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LE  COIN  DE  L’HUMOUR

 

Aout 2009

LE GOUTEUR – Joe Rossano

AVIZ - RIPASSAUR DI LOUXE - Madame Lila LEVY

LES AVANTAGES D'AVOIR 50 ANS OU 60 ANS ALLANT VERS LES 70 - Lily KHODARA

Juin 2009

À CEUX QUI AIMENT LA LANGUE FRANÇAISE...! - Alain PEREZ et Nabil SACCAL :

A MEDITER : COMMENT SONT LES HOMMES  - Erella AZRIEL et BENGHIAT-MUSTACCHI Esther (Booguy)

PETITES ANNONCES - Clément DASSA

Avril 2009

BELLE PENSEE – Lucie CALAMARO

DEUX BLAGUES

Le 31/12/2008

PETITE BLAGUE POUR RESTER EN FORME - Patricia  Esther TOUBIANA

UNE  NOUVELLE PATHOLOGIE : L'HELLEPARTHIE - Clément DASSA :

Le 31/10/2008

DEUX BLAGUES - ETTY DIDAY :

Le 31/08/2008

ANNONCES - Clément DASSA 

Le 30/06/2008

L’EPICIER GREC ET LES BARBARINS Albert PARDO

Le 30/04/2008

Les perles des mairies - Julie & Roger NADA

Le 29/02/2008

La revolte de OM SAYED Magdi MORCOS

DeviennetteAlbert PARDO

Le 31/12/2007

The New Oxford Dictionary's latest definition of the following words - Odette BEHAR

LAUGH A LITTLE EVERY DAY.... - Erella AZRIEL

CONSEIL D’AMI - Sylvana PARDO

Le 31/10/2007

BLAGUE DU JOUR - Patricia TOUBIANA 

Hospital Chart Bloopers - Clemy PINTO :

LA VALEUR DES AINES  (50 ans et plus) - Erella AZRIEL 

Le 31/08/2007

COMME IL ETAIT CHARMANT... - De Madame Racheline BOTTON

5 préceptes de sagesse chinoise, destinés aux femmes - De  Madame Lily KHODARA :

Toujours la Sagesse Chinoise - De Monsieur Clément DASSA

Le 30/06/2007

C´EST LE 1ER. MAI : SOURIONS … - Clément DASSA 

TROIS BLAGUES - Sylvana PARDO 

EUTHANASIE - Erella AZRIEL

LA BLAGUE DU WEEK END - Esther DIDAY 

ARE THERE ANY GREEK JEWS  ? - Isaac SCHALOM :

Le 30/04/2007

The Silent Treatment - Erella AZRIEL

LE BARBECUE - Clément DASSA 

A PASSOVER JOKE - Suzy VIDAL

COMMENT  CHOISIR AVEC QUI SE MARIER ? - Sylvana PARDO 

Le 31/03/2007

La retraiTe – Clément DASSA

Blague de Lily KHODARA :

Le 28/02/2007

FAIT SOMBRE ICI -Yeheskiel DANOUS

L’élément 115 - Victor PARDO

Le 31/01/2007

Blague - D’une amie

I think it will make you smile - Suzy Vidal

Definitions - Lily KHODARA

Le 31/12/2006

TOUBIB OR NOT TOUBIB - Sylvana PARDO 

Ah! la ponctuation... Clément DASSA

UN VENDEUR MODESTE - Lucien PARDO

Le 25/11/2006      

RIRE… LE MEILLEUR REMEDE Albert Pardo

Le 28/10/2006      

UNE REFLEXION SUR L’HOMMEAlbert Pardo

Le 28/09/2006      

LA  RUEE  VERS  L ’ORAlbert Pardo

Le 25/08/2006      

je vous invite À mon enterrementAlbert Pardo

Le 30/06/2006      

le vœu unique et ton age avec des maths chocolatés – Sylvana Pardo

Le 25/05/2006      

L’HOROSCOPEAlbert Pardo

Le 25/04/2006      

ORIGINE DE LA BARRE DU CHIFFRE 7 - Lily Khodara 

Le 25/03/2006      

UNE IDEE GENIALE - Albert Pardo

Le 28/02/2006      

Oh ! QU’IL EST BEAU MON SQUELETTE - Albert Pardo

Le 21/01/2006      

AUTO-MEDICATION - Albert Pardo

Le 26/11/2005      

MON ORDINATEUR ET MOI - Albert Pardo

Le 14/10/2005      

CONFESSION - Albert Pardo

 

 

 

Reçu le 16 septembre de Monsieur Clément DASSA :

 

LA CRISE EST POUR TOUT LE MONDE

Les boulangers ont des problèmes croissants.
Chez Renault la direction fait marche arrière et les salariés débrayent.
A EDF les syndicats sont sous tension.
La tension monte aussi chez les infirmières
Coup de sang de la CGT chez Tampax
Les bouchers se battent pour défendre leur bifteck.
Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce,
ils en ont assez de se faire plumer.
Pour les couvreurs c'est une tuile.
Les faïenciers en ont ras le bol.
Les éleveurs de chiens sont aux abois.
Les brasseurs sont sous pression.
Les cheminots menacent d'occuper les loco,
ils veulent conserver leur train de vie.
Les veilleurs de nuit en ont assez de vivre au jour le jour.
Les pédicures travaillent d'arrache-pied pour de faibles revenus.
Les ambulanciers ruent dans les brancards.
Les pêcheurs haussent le ton.
Les prostituées sont dans une mauvaise passe.
Les sidérurgistes sont laminés.
L'immobilier s'effondre, les maçons sont terrassés.
Les vitriers sont en carafe.
L'économie des pompes funèbres est réduite en cendres.
A cause des taxes, l'industrie du tabac part en fumée.
Sans oublier le textile qui est en lambeaux.
Sans oublier les imprimeurs qui sont déprimés
et les cafetiers qui trinquent !

 

-o-o-o-o-o-o-

 

Reçu le 16 octobre 2009 de Madame Erella AZRIEL :

         UNE FABLE MODERNE A LA MANIERE DE

                  JEAN DE LA FONTAINE            

Un berger faisait paître son troupeau au fin fond d'une campagne quand, d'un
nuage de poussière,surgit une rutilante Range-Rover venant dans sa direction.
Le chauffeur, un jeune homme dans un complet Armani, chaussures Gucci
lunettes Ray Ban et cravate Hermès, se penche par la fenêtre et demande au
berger :
-Si je peux vous dire exactement combien de moutons il y a dans votre
troupeau, m'en donnerez-vous un ?
Le berger regarde le jeune homme, puis son troupeau broutant paisiblement et
répond simplement :
- Certainement !
L'homme gare sa voiture, ouvre son ordinateur portable, le branche à son
téléphone cellulaire, navigue sur Internet vers la page de la NASA, communique avec un système de navigation par satellite, balaie la région, ouvre une base de données et quelque trente fichiers Excel aux formules complexes.
Finalement, il sort un rapport détaillé d'une dizaine de pages de son imprimante miniaturisée et s'adresse au berger en disant :
- Vous avez exactement 1586 moutons dans votre troupeau.
- C'est exact, dit le berger. Et comme nous l'avions convenu, prenez-en un. Il regarde le jeune homme faire son choix et expédier sa prise à l'arrière de son véhicule, puis il ajoute :
- Si je devine avec précision ce que vous faites comme métier, me rendrez-vous ma bête ?
- Pourquoi pas ? répondit l'autre.
- Vous êtes Ingénieur Qualité et vous faites des audits, dit le berger.
- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
- C'est facile. Vous débarquez ici alors que personne ne vous l'a demandé,
vous voulez être payé pour avoir répondu à une question dont je connais déjà
la réponse et dont tout le monde se fout et ,manifestement, vous ne connaissez absolument rien à mon métier.
Maintenant, rendez-moi mon chien...
                                               Conclusion:
         C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son,

Que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con !!!


-o-o-o-o-o-o-

 

Reçu le 17 octobre de Monsieur Nabil SACCAL :

Il était une fois quatre personnages que l'on nommait

                                           "Tout le monde"
                                               "Quelqu'un"
                                                 "Chacun"
                                             et "Personne"

Mais un jour, il y eut un important travail à faire.
On a alors demandé à « Tout le monde » de s’en occuper.
Mais « Tout le monde » était persuadé que « Quelqu'un » le ferait.
Et il est vrai que « Chacun » pouvait l'avoir fait, mais en réalité

« Personne » ne le fit.
Alors « Quelqu'un » se fâcha car c'était le travail de « Tout le monde » !
« Tout le monde » se dit alors que « Chacun » pouvait le faire.                            Et « Personne » ne doutait que « Quelqu'un » le ferait…
En fin de compte, « Tout le monde » fit des reproches à « Chacun » parce que
« Personne » n'avait fait ce que « Quelqu'un » aurait du faire.
La moralité de cette histoire, c’est que
Sans vouloir le reprocher à « Tout le monde », il serait bon que « Chacun »
fasse ce qu'il doit sans nourrir l'espoir que « Quelqu'un » le fasse à sa
place…Car l'expérience montre que là où on attend « Quelqu'un »,
généralement on ne trouve « Personne » !
Donc n’hésitez pas à copier cet article et à l’envoyer à « Tout le monde »
afin que « Chacun » puisse l'envoyer à « Quelqu'un »... sans oublier « Personne »…


-o-o-o-o-o-o-o-o-

 

 

VIVE LES SENIORS

 

 

A nous tous les, anciens...mais ne le dites pas trop fort par crainte de la
création d'un nouvel ISF (Impôt sur la sénilité familiale)
De l'argent dans les cheveux.
De l'or dans les dents.
Des pierres dans les reins.
Du sucre dans le sang
Du plomb dans les pieds.
Du fer dans les articulations.
Et une source inépuisable de Gaz Naturel.
 
Je n'aurais jamais pensé qu'à partir de 60 ans on pouvait arriver à avoir
tant de richesse!!!

 

 

Aout 2009

 

 

L’ARTICLE QUI SUIT EST DE MON EXCELLENT AMI JOE ROSSANO

 

 

A PROPOS DE JOE ROSSANO

 

Joe Rossano possède un don rare : le lecteur  est aussitôt  immergé dans les situations, les arômes, l’ambiance, les couleurs de ce que Joe  décrit d’une façon magistrale de sorte que, petit à petit, il « vit » physiquement ce que Joe veut illustrer. Il suffit de lire ses articles pour vous en convaincre comme :

THE FOUR SEASONS IN THE LAND OF GOSHEN,

ou bien : CHAM EL NESSIM

que vous trouverez dans ce Site dans la Rubrique LES ENVOIS DES LECTEURS.

Mais laissons-lui la parole : vous finirez par saliver…

 

LE GOUTEUR

(el daoua-angui)

 

 

A PROPOS DE CET ARTICLE :

 

En Egypte,  lorsque on allait acheter un produit chez l’épicier du coin comme fromage, halawa, torchi ou autre, il était courant que l’épicier fasse « goûter » le produit  au client, en lui coupant un petit morceau. Parfois, c’était le client lui-même qui demandait de  goûter et il n’achetait que s’il était à son goût. Mais il y avait parfois un client vraiment sans gêne comme celui illustré ci-après.

 

 

Life in Egypt provided many little pleasures...

It was an indescribable pleasure to smell meat grilling at the Hati restaurant, and while waiting for the order, being served assorted and wonderful salads with a delicious hot "eich baladi meladden" (puffed and crusted bread). It was the same pleasure of anticipation sharpened by hunger while you waited for grilled shrimps and fish. Waiting for a fresh batch of baked bread to be retrieved from the oven at the bakery was divine, and then eating both ends of the baguettes on the way home--more than worth the scolding.                                                Step aside Dear Heloise*, my preferred method of cleaning a plate was then, and still is, using my fingers with pieces of bread (ghamess), perfect for absorbing the last bit of delectable "jus and sauce."

Only a zombie would not be transported by the wonderful fragrance inside a Middle Eastern grocery store full of exotic spices, assorted cheeses, olives, sardines preserved in salt, various barrels of pickles in brine and lemons pickled in oil, smoked fish, lakerda, bastourma, all sorts of salamis, succulent dried fruits, and sheets of amar el din….                                                                                   Remember when you were in a hurry, there was always a 'sampler' holding up the line "Wallahi ezza samaht ya haboub momken agarab heta mein el gebna el beida, we la mo akhza heta mein el gebna el hamra, wel gebna el roumi, wel gebna el torqui,,, we mein idak el helwa nawelni zetouna khadra, zetouna soda, zetouna mahsheya, zeitouna megaraha...ya sallam ehda luncheon meat?...E'nnaya mat warreni ella noor : di mortadella bel fosdok? Ya habibi inchallah te ish mit sana, we mein idak el helwa wel mawzouna...we madam enta fiha hetet larenga kamane...masha'allah ehda bettingan, lamoun we torchi mekhalel? Argouk ya bash mohandess we be oussoulet me'ereftak nawelna be idak el karima shewaya keda nestat'am fiha, ya rab mesh met mallahin awi... ana wallahi maksouf be sheda at'e'bak, heya el halawa di bel fosdok kwayessa? Momken ya amir we teslam idak el khafifa...ya sallam di agwa? Ekta'a lena heta keda alla zo'ak ne douk fiha?...meshma'aoulah dokka?...Of course el a'krout had to make a comment after each bite : di te'e'ma, momtaza, lazziza awi, mesh wala bod, noss noss, keda keda, ma-aboula, kharafa..." And after all that (el te mazmiz) he ordered only a bar of soap "sabouna naboulsi"……

At the "Khodari's store" the fresh smell of fruits and vegetables, and many other treasures derived the rich Egyptian earth and enduring sun.I used to use my index finger to poke a hole in those delicious sweet lemons, and then pressed them to trickle the juice onto an appreciative tongue.Being in the right place at the right time meant being in our kitchen around lunchtime. My mother was an incredible cook. She could create a symphony of pleasure with nothing more than a grilled cheese sandwich topped with crushed hot green pepper with garlic, salt and olive oil, or just a soupcon of lime or lemon.

Watching that beautiful and very seductive actress Romy Schneider, or the attractive French actress Etchika Choureau, who appeared only in very few films, certainly warmed the heart and quickened the pulse.

Reading the very witty, intellectual, and risqué (for its time) weekly Sunday paper,"La Lanterne", over "une bonne tasse de cafe sokar zeyada" provided many happy chuckles and delight.

Oh yes, these were a few of my favorite things.

* Dear Heloise (author) is a syndicated columnist famed for her household hints, tips and practical advices

Copyright Joe ROSSANO aka Joe La Gargoulette – All rights reserved.              Written on 11/3/02 by Joe La Gargoulette, aka Jojo, and Joe

 

 

 

 

Reçu le 29 juillet 2009 de Madame Lila LEVY – Saô Paulo et Lily KHODARA – Israel :

 

Authentique : À l'époque des "khaouagatte" (les Européens d'Égypte), cet avis était affiché chez un "makouagui" (repasseur)

 

AVIZ - RIPASSAUR DI LOUXE

>

>       A mes amis, Monsieur, Madame et lady,

>       je suis servant Hag Ahmed Hassanein El-Faransawy, les trois selebre Osta des grands locandas du Cairo.

