femmes de la commune
qui n'ont pas d'hommes à se mettre sous la main.
La responsabilité
de tous les accidents que j'ai eus n'est pas pour moi mais pour les route où je
circule et qui ne sont pas en état de conduire.
Le
29/02/2008
Reçu le 14 janvier2008 de
Monsieur MAGDI MORCOS :
One day, all the
women of the world got
together and decided not to do any HOUSE work anymore ;
No more laundry,
No more cooking,
No more cleaning, etc.
Also, they decided to meet after one week to report the progress.
>
So ! they all went back to their
respective
countries and homes to implement
their decisions.
A WEEK
LATER:
The French lady
came to tell about her experience:
I went home and told my husband that:
I will not do house work from now on ,
I Will not clean,
I will not cook.
The first day, I didn't see anything.
The second day, I didn't see anything.
The third day, he brought me breakfast
in bed and cooked a delicious meal for lunch.
Then came the British lady's turn:
I went home and told my husband that:
I will not do housework from now on.
I will not clean,
I will not cook.
The first day I didn't see anything.
The second day I
didn't see anything.
The Third day, he went to the supermarket
and did all
our grocery shopping, came back
to cook and then cleaned the whole house.
Last, came "Om Sayyed" with her story:
Ana roht el bait. Oltelo, ya Abu Sayyed,
Ana mesh hashtaghal.
Ana mesh haatbokh,
Ana mesh haknoss,
Ana mesh hakwi.
Awel Yom mashoftesh haga.
Tani Yom ma shoftesh haga.
Talet Yom, ebtadeet ashoof
shiwayya be eeny el shemaal
de
A une Correspondante qui souhaitait discrètement connaître mon
âge, j’ai écrit ceci :
Vous avez bien voulu me donner votre date de
naissance et je vous en remercie. Avant de vous donner la mienne, je vais vous
poser une devinette :
a) De "caractère", j'ai trente ans. Car j'aime toujours la
vie, les amis, les réceptions, les sorties, les voyages, la danse et la bonne
humeur.
b) De " coeur", j'ai vingt ans puisque j'aime la même
femme depuis toujours.
c) " Dans ma tête " j'ai 35 ans car j'aime les
responsabilités, les occupations, le travail bien fait, la lecture et
l'écriture.
d) " D'espoir ", j'ai cent ans et plus car j'espère vivre le
plus longtemps possible en bonne santé parce que la vie est belle
malgré tous les désagréments
qui l'accompagnent.
e) " D'innocence " j'ai un an car je crois en la bonté de
l'Homme malgré que je me suis laissé "attraper" à plus d'une reprise.
QUEL AGE AI-JE ?
Si vous ne trouvez pas, je vous donnerais la réponse dans mon prochain
mail.
Amitiés.
Albert Pardo.
Le
31/12/2007
Reçu le 13.11.07 de Madame Odette
BEHAR :
The New
Compromise: The art of dividing a cake in such a way that
everybody believes he got the biggest piece.
Classic: Books which people praise but do not read.
Smile: A curve that can set a lot of things straight.
Office: A place where you can relax after your strenuous home
life.
Etc.: A sign to make others believe that you know more than
you actually do.
Committee: Individuals who can do nothing individually and sit
to decide that nothing can be done together.
Experience: The name men give to their mistakes.
Philosopher: A fool who torments himself during life, to be spoken
of when dead.
Father: A banker provided by nature.
Criminal: A guy no different from the rest ... except that he
got caught.
Boss: Someone who is early when you are late and late when
you are early.
Politician: One who shakes your hand before elections and your
confidence after.
Doctor: person who kills your ills by pills, and kills you
with his bills.
De Madame Erella
AZRIEL :
SPECIAL POEM FOR SENIOR
CITIZENS!!
A row of bottles on my shelf
Caused me to analyze myself.
One yellow pill I have to pop
Goes to my heart so it won't stop.
A little white one that I take
Goes to my hands so they won't shake.
The blue ones that I use a lot
Tell me I'm happy when I'm not.
The purple pill goes to my brain
And tells me that I have no pain.
The capsules tell me not to wheeze
Or cough or choke or even sneeze.
The red ones, smallest of them all
Go to my blood so I won't fall.
The orange ones, very big and bright
Prevent my leg cramps in the night.
Such an array of brilliant pills
Helping to cure all kinds of ills.
But what I'd really like to know..........
Is what tells each one where to go!
There's always a lot to be thankful for if
you take time to look for it. For example
I am sitting here thinking how nice it is
that wrinkles don't hurt...
Reçu de
Mademoiselle Sylvana PARDO le 16.11.2007
Un fermier
trouve son cheval malade. Il fait venir le vétérinaire. Ce dernier lui dit que
le cheval est infecté par un virus et qu'il va prescrire un remède. Si le
remède n'a pas agi dans les trois jours, il faudra abattre le cheval pour
éviter d'infecter les autres animaux.
Le cochon de la ferme, qui a tout entendu, va trouver le cheval et lui dit :
« Fais un effort, lève-toi »
Mais le cheval est trop malade. Le deuxième jour, même chose, le cochon dit au
cheval :
« Fais un effort, lève-toi ». Mais le cheval est encore trop malade.
Le troisième jour, le cochon dit :
« Fais un effort, lève-toi, sinon ils vont t'abattre aujourd'hui. »
Le remède n'a toujours pas fait d'effet, mais dans un dernier sursaut, grâce
aux conseils du cochon, le cheval arrive à se lever devant le fermier et le
vétérinaire.
Le fermier, tout content, dit :
« Pour fêter l'événement, on va tuer le cochon».
Moralité : Ne te mêle jamais de ce qui ne te regarde pas...
Le
31/10/2007
Reçu de Madame Patricia TOUBIANA :
Les passagers d’un
avion sont assis à leur place et attendent les pilotes pour le décollage.
Bientôt, deux hommes entrent dans l’avion, en uniforme de pilote ;
ils portent des lunettes noires. L’un d’eux est accompagné d’un chien
pour aveugle et l’autre tâte son chemin à l’aide d’une canne
blanche.
Ils avancent dans
l’allée, entrent dans la cabine de pilotage et referment la porte.
Plusieurs
passagers rient nerveusement et tous se regardent avec une expression
allant de la surprise à la peur ou au scepticisme.
Quelques
instants plus tard, les moteurs de l’avion s’allument et l’avion prend de
la vitesse sur
L’avion
roule maintenant très vite sur la piste et plusieurs voyageurs réalisent qu’ils
ne décolleront jamais et qu’ils vont tous plonger dans le lac. Les cris
des passagers apeurés remplissent alors l’avion, mais
juste à ce moment, l’avion décolle tout doucement, sans
problème. Les passagers se remettent alors de leurs émotions,
rient, se sentant stupides d’avoir été roulés par cette mauvaise
plaisanterie.
Quelques
minutes plus tard, l’incident est oublié.
Dans
la cabine de pilotage, le pilote tâte le tableau de bord,
trouve le bouton du pilote automatique et le met en fonction.
Il
dit ensuite au copilote :
-
Tu sais ce qui me fait peur ?
-
Non, répond l’autre.
- Un de ces jours,
ils vont crier trop tard et on va tous mourir.
Reçu de Madame Clemy PINTO :
1. The patient refused autopsy.
2. The patient has no previous history of suicides.
3. Patient has left white blood cells at another
hospital.
4. She has no rigors or shaking chills, but her
husband states she was very hot in bed last night.
5. Patient has chest pain if she lies on her left side
for over a year.
6. On the second day the knee was better and on the
third day it disappeared.
7. The patient is tearful and crying constantly. She
also appears to be depressed
8. The patient has been depressed since she began
seeing me in 1993.
9. Discharge status: Alive but without permission.
10. Healthy appearing decrepit 69-year old male,
mentally alert but forgetful.
11. Patient had waffles for breakfast and anorexia for
lunch.
12. She is numb from her toes down.
13. While in ER, she was examined, x-rated and sent
home.
14. The skin was moist and dry.
15. Occasional, constant infrequent headaches.
16. Patient was alert and unresponsive.
17. Rectal examination revealed a normal size thyroid.
18. She stated that she had been constipated for most
of her life, until she got a divorce.
19. I saw your patient today, who is still under our
car for physical therapy.
20. Both breasts are equal and reactive to light and
accommodation.
21. Examination of genitalia reveals that he is circus
sized.
22. The lab test indicated abnormal lover function.
23. Skin: somewhat pale but present.
24. The pelvic exam will be done later on the floor.
25. Patient has two teenage children, but no other
abnormalities.
Reçu de Madame Erella AZRIEL :
Nous, les
aînés, nous avons beaucoup plus de valeur que tout autre groupe d'âge
:
Nous
avons de l'argent dans nos cheveux.
De
l'or dans nos dents.
Des
pierres dans notre foie.
Du
plomb dans nos pieds.
Du fer
dans les articulations.
Et
nous sommes une source intarissable de gaz naturel !!!
Je
ne croyais pas avoir autant de valeur....
Le
31/08/2007
De Madame Racheline BOTTON :
Comme il était charmant
Quand il n’était que mon amant ;
Mon Dieu, comme il était charmant.
Mais depuis qu’il est mon mari,
Il est un peu moins gentil
Quand il n’était que mon amant
Il avait des baisers troublants.
De ces baisers pleins de passion
Qui vous coupent la respiration.
Aujourd’hui, si j’ose tenter
Le plus innocent des baisers,
Il s’essuie du revers de la main
« Tu m’as encore mis du rouge, c’est
malin »
Oh ! depuis qu’il est mon mari
Il est un peu moins gentil.
Quant il n’était que mon amant,
Pour m’appeler très tendrement,
Il disait de moi « mon pigeon rose,
Canard bleu », oui mais maintenant
Il a changé, c’est évident,
Il n’y a plus de canard ni de pigeon,
Plus de bleu, plus de rose et mon prénom
J’crois bien qui’il l’a oublié,
Quand il veut m’appeler, il fait oh !
eh !
Ah ! depuis qu’il est mon mari
Il est beaucoup moins gentil.
Quant il n’était que mon amant
Il m’emmenait au restaurant,
Les meilleurs vins, les meilleurs plats,
Rien n’était trop bon pour moi.
Maintenant, je fais la cuisine moi-même
Et je varie à l’extrême.
A chaque nouveau plat succulent,
J’attends qu’il goûte, le cœur battant,
Chéri, qu’en dis-tu ? C’est nouveau..
J’en dis rien, c’est jamais que du veau.
Ah ! depuis qu’il est mon mari
Il est beaucoup moins gentil.
Quand il n’était que mon amant
Ma fête, c’était un évènement ;
Jamais il n’aurait oublié
De gentiment me la souhaiter
Et il me comblait de cadeaux
Evidemment, c’était trop beau…
Quand je dis : c’est ma fête tu sais,
Il fait : « encore, tu exagères,
C’était déjà l’année dernière. »
Ah ! depuis qu’il est mon mari
Il est beaucoup moins gentil.
Quand il n’était que mon amant
Il était tendre et prévenant.
Si, nous promenant, d’aventure
Je tordais un peu ma chaussure,
De suite il se précipitait :
Tu t’es fait mal mon petit poulet ?