>       Fait toutes sortes et qualites de lavements pour dames et missieux, repassage et encore tinturirie des couleurs sans lavements des bantaloon fanella blue, tres bien one shilling cinq biastres.,

>       Hag Ahmed Hassanein El Faransawy ne pas voleur il est sujette Francaise (Hemoya) et pouvait avoir confiance aussi il est fidele mosleman

>       Venais prendre un sharbat chez lui haret ibn el shah a Abdine dans le derriere du docteur Mahfouz Omar el Guergaoui tres selebre.

 

 

 

Reçu le 20 août 2009 de Madame Lily KHODARA :

 

LES AVANTAGES D'AVOIR 50 ANS OU 60 ANS ALLANT VERS LES 70

Je sais que vous tous mes amis n’avaient pas encore 50 ans mais lisez tout ce qui nous attend et que nous ratons actuellement. Quelq'un me l'a rappelé alors je te l'envoie pour te le rappeler aussi.  Ne ris pas... c'est très vrai...
  
 01. Tu n'intéresses plus les ravisseurs.
 
02. Lors d'une prise d'otages tu seras probablement relâché un des premiers.
 
03. Personne ne s'attend à te voir courir nulle part.
 04. Les gens te téléphonent à 9h00 du soir et te demandent s'ils t'ont réveillé.
 
05. On ne te considère plus comme un hypocondriaque.
 
06. Il ne te reste plus rien à apprendre à la sueur de ton front.
 
07. Les choses que tu achètes maintenant n'auront pas le temps de s'user.
 
08. Tu peux souper à 4h00 de l'après-midi.
 
09. Tu peux vivre sans sexe mais pas sans tes lunettes.
 
10. Tu ne considères plus les limites de vitesse sur la route comme des défis.
 
11. Tu n'as plus à rentrer ton estomac pour qui que ce soit.
 
12 Ta vue ne baissera pas beaucoup plus.
 
13 . L'argent que tu as investi pour ton assurance maladie commence enfin à rapporter.
14. Tes articulations sont de meilleures prédictions pour la température à venir que ce qui se dit à la télévision.
15. Tes secrets sont en sécurité avec tes amis parce qu'ils ne s'en souviennent probablement pas.

Transmet ce message sans tarder à tout le monde dont tu te souviens !
    
UN CONSEIL BIEN IMPORTANT:  
 Ne jamais, au grand jamais, prendre une pilule pour dormir en même temps qu'un laxatif...

 

 

 

Juin 2009

 

 

Reçu de Monsieur Alain PEREZ  et de  Monsieur Nabil SACCAL :

 

À ceux qui aiment la langue française...!

 

LES MÉTIERS :

Le pâtissier  s'est fait une religieuse en un éclair.

Le facteur légèrement timbré, prend tout à la lettre.

Le coiffeur se barbe à force de couper les cheveux en quatre

Le cafetier a servi un demi à un jeune mousse.

Le poissonnier  fait le maquereau avec une morue.

Le croque-mort  a enterré sa vie de garçon en buvant une bière.

Le viticulteur  prend de la bouteille et demande qu'on lui lâche la grappe.

Le plombier  a pris la fuite en fumant un joint.

Le menuisier  a attrapé la gueule de bois en abusant du buffet.

Le charcutier  a épousé un boudin, quel andouille !

Le boucher s'est mordu la langue en taillant une bavette.

Le boulanger  s'est fait rouler dans la farine, il est dans le pétrin.

L' épicier  a pris une amende en passant à l'orange.

L' avocat s'est trouvé bec dans l'eau en défendant une cruche.

Le vétérinaire  a un chat dans la gorge et une fièvre de cheval.

Le bûcheron  est resté sous le charme en écoutant Dutronc.

Le couturier  a choisi de monter un col plutôt que de traverser la Manche.

Le cordonnier  s'est fendu le cuir chevelu sur une route en lacets.

Le pharmacien  a passé ses vacances au lac Satif, il s'est emmerdé.

L' électricien  a été déclaré positif alors qu'il était neutre.

L' horloger  n'a plus une minute à lui depuis qu'il a perdu la grande aiguille.

Le bijoutier  a lâché une perle dans une rivière de diamants.

Le sculpteur  a coulé un bronze dans un moule à plâtre

Le cuisinier fait sa sauce tartare très tôt le matin.

Le volailler court après les poules et y laisse des plumes.

Le curé est à l'arrêt entre les messes.

Le relieur s’est retranché dans la marge du livre.

 

 

 

Reçu le 24 avril de Madame Erella AZRIEL et de Madame  BENGHIAT-MUSTACCHI Esther (Booguy) 

 

A MEDITER : COMMENT SONT LES HOMMES

 

 

REG A LEZ VOUS MESD A MES
1. Les hommes sont comme les vacances. 
 Ca ne dure pas longtemps
 2. 547204E2-4C10-435A-A3BF-A7AB1AE97CE7 Les hommes sont comme les bananes
Plus ça vieillit et moins c'est dur. 
3.547204E2-4C10-435A-A3BF-A7AB1AE97CE7 Les hommes sont comme le temps
Tu ne peux rien faire pour le changer.
 4. 547204E2-4C10-435A-A3BF-A7AB1AE97CE7 Les hommes sont comme le café. 
Les meilleurs sont chauds, forts et te maintiennent réveillée toute la nuit. 
5. 547204E2-4C10-435A-A3BF-A7AB1AE97CE7 Les hommes sont comme les ordinateurs.
Dur à comprendre et constamment sans mémoire.
 6. 547204E2-4C10-435A-A3BF-A7AB1AE97CE7 Les hommes sont comme la publicité. 
Ne jamais croire un mot de ce qui est dit
 7.547204E2-4C10-435A-A3BF-A7AB1AE97CE7 Les hommes sont comme les comptes en banque
Sans argent, ils ne génèrent aucun intérêt.
 9. 547204E2-4C10-435A-A3BF-A7AB1AE97CE7 Les hommes sont comme les tempêtes de neige
On ne sait jamais quand ça arrive, combien de centimètres ils donneront et combien de temps ça durera.
 10. 547204E2-4C10-435A-A3BF-A7AB1AE97CE7 Les hommes sont comme les photocopieurs
Ils servent que pour la reproduction.
 11. 547204E2-4C10-435A-A3BF-A7AB1AE97CE7 Les hommes sont comme les places de stationnement. 
Toutes les bonnes places sont occupées, les autres sont pour les handicapés.
 
Maintenant envoyer aux femmes incroyables que vous connaissez, et aux éventuels hommes compréhensifs, sympathiques et amusants que vous avez la chance de connaître !!!!!!!!!!

 

 

 

 

Reçu le 30 mai 2009 de Monsieur Clément DASSA :

 

PETITES ANNONCES

 

RENCONTRES

 - Astronaute recherche femme lunatique.
 - Artificier cherche femme canon.
 - Sourd rencontrerait sourde pour trouver terrain d'entente.
 - Jeune homme désintéressé épouserait jeune fille laide, même fortunée.
- Abeille épouserait frelon. Lune de miel assurée.
 
EMPLOI
- Metteur en scène cherche nain pour rôle dans court métrage.
- On recherche deux hommes de paille (1 grand, 1 petit) pour tirage au sort.
- Cannibale mélomane cherche travail dans opéra-bouffe.
- Offre bonne place de gardien de vaches. Paiement par traites.
- Inventeur produit amaigrissant cherche grossiste.
 
ACHAT - VENTE
 - Cause fausse alerte, vends cercueil en ébène, jamais servi.
 - Chien à vendre : mange n'importe quoi. Adore les enfants.
- A vendre robe de mariée portée une seule fois par erreur.

DIVERS
 - Homme sans histoires recherche éditeur pour devenir écrivain. 
- Souffrant d'insomnies, échangerais matelas de plumes contre sommeil de plomb
- Échangerais voiture de sport endommagée contre fauteuil roulant en bon état.
- Analphabète ? Ecrivez-nous dès aujourd'hui pour obtenir une brochure
gratuite sur nos formations accélérées.

 

 

 

Avril 2009

 

Reçu de Madame Lucie CALAMARO cette  :

BELLE  PENSEE

 

Pour qui j'écris

Bien sûr, j'écris pour moi.

Bien sûr, aussi pour toi.

J'écris pour vous, pour l'inconnu.

Parfois, dans l'espoir d'être lue

Souvent dans l'ombre, qu'ils restent tous ces mots.

Dans un fond d'un tiroir, ils seront les plus beaux.

Mais, tout au fond de moi, j'aimerai qu'on les lisent.

S'ils sont nuls, je souffrirai qu'on me le dise.

S'ils ont plu que l'on me le....re-dise.

 

 

 

DEUX BLAGUES

Je prie celle ou celui qui m’a adressé ces deux histoires  de me pardonner de ne pas mentionner son nom : j’ai oublié de le noter.

 

PETITE HISTOIRE

 

Une dame distinguée rentre de Suisse en avion. Elle s'y retrouve assise à côté d'un brave curé à qui elle demande:- Pardon, père, est-ce que je pourrais vous demander une faveur? - Bien sûr, ma fille, que puis-je faire pour vous? - Voici: je me suis acheté un épilateur électrique super sophistiqué que j'ai payé extrêmement cher. J'ai vraiment dépassé les limites permises, j'ai peur de me le faire confisquer à la douane. Ne pourriez-vous le dissimuler dans votre grande soutane? - Bien sür, mon enfant, que je le peux. Seulement je dois vous avertir que je ne sais pas mentir... - Vous avez tellement bon visage, on ne vous posera sûrement aucune question. Et elle lui remet l'épilateur. On arrive donc à destination. Et quand vient son tour de se présenter au douanier, celui-ci lui demande: - Mon père, vous avez quelque chose à déclarer? Le père lui répond: - De la tête à la ceinture, je n'ai rien à déclarer, mon fils. Trouvant cette réponse un peu étrange, le douanier ajoute: - Et de la ceinture vers le bas, qu'est-ce que vous avez? - J'ai là, dit le curé, un merveilleux petit instrument destiné aux femmes, mais qui n'a jamais été utilisé... Et dans un grand éclat de rire, le douanier dit:                                                                   - Allez, passez mon père, et au suivant !

 

VOUS DITES POSITIF !

 

Un homme d´affaires doit se rendre à l´étranger pour quelques jours; il convoque le bon Saïd, son fidèle domestique, et lui explique la situation :- « Tu vois, je dois aller à l´étranger quelques jours ; fais bien attention à ce que tout se passe bien ici, et pour n´importe quel problème, appelle-moi.

- « Oui monsieur, toi pas faire de soucis ».

Après quelques jours, l´homme d´affaires, n´ayant pas de  nouvelles, appelle Saïd :

:- « Ciao, Saïd, comment ça va? »

- « Tout très mal ! »

- « Pourquoi ? Qu´est-ce qui s´est passé ? »

- « Manche de la pelle cassé>»

- « Mais Saïd, sacrebleu, tu m´as presque flanqué un infarctus Tu me dis que ça va mal, et ce n´est que le manche de la pelle qui est cassé !? » Mais, pris de remords, il pense que Saïd pourrait se froisser, et il cherche alors à adoucir le ton :

- « Comment c´est arrivé ? »

- « Oh rien, j´enterrais le chien »

- « Quoi ?! mon chien, que j´aime comme un fils ?! Mais comment s´est arrivé ? »

- « Tombé dans piscine ! »

- « Mais Saïd, c´est un Terre-neuve, un chien qui nage; commenta-t-il pu se noyer dans la
>piscine?"

- « Pas d´eau dans piscine, et lui tombé, mort »

- « Mais comment ça, il n´y avait pas d´eau dans la piscine ?! Mais puisque la semaine dernière on a fait le nettoyage et mis l´eau pour l´été ! »

- « Oui mais l´eau prise par pompiers pour éteindre incendie »

- « Incendie, mais quel incendie Saïd?"

- « La maison a pris feu ! »

- « Ma maison ?! Mais comment ça s´est passé ? »

- « Chapelle ardente de madame maman, une bougie près de tenture, tout brûlé . »

- « Chapelle ardente, ma mère est morte ? Mais on a fêté l´autre jour ses 70 ans, et elle était en pleine forme!"

- « Oui, mais hier nuit votre mère n´arrivait pas à dormir, alors allée demander aide à votre femme, mais l´a vue dans le lit avec votre meilleur ami, et elle morte d´infarctus ».-

« Mais enfin Saïd, ma femme me trahit avec mon meilleur ami? Saïd, je m´absente 4 jours et ma vie est foutue!... Il n´y n'a
vraiment riende positif ? »

- « Si, patron, vous souvenir que l´autre
semaine, vous faire test pour Sida ? »

- « Oui. »

- « Voilà... ça positif ! »

 

 

 

Le 31/12/2008

 

PETITE BLAGUE POUR RESTER EN FORME
           de Patricia  Esther TOUBIANA


Pour rester en bonne santé, on nous dit qu'il faut manger 5 légumes et 5 fruits par jour.
Je suis allé voir mon banquier, il est au top du top.
Il m'a dit:
Vos comptes, c'est la fin des haricots. L'oseille n'a plus la cote. Vos placements ont fait chou blanc. Dans quelques jours, vous n'aurez plus un radis.
Il ne vous reste plus qu'à prendre un avocat.

Je lui ai répondu:

Si je comprends bien, je n'ai plus de poire pour la soif, plus de cerise sur le gâteau. Mes économies sont mi-figue, mi-raisin, en plus je ne peux pas ramener ma fraise.
Toutes ces années de labeur, pour des prunes.

J'ai eu mon compte pour la journée..........

ooooooooooooo

 

Reçu le 9 décembre de Monsieur Clément DASSA :

 

Une  nouvelle pathologie : l'Helléparthie

 

Si un café t'empêche de dormir

Si une bière  t'envoie directement aux toilettes

Si tout te paraît trop cher

Si  n'importe quelle bêtise te met en rogne

Si un léger excès fait monter  l'aiguille de ta balance

Si tu arrives à l'âge des métaux (cheveux  d'argent, dents en or, pacemaker en titane)

Si tu fais l'amour presque  3 fois par semaine (presque le lundi, presque le mercredi, presque le  samedi), c'est-à-dire jamais

Si la viande te fait mal à l'estomac, le  poivre t'irrite et l'ail te fait roter

Si le sel fait monter ta  tension

Si tu demandes au maître d'hôtel une table loin de la musique  et des gens

Si attacher tes lacets te fait mal au dos

Si la télé  t'endort

Si tu dois te servir de plusieurs paires de lunettes (de près,  de loin, de soleil)

Si on te donne du Monsieur ou du Madame

Si tu as  des douleurs d'origine inconnue

Si tu pleures pour rien

Si tu as ces  symptomes, ATTENTION ! C'est sûr, tu souffres d'Helléparthie !

Et  oui ! Helléparthie  ta jeunesse  !

 

              Allez  ! Sans rancune

 

 

Le 31/10/2008

 

Reçu ces deux blagues de  Madame Etty DIDAY :

UNE BONNE ACTION

 

  Un mec complètement bourré vient sonner avec insistance chez des gens en pleine nuit.
L'homme de la maison se lève et demande furieux :  
- Qu'est-ce que tu veux ?  
L'autre lui répond :  
- Viens me pousser ! Il faut que tu viennes me pousser !
Excédé le propriétaire de la maison lui dit :
- Je ne te connais pas, et en plus il est 4 heures du matin, tu me réveilles pour me dire de te pousser et j'en ai pas envie, alors dégage d'ici et ne me déranges plus !
De retour dans la chambre, il se remet au lit, mais sa femme qui a tout entendu, le sermonne :  
- Quand même tu exagères, cela t'est déjà arrivé d'être en panne la nuit, tu aurais pu le pousser ce pauvre type.  
- Ouais, mais il fait froid et en plus il est bourré !  
- Raison de plus pour l'aider, il ne va pas y parvenir tout seul. Non ?? Vraiment, je ne te reconnais pas, je suis très déçue de ton attitude...!
Son mari, pris de remords, se rhabille et descend. Il ouvre la porte et crie :
- Eh mec !!! C'est d'accord, je me suis habillé exprès pour venir te pousser ; Tu es où ?
Et le mec bourré répond :  
- Là, sur la balançoire...!!!

 

 

LES DEUX SACS

 

Une petite vieille avançait dans la rue en traînant deux grands sacs-poubelles, un dans chaque main.L’un des sacs était troué et, de temps en temps, un billet de 100€ s’en échappait et tombait dans la rue.
En voyant cela, un policier l’arrête et lui dit :« Madame, il y a des billets de 100€ qui tombent de ce sac !
-Merci de m’en aviser, dit la petite vieille. Il faut que je retourne récupérer ces billets. Encore merci !

-Un instant, pas si vite, fait le policier. D’où sortez-vous tout cet argent ? L’avez-vous volé ?
- Oh non ! répond la petite vieille. Voilà : le terrain qui est derrière chez moi sert de stationnement au stade de foot et chaque fois qu’on joue et que les spectateurs veulent faire pipi avant d’entrer ou en sortant du stade, ils s’arrêtent devant les arbustes qui bordent ma maison et ils pissent sur les fleurs que j’ai semées. Alors, je me planque derrière les arbustes avec une grande paire de ciseaux et chaque fois que quelqu’un sort son instrument pour pisser, je lui dis : Donne-moi 100€ ou je te la coupe !
- C’est pas une mauvaise idée, ça, dit le policier. Alors, bonne chance !  Mais… dites-moi qu’y a-t-il dans l’autre sac ?

-Ah ben ! répond la vieille, c’est qu’ils ne paient pas tous !!! »

 

 

Le 31/08/2008

 

Reçu le 7 juillet 2008 de notre ami Clément DASSA :

 

ANNONCES

 RENCONTRES

 - Astronaute recherche femme lunatique.
 - Artificier cherche femme canon.
 - Sourd rencontrerait sourde pour trouver terrain  d'entente.
 - Jeune homme désintéressé épouserait jeune fille laide même fortunée.
 - Abeille épouserait frelon. Lune de miel assurée.

 EMPLOI

 - Metteur en scène cherche nain pour petit rôle dans court métrage.
 - Cherchons décoratrice d'intérieur connaissant bien Louis XV et ayant moins de 30 ans.
 - On recherche deux hommes de paille (1 grand, 1 petit) pour tirage au sort.
 - Cannibale mélomane cherche travail dans opéra-bouffe.
 - Offre bonne place de gardien de vaches. Paiement par traites.
 - Inventeur produit amaigrissant cherche grossiste.

 ACHAT - VENTE
 - Cause fausse alerte, vends cercueil en ébène,  jamais servi.
 - Chien à vendre: mange n'importe quoi. Adore les enfants.
 - Vends robe de mariée portée une seule fois par erreur.
 - Petit prix: Un lot de livres auxquels il manque la plupart des pages.  Conviendrait à une personne n'aimant pas la lecture.
 - A vendre: lot de 5 insignes du Mouvement de Libération de la Femme. Cause :  mariage.
 - A vendre jolie collection de pots de vin.

 SERVICES

 - Analphabète? Ecrivez-nous dès aujourd'hui pour obtenir une brochure gratuite sur nos formations accélérées.

 DIVERS
- Homme sans histoires recherche éditeur pour devenir écrivain.
 - Souffrant d'insomnies, échangerais matelas de plumes contre sommeil de plomb
 - Echangerais voiture de sport endommagée contre chaise roulante en bon état.

 

 

Le 30/06/2008

 

L’ EPICIER GREC ET LES BARBARINS 

Albert Pardo

        

Il y avait en Egypte une grande communauté grecque. De nombreux grecs étaient épiciers. Non seulement dans les artères européennes mais aussi dans les rues populaires indigènes et rares étaient les villages égyptiens, même les plus reculés, qui ne comptaient pas, au moins, un épicier grec.

         Parallèlement à ceux-ci, il y avait aussi une communauté noire soudanaise dont les membres étaient, pour la plupart d’entre eux, des portiers ou « baouabs » c’est-à-dire des gardiens d’immeubles. On les appelait les barbarins. Ils étaient renommés pour leur honnêteté et, aussi, pour leur goût immodéré pour le thé très fort additionné soit de lait, soit de feuilles de menthe. Ils en buvaient force tasses dès qu’ils ouvraient les yeux chaque matin et tout au long de la journée.

         D’autre part, tant la plupart des grecs d’Egypte que les barbarins prononçaient très mal l’arabe égyptien, chacun dans son charabia.

Voici l’histoire :

Un épicier grec qui était très gros, venait d’ouvrir son épicerie et, aussitôt, un barbarin entra dans le magasin et lui dit :

- Saba el hèr ya haouda ( bonjour monsieur )

- Sabakh el khèr ya khabibi, inti ayza eh ? (bonjour mon ami, qu’est-ce que tu veux ?

- Ana ayèz bé étnen mallim ninah ( je veux pour DEUX millièmes de menthe). A noter que  UN millième était la plus petite pièce de monnaie.

         L’épicerie comportait des étagères pleines de marchandises mais l’épicier mettait la menthe fraîche sur la plus haute, pour qu’elle sèche.

         Il pose son échelle et y monte péniblement. Il prend un peu de menthe, descend, la donne à son client et encaisse les deux millièmes. Et il range l’échelle.

         Deux minutes après, un autre barbarin entre et c’est le même scénario :

- Saba el hèr ya haouada.(bonjour monsieur)

- Sabakh el khèr ya khabibi, inti ayza eh ? (bonjour mon ami, etc.)

- Ana ayèz bé étnen mallim ninah….( je veux pour DEUX millièmes de menthe)

Le pauvre épicier se dit en lui-même qu’aujourd’hui c’était un mauvais jour. Il re-pose l’échelle et remonte encore plus péniblement que la première fois, en soufflant comme un phoque. Il prend un peu de menthe et, au moment de redescendre, il voit un troisième barbarin entrer au magasin. Pensant qu’il voulait, lui aussi, de la menthe, il lui demande avant de descendre :

- Inti kamane ayza bé étnène mallim ninah ? ( Toi aussi tu veux pour DEUX  millièmes de menthe ? Il pensait que si c’était la cas, il prendrait un peu plus de menthe pour ce troisième client, ce qui lui éviterait de grimper une troisième fois sur l’échelle). Le nouveau client lui répond :

- la’, la’ ya haouada. (non, non, monsieur)

         L’épicier descend, remet la menthe au deuxième barbarin, encaisse les DEUX millièmes et demande au nouveau venu :

- Inti ayza eh ? (qu’est-ce que tu veux ?)

- Ana ayèz BEMALLIM ninah…( je veux pour UN millième de menthe….) 

 

Albert Pardo

 

 

Le 30/04/2008

 

Reçu le 8 mars 2008 de Julie & Roger NADA

 

LES PERLES DES MAIRIES….cela vaut celles du bac ....

 

 

Mes impôts pour la commune j'aimerai bien les voir dans les trous de la route et pas dans votre poche

 

Depuis que vous avez acheté un ordinateur à la mairie y'a plus moyen de trafiquer les papiers comme vous faisiez avant.

 

Je ne veux pas vous embêter avec mes histoires de poubelle mais avouez quand même que c'est pas normal que la mairie ne ramasse pas des ordures comme mon voisin.

 

Ça sert à rien de faire des activités pour les vieux puisqu'ils sont inactifs.

 

Les ralentisseurs que vous avez mis devant l'école sont trop hauts et ma femme se fait sauter quatre fois par jour.

 

Le cimetière est dans un état pas possible et tous ceux qui y habitent pensent comme moi

 

Est ce qu'on ne pourrait pas déplacer le bal du 14 juillet au 15 août?

 

Si les morts votaient c'est sûr que vous seriez battu à force de vous en foutre du cimetière

 

Je suis sûr que le maire se touche les dessous de table

 

J'ai dit à votre secrétaire de mairie : de deux choses l'une ! ou c'est comme ça ... ou c'est pas autrement.

 

De quoi vous discutez aux réunions du conseil municipal ? De mes intérêts ou de conneries comme de refaire la route qui est encore très bien ?

 

A la mairie vous êtes des moins que rien, pour ne pas dire plus.

 

J'ai bien reçu votre bulletin de la mairie et je vous pose la question : c'est avec notre argent que vous écrivez des âneries comme ça ?

 

Oui Monsieur le maire vous êtes responsable des cacas de chien dans les rues même si ce n'est pas vous qui les faites personnellement.

 

Le maire est une vraie mafia à lui tout seul.

 

J'ai toujours voté comme il fallait c'est-à-dire pour celui qui a été élu.

 

Le toit de l'église fuit depuis deux ans et la vierge est toujours mouillée. Faites quelque chose pour elle s'il vous plait Monsieur le maire.

 

Nous sommes la commune française où il y a le plus de chômage au monde.

 

Mes taxes elles servent des feux d'artifice au 14 juillet.

 

Votre cantonnier, à part discuter le coup avec des verres de vin rouge, il n'a rien d'autre à foutre ?

 

C'était une cabine téléphonique où il fallait mettre des cartes et toutes les pièces que j'ai voulu mettre ne rentraient pas.

 

Vos promesses de marchand de soupe qui mange à tous les râteliers, j'en ai entendu depuis des centaines d'années.

 

Depuis que vous avez été élu, la cabine téléphonique tombe toujours en panne.

 

On ne vous demande pas de faire grand chose sauf d'en faire beaucoup.

 

A la mairie vous me prenez pour un imbécile parce que je suis pauvre mais les gens riches ne sont pas plus intelligents que moi. Regardez les politiciens.

 

S'il faut gueuler pour que l'on m'entende alors attention parce que je vais parler plus fort.

 

Etre élu c'est facile pour vous parce que vous êtes pas mal foutu et que vous embrassez toutes les femmes sur le marché.

 

Parce que vous avez fait la route pas assez large, mon voisin est obligé de faire pleins de manoeuvres difficiles avec sa voiture dans son garage qui est juste contre le notre alors ce qui devait arriver est arrivé. Un matin ou il était sûrement bourré, il a fini par réussir à rentrer dans ma femme. Faut l'faire.

Si c'est le maire qui est chargé d'enlever les ordures, comment dois-je faire avec ma femme.

 

Vous êtes le maire, c'est-à-dire le président de la république de la commune ; moi, à votre place, je m'occuperai un peu plus gentiment de toutes les femmes de la commune qui n'ont pas d'hommes à se mettre sous la main.

 

La responsabilité de tous les accidents que j'ai eus n'est pas pour moi mais pour les route où je circule et qui ne sont pas en état de conduire. 

 

 

Le 29/02/2008

 

Reçu le 14 janvier2008 de Monsieur MAGDI MORCOS :

 

LA REVOLTE DE OM SAYED

OM SAYED’S REBELLION

 

One day, all the women of the world got
together and decided not to do any HOUSE work anymore ;
No more laundry,
 No more cooking,
No more cleaning, etc.

Also, they decided to meet after   one week to report the progress.
>
 So ! they all went back to their respective
  countries and homes to implement
 their decisions.

  A WEEK LATER:

 The French  lady
  came to tell about her experience:
 I went home and told my husband that:
 I will not do house work from now on ,
  I Will not clean,
  I will not cook.

 The first day, I didn't see anything.
The second day, I didn't see anything.
 The third day, he brought me breakfast
  in bed and cooked a delicious meal for lunch.

  Then came the  British lady's turn:
I went home and told my husband that:
  I will not do housework from now on.
  I will not clean,
  I will not cook.

The first day I didn't see anything.

The second day I didn't see anything.
The Third day, he went to the supermarket

  and did all our grocery shopping, came back
  to cook and then cleaned the whole house.

  Last, came  "Om Sayyed" with her story:
Ana roht el bait. Oltelo, ya Abu Sayyed,
  Ana mesh hashtaghal.
  Ana mesh haatbokh,
  Ana mesh haknoss,
  Ana mesh hakwi.

  Awel Yom mashoftesh haga.
 Tani Yom ma shoftesh haga.
  Talet Yom, ebtadeet ashoof
shiwayya be eeny el shemaal



 

DEVINETTE

de Albert PARDO

 

A une Correspondante qui souhaitait discrètement connaître mon âge, j’ai écrit ceci :

Vous avez bien voulu me donner votre date de naissance et je vous en remercie. Avant de vous donner la mienne, je vais vous poser une devinette :

a) De "caractère", j'ai trente ans. Car j'aime toujours la vie, les amis, les réceptions, les sorties, les voyages, la danse et la bonne humeur.

b) De " coeur", j'ai vingt ans puisque j'aime  la même femme depuis toujours.

c) " Dans ma tête " j'ai 35 ans car j'aime les responsabilités, les occupations, le travail bien fait, la lecture et l'écriture.

d) " D'espoir ", j'ai cent ans et plus car j'espère vivre le plus longtemps possible en bonne santé parce que la vie est belle malgré tous les désagréments qui l'accompagnent.

e) " D'innocence " j'ai un an car je crois en la bonté de l'Homme malgré que je me suis laissé "attraper" à plus d'une reprise.

QUEL AGE AI-JE ?

Si vous ne trouvez pas, je vous donnerais la réponse dans mon prochain mail.

Amitiés.

Albert Pardo.

 

 

 

Le 31/12/2007

 

Reçu le 13.11.07 de Madame Odette BEHAR :

 

The New Oxford Dictionary's latest definition of the following words:

 

Compromise: The art of dividing a cake in such a way that everybody believes he got the biggest piece.

Classic: Books which people praise but do not read.

Smile: A curve that can set a lot of things straight.

Office: A place where you can relax after your strenuous home life.

Etc.: A sign to make others believe that you know more than you actually do.

Committee: Individuals who can do nothing individually and sit to decide that nothing can be done together.

Experience: The name men give to their mistakes.

Philosopher: A fool who torments himself during life, to be spoken of when dead.

Father: A banker provided by nature.

Criminal: A guy no different from the rest ... except that he got caught.

Boss: Someone who is early when you are late and late when you are early.

Politician: One who shakes your hand before elections and your confidence after.

Doctor: person who kills your ills by pills, and kills you with his bills.

 

 

 

De Madame Erella AZRIEL :

LAUGH A LITTLE EVERY DAY.... 

SPECIAL POEM FOR SENIOR CITIZENS!!
A row of bottles on my shelf
Caused me to analyze myself.
One yellow pill I have to pop
Goes to my heart so it won't stop.
A  little white one that I take
Goes to my hands so they won't shake.
The blue ones that I use a lot
Tell me I'm happy when I'm not.
The purple pill goes to my brain
And tells me that I have no pain.
The capsules tell me not to wheeze
Or  cough or choke or even sneeze.
The red ones, smallest of them all
Go  to my blood so I won't fall.
The orange ones, very big and bright
Prevent my leg cramps in the night.
Such an array of brilliant pills
Helping to cure all kinds of ills.
But what I'd really like to know..........
Is what tells each one where to go!