Aujourd’hui, le même accident
M’attire ces propos galants :
Enfin…c’est extraordinaire,
Tu passes ton temps à te foutre par terre
Ah ! depuis qu’il est mon mari
Il est u n peu moins gentil.
Quant il n’était que mon amant
Mon Dieu ! comme il était
charmant.. ;
Mais j’ai cru que cela allait durer
Alors, bien sûr, je l’ai épousé,
Si j’avais su, évidemment…
Mais voilà, on ne sait pas avant.
Si je n’étais pas sûr que ce soit lui
Je ne le reconnaitrais pas aujourd’hui.
J’aimerais tant retrouver ses caresses
Et ses petits mots pleins de tendresse…
Et bien, je les ai retrouvés vraiment
Depuis hier, j’ai un amant !
Ah, mais !!!
De
Madame Lily KHODARA :
5 préceptes
de sagesse chinoise, destinés aux femmes :
1. Il est important de trouver un homme qui t'aide dans
les tâches
ménagères et travaux pénibles, et qui ait un bon emploi.
2. Il est important de trouver un homme d'esprit, ayant
beaucoup
d'humour, et qui te fasse rire.
3. Il est important que tu trouves un homme sur qui tu
puisses compter,
en qui tu aies confiance et qui ne te mente jamais.
4. Il est important de trouver un homme qui soit bon au
lit et qui
aime te faire l'amour
5.
Il est important que ces quatre hommes ne se connaissent pas.
De Monsieur Clément DASSA :
Toujours
On demanda un jour à Confucius :
« Qu'est-ce qui vous surprend le plus chez les humains? »
Confucius répondit :
« Ils perdent leur santé à faire de l'argent et par la suite perdent tout leur argent à restituer leur santé.
En pensant anxieusement au futur, ils oublient le présent, de sorte qu'ils ne vivent ni le présent ni le futur.
Finalement, ils vivent comme s'ils n'allaient jamais
mourir, et ils meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu...»
Le
30/06/2007
De Monsieur Clément DASSA :
C´EST LE 1ER. MAI : SOURIONS …
Un type revient de
Chine où il a pris du bon temps avec quelques jolies petites chinoises.
Seulement quand il revient son zizi et ses coucougnettes sont tout verts. Il cache d'abord la chose a sa femme et s'en
va chez son docteur.
- Hé hé, on a été en Chine !
- Ben oui.
- Et on a fait des bêtises avec les petites chinoises !
- Ben oui.
- Malheureusement on peut rien faire il va falloir couper !
Le gars est catastrophé mais décide d'aller consulter un 2ème médecin qui lui
confirme le diagnostic.
Là, le mec déprime complètement, il lui vient des idées suicidaires. Il prend
rendez-vous chez un super spécialiste des maladies vénériennes, tropicales et
exotiques. Mais ce grand ponte confirme :
- Il n'y a qu'une seule solution, il faut couper.
Désespéré, le gus décide d'en
parler à sa femme. Après une sérieuse engueulade, elle lui conseille d'aller
voir un médecin chinois.
- Hé hé, on a été en Chine !
- Ben oui.
- Et on a fait des bêtises avec les petites chinoises !
- Ben oui.
- Et on a été voir un docteur français !
- Ben oui.
- Et le docteur français il a dit qu'il fallait couper !
- Ben oui.
- Et bien non ! Ce n'est pas la peine de couper.
Le type est complètement
soulagé et devient fou d'espoir, et le toubib chinois confirme :
- Non, ce n'est pas la peine de couper. Ça va tomber tout seul .
De Mademoiselle Sylvana PARDO :
Une femme demande
à son mari :
- Chéri, quel
genre de femme préfères-tu ? Les femmes belles ou intelligentes ?
- Aucune des deux,
ma chérie ... Tu sais bien que je n'aime que toi !!
Un jeune garçon
demande à sa mère :
- Est-ce que les
dindes ont des seins, maman ?
- Non, répond sa
mère.
Le garçon :
- Ben, pourtant,
papa a dit à la femme de ménage qu'elle avait des plus beaux seins que sa dinde
...
Un homme se
trouvait dans le coma depuis un certain temps et son épouse était à son chevet
jour et nuit.
Un jour, l'homme
se réveilla.
Il fit signe
à son épouse de s'approcher, et lui chuchota :
- Durant tous ces
malheurs tu étais à mes côtés,
- Lorsque j'ai été
licencié, tu étais là pour moi,
- Lorsque mon
entreprise a fait faillite, tu m'as soutenu,
- Lorsque nous
avons perdu la maison, tu es restée près de moi,
- Et lorsque j'ai
eu des problèmes de santé, tu étais toujours et encore à mes côtés.
- Tu sais quoi ?
Les yeux de la
femme s'emplirent de larmes d'émotion.
- Quoi donc mon
chéri ?
- Je crois que tu
me portes la poisse, ma chérie !!
De Madame Erella AZRIEL
Hier soir, ma femme et moi étions assis
à table, à discuter de choses et
d'autres puis nous en sommes venus à parler de
l'euthanasie.Sur le sujet délicat du choix entre la vie et la mort, je
lui ai dit :
"Ne me laisse jamais vivre dans cet état végétatif, dépendant d'une machine et alimenté par le
liquide d'une bouteille. Si tu me vois
dans cet état, débranche les appareils qui me relient à la vie".
Elle s'est levée, a débranché la télé, a éteint l'ordinateur et a jeté ma bière.
De Madame Esther DIDAY :
Il était une fois un homme très avare qui
avait travaillé toute sa vie et épargné son argent. Il aimait l'argent plus que
tout et juste avant de mourir il dit à safemme: "Lorsque je mourrai, je
veux que tu mettes tout mon argent dans le cercueil avec moi, ce sera pour ma
vie après la mort"
Bien à contre coeur, sa femme lui fit le
serment de mettre tout son argent dans
le cercueil avec lui. Peu de temps après, il mourut...Au cimetière, il était
étendu dans son cercueil entouré de quelques amis, membres de sa famille
et de son épouse toute de noir
vêtue. Comme la cérémonie se terminait et juste avant que le cercueil soit refermé et porté en
terre, l'épouse dit: "Attendez une minute" . Elle prit alors une
boite qu'elle déposa dans le cercueil avec son époux.
Les préposés firent alors descendre le cercueil dans la fosse .Un ami lui dit
alors: "Écoute bien, j'espère que tu as été assez intelligente pour ne pas
mettre tout son argent dans le cercueil avec lui comme il t'avait demandé
?"
L'épouse dit alors:" Bien sûr, je
ne puis revenir sur la parole faite à un
mourant de mettre son argent avec lui dans le cercueil".Et elle
ajouta: "Je lui ai fait un chèque."
Ne jamais sous-estimer l'intelligence et
le pragmatisme d'une femme
De Monsieur Isaac
SCHALOM :
Two Jewish men, Sid
and Al, were sitting in a Greek restaurant in
Sid
asked Al, 'Are there any people of our faith born and raised
in
Al
replied, 'I don't know, let's ask our waiter.'
When
the waiter came by, Al asked him, 'Are there any Greek Jews?'
The
waiter said, 'Aronno, I ask the cooks.'
He
returned from the kitchen in a few minutes and said, 'No ser,
no Greek Jews.'
Al
wasn't really satisfied with that and asked, 'Are you
absolutely sure?'
The
waiter, realizing he was dealing with 'xenoi' [foreigners]
gave the expected answer, 'I check again,'
and went back into the kitchen.
While
the waiter was away, Sid said, 'I find it hard to believe
that there are no Jews in
The
waiter returned and said, 'The head cook say there is no Greek
Jews.'
'Are you
certain?' Al asked once again, 'I can't believe there are
no Greek Jews!'
'Vre
Gamoto . I asked EVERYONE,' replied the waiter. 'All we have
is Orange Jews, Apple Jews & Tomato Jews!
Le 30/04/2007
De Madame Erella
,AZRIEL
The Silent Treatment
A man and
his wife were having some problems at home and were giving each
other the silent treatment. Suddenly, the man realized that the next day,
he would need his wife to wake him at 5:00 AM for an early morning business
flight.
Not wanting to be the first to break
the silence (and LOSE), he wrote on a piece of paper,
"Please wake me at 5:00 AM " He left it where he knew she would find
it.
The next morning, the man woke up, only to discover it was 9:00 AM
and he had missed his flight. Furious, he was about to go and
see why his wife hadn't wakened him, when he noticed a piece of paper by
the bed. The paper said, "It is 5:00 AM. Wake up."
Men are not equipped for these kinds of contests.
De Monsieur Clément DASSA :
La saison des
barbecues va bientôt commencer ! A cet effet, il est de bon ton de se rappeler
la procédure habituelle de cette cuisine estivale. C'est dans cette activité qu'on reconnaît les talents de cuisine
d'un homme, un vrai. Dès qu'un homme se porte volontaire pour faire ce type de
cuisine, la chaîne d'évènements suivante
est actionnée :
L'HOMME 1.
L'homme sort le barbecue et le charbon de bois. |
2.
La femme nettoie la grille. |
|
11.
La femme va à l'intérieur mettre la table. son mari que la viande est en train de
brûler. |
|
16.
La femme prépare les assiettes et les apporte sur la table. |
|
18.
La femme dessert la table et prépare le café. |
|
|
De Madame Suzy VIDAL :
An English Jew, a prominent novelist and
intellectual, is informed that he will be knighted. The queen's
protocol officials prepare him and the other knights-to-be for the ceremony.
He
is informed that, when he stands before the queen, he is to recite, "Philosophum
non facit barba. Non in solo pane vivit homo." Just before being knighted.
On
the day of the ceremony, the man is very nervous and, sure enough, when
he approaches the queen, he forgets the Latin expression. As precious
seconds tick by, the only non-English words he can think of pour
out of him:
"Ma nishtana halaila hazeh mikol haleilot?" The queen, confused, turns to her protocol
officer and asks, "Why is this knight
different from all other knights?"
Have a happy Passover!
De
Mademoiselle Sylvana PARDO :
COMMENT
CHOISIR AVEC QUI SE MARIER ?
Extraits
d'une véritable étude récemment menée auprès d'enfants de 10ans
et moins au sujet du mariage
Il faut trouver quelqu'un
qui aime les mêmes trucs.Si tu aimes le foot, elle devra aimer que
tu aimes le foot et t'amener deschips et de
(Alain
On ne décide pas vraiment avec qui on va se marier.
Dieu décide tout bien avant, et tu vois après qui il t'a collé.
(Kirsten, 10 ans)
QUEL EST LE BON AGE POUR SE MARIER ?
Le meilleur age c'est 23 ans, parce que tu connais ton mari depuis au
moins 10 ans.
(Camille, 10 ans)
Il n'y a pas de bon age pour se marier. Il faut être stupide pour avoir
envie de se marier.
(Freddie, 6 ans)
QU'EST-CE QUE TES PARENTS ONT EN COMMUN ?
Ils ne veulent pas d'autre enfant.
(Laure, 8 ans)
QU'EST CE QUE LES GENS FONT A UN RENDEZ-VOUS ?
Les rendez-vous, c'est pour s'amuser, et les gens devraient en profiter
pour se connaître mieux. Même les garçons ont quelque chose d'intéressant à
dire si tu écoutes assez longtemps.
(Linette, 8 ans : bcp de lucidité pour son age !)
Au premier rendez-vous ils se disent des mensonges intéressants, comme ça,
ils sont d'accord pour avoir un deuxième rendez-vous.
(Martin, 10 ans)
QUE FERAIS-TU SI TON PREMIER RENDEZ-VOUS SE PASSE MAL ?
Je rentrerais a la maison et je ferais semblant d'être mort. Et
j'appellerais les journaux pour leur demander d'imprimer que je suis mort.
(Craig, 9 ans)
QUAND EST-CE PERMIS D'EMBRASSER QUELQU'UN ?
Quand ils sont riches.
(Pamela, 7 ans)
Si tu embrasses quelqu'un, il faut se marier et avoir des enfants avec
elle. C'est comme ca.
(Henri, 8 ans)
EST-IL MEILLEUR D'ETRE CELIBATAIRE OU MARIE ?
Je ne sais pas ce qui est mieux, mais je ne ferai jamais l'amour avec ma
femme. Je ne veux pas qu'elle devienne grosse.
(Théodore, 8 ans)
C'est mieux d'être célibataire pour les filles. Mais les garçons ont
besoin de quelqu'un pour nettoyer.
(Anita, 9 ans)
... et la meilleure de toutes
COMMENT FAIRE POUR QUE TON MARIAGE MARCHE BIEN ?
Il faut dire à ta femme qu'elle est jolie, même si elle a l'air d'un
camion.
(Richard, 10 ans)
Le
31/03/2007
De Monsieur Clément DASSA :
Frank signe sa première chronique dans un hebdomadaire local.
La voici:
LA
RETRAITE
De plus en plus
de gens entrent dans l'âge de la retraite.
Ce n'est pas facile pour tout le monde. Mais voici quelques conseils, suite à
mon expérience personnelle.
À mesure que votre femme vieillit, soyez plus patient avec elle. Les hommes
doivent savoir qu'à mesure que les femmes vieillissent, il devient de plus en
plus difficile pour elles de maintenir la même qualité dans les tâches
domestiques. Il faut savoir composer avec cette nouvelle situation.
Quand j'ai pris ma retraite, Danielle a décroché un emploi à temps plein comme
téléphoniste dans un bureau de comptables pour nous aider à arrondir nos fins
de mois et payer surtout ses médicaments. Elle en consomme beaucoup.
C'est à ce moment-là que j'ai commencé à réaliser qu'elle tirait de la patte et
qu'elle fatiguait vite.
Tenez. Quand je rentre du golf, en fin d'après-midi, à peu près au même moment
où Danielle revient du travail, souvent le repas n'est pas prêt.
Bien entendu, je lui dis de prendre son temps et que je vais en profiter pour
faire une sieste. Elle n'aura qu'à me réveiller quand le repas sera sur la
table.
Elle avait l'habitude de faire la vaisselle immédiatement après les repas.
Maintenant, très souvent, elle néglige de le faire. C'est vraiment désagréable.
Alors, quand on est assis devant la télévision, pendant les commerciaux, je
dois la motiver et lui rappeler que la vaisselle ne se lavera pas toute seule.
Maintenant qu'elle vieillit, elle semble se fatiguer beaucoup plus rapidement
Notre laveuse et sécheuse se trouvent au sous-sol. Parfois, elle me dit qu'elle
ne peut plus descendre les marches. " Ne fais pas un drame avec ça, que je
lui dis. Je n'ai pas besoin de chemises avant la semaine prochaine pour le golf
et les cartes. Le repassage peut attendre. Je suis vraiment conciliant.
En plus ça lui laisse tout le temps qu'il faut pour les petites besognes telles
donner le shampoing au chien, passer l'aspirateur ou faire l'époussetage. J'ai
d'ailleurs remarqué qu'il y a de la poussière au dessus du frigo.
Évidemment, comme elle travaille dans un bureau, elle se plaint de manquer de
temps, le midi, pour aller payer les factures, faire les petites commissions,
etc. Je lui ai dit que c'est l'occasion rêvée pour commencer un régime
puisqu'elle est un peu ronde et peut avantageusement sauter le repas du midi.
Et puis, au lieu d'aller au gym le samedi, elle n'a qu'à courir, la semaine,
pour faire les commissions. En plus, on sauvera l'argent de l'abonnement au
gym. Ça coûte chères ces affaires là.
Même en faisant des petites tâches, elle semble avoir besoin de plus en plus de
repos. Par exemple, il lui faut maintenant deux jours pour faire la pelouse,
mais je ne dis pas un mot.
Par contre, mon frère et ses enfants sont venus à la maison, la semaine
dernière et je n'ai pas apprécié son commentaire sur le gazon qu'il trouvait un
peu long. J'en ai parlé à Danielle. Mais, rassurez-vous, avec délicatesse. Je
pense qu'elle a bien compris le message.
Le secret ? Il faut toujours rester calme et très patient. Je l'accompagne dans
sa vieillesse. C'est difficile pour le conjoint.
Pour bien des hommes, la tâche serait insurmontable. Souvent, c'est l'enfer.
Mais il faut toujours rester calme.
Personne autant que moi ne sait combien les femmes peuvent devenir frustrantes
quand elles vieillissent.
Messieurs, faites donc comme moi. Soyez patients. Ne criez pas !
Frank votre spécialiste sur la retraite.
NOTE DE L’EDITEUR:
Les funérailles de Frank eurent lieu samedi le 2.
Danielle fut acquittée lundi le 4. ;-)))))))))))))))
Le Président Bush fait venir le chef de la CIA et lui demande
:
« Comment s'y prennent les Juifs pour tout savoir avant nous ?
».
Le responsable de la CIA répond : Les Juifs utilisent
l'expression
suivante : "Vus titzuch?" »
Et le Président de demander : « Qu'est-ce que cela
veut dire ? »
« Eh bien, M. le Président », répond le Directeur de la CIA, «
c'est
une expression yiddish, que l'on peut traduire, grosso modo,
par "Quoi
de neuf ?". Ils s'interrogent l'un l'autre de cette
manière et comme
cela, ils sont au courant de tout. »
Le Président décide d'aller, incognito, vérifier par lui-même
si la
chose est vraie. Il se déguise en Juif orthodoxe (chapeau
noir, barbe, longue redingote noire), un avion sans signe distinctif l'amène
secrètement à New York,
on le met à bord d'une voiture ordinaire et on le dépose dans
le
quartier le plus juif de Brooklyn.
Aussitôt un petit homme âgé vient traîner dans les parages. Le
Président l'arrête et lui murmure à l'oreille : « Vus titzuch
? ».
Le vieil homme lui répond en chuchotant :
« Bush est à Brooklyn. »
Le
28/02/2007
De monsieur Yeheskiel
DANOUS :
Une femme reçoit souvent son amant pendant que son mari
est au travail.
Un jour, son fils de 8 ans se cache dans l'armoire pour voir
ce que sa mère fait avec cet homme-là.
Un moment plus tard, le mari rentre à l'improviste.
Paniquée, la femme cache son amant, dans la même armoire.
- le fils :
fait sombre ici.
- l'amant :
ouais c'est vrai
- le fils :
j'ai un ballon de foot
- l'homme :
content pour toi
- le fils :
tu veux l'acheter ?
- l'homme :
non merci
- le fils :
mon père est là dehors
- l'homme :
ok, combien ?
- le fils :
250 euros
Quelques jours plus tard, le fils se retrouve à nouveau
dans
l'armoire en compagnie de l'amant de sa mère
- le fils :
fait sombre ici
- l'homme :
ouais c'est vrai
- le fils :
j'ai des super baskets
- l'homme se
rappelant la dernière fois grimace : combien ?
- le fils : 500
euros
Quelques jours plus tard, le père dit à son fils : mets
tes baskets
et prends ton ballon, on va faire une partie.
- le fils : je
ne peux pas, j'ai tout vendu
- le père :
pour combien ?
- le fils :
750 euros
- le père :
c'est inadmissible d'arnaquer les gens comme ça. Ces
affaires n'ont jamais coûté ce prix là !!.
Je t'amène à l'église pour te confesser.
Le père amène son fils à l'église, le pousse dans le
confessionnal
et ferme la porte
- le fils : fait
sombre ici
- le curé :
merde, maintenant t'arrêtes tes conneries ...
De
Monsieur Victor PARDO - Tel Aviv :
Un nouvel élément chimique à rajouter dans le tableau périodique des
éléments chimiques de Mendeleïev..
NOM :
Femme.
SYMBOLE
Fm
DECOUVREUR :
Adam.
MASSE
ATOMIQUE :
Acceptable à 60 kgs mais
des isotopes connus de 40 à 250 kgs.
OCCURENCE :
Très
abondant de par le monde.
PROPRIETES PHYSIQUES :
Entre en
ébullition pour un rien et gèle sans raison.
CONDUCTIVITE
THERMIQUE :
Faible...
surtout aux extrémités inférieures.
POUVOIR
DE DILATATION :
Augmente avec les années.
Cède aux
pressions appliquées aux points sensibles.
STRUCTURE
MOLECULAIRE :
Parfaite à 90/60/90.
Existe aux USA sous
forme croissante de 60/90/120 et dans
les pays nordiques sous
forme dite « plate « de 50/50/50
PROPRIETES
CHIMIQUES :
Ø Très grande
affinité pour l’or, l’argent, le platine et tous les métaux nobles.
Ø Absorbe de
grandes quantités de substances onéreuses.
Ø Peut exploser
spontanément sans avertissement.
Ø Insoluble dans
les liquides mais présente une activité grandement augmentée par saturation
dans l’alcool.
Ø Réactivité très
variable selon les périodes de la journée.
Ø Grande aptitude
aux changements d’humeur et à la jalousie.
UTILISATION
COURANTE :
Hautement décorative
surtout dans les voitures de sport.
Puissant agent nettoyant.
Aide efficace
pour la relaxation et la détente.
TEST :
Tourne au vert si placée à
côté d’un spécimen de meilleure qualité.
PRECAUTIONS
D’EMPLOI :
Hautement
dangereuse si placée entre des mains non expertes.
Il est illégal
d’en posséder plusieurs spécimens, mais il est possible d’en entretenir
plusieurs à des endroits différents tant
que les spécimens n’entrent pas en contact(risque d’explosion.)
ATTENTION :
Certains chercheurs d’Amérique du Sud ont découvert le moyen d’en
fabriquer artificiellement, présentées généralement sous les marques TRAVELO ou
DRAG QUEEN.
Ne consommer que le produit d’origine.
Le 31/01/2007
A man suspects his wife for cheating him.
He therefore hires the very famous chinese detective Chen Lee to keep an eye on her while he is on a
business trip. After a few days he received the following
report:
Most honorable Sir,
You leave house. I watch house. He
come to house. I watch.
He and she leave house. I follow. He and she go in hotel.
I climb tree. I look in window. He kiss she. She kiss he.
He strip she. She strip he. He play with she. She play with he. I play with me.
I fall off tree. I not see. No fee.
Chen Lee
De Madame Suzy
Vidal :
I think it will make you smile
She is in the kitchen preparing to
boil eggs for breakfast.
He walks in. She turns and says,
"You've got to make love to me
-- this
very moment."