There's always a lot to be thankful for if
you take time to look for it. For example
I am sitting here thinking how nice it is
that wrinkles don't hurt...

 

 

Reçu de Mademoiselle Sylvana PARDO le 16.11.2007

CONSEIL D’AMI


Un fermier trouve son cheval malade. Il fait venir le vétérinaire. Ce dernier lui dit que le cheval est infecté par un virus et qu'il va prescrire un remède. Si le remède n'a pas agi dans les trois jours, il faudra abattre le cheval pour éviter d'infecter les autres animaux.
Le cochon de la ferme, qui a tout entendu, va trouver le cheval et lui dit :
« Fais un effort, lève-toi »
Mais le cheval est trop malade. Le deuxième jour, même chose, le cochon dit au cheval :
« Fais un effort, lève-toi ». Mais le cheval est encore trop malade.
Le troisième jour, le cochon dit :
« Fais un effort, lève-toi, sinon ils vont t'abattre aujourd'hui. »
Le remède n'a toujours pas fait d'effet, mais dans un dernier sursaut, grâce aux conseils du cochon, le cheval arrive à se lever devant le fermier et le vétérinaire.
Le fermier, tout content, dit :
« Pour fêter l'événement, on va tuer le cochon».

Moralité : Ne te mêle jamais de ce qui ne te regarde pas...

 

 

 

Le 31/10/2007

 

Reçu de Madame Patricia TOUBIANA :

BLAGUE DU JOUR

 

 

Les passagers d’un avion sont assis à leur place et attendent les pilotes  pour le décollage. Bientôt, deux hommes entrent dans l’avion, en uniforme  de pilote ; ils portent des lunettes noires. L’un d’eux est accompagné d’un  chien pour aveugle et l’autre tâte son chemin à l’aide d’une canne

blanche.

Ils avancent dans l’allée, entrent dans la cabine de pilotage et referment  la porte.

Plusieurs passagers rient nerveusement et tous se regardent avec une expression allant de la surprise à la peur ou au scepticisme.

Quelques  instants plus tard, les moteurs de l’avion s’allument et l’avion prend de  la vitesse sur la piste. Il va de plus en plus vite et ne semble jamais devoir décoller. Les passagers regardent par les hublots et réalisent que  l’avion se dirige tout droit vers le lac qui se trouve en bout de piste.

L’avion roule maintenant très vite sur la piste et plusieurs voyageurs réalisent qu’ils ne décolleront jamais et qu’ils vont tous plonger dans le lac. Les cris des passagers apeurés remplissent alors l’avion, mais juste  à ce moment, l’avion décolle tout doucement, sans problème. Les passagers  se remettent alors de leurs émotions, rient, se sentant stupides d’avoir été roulés par cette mauvaise plaisanterie. 

Quelques minutes plus tard, l’incident est oublié.

Dans la cabine de  pilotage, le pilote tâte le tableau de bord, trouve le bouton du pilote  automatique et le met en  fonction.

Il dit ensuite au copilote :

- Tu sais ce qui me fait peur ?

- Non, répond l’autre.

- Un de ces jours, ils vont crier trop tard et on va tous mourir.

 

 

 Reçu de Madame Clemy PINTO :

Hospital Chart Bloopers. 

 

1. The patient refused autopsy.

2. The patient has no previous history of suicides.

3. Patient has left white blood cells at another hospital.

4. She has no rigors or shaking chills, but her husband states she was very hot in bed last night.

5. Patient has chest pain if she lies on her left side for over a year.

6. On the second day the knee was better and on the third day it disappeared.

7. The patient is tearful and crying constantly. She also appears to be depressed

8. The patient has been depressed since she began seeing me in 1993.

9. Discharge status: Alive but without permission.

10. Healthy appearing decrepit 69-year old male, mentally alert  but forgetful.

11. Patient had waffles for breakfast and anorexia for lunch.

12. She is numb from her toes down.

13. While in ER, she was examined, x-rated and sent home.

14. The skin was moist and dry.

15. Occasional, constant infrequent headaches.

16. Patient was alert and unresponsive.

17. Rectal examination revealed a normal size thyroid.

18. She stated that she had been constipated for most of her life, until she got a divorce.

19. I saw your patient today, who is still under our car for physical therapy.

20. Both breasts are equal and reactive to light and accommodation.

21. Examination of genitalia reveals that he is circus sized.

22. The lab test indicated abnormal lover function.

23. Skin: somewhat pale but present.

24. The pelvic exam will be done later on the floor.

25. Patient has two teenage children, but no other abnormalities.

 

 

 

Reçu de Madame Erella AZRIEL :

 

LA VALEUR DES AINES  (50 ans et plus)

 

Nous, les aînés, nous avons beaucoup plus de valeur que tout autre groupe d'âge :

 Nous avons de l'argent dans nos cheveux.

De l'or dans nos dents.

Des pierres dans notre foie.

Du plomb dans nos pieds.

Du fer dans les articulations.

Et nous sommes une source intarissable de gaz naturel !!!

 Je ne croyais pas avoir autant de valeur....

 

 

Le 31/08/2007

 

 

De Madame Racheline BOTTON :

COMME IL ETAIT CHARMANT...

 

Comme il était charmant

Quand il n’était que mon amant ;

Mon Dieu, comme il était charmant.
Mais depuis qu’il est mon mari,

Il est un peu moins gentil

 

Quand il n’était que mon amant

Il avait des baisers troublants.
De ces baisers pleins de passion

Qui vous coupent la respiration.

Aujourd’hui, si j’ose tenter

Le plus innocent des baisers,

Il s’essuie du revers de la main

« Tu m’as encore mis du rouge, c’est malin »

Oh ! depuis qu’il est mon mari

Il est un peu moins gentil.

 

Quant il n’était que mon amant,

Pour m’appeler très tendrement,

Il disait de moi «  mon pigeon rose,

Canard bleu », oui mais maintenant

Il a changé, c’est évident,

Il n’y a plus de canard ni de pigeon,

Plus de bleu, plus de rose et mon prénom

J’crois bien qui’il l’a oublié,

Quand il veut m’appeler, il fait oh ! eh !

Ah ! depuis qu’il est mon mari

Il est beaucoup moins gentil.

 

Quant il n’était que mon amant

Il m’emmenait au restaurant,

Les meilleurs vins, les meilleurs plats,

Rien n’était trop bon pour moi.
Maintenant, je fais la cuisine moi-même

Et je varie à l’extrême.
A chaque nouveau plat succulent,

J’attends qu’il goûte, le cœur battant,

Chéri, qu’en dis-tu ? C’est nouveau..

J’en dis rien, c’est jamais que du veau.

Ah ! depuis qu’il est mon mari

Il est beaucoup moins gentil.

 

Quand il n’était que mon amant

Ma fête, c’était un évènement ;

Jamais il n’aurait oublié

De gentiment me la souhaiter

Et il me comblait de cadeaux

Evidemment, c’était trop beau…

Quand je dis : c’est ma fête tu sais,

Il fait : « encore, tu exagères,

C’était déjà l’année dernière. »

Ah ! depuis qu’il est mon mari

Il est beaucoup moins gentil.

 

Quand il n’était que mon amant

Il était tendre et prévenant.

Si, nous promenant, d’aventure

Je tordais un peu ma chaussure,

De suite il se précipitait :

Tu t’es fait mal mon petit poulet ?

Aujourd’hui, le même accident

M’attire ces propos galants :

Enfin…c’est extraordinaire,

Tu passes ton temps à te foutre par terre

Ah ! depuis qu’il est mon mari

Il est u n peu moins gentil.

 

Quant il n’était que mon amant

Mon Dieu ! comme il était charmant.. ;
Mais j’ai cru que cela allait durer

Alors, bien sûr, je l’ai épousé,

Si j’avais su, évidemment…

Mais voilà, on ne sait pas avant.

 

Si je n’étais pas sûr que ce soit lui

Je ne le reconnaitrais pas aujourd’hui.
J’aimerais tant retrouver ses caresses

Et ses petits mots pleins de tendresse…

Et bien, je les ai retrouvés vraiment

Depuis hier, j’ai un amant !

Ah, mais !!!

 

 

 

De  Madame Lily KHODARA :

5 préceptes de sagesse chinoise, destinés aux femmes :


1.     Il est important de trouver un homme qui t'aide dans les tâches
ménagères et travaux pénibles, et qui ait un bon emploi.
2.     Il est important de trouver un homme d'esprit, ayant beaucoup
d'humour, et qui te fasse rire.
3.     Il est important que tu trouves un homme sur qui tu puisses compter,
en qui tu aies confiance et qui ne te mente jamais.
4.     Il est important de trouver un homme qui soit bon au lit et qui
        aime te faire l'amour

5.     Il est important que ces quatre hommes ne se connaissent pas.

 

 

De Monsieur Clément DASSA :

Toujours la Sagesse Chinoise :

 

 

On demanda un jour à Confucius :

« Qu'est-ce qui vous surprend le plus chez les humains? »

Confucius répondit :

« Ils perdent leur santé à faire de l'argent et par la suite perdent tout leur argent à restituer leur santé.

En pensant anxieusement au futur, ils oublient le présent, de sorte qu'ils ne vivent ni le présent ni le futur.

Finalement, ils vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir, et ils meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu...»

 

 

Le 30/06/2007

 

De Monsieur Clément DASSA :

C´EST LE 1ER. MAI : SOURIONS …

 

Un type revient de Chine où il a pris du bon temps avec quelques jolies petites chinoises. Seulement quand il revient son zizi et ses coucougnettes sont tout verts. Il cache d'abord la chose a sa femme et s'en va chez son docteur.
- Hé hé, on a été en Chine !
- Ben oui.
- Et on a fait des bêtises avec les petites chinoises !
- Ben oui.
- Malheureusement on peut rien faire il va falloir couper !
Le gars est catastrophé mais décide d'aller consulter un 2ème médecin qui lui confirme le diagnostic.
Là, le mec déprime complètement, il lui vient des idées suicidaires. Il prend rendez-vous chez un super spécialiste des maladies vénériennes, tropicales et exotiques. Mais ce grand ponte confirme :
- Il n'y a qu'une seule solution, il faut couper.

Désespéré, le gus décide d'en parler à sa femme. Après une sérieuse engueulade, elle lui conseille d'aller voir un médecin chinois.
- Hé hé, on a été en Chine !
- Ben oui.
- Et on a fait des bêtises avec les petites chinoises !
- Ben oui.
- Et on a été voir un docteur français !
- Ben oui.
- Et le docteur français il a dit qu'il fallait couper !
- Ben oui.
- Et bien non ! Ce n'est pas la peine de couper.

Le type est complètement soulagé et devient fou d'espoir, et le toubib chinois confirme :
- Non, ce n'est pas la peine de couper. Ça va tomber tout seul .

 

 

 

De Mademoiselle Sylvana PARDO :

TROIS BLAGUES

 

Une femme demande à son mari :

- Chéri, quel genre de femme préfères-tu ? Les femmes belles ou intelligentes ?

- Aucune des deux, ma chérie ... Tu sais bien que je n'aime que toi !!

 

Un jeune garçon demande à sa mère :

- Est-ce que les dindes ont des seins, maman ?

- Non, répond sa mère.

Le garçon :

- Ben, pourtant, papa a dit à la femme de ménage qu'elle avait des plus beaux seins que sa dinde ...

 

Un homme se trouvait dans le coma depuis un certain temps et son épouse était à son chevet jour et nuit.

Un jour, l'homme se réveilla.

Il fit signe à son épouse de s'approcher, et lui chuchota :

- Durant tous ces malheurs tu étais à mes côtés,

- Lorsque j'ai été licencié, tu étais là pour moi,

- Lorsque mon entreprise a fait faillite, tu m'as soutenu,

- Lorsque nous avons perdu la maison, tu es restée près de moi,

- Et lorsque j'ai eu des problèmes de santé, tu étais toujours et encore à mes côtés.

- Tu sais quoi ?

Les yeux de la femme s'emplirent de larmes d'émotion.

- Quoi donc mon chéri ?

- Je crois que tu me portes la poisse, ma chérie !!

 

 

 

De Madame Erella AZRIEL

EUTHANASIE

Hier soir, ma femme et moi étions assis à table, à discuter de choses et d'autres puis nous en sommes venus à parler de l'euthanasie.Sur le sujet délicat du choix entre la vie et la mort, je lui ai dit :
"Ne me laisse jamais vivre dans cet état végétatif, dépendant d'une machine et alimenté par le liquide d'une bouteille. Si tu me vois dans cet état, débranche les appareils qui me relient à la vie".
Elle s'est levée, a débranché la télé, a éteint l'ordinateur et a jeté ma bière.

 

 

De Madame Esther DIDAY :

LA BLAGUE DU WEEK END

 Il était une fois un homme très avare qui avait travaillé toute sa vie et épargné son argent. Il aimait l'argent plus que tout et juste avant de mourir il dit à safemme: "Lorsque je mourrai, je veux que tu mettes tout mon argent dans le cercueil avec moi, ce sera pour ma vie  après la mort"
 Bien à contre coeur, sa femme lui fit le serment de mettre tout son  argent dans le cercueil avec lui. Peu de temps après, il mourut...Au cimetière, il était étendu dans son cercueil entouré de quelques amis,  membres de sa famille et de  son  épouse toute de noir vêtue. Comme la cérémonie se  terminait et juste avant que  le cercueil soit refermé  et porté en terre, l'épouse dit: "Attendez une minute" . Elle prit alors une boite qu'elle déposa dans le cercueil avec son époux.
Les préposés firent alors descendre le cercueil dans la fosse .Un ami lui dit alors: "Écoute bien, j'espère que tu as été assez intelligente pour ne pas mettre tout son  argent dans le cercueil avec lui comme il t'avait demandé ?"
 L'épouse dit alors:" Bien sûr, je ne puis revenir sur la parole faite à un  mourant de mettre son argent avec lui dans le cercueil".Et elle ajouta: "Je lui ai fait un chèque."
 Ne jamais sous-estimer l'intelligence et le pragmatisme d'une femme

 

 

De Monsieur Isaac SCHALOM :

ARE THERE ANY GREEK JEWS  ?

 

Two Jewish men, Sid and Al, were sitting in a Greek restaurant in New York.

         Sid asked Al, 'Are there any people of our faith born and raised

in Greece?'

         Al replied, 'I don't know, let's ask our waiter.'

         When the waiter came by, Al asked him, 'Are there any Greek Jews?'

         The waiter said, 'Aronno, I ask the cooks.'

         He returned from the kitchen in a few minutes and said, 'No ser,

no Greek Jews.'

         Al wasn't really satisfied with that and asked, 'Are you

absolutely sure?'

         The waiter, realizing he was dealing with 'xenoi' [foreigners]

gave the expected answer, 'I  check again,' and went back into the kitchen.

         While the waiter was away, Sid said, 'I find it hard to believe

that there are no Jews in Greece, our people are scattered everywhere.'

         The waiter returned and said, 'The head cook say there is no Greek

Jews.'

         'Are you certain?' Al asked once again, 'I can't believe there are

no Greek Jews!'

         'Vre Gamoto . I asked EVERYONE,' replied the  waiter. 'All we have

is Orange Jews, Apple Jews & Tomato Jews!