His eyes light up and he thinks,
"This is my lucky day."
Not wanting to lose the moment, he
embraces her and
then gives it his all on
the kitchen table.
Afterwards she says,
"Thanks," and returns to the stove.
More than a little puzzled, he
asks, "What was that all about?"
She explains, "The 3 minute
egg timer is broken!"
De Madame Lily KHODARA :
Adam: Matière dont fut fait le premier haut-parleur.
Âge : Le seul secret des femmes.
Amabilité : Passe-partout qui
ouvre toutes les portes.
Ami : Canne superbe qui se casse dès
que vous voulez vous appuyer dessus.
Anglais : Patriote toujours prêt
à donner votre sang pour sa patrie.
Calvitie : Maladie de ceux dont
la tête passe à travers les cheveux.
Chat : Quadrilatère avec une
patte à chaque coin.
Crayon : De tous les êtres, le
seul qui puisse être jugé par la mine.
Égoïste : Celui qui ne s'occupe
pas de moi.
Fessée : Punition qui donne envie
de marcher droit et ôte celle de s'asseoir.
Galanterie : Attitude d'un homme
à l'égard de toute femme qui n'est pas la
sienne.
Gourmand : Qui ne remet pas à
demain ce qu'il peut manger aujourd'hui.
Laryngite : Mal de gorge des gens
instruits.
Maison : Lieu où sont abrités les
troubles de ménage.
Miroir : Verre poli et étamé qui
réfléchit sans parler.
Monologue : Conversation entre un homme et une femme.
Original : Politicien qui remplit
ses promesses électorales.
Oui : Le mot qui règle toutes les
discussions.
Pourboire : Salaire que nous
payons aux employés des autres.
Ronflement : Musique de chambre.
Skieur : Quelqu'un qui avance à
coups de bâton.
Le
31/12/2006
De Mademoiselle Sylvana PARDO :
==============================
Un
vieux docteur de la Creuse souhaite enfin prendre sa retraite après plus de cinquante
années d’exercice ! Il trouve un jeune médecin pour lui succéder et il
suggère au « petit nouveau » de l’accompagner au cours de
quelques tournées afin que les gens du cru s’habituent à lui
progressivement. À la première maison, une femme se plaint : « J’ai
mal à l’estomac, docteur. »
Le
vieux docteur lui répond : « Eh bien, c’est que vous
avez probablement abusé des fruits frais. Pourquoi est-ce que vous
ne réduiriez pas la quantité que vous consommez ? «
Lorsqu’ils
quittent la maison, le plus jeune dit :
-
Vous n’avez pas même examiné cette femme. Comment en
êtes-vous arrivé à votre diagnostic si rapidement ?
-
Ce n’était pas la peine. Vous avez noté que j’ai laissé tomber mon
stéthoscope sur le plancher ? Quand je me suis baissé pour le ramasser,
j’ai noté une demi-douzaine peaux de banane dans la poubelle.
C’était ce qui l’avait probablement rendue malade.
- Hmmm !
Très malin ! Je pense que j’essayerai d’employer cette technique à la
prochaine maison.
À
la maison suivante, ils passent plusieurs minutes à parler avec une jeune
femme. Elle se plaint d’une extrême fatigue : « Je me
sens complètement vidée » dit-elle.
-
Vous aviez probablement trop donné de vous-même pour l’église, lui
dit alors le jeune docteur. Peut-être vous devriez réduire cette
activité et voir si cela vous permet de reprendre un peu d’énergie.
Lorsqu’ils
quittent cette seconde maison, le vieux docteur dit à son cadet :
Votre diagnostic m’épate : comment êtes-vous arrivé à la conclusion que
cette femme se donnait corps et âme aux tâches religieuses ?
- Eh bien, j’ai appliqué la technique que vous
m’aviez indiquée précédemment : j’ai laissé tomber mon stéthoscope et
quand je me suis baissé pour le ramasser, j’ai vu le curé sous le
lit .
De Monsieur Clément DASSA :
============================
Depuis des siècles, le souci des grands auteurs de la langue française a
été la précision et la capacité d'exprimer de fines nuances. Dans un élan
d'enthousiasme, un de ces maîtres, Antoine Rivarol, est allé jusqu'à
écrire : «Ce qui n'est pas clair n'est pas
français »...
C'est ainsi que malgré ses difficultés, encore beaucoup moindres que celles du
chinois, du japonais ou du russe, la langue française permet toujours de
rédiger des traités internationaux d'une clarté sans pareille!
Voici un petit texte qui en est une amusante illustration au plan de la
ponctuation.
Un homme
riche était au plus mal. Il prit un papier et un stylo pour écrire ses
dernières volontés. « Je laisse mes biens à ma soeur non à mon neveu jamais
sera payé le compte du tailleur rien aux pauvres.» Mais le
mourant passa l'arme à gauche avant de pouvoir achever la ponctuation de son
billet. À qui laissait-il sa fortune?
Son neveu décide de la ponctuation suivante : «Je laisse mes biens à ma soeur?
Non! À mon neveu. Jamais sera payé le compte du tailleur. Rien aux pauvres.»
Mais la soeur n'est pas d'accord. Elle ponctuerait le mot de la sorte : «Je laisse mes biens à ma soeur. Non à mon neveu.
Jamais sera payé le compte du tailleur. Rien aux pauvres.»
Le tailleur demande la copie de l'original et ponctue à sa manière :
Je laisse mes biens à ma soeur? Non! À mon neveu? Jamais! Sera payé le compte
du tailleur. Rien aux pauvres.» Là-dessus, les gueux de la ville entrent dans
la maison et s'emparent du billet. Ils proposent leur version :
«Je laisse mes biens à ma soeur ? Non! À mon neveu? Jamais!
Sera payé le compte du tailleur ? Rien. Aux pauvres.» Ainsi
va la vie: elle nous propose une version de l'existence sans point, ni virgule.
C'est à nous de la ponctuer... et c'est cette ponctuation qui fera toute la
différence.
De MONSIEUR Lucien PARDO :
============================
MAURICE BEN FENECH se présente, pour un emploi, de vendeur à la
SAMARITAINE où l'on vend de tout. Le patron lui demande s'il a de l'expérience.
- Si j'ai de l'expérience ? Dans la vente
?Aaiaiaiaiaille, ti me demande çà à moi, Maurice Ben F'nech? J'suis le Roi de
la vente ! Moi, mon cousin il avait
une boutique, j'ai tout vendu. Maintenant il est parti au souleil, tellement
j'l'ai rendu riche... sir la tête de ma mère, y'a pas meilleur vendeur que moi.
"
Le patron, amusé par la situation décide d'essayer
le jeune homme pour la journée. Le soir, il
revient pour voir ce qu'il a bien pu vendre.
- Alors, combien de ventes as-tu fait aujourd'hui ?
- Une seule, sur ma tête Patron, il
est v'nu qu'un client.
- Ce n'est pas très brillant ça, et une vente de
combien ?
- Seulement 100.000 Euros, patron "
- Quoi ? 100.000 ? Tout rond ? Mais...comment ça ?
"
Et Maurice, il raconte :
- Y a un type qu'est v'ni et j'li ai vendu un hameçon. Pis, j'li propose la petite canne à pêche au lancer et
une série de mouches. Et comme j'li dit qu'il peut pas pécher sans être bien
équipé, j'li vends aussi la grande canne avec la ligne et les bouchons et un
moulinet. Sur la tête de ma mère," t'en as jamais vi un comme ça ",
que j'li dis, " ti peux r'monter MobyDick avec ça ". Après, pour pas qu'il ait honte devant les autres
pécheurs, j'li ai vendu l'équipement, les bottes, le ciré et le bob. Parce
qu'avec sa canne toute neuve, s'il a pas l'équipement, y va passer pour un
plouc, hein chef ? Et les clients de Ben F'nech, ils peuvent avoir l'air cons
mais pas l'air plouc. Pis, j'li demande
où il va aller pécher. Imm dit "
sur la côte ". Alors j'li dis qu'il f'rait bien d'acheter un bateau pour
pécher au large, et j'li vends le hors-bord de 12 mètres avec les deux moteurs.
Et j'li demande comment y va emmener son bateau sur la côte. Y savait pas.
Alors, j'li ai vendu la nouvelle Mercedes et une remorque pour tracter le
bateau. Et pis on a fait les comptes. Ca
faisait 101.124 Euros. Alors j'li dis:
"comme t'es un bon client, j'ti fais un prix: 100.000 tout rond, mais ti
paies cash. "
Il a dit
" j'passe à la banque et j'arrive ". Et 1/2 heure après,il est rev'nu
avec l'argent et il a tout pris, patron. Les sous sont là dans la caisse.
"
Le Patron est scié, complètement
ahuri, assis par terre. Il n'en croit pas ses oreilles, il regarde l'argent
dans la caisse et dit
- T'as vendu une Mercedes et le hors bord à un gars
qui venait pour acheter un hameçon ? "
- Heu...ben non, pas vraiment, patron. L'client, y
v'nait pour ach'ter une boîte TAMPAX pour sa femme, alors j'li ai dit : Puisque
ton week-end il est foutu pourquoi
t'irais pas à la pèche"
Le
25/11/2006
*Un homme est à l’hôpital
avec la tête enveloppée d’un énorme pansement. Son infirmière lui dit :
Mon pauvre
Monsieur, votre femme doit vous manquer ?
Et l’homme de
répondre :
D’habitude oui,
mais cette fois-ci elle m’a bien eu !
*Un enfant va à
l’Opéra pour la première fois écouter la TOSCA. Très intéressé et curieux, il
demande à son grand-père qui l’accompagne :
- Qui est le grand Monsieur qui tourne le dos
au public ?
- C’est le chef d’orchestre
- Pourquoi menace-t-il avec son bâton la dame
qui est sur la scène ?
- Il
ne la menace pas !
- Ah bon ! Alors pourquoi
crie-t-elle ?
*Un jour que son
mari est en retard pour rentrer du
travail, son épouse est très nerveuse. Elle en parle à sa mère au
téléphone :
- Je suis sûr qu’il voit une autre
femme ;
- Pourquoi toujours penser au pire ?
Peut-être a-t-il simplement eu un accident !
*Dans une salle d’attente, une
dame d’un âge respectable demande à sa voisine :- -- J’aimerais bien
savoir qui est ce monsieur qui me regarde avec insistance depuis tout à
l’heure ?
- C’est un antiquaire, lui répond
sa voisine.
*- Docteur !
Mon mari affirme que je parle en dormant. Que puis-je faire ?
- Ben…faites
attention à ce que vous dites.
*LE BON
EXEMPLE :
Tu as vu le
voisin ? Tous les matins il embrasse sa femme avant de partir au travail.
Pourquoi tu n’en ferais pas autant ?
- Je veux bien, mais tu sais, je ne la
connais pas très bien.
Le
28/10/2006
On dit que l’Homme est la seule
créature qui marche à quatre pattes après sa naissance, sur deux pattes de l’enfance
à l’âge mûr et sur trois (deux jambes et une canne) à sa vieillesse. Ceci, pour
illustrer son parcours de vie.
Si on considère que la durée de vie
moyenne actuelle, de l’Homme et de la Femme confondus, est de 80 ans, on
constatera qu’il y a trois périodes importantes à partir de leur naissance qui
se résument, grosso modo, ainsi :
Première
période : de 0 à 20 ans.
Deuxième
période : de 20 à 60 ans.
Troisième
période : de 60 à 80 ans.
Durant la Première et la Troisième période,
l’Homme (et la Femme) dépend en grande partie des autres pour survivre. De 0 à
20 ans, il dépend de son entourage pour sa nourriture, son éducation, son
existence physique et sociale. Mais, à la Deuxième période, de 20 à 60 ans, il
devient indépendant et autonome. Grâce à sa personnalité, à ses talents, à ses
désirs profonds et à de nombreux autres facteurs, il peut devenir ANGE (
Dr.Schweitzer, Sœurs Térésa et Emmanuelle, Pasteur,etc.) ou bien DEMON (Hitler,
Eichmann et autres racistes et dictateurs sanguinaires…). Entre les Anges et
les Démons, il y a la foule des capitaines d’industrie, des savants érudits,
des foudres de guerre, des politiciens honnêtes ou véreux, des hommes d’église
et, enfin, de la cohorte des gens ordinaires comme vous et moi.
Puis, voici arrivée la Troisième période de
60 à 80 ans ! Ses forces déclinent et tout fout le camp : sa santé,
ses cheveux, sa vue, son audition, ses dents, etc. Petit à petit, il devient
une charge tant pour les siens que pour la société. Les souffrances physiques
et morales l’assaillent. Il se décrépit tout au long des années jusqu’à
devenir, pour certains, sénile ou grabataire, ou les deux. Quelle déchéance et
quelle pitié pour celui censé avoir été créé à l’image de Dieu !
Alors, certains disent que la vie est mal
faite et qu’il aurait été préférable de naître VIEUX et malade et de mourir
BEBE et en bonne santé. Or, cela n’est pas possible ! Peut-on envisager
des futures maman portant un fœtus de 70 kilos, poids moyen d’un humain ?
Non, ce n’est pas possible !
Mais alors, me direz-vous, où est la
solution ? Moi, je propose aux savants qui s’occupent des recherches sur
les gènes et les chromosomes, sur l’A. D. N. et autres manipulations
génétiques, ceci :
Pourquoi ne pas orienter leurs recherches
en vue de DOUBLER la longévité de l’Homme à partir de 65 ans tout en lui
faisant faire, physiquement, un parcours
inverse de celui qu’il aura eu jusqu’ici ? A partir de 65 ans, l’Homme
aura de nouveau 64 ans, puis 63, 62, 61, 60, etc. Petit à petit, il recouvrira
ses forces. Il retrouvera ses cinq sens. Ses cheveux et ses poils repousseront.
Ses rides s’effaceront et, au fur et à mesure qu’il rajeunira, il redeviendra
créatif, combatif, travailleur, pour son bien et celui de la collectivité.
Il continuera à rajeunir jusqu’à redevenir
un simple spermatozoïde que les savants mettront entre deux lames de verre pour
l’étudier au microscope. Ils classeront ces lames dans une SPERMATOZOITEQUE.
Chaque paire de lames portera une référence qui correspondra à un dossier où sera consigné tout ce qui se
rapporte à ce personnage : nom, date de naissance et celle de sa
réintégration in vitro, professions, qualités et défauts, hérédité, hauts
faits, bons ou mauvais.
Il n’y aura donc plus besoin de cimetières
qui s’étendent à l’infini en envahissant les agglomérations urbaines ou
campagnardes. Il n’y aura plus de caveaux somptueux pour les riches et de
fosses communes pour les pauvres, au grand dam des croque-monsieur et
croque-madame, c'est-à-dire des croque-morts qui n’auront plus rien à croquer
et qui resteront ainsi sur leur faim. Les comptes de la Sécurité Sociale
seront, enfin, positifs.
Et un beau jour, un savant plus intelligent
que les autres découvrira que tous ces spermatozoïdes appartenant à des Rois ou
des Présidents, des riches ou des manants, des génies ou des demeurés, des
blancs ou des noirs, des asiates ou des peaux-rouges, des chrétiens ou des
musulmans, des juifs ou des païens, sont tous de la même couleur et, pour
autant que je le sache, de la même composition chimique c’est-à-dire
rigoureusement identiques les uns aux autres.
Partant de là, il n’y aura aucune raison
valable de les « archiver » pour les distinguer les uns des autres.
Alors, on jettera à la poubelle le contenu de toutes les SPERMATOZOITEQUES et on
réduira les heures de présence des fonctionnaires de santé.
Propos
à Tire-Larigot
D’Albert Pardo
Le
28/09/2006
En 1973, le
système d’échange fixe concernant la parité du dollar et de l’or, établi par
les accords de Brettons Wood de 1944, disparaissait; à la suite de quoi le
cours de l’or se mit à flamber de jour en jour et, autour de moi, je voyais de
nombreuses personnes se mettre à boursicoter à tour de bras. Personnellement,
je ne me suis jamais intéressé à l’or plus que l’achat de mon alliance de
mariage mais j’ai écrit ce poème à la première personne pour ne pas froisser
quiconque car j’ai été témoin des comportements décrits ci-après.
Depuis quelques semaines Depuis que
je boursicote
Le monde de la finance est en folie; Avec ce maudit lingot,
La raison de cette faridondaine Plus rien ne
m’asticote
Est le métal jaune, en lingots ou en louis Et je ne fais plus dodo.
Chacun veut en acquérir Un jour je me suis
dit :
A n’importe quel prix Cela ne plus
durer !
Dans l’espoir de, vite, s’enrichir Je ne vois plus mes
amis
Et faire le nabab à Chamonix. Et je néglige ma
moitié !
Moi aussi, comme tout le monde,
Alors, j’ai vendu mon lingot
J’ai voulu en avoir : Et ne l’ai
plus racheté ;
J’ai
cédé mes prébendes Dans
la poche de mon manteau
Et gratté mes fonds de tiroirs. Un lingot de plomb
l’a remplacé.
J’ai transformé le tout Je l’ai peint
en JAUNE
OR
En un joli petit lingot, Puis je l’ai
bien verni ;
Que je promène avec moi, partout, Je dors bien depuis lors
Par crainte des cambriolos. Et je contente femme et
amis.
Je l’ai revendu et racheté Lorsqu’il m’arrive
parfois
Une bonne dizaine de fois De voir à la télé
Et chaque opération m’a rapporté La cote du métal roi,
Quelques fafiots en extra. Cela me fait rigoler…
Dès que je le revends, Car, si son
prix a baissé,
Je me repens aussitôt ; Je m’en fous
puisque je n’en ai plus !
Alors je le rachète et le reprends Et s’il a bien haussé,
Dans la poche de mon manteau. A mon lingot de plomb
j’applique cetteplus-value.
A peine rentré à la maison, Avec l’argent que j’ai
réalisé
Chaque jour à midi, Je m’achète, toutes
les fins de semaine,
J’allume la télévision Du champagne,
du caviar, du saumon fumé
Après le déjeuner, que j’expédie. Et du homard à l’américaine.
J’attends, le cœur battant, Et puis, de temps à
autre,
Les nouvelles de LA BOURSE ! Je
caresse mon lingot de plomb :
Et me voilà calculant et supputant Il me donne autant de
satisfaction que l’
Pire qu’un mordu des courses ! Sans qu’il m’ait coûté un
rond ! autre
Poèmes
Hétérogènes
Albert
Pardo
Le
25/08/2006
JE VOUS INVITE À MON ENTERREMENT
En allant faire mes emplettes dans mon
quartier, je passe obligatoirement près de l’église. Et là, presque chaque
jour, il y a un enterrement. Selon la ‘’qualité’’ du défunt, il y a plus ou
moins de monde. Parfois, pour un personnage important, la foule déborde de
l’église sur le parvis et sur la grande place, en face. Les couronnes se
comptent, alors, par dizaines. Mais, d’autres fois, il n’y a autour du
corbillard que deux ou trois personnes seulement et, dans ce cas, ni fleurs ni
couronnes. Je me suis demandé dernièrement : QUI y aura-t-il au mien
d’enterrement ? Et, afin d’avoir tout mon monde, je lance cette
invitation. Sera-t-elle suivie d’effet ?
Si cela arrive en été et qu’il fasse beau,
Ne vous laissez pas tenter par la
plage !
Oubliez pour un moment la douceur de l’eau
Et venez me rendre le Dernier
Hommage !
Certes, je ne serai pas là pour vous
accueillir
Mais vous consolerez les miens ;
Cela leur fera grand plaisir
De vous entendre parler de moi, en bien
( ?)
Rappelez-vous tous les bons moments
Que nous avons passé ensemble !
Venez à mon enterrement
Et que l’Amitié vous rassemble !
Si la chose arrive en hiver et qu’il
pleuve,
Je sais que ce serait contraignant.
Je regrette de vous faire endurer cette
épreuve,
Ce serait malgré moi : soyez indulgents !
Mais si cela pouvait vous décider
Souvenez-vous de toutes nos parties de rire
Que nous reprendrons ensemble car…je vous
attendrai
Pour, auprès des Hautes Instances, vous
introduire.
Mais, surtout, ne pleurez pas et point de
vacarme
Pourquoi donc en feriez-vous ?
S’il est vrai que cette terre est une
vallée de larmes
Croyez-moi, je n’en ai pas eu
beaucoup !
Grâce à mes parents, à ma compagne, à mes
enfants
Et puis encore grâce à vous,
Les moments difficiles sont passés
rapidement
Je ne m’en souviens plus du tout.
Je souhaite que, tout comme en Chine,
Vous vous habilliez, tous, de blanc
Et, comme le font les Noirs de la Caroline,
Qu’il y ait du jazz, des rires et des
chansons.
Et, surtout, n’oubliez pas
De déboucher les bouteilles,
De boire à mon souvenir maintes et maintes
fois ;
Là où je serais je ferais, pour vous,
pareil…
Lorsque votre tour viendra,
Sur mon beau nuage blanc vous me
rejoindrez ;
Je peux vous assurer que, tout près de moi,
Votre place sera réservée.
Nous ferons bombance comme auparavant,
Les Anges nous feront de la musique ;
Nous danserons jusqu’à épuisement
Et quant à la Grande Faucheuse, nous lui
ferons la nique !
Il paraît qu’au Paradis
La vie est éternelle…
Comme on n’y souffre d’aucune maladie
Nous ferons les Polichinelles.
Allons, soyez gentils, ne tardez pas
Je risque de m’ennuyer sans vous !
HOP ! HOP ! HOP ! sautez le
pas
Nous nous amuserons comme des fous
Albert Pardo
Poèmes
Hétérogènes
Le
30/06/2006
Reçu de Madame Sylvana PARDO :
Une
femme se promène sur une plage et bute sur une vieille lampe. Elle se penche
pour la prendre, la frotte et paf ! Un génie apparaît.
La femme, étonnée, lui demande alors si elle pourra faire les trois voeux
Classiques.
Non, répond le génie, accorder trois voeux, en ces temps-ci, c'est très, très
difficile ; il y a l'inflation, le chômage qui n'arrête pas de croître, les salaires minables, la situation
politique, le prix élevé du pétrole ; donc, tout ce que je pourrai concéder, ce
sera un seul et unique Voeu. Alors dis moi,que désires tu ?