 

 

 

Le 30/04/2007

 

De Madame Erella ,AZRIEL

The Silent Treatment
A man and his wife were having some problems at home and were giving each
other the silent treatment.  Suddenly, the man realized that the next day,
he would need his wife to wake him at 5:00 AM for an early morning business flight.

Not wanting to be the first to break the silence (and LOSE), he wrote on a piece of paper,
"Please wake me at 5:00 AM " He left it where he knew she would find it.
The next morning, the man woke up, only to discover it was 9:00 AM
and he had missed his flight.  Furious, he was about to go and
see why his wife hadn't wakened him, when he noticed a piece of paper by
the bed. The paper said, "It is 5:00 AM. Wake up."
Men are not equipped for these kinds of contests.


 

De Monsieur Clément DASSA :

LE BARBECUE :

 

La saison des barbecues va bientôt commencer ! A cet effet, il est de bon ton de se rappeler la procédure habituelle de cette cuisine estivale. C'est dans cette activité qu'on reconnaît les talents de cuisine d'un homme, un vrai. Dès qu'un homme se porte volontaire pour faire ce type de cuisine, la chaîne d'évènements suivante est actionnée :

L'HOMME

 1. L'homme sort le barbecue et le charbon de bois.

LA FEMME

2. La femme nettoie la grille.
3. La femme va à l'épicerie.
4. La femme va chez le boucher.
5. La femme va chez le pâtissier.
6. La femme prépare la salade et les légumes.
7. La femme prépare la viande pour la  cuisson
8. La femme la place sur un plateau avec les ustensiles nécessaires, les épices et les herbes.
9. La femme apporte la grille propre et le  plateau à l'homme qui est étendu à côté du barbecue en train de prendre une bière.

10. L'homme place la viande sur la grille.

11. La femme va à l'intérieur mettre la table.
12. La femme vérifie la cuisson des légumes.
13. La femme prépare le dessert.
14. La femme revient à l'extérieur pour dire à

      son mari que la viande est en train de brûler.

15. L'homme enlève la viande trop cuite sur la grille et l'apporte à la femme.

16. La femme prépare les assiettes et les apporte

      sur la table.

17. L'homme sert à boire.

18. La femme dessert la table et prépare le café.
19. La femme sert le café et le dessert
20. Après le repas, la femme range la table et la nappe.
21. La femme fait la vaisselle et range la cuisine.

22. L'homme laisse le barbecue en place car il y a encore des braises.
23. L'homme demande à la femme si elle a apprécié de ne pas faire la cuisine aujourd’hui.
24. Et devant son air dubitatif, l'homme conclut que les femmes ne sont jamais satisfaites.

 

 

 

De Madame Suzy VIDAL :

A PASSOVER JOKE


           
An English Jew, a prominent novelist and intellectual, is informed that he will be knighted.  The queen's protocol officials prepare him and the other knights-to-be for the ceremony.
         He is informed that, when he stands before the queen, he is to recite,
"Philosophum non facit barba. Non in solo pane vivit homo." Just before being knighted.
         On the day of the ceremony, the man is very nervous and, sure enough,
when he approaches the queen, he forgets the Latin expression.  As precious seconds tick by, the only non-English words he can think of pour out of him:
"Ma nishtana halaila hazeh mikol haleilot?"
  The queen, confused, turns to her protocol officer and asks, "Why is this knight different from all other knights?"
Have a happy Passover!

 

De Mademoiselle Sylvana PARDO :

 

COMMENT  CHOISIR AVEC QUI SE MARIER ?

 

Extraits d'une véritable  étude récemment menée auprès d'enfants de 10ans
et moins au  sujet du mariage

 

Il faut trouver quelqu'un qui aime les  mêmes trucs.Si tu  aimes le foot, elle devra aimer que tu aimes le foot et t'amener deschips et de la bière.
(Alain
, 10  ans)

On ne décide pas vraiment avec qui on va se  marier.
Dieu décide tout bien  avant, et tu vois après qui il t'a collé.
(Kirsten, 10  ans)

QUEL EST LE BON AGE POUR SE  MARIER ?
Le meilleur age c'est 23 ans, parce que tu connais ton mari depuis au
moins 10 ans.
(Camille, 10  ans)

Il n'y a pas de bon age pour se marier. Il  faut être stupide pour avoir
envie de se marier.
(Freddie, 6  ans)

QU'EST-CE QUE TES PARENTS ONT  EN COMMUN ?
Ils ne veulent pas d'autre  enfant.
(Laure, 8  ans)

QU'EST CE QUE LES GENS FONT A  UN RENDEZ-VOUS ?
Les rendez-vous, c'est pour s'amuser, et les  gens devraient en profiter
pour se connaître mieux. Même les garçons ont quelque chose d'intéressant à
dire si tu écoutes assez  longtemps.
(Linette, 8 ans : bcp de  lucidité pour son age !)

Au premier rendez-vous ils se disent des mensonges intéressants, comme ça,
ils sont d'accord pour avoir un deuxième  rendez-vous.
(Martin, 10  ans)

QUE FERAIS-TU SI TON PREMIER  RENDEZ-VOUS SE PASSE MAL ?
Je rentrerais a la maison et je ferais semblant d'être mort. Et
j'appellerais les journaux pour leur demander d'imprimer que je suis mort.
(Craig, 9 ans)

QUAND EST-CE PERMIS  D'EMBRASSER QUELQU'UN ?
Quand ils sont riches.
(Pamela, 7 ans)

Si tu embrasses quelqu'un, il faut se marier et avoir des enfants avec
elle. C'est comme ca.
(Henri, 8 ans)

EST-IL MEILLEUR D'ETRE  CELIBATAIRE OU MARIE ?
Je ne sais pas ce qui est mieux, mais je ne ferai jamais l'amour avec ma
femme. Je ne veux pas qu'elle devienne  grosse.
(Théodore, 8  ans)

C'est mieux d'être  célibataire pour les filles. Mais les garçons ont
besoin de quelqu'un pour  nettoyer.
(Anita, 9  ans)

... et la meilleure de  toutes

COMMENT FAIRE  POUR QUE TON MARIAGE MARCHE BIEN  ?
Il faut dire à ta femme qu'elle est jolie,  même si elle a l'air d'un
camion.
(Richard, 10  ans)

 

Le 31/03/2007

 

De Monsieur Clément DASSA :

LA RETRAITE...

 

Frank signe sa première chronique dans un hebdomadaire local.

La voici:

 

LA RETRAITE

De plus en plus de gens entrent dans l'âge de la retraite.

Ce n'est pas facile pour tout le monde. Mais voici quelques conseils, suite à mon expérience personnelle.

À mesure que votre femme vieillit, soyez plus patient avec elle. Les hommes doivent savoir qu'à mesure que les femmes vieillissent, il devient de plus en plus difficile pour elles de maintenir la même qualité dans les tâches domestiques. Il faut savoir composer avec cette nouvelle situation.

Quand j'ai pris ma retraite, Danielle a décroché un emploi à temps plein comme téléphoniste dans un bureau de comptables pour nous aider à arrondir nos fins de mois et payer surtout ses médicaments. Elle en consomme beaucoup.
C'est à ce moment-là que j'ai commencé à réaliser qu'elle tirait de la patte et qu'elle fatiguait vite.
Tenez. Quand je rentre du golf, en fin d'après-midi, à peu près au même moment où Danielle revient du travail, souvent le repas n'est pas prêt.
Bien entendu, je lui dis de prendre son temps et que je vais en profiter pour faire une sieste. Elle n'aura qu'à me réveiller quand le repas sera sur la table.
Elle avait l'habitude de faire la vaisselle immédiatement après les repas. Maintenant, très souvent, elle néglige de le faire. C'est vraiment désagréable.
Alors, quand on est assis devant la télévision, pendant les commerciaux, je dois la motiver et lui rappeler que la vaisselle ne se lavera pas toute seule.
Maintenant qu'elle vieillit, elle semble se fatiguer beaucoup plus rapidement
Notre laveuse et sécheuse se trouvent au sous-sol. Parfois, elle me dit qu'elle ne peut plus descendre les marches. " Ne fais pas un drame avec ça, que je lui dis. Je n'ai pas besoin de chemises avant la semaine prochaine pour le golf et les cartes. Le repassage peut attendre. Je suis vraiment conciliant.
En plus ça lui laisse tout le temps qu'il faut pour les petites besognes telles donner le shampoing au chien, passer l'aspirateur ou faire l'époussetage. J'ai d'ailleurs remarqué qu'il y a de la poussière au dessus du frigo.

Évidemment, comme elle travaille dans un bureau, elle se plaint de manquer de temps, le midi, pour aller payer les factures, faire les petites commissions, etc. Je lui ai dit que c'est l'occasion rêvée pour commencer un régime puisqu'elle est un peu ronde et peut avantageusement sauter le repas du midi. Et puis, au lieu d'aller au gym le samedi, elle n'a qu'à courir, la semaine, pour faire les commissions. En plus, on sauvera l'argent de l'abonnement au gym. Ça coûte chères ces affaires là.
Même en faisant des petites tâches, elle semble avoir besoin de plus en plus de repos. Par exemple, il lui faut maintenant deux jours pour faire la pelouse, mais je ne dis pas un mot.
Par contre, mon frère et ses enfants sont venus à la maison, la semaine dernière et je n'ai pas apprécié son commentaire sur le gazon qu'il trouvait un peu long. J'en ai parlé à Danielle. Mais, rassurez-vous, avec délicatesse. Je pense qu'elle a bien compris le message.
Le secret ? Il faut toujours rester calme et très patient. Je l'accompagne dans sa vieillesse. C'est difficile pour le conjoint.
Pour bien des hommes, la tâche serait insurmontable. Souvent, c'est l'enfer. Mais il faut toujours rester calme.
Personne autant que moi ne sait combien les femmes peuvent devenir frustrantes quand elles vieillissent.
Messieurs, faites donc comme moi. Soyez patients. Ne criez pas !
Frank votre spécialiste sur la retraite.

                                                   NOTE DE L’EDITEUR:


Les funérailles de Frank eurent lieu samedi le 2.
Danielle fut acquittée lundi le 4. ;-)))))))))))))))

 

 

 

De Madame Lily KHODARA :

 

Le Président Bush fait venir le chef de la CIA et lui demande :

« Comment s'y prennent les Juifs pour tout savoir avant nous ? ».

Le responsable de la CIA répond : Les Juifs utilisent l'expression

suivante : "Vus titzuch?" »

Et le Président de demander : «  Qu'est-ce que cela veut dire ? »

 

« Eh bien, M. le Président », répond le Directeur de la CIA, « c'est

une expression yiddish, que l'on peut traduire, grosso modo, par "Quoi

de neuf ?". Ils s'interrogent l'un l'autre de cette manière et comme

cela, ils sont au courant de tout. »

Le Président décide d'aller, incognito, vérifier par lui-même si la

chose est vraie. Il se déguise en Juif orthodoxe (chapeau noir, barbe, longue redingote noire), un avion sans signe distinctif l'amène secrètement à New York,

on le met à bord d'une voiture ordinaire et on le dépose dans le

quartier le plus juif de Brooklyn.

Aussitôt un petit homme âgé vient traîner dans les parages. Le

Président l'arrête et lui murmure à l'oreille : « Vus titzuch ? ».

Le vieil homme lui répond en chuchotant :

« Bush est à Brooklyn. »                                                               

 

 

 

Le 28/02/2007

FAIT SOMBRE ICI ………………………………

De monsieur Yeheskiel DANOUS :

 

 

Une femme reçoit souvent son amant pendant que son mari est au travail.

Un jour, son fils de 8 ans se cache dans l'armoire pour voir ce que sa mère fait avec cet homme-là.

Un moment plus tard, le mari rentre à l'improviste.

Paniquée, la femme cache son amant, dans la même armoire.

       - le fils : fait sombre ici.

       - l'amant : ouais c'est vrai

       - le fils : j'ai un ballon de foot

       - l'homme : content pour toi

       - le fils : tu veux l'acheter ?

       - l'homme : non merci

       - le fils : mon père est là dehors

       - l'homme : ok, combien ?

       - le fils : 250 euros

Quelques jours plus tard, le fils se retrouve à nouveau dans

l'armoire en compagnie de l'amant de sa mère

     - le fils : fait sombre ici

     - l'homme : ouais c'est vrai

     - le fils : j'ai des super baskets

     - l'homme se rappelant la dernière fois grimace : combien ?

     - le fils : 500 euros

Quelques jours plus tard, le père dit à son fils : mets tes baskets

et prends ton ballon, on va faire une partie.

      - le fils : je ne peux pas, j'ai tout vendu

      - le père : pour combien ?

      - le fils : 750 euros

      - le père : c'est inadmissible d'arnaquer les gens comme ça. Ces

affaires n'ont jamais coûté ce prix là !!.

Je t'amène à l'église pour te confesser.

Le père amène son fils à l'église, le pousse dans le confessionnal

et ferme la porte

      - le fils : fait sombre ici

      - le curé : merde, maintenant t'arrêtes tes conneries ...

 

 

 

L’élément 115.

De Monsieur Victor PARDO - Tel Aviv :

 

 

Un nouvel élément chimique à rajouter dans le tableau périodique des éléments chimiques de Mendeleïev..

                  

                                               NOM :

         Femme.

 

     SYMBOLE

                                                 Fm

 

    DECOUVREUR :

                                               Adam.

 

  MASSE ATOMIQUE :

         Acceptable à 60 kgs mais des isotopes connus de 40 à 250 kgs.

 

       OCCURENCE :

                             Très abondant de par le monde.

 

     PROPRIETES PHYSIQUES :

                  Entre en ébullition pour un rien et gèle sans raison.

 

                               CONDUCTIVITE THERMIQUE :

                         Faible... surtout aux extrémités inférieures.

 

                                   POUVOIR DE DILATATION :

                                      Augmente avec les années.

                       Cède aux pressions appliquées aux points sensibles.

 

                                 STRUCTURE MOLECULAIRE :

                                           Parfaite à 90/60/90.

           Existe aux USA sous forme croissante de 60/90/120 et dans

           les pays nordiques sous forme dite «  plate «  de 50/50/50

 

                                   PROPRIETES CHIMIQUES :

Ø  Très grande affinité pour l’or, l’argent, le platine et tous les métaux nobles.

Ø  Absorbe de grandes quantités de substances onéreuses.

Ø  Peut exploser spontanément sans avertissement.

Ø  Insoluble dans les liquides mais présente une activité grandement augmentée par saturation dans l’alcool.

Ø  Réactivité très variable selon les périodes de la journée.

Ø  Grande aptitude aux changements d’humeur et à la jalousie.

 

                                   UTILISATION COURANTE :

              Hautement décorative surtout dans les voitures de sport.

                                    Puissant agent nettoyant.

                      Aide efficace pour la relaxation et la détente.

 

                                                    TEST :

       Tourne au vert si placée à côté d’un spécimen de meilleure qualité.

 

                                PRECAUTIONS D’EMPLOI :

Hautement dangereuse si placée entre des mains non expertes.

Il est illégal d’en posséder plusieurs spécimens, mais il est possible d’en entretenir plusieurs à des  endroits différents tant que les spécimens n’entrent pas en contact(risque d’explosion.)

                                               ATTENTION :

Certains chercheurs d’Amérique du Sud ont découvert le moyen d’en fabriquer artificiellement, présentées généralement sous les marques TRAVELO ou DRAG QUEEN.