La femme répond : La paix au Moyen Orient.
Quoi ? dit le génie, ébahi.
Tu vois cette carte, dit la femme, bon, ben je veux que dans ces Pays-là, les
gens arrêtent de se taper dessus à tout bout de champ.
Le génie regarde la carte et dit : Mais ça fait des lustres qu'il y a la guerre
là-bas. Je fais du bon boulot, mais quand même .. Pas au point de pouvoir
exaucer ce genre de voeu. Demande moi quelque chose de plus simple.
La femme réfléchit un instant et déclare : D'accord ! Pour être honnête, je
n'ai jamais réussi à trouver l'homme idéal. Alors je veux un homme qui soit
beau, fort, cultivé, intelligent, attentionné et drôle, qui aime cuisiner et
faire le ménage, qui soit une bête au lit, qui s'entende avec ma famille, qui
ne passe pas toute la journée à regarder du sport à la télé et qui me soit
fidèle à vie.
Le
génie laisse échapper un profond soupir : Allez, redonne moi cette carte du
Moyen Orient...
TON AGE AVEC DES MATHS CHOCOLATEES
NE TRICHE PAS ET NE VA
PAS DIRECTEMENT A LA FIN !
Cela va te prendre moins d’une minute.
Fais les calculs au fur et à mesure que tu lis le texte ...
Fais en sorte de ne pas lire la fin tant que tu n’as pas fini les calculs !
Tu ne vas pas perdre ton temps. Tu vas t’amuser.
1. Combien de fois par semaine aimes-tu manger du chocolat ? (le chiffre doit
être supérieur à 0 et inférieur à 10)
2. Multiplie ce chiffre par 2 (pour que ce soit un nombre pair)
3. Ajoute 5
4. Multiplie le résultat par 50 (je vais attendre que tu mettes en marche la
calculette)
5. Si tu as déjà fêté ton anniversaire en 2006
ajoute 1756. Si tu n’as pas encore fêté
ton anniversaire cette année ajoute 1755.
6 Maintenant retranche l’année de ta naissance (nombre de quatre chiffres).
Le résultat est un nombre de trois chiffres. Le premier chiffre est le nombre
de fois que tu aimes manger du chocolat par semaine.
Les deux chiffres suivants correspondent à . . .
TON AGE !! (ouiiiiiii !!! Ton âge !!!)
2006 EST LA SEULE ANNEE,JUSQU'A LA FIN DES TEMPS, POUR LAQUELLE CELA
MARCHE. ENVOIS CECI A TES AMIS TANT QUE
CELA FONCTIONNE.
Le
25/05/2006
Le
radioréveil se déclencha à 6h.55’. Aussitôt, la voix charmeuse de la speakerine
se mit à égrener les prévisions pour chacun des signes du Zodiaque.
Je ne fais pas attention, d’habitude, à ces
prédictions surtout que je suis imperméable à tout ce qui est recherches sur
l Avenir mais, à l’énoncé de mon signe zodiacal, j’ai prêté
instinctivement l’oreille ; voici ce que disait la Voix :
TRAVAIL :
Les résultats sont très positifs. Plus vous exprimerez vos désirs, plus vous
aurez une chance de les voir exaucer.
A
M O U R : Vous n’osez pas être vous-même face à votre partenaire. Ne
gâchez pas votre aventure actuelle en confondant présent et passé.
FINANCES :
Vous consommez plus que de raison, comme si vous vouliez combler un vide
intérieur (!). Une heureuse surprise financière vous attend.
SIGNE
AMI : Le Capricorne peut être un bon guide pour vous.
NOTRE
CONSEIL : Accordez-vous parfois le droit à l’erreur.
J’ai
noté au fur et à mesure et j’ai relu tout cela plusieurs fois. Après quoi, j’ai
classé ces prévisions dans un ordre chronologique de réalisation.
J’ai
d’abord écarté le « TRAVAIL ». Etant en retraite, cette question ne
s’adaptait pas à mon cas et j’ai passé outre.
Après
m’être rasé et débarbouillé, je me suis rendu à la cuisine pour le petit
déjeuner. Afin de me conformer à la prévision « AMOUR », j ‘ai
accompagné mon baiser matinal à ma douce moitié d’un geste affectueux appuyé
qui m’attira cette remarque dite sur un ton dépourvu de toute acrimonie :
« Tu vas commencer de bon matin ? …va plutôt faire les commissions »
ce qui brisa net mon élan. Il faut vous dire que nous venons de célébrer nos
Noces d’Or et que, au fil des années, le « Présent et le Passé »
signalés par l’Horoscope se confondaient par la force des choses, pour notre
plus grand bonheur.
Cette
étape franchie, sans sa réalisation, j’ai attaqué la question FINANCES. J’ai
signifié à mon épouse que nous allions cesser toute dépense durant les 15
prochains jours. Elle me tendit une longue liste d’emplettes à faire et elle me
dit d’un ton péremptoire : « Prends ton caddie et apporte-moi tout
çà ! Tu oublies que tu as invité nos amis à dîner et que nous serons ce
soir 15 à table ? Ah ! j’oubliais, ajoute sur la liste deux
bouteilles de whisky car il n’en reste guère ! »
Je
me suis dit que puisque « UNE HEUREUSE SURPRISE FINANCIERE » m’attend
aujourd’hui, je pouvais bien faire ces dépenses le cœur léger. En fait, à mon
retour des commissions, j’ai trouvé une lettre de ma banque m’informant que les
10 obligations P.T.T.12% cotées encore cette semaine à 2435 francs l’une,
venaient d’être tirées au sort pour amortissement et me seront remboursées au
nominal de 2000 francs pièce, soit une perte de 4350 francs !
J’ai
pensé que PLAIE D’ARGENT N’EST PAS MORTELLE et que, en compensation, rien ne
vaut l’AMITIE !
J’ai
commencé donc à chercher parmi mes relations un Capricorne puisqu’il devait
être, d’après l’Horoscope, un BON GUIDE pour moi.
J’ai
téléphoné à un ami proche affublé de ce Signe et, dès qu’il entendit ma voix,
il me dit que, justement, il avait besoin de moi d’urgence pour que je le
réconcilie avec sa femme car elle voulait le quitter à la suite d’un grave
malentendu !
J’ai
découvert alors l’à propos du Conseil donné : « accordez-vous parfois
le droit à l’erreur » et je me suis dit que TOUT était donc POUR LE MIEUX,
DANS LE MEILLEUR DES MONDES….
P.S.
J’ai retardé mon radioréveil de dix minutes et, depuis, il sonne APRES les
prédictions de l’Astrologue de service.
Propos
A Tire-Larigot
Albert Pardo
Le
25/04/2006
De
Madame Lily Khodara :
Origine de la barre du chiffre sept ! 7
Encore aujourd'hui, de nombreuses
personnes,
en écrivant le chiffre 7 utilisent
une barre supplémentaire horizontale au milieu du chiffre.
La plupart des typographies l'ont fait disparaître aujourd'hui
Mais savez-vous pourquoi cette barre a
survécu jusqu'à nos jours ?
Il faut remonter bien loin, aux temps bibliques :
Lorsque
Moïse eut gravi le mont Sinaï,
et que les 10 commandements lui furent dictés,
il redescendit vers son peuple et leur lut,
à haute et forte voix, chaque commandement.
Arrivé
au septième
commandement, il
annonça :
« Tu ne commettras point
d'adultère.
Tu ne désireras pas la femme de ton prochain »
Et là... de nombreuses voix s'élevèrent parmi
le peuple lui criant :
"Barre le sept, barre le sept,
barre le sept !!!"
Et
voilà… l'origine de la barre du sept !
Le
25/03/2006
J’ai longtemps
hésité à mettre cet article dans la Rubrique HUMOUR, craignant de scandaliser qui que ce soit. Alors
j’ai demandé l’avis de quelques
amis Lecteurs qui m’ont affirmé que, en comparaison de ce qui se dit
et se voit à la Télé, c’est de la « roupie de
sansonnet ». Je me jette donc à l’eau en attendant
vos réactions.
L’autre soir, à la télé, à l’émission
CAPITAL de la sixième chaîne, on nous a montré le cas d’un restaurateur qui désirait vendre son Etablissement à 1500000
francs. N’ayant pas trouvé d’acquéreur, il eut une idée géniale : il fit imprimer 6000 billets de
loterie à 250 francs l’un et les proposa par voie publicitaire. L’affaire eut un succès retentissant. Il
reçut des chèques de
partout ; un grand nombre de France et beaucoup d’Allemagne,
d’Angleterre, du Canada, des
Etats-Unis et même d’Australie. Ils nous ont montré ces chèques à la télé, il y en avait des piles ! Un autre
monsieur vendit sa résidence secondaire de la même manière.
L’idée m’a emballé et je me suis demandé
si je ne pouvais pas organiser une loterie similaire ? Mais que pouvais-je bien offrir qui puisse
intéresser un grand nombre de gens ? Je n’avais ni fonds de
commerce ni résidence
secondaire ! Même pas des meubles en trop ni argenterie
supplémentaire ! Je suis alors descendu dans ma cave pour fouiller un peu.
Il arrive parfois qu’on y trouve un tableau de maître recouvert de poussière ou bien encore une antiquité oubliée, d’une
grande valeur.
Après
une heure de recherches, je n’ai rien trouvé de valable. Et puis, tout
à coup, une idée
lumineuse : pourquoi ne mettrais-je pas en loterie ma zigounette ? Vu
le nombre important de dames seules en France, du diable s’il ne
s’en trouverait pas quelques dizaines
intéressées à la chose !
J’ai consulté aussitôt les Pages Jaunes de l’Annuaire
du téléphone pour trouver un
Expert qui puisse évaluer l’objet de la vente. Il y avait des Experts dans tous les domaines, même
en Antiquités, mais pas en zigounettes !
Alors,
j’ai
fait une estimation en mon âme et conscience et j’ai trouvé qu’à 50 francs le billet de loterie pour 200 billets,
soit au total 10000 francs, ce n’était pas mettre quiconque dedans. Et j’ai
envoyé cette annonce à plusieurs journaux
et revues :
Monsieur,
retraité, d’un
âge certain,
vend
en loterie, à 50 francs le billet,
zigounette
usagée mais en état de marche
pour
peu qu’on en
prenne soin, avec sa
garde-robe
complète miniature, à savoir :
Un
chapeau haut-de-forme gris perle,
un
nœud
papillon assorti, un foulard,
un
monocle, une houppelande pour les
soirées
d’hiver,
deux rubans rouge, deux
béquilles
et trois décorations ainsi qu’un
flacon
de potion pour la toux avec sa
vignette.
Envoyez chèque à Maître
TARTEMPION,
Huissier de Justice,
qui
procèdera au Tirage.
Propos à Tire-Larigot
Albert Pardo
Le
28/02/2006
OH ! QU’IL EST
BEAU MON SQUELETTE
Mon
médecin m’ausculta consciencieusement et me dit : Il faudra faire des radios et voir un rhumatologue. Il me remit une
lettre pour ce dernier et une ordonnance pour le centre de radiologie.
Là-bas,
une charmante personne s’occupa de moi avec gentillesse, délicatesse et attention comme le mérite
quelqu’un de mon âge. Elle me mit face à l’appareil, bien serré, puis : RESPIREZ ! NE
RESPIREZ PLUS ! clac,
RESPIREZ ! La même chose de profil, puis à droite, à gauche, de
côté ; RESPIREZ ! NE RESPIREZ PLUS ! clac, etc.
Au
douzième cliché, je commençais à me prendre pour un mannequin de chez SMALTO,
le célèbre Couturier pour Hommes ! Je posais !
Elle
me dit, toujours gentiment : Décontractez-vous ! Serrez les
coudes ! Les genoux joints ! Enfin, après 23 clichés (pauvre Sécurité
Sociale ! Il n’est pas étonnant qu’elle soit en faillite), elle me quitta, me disant de ne pas me rhabiller, qu’elle
reviendrait dans deux minutes parce
qu’elle
irait voir si tout était réussi car, autrement, il faudrait recommencer les clichés ratés.
La
chambre était froide. Je ne portais que mon slip et mon tricot de corps. Un
quart d’heure plus tard, mes dents claquaient comme des castagnettes.
Enfin, elle revint et me dit
que tout était en ordre. Après m’être rhabillé, j’attendis les clichés et le rapport puis je rentrais chez
moi, lesté d’une grande
enveloppe lourdement chargée.
Le
soir venu, dans mon bureau, la curiosité me fit ouvrir l’enveloppe
et je regardais les clichés un
à un par transparence entre l’ampoule électrique et mes yeux. Quelles merveilles !
Le
premier cliché représentait en clair-obscur et, par endroits en des tons
fondus, un paysage à vous couper le souffle ! J’y ai
reconnu tout de suite la
descente du Nil entre Assouan et Louxor par un bateau de luxe 5*****. J’arrivais même à déchiffrer son nom à bâbord
(difficilement il est vrai), le TOUT ANKH AMON. Des felouques l’entouraient
de toutes parts avec leur voile
typique. Au loin, une barque approchait et la brise m’apportait
les accents de la chanson
mélopée des bateliers du Nil :
El bahhr kébir, ya rayess La mer est
vaste, ô Raïs
El moga aouéyyah, ya rayess La vague est forte, ô
Raïs
Aadda -l bahhareya, ya rayess Il a traversé les mers, ô
Raïs
Etc. etc. Etc. etc.
Nostalgie !
Nostalgie ! ….
Le
second cliché représentait le Mont Everest. Je remarquais une cordée grimpant
le long d’une crête. Malheur !
le YETI, l’Abominable Homme des Neiges attendait les sherpas, caché derrière un rocher pour leur
faire, vraisemblablement, un mauvais parti. En réchapperont-ils ?
Le
troisième cliché était presque vide. Avec beaucoup d’attention
et un peu d’imagination,
j’y voyais tout à coup le crâne de l’Homme de Néandertal et celui de Lucie, la dernière découverte de
ce savant paléontologue qui s’appelle…heu…son nom me reviendra sûrement plus tard. (N’est-ce pas
Yves Coppens ?) Ces deux crânes, face à face, avaient l’air
de se concerter avec une complicité intime. Je déposais le cliché sur les deux autres, doucement et avec
discrétion pour ne pas déranger ces augustes personnages.
Quatrième
cliché : le Bosphore dans toute sa splendeur ! Voici le Pont de
Galata. Ici, la Mosquée Bleue. Là le quartier de Pera. Le bruit, les odeurs m’envahissent ! Le Palais de Topkapi….
Cinquième
cliché : EPHESE ! Quelle merveille ! Son allée dallée de marbre
blanc avec, de droite et de gauche, les villas de la noblesse patricienne. En
face, la fameuse Bibliothèque de Celsus. A droite, l’immense
amphithéâtre antique à
gradins. Plus loin, bien que du Temple d’Artémis, l’une des Sept Merveilles du Monde, il ne restât
qu’une
seule et unique colonne, moi j’y
découvris le célèbre édifice intact, tel qu’il a dû être à sa
création. De plus, en bas et à
gauche, j’y découvris
la colonne Pompée qui se trouve sur la Corniche d’Alexandrie, en Egypte. Comment est-elle venue
là ? Mystère… Au petit
matin, je remis tous les clichés dans l’enveloppe. Mes yeux papillotaient et je n’arrivais même plus à lire le rapport
accompagnant les radios.
Le
lendemain, je me rendis chez le rhumatologue à l’heure dite. Sur sa
demande, je m’étendis
sur un châlit capitonné et il commença à me manipuler. Il prit l’un de mes bras et, mettant sa main sous mon
coude, il le plia. Le coude fit : CHCHCH ! vous savez, comme un fort
chuchotement ; un chuchotement prononcé (c’est le cas où jamais de
le dire). Il fit de même avec mon autre bras. Là, l’autre
coude fit : RHRHRH !
…
comme le mistral s’engouffrant dans une caverne. Il avait un air saisi ! Il recommença :
CHCHCH…RHRHRH…CHCHCH…Il en prit son parti et attrapa l’une de mes jambes.
Posant l’autre main sur mon genou, il le
plia : KHKHKH ! …
Là,
je suis obligé de faire une digression autrement vous ne comprendrez pas. Quand
je dis KHKHKH, un allemand ou un ressortissant des pays du Moyen-Orient
pourrait répéter ce son correctement car ils l’ont dans leur
phonétique. Mais un français
dirait : K K K . Or, ce n’est pas KKK mais KHKHKH ! En effet, combien de fois n’ai-je
pas entendu au poste les présentateurs dire KOMENI ci, KOMENI ça, oubliant que, entre le K et le O il y a
un H ce qui transforme totalement ce vocable. Si vous voulez le prononcer
correctement, faites ceci : imaginez que vous êtes au Sahara et qu’il y
ait un vent de sable qu’on appelle KHAMSINE (et non pas KAMSINE). Il vous pénètre par le nez et par la bouche
et votre gorge est en feu ; que feriez-vous pour ne pas suffoquer ?
vous feriez : KHKHKH et puis :
TFOU, vous cracheriez ! Voilà, vous avez attrapé ce vocable correctement
prononcé. Mais revenons à mes genoux.
Le
praticien reposa respectueusement ma jambe et attrapa l’autre
pour faire de même. Le second
genou fit un bruit de cliquet. Il recommença. Le genou refit CLIC-CLIC-CLIC…Il
avait l’air malheureux qui me fit de
la peine. Enfin, il se mit derrière moi et attrapa ma tête. Il l’a fit
pivoter doucement à
droite : à 35 degrés, elle fit CRAC-CRAC puis…plus
rien ! A 35 ° degrés à
gauche, elle fit rapidement : CRIC-CRIC-CRIC. Je levais les yeux en
pointant mon menton vers lui et remarquais son air perplexe. Je vous avoue que
je commençais moi-même à être très intrigué ! Pourquoi trois CRIC à gauche
et seulement deux CRAC à droite ?
Tout
à coup, il eut un comportement étrange : il se mit à manipuler tour à tour
chacun de mes membres mais en désordre ; le cabinet résonnait de
CRIC.CRIC.CRIC., KHKHKH, CHCHCH, CRAC.CRAC., RHRHRH, CLIC.CLIC.CLIC. On aurait
dit l’orchestre
de percussions de Strasbourg.
Quand
il en eut assez, il me dit de me rhabiller. Je le suivis dans son bureau où il
regardait les radios sur un écran lumineux.
Au
premier cliché, il fit : HO ! HO !
Au
second……………. HA !
HA !
Au
troisième…………...HE !
HE !
Tout
cela d’un air gourmand. Au début, je croyais qu’il était subjugué et enthousiasmé par les jolies vues que j’avais
eu la veille, à l’examen des
clichés. Mais lorsque, au dixième, il commença à dire d’un
air catastrophé : Eh
ben ! Eh ben ! et autres onomatopées apitoyées, j’ai
compris l’étendue des dommages occasionnés par les rhumatismes dans mon squelette et je lui ai demandé d’une
voix faible :
-
Docteur !
Il ne m’entendit pas. Je répétais plus fort :
-
Docteur !
s’il
vous plaît ? Il était
plongé dans ses contemplations. Alors je criais presque :
-
Dites-moi,
Docteur, s’il vous plaît ?
Il émergea et me dit, encore absorbé :
-
Quoi ?
quoi ?
-
C’est
donc pour bientôt ?
-
Qu’est-ce
que c’est ?
-
Vais-je
mourir aujourd’hui ou aurais-je encore quelques jours ? Vous avez l’air
si catastrophé !
Alors,
il se ressaisit et me dit en riant :
- Non, non, soyez tranquille .
Au contraire, les statistiques prouvent que les rhumatisants vivent en moyenne
plus longtemps que les autres.
Je
n’ai
pas voulu gâcher son euphorie en ajoutant :
-
Oui, mais
dans un fauteuil roulant !
Et
je me consolais en pensant aux beaux paysages dévoilés par les radios de mon
squelette.
Cela
me rappelle l’histoire de ce médecin qui disait à son patient : Vous avez de l’hypertension
mais cela ne m’inquiète pas. Vous avez aussi du diabète et du cholestérol mais cela ne m’inquiète
pas. Et ainsi de suite. A la fin, énervé,
le client lui dit : Vous savez Docteur ? si vous aussi vous aviez de
l’hypertension,
du diabète, de l’urémie, etc. cela ne m’inquièterait pas non plus !
Mais
ces clichés me remirent en mémoire ceci : Quant j’étais
encore un marmot, un vendeur
ambulant de jouets passait par notre rue et portait des petits squelettes en bois
de sa fabrication. Il tirait sur une ficelle et les quatre membres du jouet
tressautaient tous en même temps. Ma mère n’a jamais voulu m’en acheter disant que c’était un jouet
morbide. Voulant me rattraper
rétrospectivement, j’ai pris dans mon tiroir un bout de forte ficelle en nylon, j’y fis un nœud coulant que je passais
autour de mon cou et je l’accrochais à
l’espagnolette
de la fenêtre après en avoir entouré mes deux mains et mes deux pieds. Ensuite, j’ai
hélé ma douce moitié. Elle vint de la cuisine tenant
dans une main un couteau et, dans l’autre, une poignée de haricots verts. Je
lui ai tendu la ficelle et lui ai
dit de tirer fort ce qui me permettrait de gesticuler avec mes quatre membres
en même temps comme le squelette de mon enfance. Elle me regarda d’un
air furieux et quitta la pièce
en marmonnant entre ses dents des mots pas gentils à l’adresse
des personnes qui ne veulent pas vieillir. Je me suis dit que, sans doute, le tas de haricots à éplucher
devait être respectable.
Et
je me suis remis à rêver à mon si beau squelette…..
PROPOS A TIRE-LARIGOT
d’albert
pardo
Le
21/01/2006
Etes-vous un adepte de l’automédication ? Vous savez, ces médicaments vendus
en pharmacie sans ordonnance ?
Je m’en été gardé jusqu’ici, me contentant de ceux que me prescrivait mon médecin
pour mes rhumatismes et autres petits maux dus à l’âge.