Ne consommer que le produit d’origine.

 

 

 

Le 31/01/2007

 

 

D’une amie :

A man suspects his wife for cheating him. He therefore hires the very famous chinese detective Chen Lee to keep an eye on her while he is on a business trip. After a few days he received the following report:


Most honorable Sir,
You leave house.
I watch house. He come to house. I watch.
He and she leave house. I follow. He and she go in hotel.
I climb tree. I look in window. He kiss she. She kiss he.
He strip she. She strip he. He play with she. She play with he. I play with me. I fall off tree. I not see. No fee.

Chen Lee

 

 

De Madame Suzy Vidal :

I think it will make you smilehttp://graphics.hotmail.com/i.p.emwink.gif

She is in the kitchen preparing to boil eggs for breakfast.

He walks in. She turns and says,

"You've got to make love to me -- this very moment."

His eyes light up and he thinks, "This is my lucky day."

Not wanting to lose the moment, he embraces her and

then gives it his all on the kitchen table.

Afterwards she says, "Thanks," and returns to the stove.

More than a little puzzled, he asks, "What was that all about?"

She explains, "The 3 minute egg timer is broken!"

 

 

De Madame Lily KHODARA :

 

 Definitions

 

 Adam: Matière dont fut fait le premier haut-parleur.
 Âge : Le seul secret des femmes.
 Amabilité : Passe-partout qui ouvre toutes les portes.
 Ami : Canne superbe qui se casse dès que vous voulez vous appuyer dessus.
 Anglais : Patriote toujours prêt à donner votre sang pour sa patrie.
 Calvitie : Maladie de ceux dont la tête passe à travers les cheveux.
 Chat : Quadrilatère avec une patte à chaque coin.
 Crayon : De tous les êtres, le seul qui puisse être jugé par la mine.
 Égoïste : Celui qui ne s'occupe pas de moi.
 Fessée : Punition qui donne envie de marcher droit et ôte celle de s'asseoir.
 Galanterie : Attitude d'un homme à l'égard de toute femme qui n'est pas la   sienne.
 Gourmand : Qui ne remet pas à demain ce qu'il peut manger aujourd'hui.
 Laryngite : Mal de gorge des gens instruits.
 Maison : Lieu où sont abrités les troubles de ménage.
 Miroir : Verre poli et étamé qui réfléchit sans parler.

 
Monologue : Conversation entre un homme et une femme.
 Original : Politicien qui remplit ses promesses électorales.
 Oui : Le mot qui règle toutes les discussions.
 Pourboire : Salaire que nous payons aux employés des autres.
 Ronflement : Musique de chambre.
 Skieur : Quelqu'un qui avance à coups de bâton.

 

 

 

Le 31/12/2006

 

 

De Mademoiselle Sylvana PARDO :

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TOUBIB OR NOT TOUBIB

 

         Un vieux docteur de la Creuse souhaite enfin prendre sa retraite après plus de cinquante années d’exercice ! Il trouve un jeune médecin pour lui succéder et il suggère au  « petit nouveau » de l’accompagner au cours de quelques tournées  afin que les gens du cru s’habituent à lui progressivement. À la première maison, une femme se plaint : « J’ai mal à l’estomac,  docteur. »
         Le vieux docteur lui répond : « Eh bien, c’est que vous avez  probablement abusé des fruits frais. Pourquoi est-ce que vous ne  réduiriez pas la quantité que vous consommez ? « 
         Lorsqu’ils quittent la maison, le plus jeune dit :

         - Vous n’avez pas même examiné cette femme. Comment en êtes-vous  arrivé à votre diagnostic si rapidement ?
         - Ce n’était pas la peine. Vous avez noté que j’ai laissé tomber  mon stéthoscope sur le plancher ? Quand je me suis baissé pour le ramasser, j’ai noté une demi-douzaine peaux de banane dans la  poubelle. C’était ce qui l’avait probablement rendue malade.

- Hmmm ! Très malin ! Je pense que j’essayerai d’employer cette technique à la prochaine maison.
         À la maison suivante, ils passent plusieurs minutes à parler avec une jeune femme. Elle se plaint d’une extrême fatigue : « Je me sens  complètement vidée » dit-elle.
         - Vous aviez probablement trop donné de vous-même pour l’église,  lui dit alors le jeune docteur. Peut-être vous devriez réduire   cette activité et voir si cela vous permet de reprendre un peu  d’énergie.
         Lorsqu’ils quittent cette seconde maison, le vieux docteur dit à son cadet :
Votre diagnostic m’épate : comment êtes-vous arrivé à la conclusion que cette femme se donnait corps et âme aux   tâches religieuses ?
          - Eh bien, j’ai appliqué la technique que vous m’aviez indiquée précédemment : j’ai laissé tomber mon stéthoscope et quand je me  suis baissé pour le ramasser, j’ai vu le curé sous le lit .
 

 

De Monsieur Clément DASSA :

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Ah! la ponctuation... 

Depuis des siècles, le souci des grands auteurs de la langue française a été la précision et la capacité d'exprimer de fines nuances. Dans un élan
d'enthousiasme, un de ces maîtres, Antoine Rivarol, est allé jusqu'à écrire :      «Ce qui n'est pas clair n'est pas français »...
C'est ainsi que malgré ses difficultés, encore beaucoup moindres que celles du chinois, du japonais ou du russe,  la langue française permet toujours de rédiger des traités internationaux d'une clarté sans pareille!
Voici un petit texte qui en est une amusante illustration au plan de la ponctuation.

Un homme riche était au plus mal. Il prit un papier et un stylo pour écrire ses dernières volontés. « Je laisse mes biens à ma soeur non à mon neveu jamais sera payé le compte du tailleur rien aux pauvres.»  Mais le mourant passa l'arme à gauche avant de pouvoir achever la ponctuation de son billet. À qui laissait-il sa fortune?
Son neveu décide de la ponctuation suivante :
     «Je laisse mes biens à ma soeur? Non! À mon neveu. Jamais sera payé le compte du tailleur. Rien aux pauvres.» Mais la soeur n'est pas d'accord. Elle ponctuerait le mot de la sorte : «Je laisse mes biens à ma soeur. Non à mon neveu. Jamais sera payé le compte du tailleur. Rien aux pauvres.»
 Le tailleur demande la copie de l'original et ponctue à sa manière : Je laisse mes biens à ma soeur? Non! À mon neveu? Jamais! Sera payé le compte du tailleur. Rien aux pauvres.» Là-dessus, les gueux de la ville entrent dans la maison et s'emparent du billet. Ils proposent leur version :
 «Je laisse mes biens à ma soeur ? Non! À mon neveu? Jamais!
Sera payé le compte du tailleur ? Rien. Aux pauvres.»
Ainsi va la vie: elle nous propose une version de l'existence sans point, ni virgule.
C'est à nous de la ponctuer... et c'est cette ponctuation qui fera toute la différence.

 

 

De MONSIEUR Lucien PARDO :

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UN VENDEUR MODESTE

 

MAURICE BEN FENECH se présente, pour un emploi, de vendeur à la SAMARITAINE où l'on vend de tout. Le patron lui demande s'il a de l'expérience.
 - Si j'ai de l'expérience ? Dans la vente ?Aaiaiaiaiaille, ti me demande çà à moi, Maurice Ben F'nech? J'suis le Roi de la vente !  Moi, mon cousin il avait une boutique, j'ai tout vendu. Maintenant il est parti au souleil, tellement j'l'ai rendu riche... sir la tête de ma mère, y'a pas meilleur vendeur que moi. "
Le patron, amusé par la situation décide d'essayer le jeune homme pour la journée. Le soir, il revient pour voir ce qu'il a bien pu vendre.
-
Alors, combien de ventes as-tu fait aujourd'hui ?

- Une seule, sur ma tête Patron, il est v'nu qu'un client.
- Ce n'est pas très brillant ça, et une vente de combien ?
- Seulement 100.000 Euros, patron "
-
Quoi ? 100.000 ? Tout rond ? Mais...comment ça ? "
Et Maurice, il raconte :
-
Y a un type qu'est v'ni et j'li ai vendu un hameçon. Pis, j'li propose la petite canne à pêche au lancer et une série de mouches. Et comme j'li dit qu'il peut pas pécher sans être bien équipé, j'li vends aussi la grande canne avec la ligne et les bouchons et un moulinet. Sur la tête de ma mère," t'en as jamais vi un comme ça ", que j'li dis, " ti peux r'monter MobyDick avec ça ". Après, pour pas qu'il ait honte devant les autres pécheurs, j'li ai vendu l'équipement, les bottes, le ciré et le bob. Parce qu'avec sa canne toute neuve, s'il a pas l'équipement, y va passer pour un plouc, hein chef ? Et les clients de Ben F'nech, ils peuvent avoir l'air cons mais pas l'air plouc. Pis, j'li demande où il va aller pécher. Imm dit " sur la côte ". Alors j'li dis qu'il f'rait bien d'acheter un bateau pour pécher au large, et j'li vends le hors-bord de 12 mètres avec les deux moteurs. Et j'li demande comment y va emmener son bateau sur la côte. Y savait pas. Alors, j'li ai vendu la nouvelle Mercedes et une remorque pour tracter le bateau. Et pis on a fait les comptes. Ca faisait 101.124 Euros. Alors j'li dis: "comme t'es un bon client, j'ti fais un prix: 100.000 tout rond, mais ti paies cash. "
 Il a dit " j'passe à la banque et j'arrive ". Et 1/2 heure après,il est rev'nu avec l'argent et il a tout pris, patron. Les sous sont là dans la caisse. "

Le Patron est scié, complètement ahuri, assis par terre. Il n'en croit pas ses oreilles, il regarde l'argent dans la caisse et dit
-
T'as vendu une Mercedes et le hors bord à un gars qui venait pour acheter un hameçon ? "
- Heu...ben non, pas vraiment, patron. L'client, y v'nait pour ach'ter une boîte TAMPAX pour sa femme, alors j'li ai dit : Puisque ton week-end il est foutu  pourquoi t'irais pas à la pèche"

 

 

 

Le 25/11/2006

RIRE…le meilleur remède.

 

 

*Un homme est à l’hôpital avec la tête enveloppée d’un énorme pansement. Son infirmière lui dit :

Mon pauvre Monsieur, votre femme doit vous manquer ?

Et l’homme de répondre :

D’habitude oui, mais cette fois-ci elle m’a bien eu !

 

*Un enfant va à l’Opéra pour la première fois écouter la TOSCA. Très intéressé et curieux, il demande à son grand-père qui l’accompagne :

-       Qui est le grand Monsieur qui tourne le dos au public ?

-       C’est le chef d’orchestre

-        Pourquoi menace-t-il avec son bâton la dame qui est sur la scène ?

-        Il ne la menace pas !

-       Ah bon ! Alors pourquoi crie-t-elle ?

 

*Un jour que son mari est en retard  pour rentrer du travail, son épouse est très nerveuse. Elle en parle à sa mère au téléphone :

-       Je suis sûr qu’il voit une autre femme ;

-       Pourquoi toujours penser au pire ? Peut-être a-t-il simplement eu un accident !

*Dans une salle d’attente, une dame d’un âge respectable demande à sa voisine :- -- J’aimerais bien savoir qui est ce monsieur qui me regarde avec insistance depuis tout à l’heure ? 

- C’est un antiquaire, lui répond sa voisine.

*- Docteur ! Mon mari affirme que je parle en dormant. Que puis-je faire ?

- Ben…faites attention à ce que vous dites.

 

*LE BON EXEMPLE :

Tu as vu le voisin ? Tous les matins il embrasse sa femme avant de partir au travail. Pourquoi tu n’en ferais pas autant ?

-       Je veux bien, mais tu sais, je ne la connais pas très bien.

 

 

 

Le 28/10/2006

 

UNE  REFLEXION SUR « L’HOMME »

 

         On dit que l’Homme est la seule créature qui marche à quatre pattes après sa naissance, sur deux pattes de l’enfance à l’âge mûr et sur trois (deux jambes et une canne) à sa vieillesse. Ceci, pour illustrer son parcours de vie.

 

         Si on considère que la durée de vie moyenne actuelle, de l’Homme et de la Femme confondus, est de 80 ans, on constatera qu’il y a trois périodes importantes à partir de leur naissance qui se résument, grosso modo, ainsi :

 

Première période :   de   0 à 20 ans.

Deuxième période :  de 20 à 60 ans.

Troisième période :  de 60 à 80 ans.

 

Durant la Première et la Troisième période, l’Homme (et la Femme) dépend en grande partie des autres pour survivre. De 0 à 20 ans, il dépend de son entourage pour sa nourriture, son éducation, son existence physique et sociale. Mais, à la Deuxième période, de 20 à 60 ans, il devient indépendant et autonome. Grâce à sa personnalité, à ses talents, à ses désirs profonds et à de nombreux autres facteurs, il peut devenir ANGE ( Dr.Schweitzer, Sœurs Térésa et Emmanuelle, Pasteur,etc.) ou bien DEMON (Hitler, Eichmann et autres racistes et dictateurs sanguinaires…). Entre les Anges et les Démons, il y a la foule des capitaines d’industrie, des savants érudits, des foudres de guerre, des politiciens honnêtes ou véreux, des hommes d’église et, enfin, de la cohorte des gens ordinaires comme vous et moi.

 

Puis, voici arrivée la Troisième période de 60 à 80 ans ! Ses forces déclinent et tout fout le camp : sa santé, ses cheveux, sa vue, son audition, ses dents, etc. Petit à petit, il devient une charge tant pour les siens que pour la société. Les souffrances physiques et morales l’assaillent. Il se décrépit tout au long des années jusqu’à devenir, pour certains, sénile ou grabataire, ou les deux. Quelle déchéance et quelle pitié pour celui censé avoir été créé à l’image de Dieu !

 

Alors, certains disent que la vie est mal faite et qu’il aurait été préférable de naître VIEUX et malade et de mourir BEBE et en bonne santé. Or, cela n’est pas possible ! Peut-on envisager des futures maman portant un fœtus de 70 kilos, poids moyen d’un humain ? Non, ce n’est pas possible !

 

Mais alors, me direz-vous, où est la solution ? Moi, je propose aux savants qui s’occupent des recherches sur les gènes et les chromosomes, sur l’A. D. N. et autres manipulations génétiques, ceci :

 

Pourquoi ne pas orienter leurs recherches en vue de DOUBLER la longévité de l’Homme à partir de 65 ans tout en lui faisant faire, physiquement, un  parcours inverse de celui qu’il aura eu jusqu’ici ? A partir de 65 ans, l’Homme aura de nouveau 64 ans, puis 63, 62, 61, 60, etc. Petit à petit, il recouvrira ses forces. Il retrouvera ses cinq sens. Ses cheveux et ses poils repousseront. Ses rides s’effaceront et, au fur et à mesure qu’il rajeunira, il redeviendra créatif, combatif, travailleur, pour son bien et celui de la collectivité.

 

Il continuera à rajeunir jusqu’à redevenir un simple spermatozoïde que les savants mettront entre deux lames de verre pour l’étudier au microscope. Ils classeront ces lames dans une SPERMATOZOITEQUE. Chaque paire de lames portera une référence qui correspondra à  un dossier où sera consigné tout ce qui se rapporte à ce personnage : nom, date de naissance et celle de sa réintégration in vitro, professions, qualités et défauts, hérédité, hauts faits, bons ou mauvais.