Mais, depuis un certain temps, il y a un battage médiatique important dans tous les médias :
radio, télé, journaux, etc. pour tel ou tel produit miracle. Ainsi, par
exemple, pour le GINSENG ! Cet été, toutes les pharmacies de France et de
Navarre avaient leurs vitrines envahies de publicités pour ce produit. Il y en
avait même dans les magasins de régime, les Offices de Tourisme et les Stations
Thermales !
Devant cette avalanche d’incitations
à utiliser tel médicament pour
telle carence ou déficience, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai
acheté plusieurs produits, comme :
MAGNESIUM,
pour la fatigue.
VITAMINE
E., pour le vieillissement.
VITAMINE
C., pour la défense de l’organisme.
VITAMINE
A., pour la peau.
GELULES
DE CASSIS, pour l’arthrose.
GELULE
DE REINES-DES-PRES, pour les maux de tête.
GELULES
DE GENSING, pour la bagatelle.
GELULES
DE GELEE ROYALE, comme reconstituant.
GELULES
DE CHROME, pour prévenir le diabète.
DU
CALCIUM, pour les os.
DES
COMPRIMES contre la FLATULENCE.
DES
AMPOULES pour la CIRCULATION SANGUINE.
DES
GOUTTES pour les JAMBES LOURDES.
UNE
EAU MINERALE spéciale pour l’EXCES DE POIDS.
UNE
CONFITURE VEGETALE pour ALLER AUX TOILETTES.
Je me suis limité à une quinzaine de
produits, pour commencer, en vue de les
tester avant de pousser mes essais plus loin. Quand j’ai
déballé mes emplettes, à la maison,
j’ai
failli m’évanouir ! :
Comment allais-je ingurgiter tous ces produits ? Il fallait de l’eau ! BEAUCOUP d’eau ! C’était impossible ! J’ai
étudié le problème longuement et j’ai trouvé la solution.
J’ai d’abord vidé, dans mon mortier de cuisine, TOUS les comprimés, gélules,
pilules et tous les médicaments solides que j’ai réduit en poudre. J’ai transvasé le tout dans une grande
casserole dans laquelle j’ai
versé, par dessus, le contenu des flacons, ampoules, la confiture laxative, etc. J’ai
mélangé le tout et j’y ai incorporé :
6
cuillerées à soupe de farine, pour la consistance.
1
cuillerée à café de Maïzena, pour le liant.
1
petit pot de miel, pour le goût.
1
petit pot de crème fraîche, pour l’onctuosité.
1
pincée de cannelle en poudre, pour la fantaisie.
200
grammes de fruits secs, pour le croquant.
Après quoi, j’ai mélangé encore et encore et j’ai posé la casserole sur
un feu doux durant un quart d’heure. (Non, soyez tranquilles, ça n’a pas explosé).
J’ai enduit une plaque du four avec un peu de beurre, sur laquelle j’ai
versé la mixture en l’étalant en une couche uniforme d’un centimètre d’épaisseur. Avant qu’elle ne refroidisse complètement, j’y ai
découpé très régulièrement, des tablettes de trois cm. sur deux. Le soir venu, après dîner, j’ai
croqué deux de ces tablettes malgré les efforts de ma femme pour
m’en
dissuader. Le goût n’était pas
mauvais, non, mais plutôt bizarre. Sur ce, j’ai été au lit.
QUINZE
JOURS PLUS TARD.
Entendu à toutes les radios périphériques,
le communiqué suivant :
Nous avons reçu par la voie des airs, ce
message de notre concitoyen A.P. que
nous communiquons aux personnes intéressées.
Chers
Amis,
Je vous remercie beaucoup d’avoir
pris la peine d’assister
à mon enterrement. A mon arrivée ici, on m’a octroyé une villa de dix pièces avec piscine, jardin,
arrosage automatique, terrain de tennis et deux anges à mon service exclusif.
Grâce à ma mixture cocktail de
médicaments sans ordonnance, j’ai rajeuni de 50 ans. Je passe mon temps très agréablement. Quand je ne
suis pas en train de battre le carton avec mes amis au bar, de parcourir les 18
trous du golf ou de faire mon footing quotidien, je me trouve au champ de
courses pour parier sur les chevaux. L’ennui est que je gagne beaucoup d’argent
et que je ne sais pas quoi en
faire car, ici, tout est gratuit et il n’y a pas de banque pour y déposer l’argent. En deux semaines, j’en ai
déjà rempli deux chambres jusqu’au
plafond !
Si vous voulez me rejoindre, rien de plus
facile : composez ma recette médicamenteuse et croquez deux ou trois
tablettes. C’est RADICAL !
Mais si vous préférez rester sur Terre encore quelque temps, alors un
conseil : N’ACHETEZ AUCUN MEDICAMENT VENDU SANS ORDONNANCE.
Affectueusement
Votre Ami
A.P.
PROPOS A
TIRE-LARIGOT
d’Albert Pardo
Le
26/11/2005
L’ordinateur est-il une machine pensante ? Moi, j’en
suis convaincu ! Avant de
vous moquer de moi, oyez plutôt !
Il
y a une dizaine d’années, l’on m’a fait cadeau d’un ordinateur portable. Pas plus grand qu’une
petite valise, il comportait un couvercle et on pouvait le transporter et s’en
servir partout. Mais comment l’utiliser ?
Vous connaissez les jeunes, surtout ceux d’aujourd’hui ! Pour eux, toutes les nouvelles
machines ne sont que jeux d’enfants. Mais pour nous, ceux de l’ancienne génération, il nous est difficile de nous y faire. Alors, j’ai demandé des explications à mon petit-fils
âgé de 14 ans à l’époque. Il m’a dit
ceci : « Pépé, ce n’est pas difficile ! Tu vois, tu n’as
qu’à faire comme ça :
tac, tac, tac, tac, tac, tac puis comme ci : tic, tic, tic, tic, tic, tic
et, enfin, touc, touc, touc, touc, touc, touc et le tour est joué !
Au
fur et à mesure qu’il procédait je regardais, émerveillé, le résultat. C’était époustouflant ! Mais il avait fait si
vite que je n’avais rien compris et
le priais de recommencer mais plus lentement ; il recommença : tac,
tac, tac, tic, tic, tic, touc, touc, touc….. Je n’avais toujours pas compris et au moment de lui dire de recommencer, j’ai lu
dans ses yeux un étonnement si
grand devant mon imperméabilité à assimiler le langage « ordinateur »
que j’en
ai eu honte et l’ai aussitôt assuré que j’avais bien compris et que je
m’entraînerai plus tard, à tête reposée,
après son départ.
En
effet, le manuel devant les yeux, je commençais à essayer d’apprendre.
Ce fut difficile, très
difficile ! Mais, petit à petit j’arrivais, cahin caha, à assimiler quelques termes et à effectuer
quelques manœuvres. Vous ne pouvez
imaginer le bonheur de voir apparaître sous vos yeux, ce que votre imagination
a élaboré et ce, grâce à vos dix doigts tapant sur le clavier !
Cependant, il ne suffisait pas de taper le
texte; il fallait aussi le positionner,
le sélectionner puis l’imprimer, après une série de manipulations
bien précises. Ce n’est
rien du tout lorsqu’on en a l’habitude mais, au départ, c’est la croix et la bannière ! Combien de
fois n’ai-je pas vu le travail de plusieurs heures disparaître de
l’écran par suite d’une
fausse manoeuvre ?
Une
fois, furieux de voir mes efforts
réduits à néant, je n’ai pu m’empêcher d’insulter
l’ordinateur en lui criant
« SALAUD » ! Que pensez-vous qu’il fit ? J ‘ai vu
apparaître à l’écran cette
phrase : « Va te faire cuire un œuf »
et, en même temps, j’ai vu le
visage de l’Ordinateur, oui, oui, le visage d’un genre de gnome QUI ME FAISAIT LA
NIQUE ! ! ! Avec des yeux méchants…mais méchants….De fureur, j’ai fait
comme Khrouchtchev à l’O.N.U. :
j’ai
retiré l‘une
de mes chaussures et, au moment de l’asséner sur l’Ordinateur, j’ai repris mon sang-froid et l’un
des dictons de mon enfance m’est venu à
l’esprit : DOUCEUR VAUT MIEUX QUE VIOLENCE.
Alors,
j’ai
éteint l’appareil, je l’ai refermé doucement et avant de m’en
aller, j’ai mis sur le couvercle un bonbon praliné. Je sais que vous ne me croirez pas mais je
vais vous le dire quand même : le lendemain, le bonbon avait disparu et,
par la suite, nous sommes devenus les
meilleurs amis du monde ! Depuis lors, chaque fois que j’ai un
problème avec mon Ordinateur,
je lui laisse un bonbon et, à la reprise, tout se déroule comme du papier à
musique !
PROPOS A TIRE-LARIGOT
d’Albert
Pardo
Le
14/10/2005
Mais ne sait comment m’y
prendre…
C’est un sujet épineux
Qui risque de vous surprendre.
Au moment de me jeter à l’eau
J’hésite
encore un peu…
Je me sens comme un godelureau
Un tantinet prétentieux !
A vous dire la vérité
Je n’en suis pas responsable,
A vous aussi cela pourrait arriver
Et vous ne seriez pas coupable.
Voici de quoi il s’agit :
Mon Dieu ! Comment le dire ?
C’est
une affaire de lit
Comment allez-vous réagir ?
Ne me jetez pas la pierre
C’est arrivé malgré moi !
Il est vrai que c’est
un adultère
Et je me sens en plein désarroi !
C’est que, depuis plusieurs années,
Une maîtresse s’est
imposée à moi :
Chaque nuit elle vient me visiter
Et nous formons un ménage à trois.
Au début, ma femme s’est
révoltée
Et ne voulait rien entendre.
Puis, petit à petit, elle s’est résignée
Pour ne pas déclencher un esclandre.
Alors, toutes les nuits,
Cette dame se glisse entre nous
Et, dès que je m’assoupis
Elle me susurre des mots doux…
Elle me parle des Iles, de Tahiti,
De plages de sable fin, de lagons bleus,
De perroquets, d’oiseaux
du Paradis,
De fleurs exotiques aux parfums capiteux…
Elle me raconte des choses tendres
Ou me dévoile des sujets cochons !
Les premiers m’aident
à me détendre
Les seconds, me font monter le rouge au
front.
Lorsque, de fatigue, je roupille
Et que je me mets à ronfler
Elle me griffe, mes oreilles elle mordille
Pour me tenir éveillé.
Parfois, ma femme proteste
Quand nous faisons trop de tintouin
Après quoi, de la parole et du geste
Elle nous dit de dégager le terrain.
Nous quittons alors la chambre
Et nous allons au bureau
Où nous restons ensemble
Jusqu’au matin nouveau.
Durant toute cette veille
Elle me fait travailler,
Me houspille, me presse, me surveille
Pour m’empêcher de pioncer.
Le résultat est là sous vos yeux :
Ce n’est qu’un échantillon
Parfois, il est tiré par les cheveux
Et d’autres fois, fringuant.
A propos, vous ai-je dit son nom ?
Elle s’appelle POLYMNIE.*
C’est
ma Muse des bons moments
Elle est ma meilleure amie.
POEMES HETEROGENES
d’Albert Pardo
*
Polymnie : Muse de la poésie lyrique
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