 

Il n’y aura donc plus besoin de cimetières qui s’étendent à l’infini en envahissant les agglomérations urbaines ou campagnardes. Il n’y aura plus de caveaux somptueux pour les riches et de fosses communes pour les pauvres, au grand dam des croque-monsieur et croque-madame, c'est-à-dire des croque-morts qui n’auront plus rien à croquer et qui resteront ainsi sur leur faim. Les comptes de la Sécurité Sociale seront, enfin, positifs.

 

Et un beau jour, un savant plus intelligent que les autres découvrira que tous ces spermatozoïdes appartenant à des Rois ou des Présidents, des riches ou des manants, des génies ou des demeurés, des blancs ou des noirs, des asiates ou des peaux-rouges, des chrétiens ou des musulmans, des juifs ou des païens, sont tous de la même couleur et, pour autant que je le sache, de la même composition chimique c’est-à-dire rigoureusement identiques les uns aux autres.

 

Partant de là, il n’y aura aucune raison valable de les « archiver » pour les distinguer les uns des autres. Alors, on jettera à la poubelle le contenu de toutes les SPERMATOZOITEQUES et on réduira les heures de présence des fonctionnaires de santé.

 

                                                                                                                                             Propos à Tire-Larigot

                                                                                                                                                       D’Albert Pardo

 

 

Le 28/09/2006

LA  RUEE  VERS  L’OR

 

En 1973, le système d’échange fixe concernant la parité du dollar et de l’or, établi par les accords de Brettons Wood de 1944, disparaissait; à la suite de quoi le cours de l’or se mit à flamber de jour en jour et, autour de moi, je voyais de nombreuses personnes se mettre à boursicoter à tour de bras. Personnellement, je ne me suis jamais intéressé à l’or plus que l’achat de mon alliance de mariage mais j’ai écrit ce poème à la première personne pour ne pas froisser quiconque car j’ai été témoin des comportements décrits ci-après.

 

Depuis quelques semaines                                     Depuis que je boursicote

Le monde de la finance est en folie;             Avec ce maudit lingot,

La raison de cette faridondaine                            Plus rien ne m’asticote

Est le métal jaune, en lingots ou en louis      Et je ne fais plus dodo.

 

Chacun veut en acquérir                              Un jour je me suis dit :

A n’importe quel prix                                  Cela ne plus durer !

Dans l’espoir de, vite, s’enrichir                            Je ne vois plus mes amis

Et faire le nabab à Chamonix.                      Et je néglige ma moitié !

 

Moi aussi, comme tout le monde,                            Alors, j’ai vendu mon lingot

J’ai voulu en avoir :                                     Et ne l’ai plus racheté ;

J’ai  cédé mes prébendes                                     Dans la poche de mon manteau

Et gratté mes fonds de tiroirs.                            Un lingot de plomb l’a remplacé.

 

J’ai transformé le tout                               Je l’ai peint en  JAUNE  OR

En un joli petit lingot,                                 Puis je l’ai bien verni ;

Que je promène avec moi, partout,              Je dors bien depuis lors

Par crainte des cambriolos.                         Et je contente femme et amis.

 

Je l’ai revendu et racheté                           Lorsqu’il m’arrive parfois

Une bonne dizaine de fois                           De voir à la télé

Et chaque opération m’a rapporté                La cote du métal roi,

Quelques fafiots en extra.                          Cela me fait rigoler…

 

Dès que je le revends,                                 Car, si son prix a baissé,

Je me repens aussitôt ;                              Je m’en fous puisque je n’en ai plus !

Alors je le rachète et le reprends               Et s’il a bien haussé,

Dans la poche de mon manteau.                    A mon lingot de plomb j’applique cetteplus-value.

 

A peine rentré à la maison,                          Avec l’argent que j’ai réalisé

Chaque jour à midi,                                               Je m’achète, toutes les fins de semaine,

J’allume la télévision                                   Du champagne, du caviar, du saumon fumé

Après le déjeuner, que j’expédie.                Et du homard à l’américaine.

 

J’attends, le cœur battant,                         Et puis, de temps à autre,

Les nouvelles de LA  BOURSE !                   Je caresse mon lingot de plomb :

Et me voilà calculant et supputant               Il me donne autant de satisfaction que l’

Pire qu’un mordu des courses !                     Sans qu’il m’ait coûté un rond !        autre

 

Poèmes Hétérogènes

Albert Pardo

 

 

 

 

Le 25/08/2006

 

JE VOUS INVITE À MON ENTERREMENT

 

En allant faire mes emplettes dans mon quartier, je passe obligatoirement près de l’église. Et là, presque chaque jour, il y a un enterrement. Selon la ‘’qualité’’ du défunt, il y a plus ou moins de monde. Parfois, pour un personnage important, la foule déborde de l’église sur le parvis et sur la grande place, en face. Les couronnes se comptent, alors, par dizaines. Mais, d’autres fois, il n’y a autour du corbillard que deux ou trois personnes seulement et, dans ce cas, ni fleurs ni couronnes. Je me suis demandé dernièrement : QUI y aura-t-il au mien d’enterrement ? Et, afin d’avoir tout mon monde, je lance cette invitation. Sera-t-elle suivie d’effet ?

 

Si cela arrive en été et qu’il fasse beau,

Ne vous laissez pas tenter par la plage !

Oubliez pour un moment la douceur de l’eau

Et venez me rendre le Dernier Hommage !

 

Certes, je ne serai pas là pour vous accueillir

Mais vous consolerez les miens ;

Cela leur fera grand plaisir

De vous entendre parler de moi, en bien ( ?)

 

Rappelez-vous tous les bons moments

Que nous avons passé ensemble !

Venez à mon enterrement

Et que l’Amitié vous rassemble !

 

Si la chose arrive en hiver et qu’il pleuve,

Je sais que ce serait contraignant.

Je regrette de vous faire endurer cette épreuve,

Ce serait malgré moi : soyez indulgents !

 

Mais si cela pouvait vous décider

Souvenez-vous de toutes nos parties de rire

Que nous reprendrons ensemble car…je vous attendrai

Pour, auprès des Hautes Instances, vous introduire.

 

Mais, surtout, ne pleurez pas et point de vacarme

Pourquoi donc en feriez-vous ?

S’il est vrai que cette terre est une vallée de larmes

Croyez-moi, je n’en ai pas eu beaucoup !

 

Grâce à mes parents, à ma compagne, à mes enfants

Et puis encore grâce à vous,

Les moments difficiles sont passés rapidement

Je ne m’en souviens plus du tout.

 

Je souhaite que, tout comme en Chine,

Vous vous habilliez, tous, de blanc

Et, comme le font les Noirs de la Caroline,

Qu’il y ait du jazz, des rires et des chansons.

 

Et, surtout, n’oubliez pas

De déboucher les bouteilles,

De boire à mon souvenir maintes et maintes fois ;

Là où je serais je ferais, pour vous, pareil…

 

Lorsque votre tour viendra,

Sur mon beau nuage blanc vous me rejoindrez ;

Je peux vous assurer que, tout près de moi,

Votre place sera réservée.

 

Nous ferons bombance comme auparavant,

Les Anges nous feront de la musique ;

Nous danserons jusqu’à épuisement

Et quant à la Grande Faucheuse, nous lui ferons la nique !

 

Il paraît qu’au Paradis

La vie est éternelle…

Comme on n’y souffre d’aucune maladie

Nous ferons les Polichinelles.

 

Allons, soyez gentils, ne tardez pas

Je risque de m’ennuyer sans vous !

HOP ! HOP ! HOP ! sautez le pas

Nous nous amuserons comme des fous

 

Albert Pardo

Poèmes Hétérogènes

 

 

 

Le 30/06/2006

 

Reçu de Madame Sylvana PARDO :

LE VOEU UNIQUE...

Une femme se promène sur une plage et bute sur une vieille lampe. Elle se penche pour la prendre, la frotte et paf ! Un génie apparaît.
La femme, étonnée, lui demande alors si elle pourra faire les trois voeux Classiques.
Non, répond le génie, accorder trois voeux, en ces temps-ci, c'est très, très difficile ; il y a l'inflation, le chômage qui n'arrête pas de  croître, les salaires minables, la situation politique, le prix élevé du pétrole ; donc, tout ce que je pourrai concéder, ce sera un seul et unique Voeu. Alors dis moi,que désires tu ?
La femme répond : La paix au Moyen Orient.
Quoi ? dit le génie, ébahi.
Tu vois cette carte, dit la femme, bon, ben je veux que dans ces Pays-là, les gens arrêtent de se taper dessus à tout bout de champ.
Le génie regarde la carte et dit : Mais ça fait des lustres qu'il y a la guerre là-bas. Je fais du bon boulot, mais quand même .. Pas au point de pouvoir exaucer ce genre de voeu. Demande moi quelque chose de plus simple.
La femme réfléchit un instant et déclare : D'accord ! Pour être honnête, je n'ai jamais réussi à trouver l'homme idéal. Alors je veux un homme qui soit beau, fort, cultivé, intelligent, attentionné et drôle, qui aime cuisiner et faire le ménage, qui soit une bête au lit, qui s'entende avec ma famille, qui ne passe pas toute la journée à regarder du sport à la télé et qui me soit fidèle à vie.

Le génie laisse échapper un profond soupir : Allez, redonne moi cette carte du Moyen Orient...

 

TON AGE AVEC DES MATHS CHOCOLATEES


NE TRICHE PAS ET NE VA PAS DIRECTEMENT A LA FIN !
Cela va te prendre moins d’une minute.
Fais les calculs au fur et à mesure que tu lis le texte ...
Fais en sorte de ne pas lire la fin tant que tu n’as pas fini les calculs !
Tu ne vas pas perdre ton temps. Tu vas t’amuser.

cid:X.MA1.1131048209@aol.com


1. Combien de fois par semaine aimes-tu manger du chocolat ? (le chiffre doit être supérieur à 0 et inférieur à 10)
2. Multiplie ce chiffre par 2 (pour que ce soit un nombre pair)
3. Ajoute 5
4. Multiplie le résultat par 50 (je vais attendre que tu mettes en marche la calculette)

5. Si tu as déjà fêté ton anniversaire en 2006 ajoute 1756.  Si tu n’as pas encore fêté ton anniversaire cette année ajoute 1755.
6 Maintenant retranche l’année de ta naissance (nombre de quatre chiffres).
Le résultat est un nombre de trois chiffres. Le premier chiffre est le nombre de fois que tu aimes manger du chocolat par semaine.
Les deux chiffres suivants correspondent à . . .  
TON AGE !! (ouiiiiiii !!! Ton âge !!!)

2006 EST LA SEULE ANNEE,JUSQU'A LA FIN DES TEMPS, POUR LAQUELLE CELA MARCHE.  ENVOIS CECI A TES AMIS TANT QUE CELA FONCTIONNE.

 

 

Le 25/05/2006

 

L ‘ H O R O S C O P E

 

 

 

Le radioréveil se déclencha à 6h.55’. Aussitôt, la voix charmeuse de la speakerine se mit à égrener les prévisions pour chacun des signes du Zodiaque.

Je ne fais pas attention, d’habitude, à ces prédictions surtout que je suis imperméable à tout ce qui est recherches sur l Avenir mais, à l’énoncé de mon signe zodiacal, j’ai prêté instinctivement l’oreille ; voici ce que disait la Voix :

 

TRAVAIL : Les résultats sont très positifs. Plus vous exprimerez vos désirs, plus vous aurez une chance de les voir exaucer.

A M O U R : Vous n’osez pas être vous-même face à votre partenaire. Ne gâchez pas votre aventure actuelle en confondant présent et passé.

FINANCES : Vous consommez plus que de raison, comme si vous vouliez combler un vide intérieur (!). Une heureuse surprise financière vous attend.

SIGNE AMI : Le Capricorne peut être un bon guide pour vous.

NOTRE CONSEIL : Accordez-vous parfois le droit à l’erreur.

 

J’ai noté au fur et à mesure et j’ai relu tout cela plusieurs fois. Après quoi, j’ai classé ces prévisions dans un ordre chronologique de réalisation.

J’ai d’abord écarté le « TRAVAIL ». Etant en retraite, cette question ne s’adaptait pas à mon cas et j’ai passé outre.

 

Après m’être rasé et débarbouillé, je me suis rendu à la cuisine pour le petit déjeuner. Afin de me conformer à la prévision « AMOUR », j ‘ai accompagné mon baiser matinal à ma douce moitié d’un geste affectueux appuyé qui m’attira cette remarque dite sur un ton dépourvu de toute acrimonie : « Tu vas commencer de bon matin ? …va plutôt faire les commissions » ce qui brisa net mon élan. Il faut vous dire que nous venons de célébrer nos Noces d’Or et que, au fil des années, le « Présent et le Passé » signalés par l’Horoscope se confondaient par la force des choses, pour notre plus grand bonheur.

 

Cette étape franchie, sans sa réalisation, j’ai attaqué la question FINANCES. J’ai signifié à mon épouse que nous allions cesser toute dépense durant les 15 prochains jours. Elle me tendit une longue liste d’emplettes à faire et elle me dit d’un ton péremptoire : « Prends ton caddie et apporte-moi tout çà ! Tu oublies que tu as invité nos amis à dîner et que nous serons ce soir 15 à table ? Ah ! j’oubliais, ajoute sur la liste deux bouteilles de whisky car il n’en reste guère ! »

 

Je me suis dit que puisque « UNE HEUREUSE SURPRISE FINANCIERE » m’attend aujourd’hui, je pouvais bien faire ces dépenses le cœur léger. En fait, à mon retour des commissions, j’ai trouvé une lettre de ma banque m’informant que les 10 obligations P.T.T.12% cotées encore cette semaine à 2435 francs l’une, venaient d’être tirées au sort pour amortissement et me seront remboursées au nominal de 2000 francs pièce, soit une perte de 4350 francs !

 

J’ai pensé que PLAIE D’ARGENT N’EST PAS MORTELLE et que, en compensation, rien ne vaut l’AMITIE !

 

J’ai commencé donc à chercher parmi mes relations un Capricorne puisqu’il devait être, d’après l’Horoscope, un BON GUIDE pour moi.

 

J’ai téléphoné à un ami proche affublé de ce Signe et, dès qu’il entendit ma voix, il me dit que, justement, il avait besoin de moi d’urgence pour que je le réconcilie avec sa femme car elle voulait le quitter à la suite d’un grave malentendu !

 

J’ai découvert alors l’à propos du Conseil donné : « accordez-vous parfois le droit à l’erreur » et je me suis dit que TOUT était donc POUR LE MIEUX, DANS LE MEILLEUR DES MONDES….

 

 

P.S. J’ai retardé mon radioréveil de dix minutes et, depuis, il sonne APRES les prédictions de l’Astrologue de service.

 

                                                                  Propos A Tire-Larigot

                                                                         Albert Pardo

 

 

 

Le 25/04/2006

 

 

De Madame Lily Khodara :

Origine de la barre du chiffre sept  ! 7  

 

Encore aujourd'hui, de nombreuses personnes,
en écrivant le chiffre
7 utilisent une barre supplémentaire horizontale au milieu du chiffre.  
La plupart des typographies l'ont fait disparaître aujourd'hui
Mais savez-vous pourquoi  cette barre a survécu  jusqu'à nos jours ?
Il faut remonter bien loin, aux temps bibliques :

Lorsque Moïse eut gravi le mont Sinaï,
et que les 10 commandements lui furent dictés,
il redescendit vers son peuple et leur lut,
à haute et forte voix, chaque commandement.

http://www.chezmaya.com/h/moses3.gif

Arrivé au septième commandement, il annonça :
 « Tu ne commettras point d'adultère.
Tu ne désireras pas la femme de ton prochain » 

Et là
...  de nombreuses voix s'élevèrent parmi le peuple lui criant :
"Barre le
sept, barre le sept, barre le sept !!!"

http://www.chezmaya.com/h/sept4.jpg 

Et voilà…  l'origine de la barre du sept !

 

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Le 25/03/2006

UNE  IDEE  GENIALE

 

J’ai longtemps hésité à mettre cet article dans la Rubrique HUMOUR, craignant de scandaliser qui que ce soit. Alors j’ai demandé l’avis de quelques amis Lecteurs qui m’ont affirmé que, en comparaison de ce qui se dit et se voit à la Télé, c’est de la « roupie de sansonnet ». Je me jette donc à l’eau en attendant vos réactions.

 

L’autre soir, à la télé, à l’émission CAPITAL de la sixième chaîne, on nous a montré le cas d’un restaurateur qui désirait vendre son Etablissement à 1500000 francs. N’ayant pas trouvé d’acquéreur, il eut une idée géniale : il fit imprimer 6000 billets de loterie à 250 francs l’un et les proposa par voie publicitaire. L’affaire eut un succès retentissant. Il reçut des chèques de partout ; un grand nombre de France et beaucoup d’Allemagne, d’Angleterre, du Canada, des Etats-Unis et même d’Australie. Ils nous ont montré ces chèques à la télé, il y en avait des piles ! Un autre monsieur vendit sa résidence secondaire de la même manière.

 

L’idée m’a emballé  et je me suis demandé si je ne pouvais pas organiser une loterie similaire ?  Mais que pouvais-je bien offrir qui puisse intéresser un grand nombre de gens ? Je n’avais ni fonds de commerce ni résidence secondaire ! Même pas des meubles en trop ni argenterie supplémentaire ! Je suis alors descendu dans ma cave pour fouiller un peu. Il arrive parfois qu’on y trouve un tableau de maître recouvert de poussière ou bien encore une antiquité oubliée, d’une grande valeur.

 

Après une heure de recherches, je n’ai rien trouvé de valable. Et puis, tout à coup, une idée lumineuse : pourquoi ne mettrais-je pas en loterie ma zigounette ? Vu le nombre important de dames seules en France, du diable s’il ne s’en trouverait pas quelques dizaines intéressées à la chose !

 

J’ai consulté aussitôt les Pages Jaunes de l’Annuaire du téléphone pour trouver un Expert qui puisse évaluer l’objet de la vente. Il y avait des Experts dans tous les domaines, même en Antiquités, mais pas en zigounettes !

Alors, j’ai fait une estimation en mon âme et conscience et j’ai trouvé qu’à 50 francs le billet de loterie pour 200 billets, soit au total 10000 francs, ce n’était pas mettre quiconque dedans. Et j’ai envoyé cette annonce à plusieurs journaux et revues :

 

Monsieur, retraité, d’un âge certain,

vend en loterie, à 50 francs le billet,

zigounette usagée mais en état de marche

pour peu qu’on en prenne soin, avec sa

garde-robe complète miniature, à savoir :

Un chapeau haut-de-forme gris perle,

un nœud papillon assorti, un foulard,

un monocle, une houppelande pour les

soirées d’hiver, deux rubans rouge, deux

béquilles et trois décorations ainsi qu’un

flacon de potion pour la toux avec sa

vignette. Envoyez chèque à Maître

TARTEMPION, Huissier de Justice,

qui procèdera au Tirage.

 

 

 

Propos à Tire-Larigot

Albert Pardo

 

 

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Le 28/02/2006

OH ! QU’IL  EST  BEAU  MON  SQUELETTE

 

 

Mon médecin m’ausculta consciencieusement et me dit : Il faudra faire des radios  et voir un rhumatologue. Il me remit une lettre pour ce dernier et une ordonnance pour le centre de radiologie.

 

Là-bas, une charmante personne s’occupa de moi avec gentillesse, délicatesse et attention comme le mérite quelqu’un de mon âge. Elle me mit face à l’appareil, bien serré, puis : RESPIREZ ! NE RESPIREZ PLUS !  clac, RESPIREZ ! La même chose de profil, puis à droite, à gauche, de côté ; RESPIREZ ! NE RESPIREZ PLUS ! clac, etc.

 

Au douzième cliché, je commençais à me prendre pour un mannequin de chez SMALTO, le célèbre Couturier pour Hommes ! Je posais !

 

Elle me dit, toujours gentiment : Décontractez-vous ! Serrez les coudes ! Les genoux joints ! Enfin, après 23 clichés (pauvre Sécurité Sociale ! Il n’est pas étonnant qu’elle soit en faillite), elle me quitta, me disant de ne pas me rhabiller, qu’elle reviendrait dans deux minutes parce qu’elle irait voir si tout était réussi car, autrement, il faudrait recommencer les clichés ratés.

 

La chambre était froide. Je ne portais que mon slip et mon tricot de corps. Un quart d’heure plus tard, mes dents claquaient comme des castagnettes. Enfin, elle revint et me dit que tout était en ordre. Après m’être rhabillé, j’attendis les clichés et le rapport puis je rentrais chez moi, lesté d’une grande enveloppe lourdement chargée.

 

Le soir venu, dans mon bureau, la curiosité me fit ouvrir l’enveloppe et je regardais les clichés un à un par transparence entre l’ampoule électrique et mes yeux. Quelles merveilles !

 

Le premier cliché représentait en clair-obscur et, par endroits en des tons fondus, un paysage à vous couper le souffle ! J’y ai reconnu tout de suite la descente du Nil entre Assouan et Louxor par un bateau de luxe 5*****. J’arrivais même à déchiffrer son nom à bâbord (difficilement il est vrai), le TOUT ANKH AMON. Des felouques l’entouraient de toutes parts avec leur voile typique. Au loin, une barque approchait et la brise m’apportait les accents de la chanson mélopée  des bateliers du Nil :

 

El bahhr kébir, ya rayess                                     La mer est vaste, ô Raïs

El moga aouéyyah, ya rayess                        La vague est forte, ô Raïs

Aadda -l bahhareya, ya rayess                     Il a traversé les mers, ô Raïs  

                            Etc. etc.                                                     Etc.  etc.                                  

                                     

Nostalgie ! Nostalgie ! .

 

 

Le second cliché représentait le Mont Everest. Je remarquais une cordée grimpant le long d’une crête. Malheur ! le YETI, l’Abominable Homme des Neiges attendait les sherpas, caché derrière un rocher pour leur faire, vraisemblablement, un mauvais parti. En réchapperont-ils ?

 

Le troisième cliché était presque vide. Avec beaucoup d’attention et un peu d’imagination, j’y voyais tout à coup le crâne de l’Homme de Néandertal et celui de Lucie, la dernière découverte de ce savant paléontologue qui s’appelle…heu…son nom me reviendra sûrement plus tard. (N’est-ce pas Yves Coppens ?)  Ces deux crânes, face à face, avaient l’air de se concerter avec une complicité intime. Je déposais le cliché sur les deux autres, doucement et avec discrétion pour ne pas déranger ces augustes personnages.

 

Quatrième cliché : le Bosphore dans toute sa splendeur ! Voici le Pont de Galata. Ici, la Mosquée Bleue. Là le quartier de Pera. Le bruit, les odeurs m’envahissent ! Le Palais de Topkapi.

 

Cinquième cliché : EPHESE ! Quelle merveille ! Son allée dallée de marbre blanc avec, de droite et de gauche, les villas de la noblesse patricienne. En face, la fameuse Bibliothèque de Celsus. A droite, l’immense amphithéâtre antique à gradins. Plus loin, bien que du Temple d’Artémis, l’une des Sept Merveilles du Monde, il ne restât qu’une seule et unique colonne, moi j’y découvris le célèbre édifice intact, tel qu’il a dû être à sa création. De plus, en bas et à gauche, j’y découvris la colonne Pompée qui se trouve sur la Corniche d’Alexandrie, en Egypte. Comment est-elle venue là ? Mystère… Au petit matin, je remis tous les clichés dans l’enveloppe. Mes yeux papillotaient et je n’arrivais même plus à lire le rapport accompagnant les radios.

 

Le lendemain, je me rendis chez le rhumatologue à l’heure dite. Sur sa demande, je m’étendis sur un châlit capitonné et il commença à me manipuler. Il prit l’un de mes bras et, mettant sa main sous mon coude, il le plia. Le coude fit : CHCHCH ! vous savez, comme un fort chuchotement ; un chuchotement prononcé (c’est le cas où jamais de le dire).  Il fit de même avec mon autre bras. Là, l’autre coude fit : RHRHRH ! … comme le mistral s’engouffrant dans une caverne. Il avait un air saisi ! Il recommença : CHCHCH…RHRHRH…CHCHCH…Il en prit son parti et attrapa l’une de mes jambes. Posant l’autre main sur mon genou, il le plia : KHKHKH !

Là, je suis obligé de faire une digression autrement vous ne comprendrez pas. Quand je dis KHKHKH, un allemand ou un ressortissant des pays du Moyen-Orient pourrait répéter ce son correctement car ils l’ont dans leur phonétique. Mais un français dirait : K K K . Or, ce n’est pas KKK mais KHKHKH ! En effet, combien de fois n’ai-je pas entendu au poste les présentateurs dire KOMENI ci, KOMENI ça, oubliant que, entre le K et le O il y a un H ce qui transforme totalement ce vocable. Si vous voulez le prononcer correctement, faites ceci : imaginez que vous  êtes au Sahara et qu’il y ait un vent de sable qu’on appelle KHAMSINE (et non pas KAMSINE). Il vous pénètre par le nez et par la bouche et votre gorge est en feu ; que feriez-vous pour ne pas suffoquer ? vous feriez :  KHKHKH et puis : TFOU, vous cracheriez ! Voilà, vous avez attrapé ce vocable correctement prononcé. Mais revenons à mes genoux.

 

Le praticien reposa respectueusement ma jambe et attrapa l’autre pour faire de même. Le second genou fit un bruit de cliquet. Il recommença. Le genou refit CLIC-CLIC-CLIC…Il avait l’air malheureux qui me fit de la peine. Enfin, il se mit derrière moi et attrapa ma tête. Il l’a fit pivoter doucement à droite : à 35 degrés, elle fit CRAC-CRAC puis…plus rien ! A 35 ° degrés à gauche, elle fit rapidement : CRIC-CRIC-CRIC. Je levais les yeux en pointant mon menton vers lui et remarquais son air perplexe. Je vous avoue que je commençais moi-même à être très intrigué ! Pourquoi trois CRIC à gauche et seulement deux CRAC à droite ?

Tout à coup, il eut un comportement étrange : il se mit à manipuler tour à tour chacun de mes membres mais en désordre ; le cabinet résonnait de CRIC.CRIC.CRIC., KHKHKH, CHCHCH, CRAC.CRAC., RHRHRH, CLIC.CLIC.CLIC. On aurait dit l’orchestre de percussions de Strasbourg.

 

Quand il en eut assez, il me dit de me rhabiller. Je le suivis dans son bureau où il regardait les radios sur un écran lumineux.

Au premier cliché, il fit : HO ! HO !

Au second……………. HA ! HA !

Au troisième…………...HE ! HE !

Tout cela d’un air gourmand. Au début, je croyais qu’il était subjugué et enthousiasmé par les jolies vues que j’avais eu la veille, à l’examen des clichés. Mais lorsque, au dixième, il commença à dire d’un air catastrophé : Eh ben ! Eh ben ! et autres onomatopées apitoyées, j’ai compris l’étendue des dommages occasionnés par les rhumatismes dans mon squelette et je lui ai demandé d’une voix faible :

-          Docteur ! Il ne m’entendit pas. Je répétais plus fort :

-          Docteur ! s’il vous plaît ? Il était plongé dans ses contemplations. Alors je criais presque :

-          Dites-moi, Docteur, s’il vous plaît ? Il émergea et me dit, encore absorbé :

-          Quoi ? quoi ?

-          C’est donc pour bientôt ?

-          Qu’est-ce que c’est ?

-          Vais-je mourir aujourd’hui ou aurais-je encore quelques jours ? Vous avez l’air si catastrophé !

Alors, il se ressaisit et me dit en riant :

-    Non, non, soyez tranquille    . Au contraire, les statistiques prouvent que les rhumatisants vivent en moyenne plus longtemps que les autres.

 

Je n’ai pas voulu gâcher son euphorie en ajoutant :

 

-          Oui, mais dans un fauteuil roulant !

 

Et je me consolais en pensant aux beaux paysages dévoilés par les radios de mon squelette.

 

Cela me rappelle l’histoire de ce médecin qui disait à son patient : Vous avez de l’hypertension mais cela ne m’inquiète pas. Vous avez aussi du diabète et du cholestérol mais cela ne m’inquiète pas. Et ainsi de suite. A la fin, énervé, le client lui dit : Vous savez Docteur ? si vous aussi vous aviez de l’hypertension, du diabète, de l’urémie, etc. cela ne m’inquièterait pas non plus !

 

Mais ces clichés me remirent en mémoire ceci : Quant j’étais encore un marmot, un vendeur ambulant de jouets passait par notre rue et portait des petits squelettes en bois de sa fabrication. Il tirait sur une ficelle et les quatre membres du jouet tressautaient tous en même temps. Ma mère n’a jamais voulu m’en acheter disant que c’était un jouet morbide. Voulant me rattraper rétrospectivement, j’ai pris dans mon tiroir un bout de forte ficelle en nylon, j’y fis un nœud coulant que je passais autour de mon cou et je l’accrochais à l’espagnolette de la fenêtre après en avoir entouré mes deux mains et mes deux pieds. Ensuite, j’ai hélé ma  douce moitié. Elle vint de la cuisine tenant dans une main un couteau et, dans l’autre, une poignée de haricots verts. Je lui ai tendu la ficelle et lui ai dit de tirer fort ce qui me permettrait de gesticuler avec mes quatre membres en même temps comme le squelette de mon enfance. Elle me regarda d’un air furieux et quitta la pièce en marmonnant entre ses dents des mots pas gentils à l’adresse des personnes qui ne veulent pas vieillir. Je me suis dit que, sans doute, le tas de haricots à éplucher devait être respectable.

 

Et je me suis remis à rêver à mon si beau squelette…..                   

 

 

                                                           PROPOS A TIRE-LARIGOT

                                                                  d’albert pardo

 

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Le 21/01/2006

AUTO   MEDICATION

 

Etes-vous un adepte de l’automédication ? Vous savez, ces médicaments vendus en pharmacie sans ordonnance ?

Je m’en été gardé jusqu’ici, me contentant de ceux que me prescrivait mon médecin pour mes rhumatismes et autres petits maux dus à l’âge. Mais, depuis un certain temps, il y a un battage médiatique important dans tous les médias : radio, télé, journaux, etc. pour tel ou tel produit miracle. Ainsi, par exemple, pour le GINSENG ! Cet été, toutes les pharmacies de France et de Navarre avaient leurs vitrines envahies de publicités pour ce produit. Il y en avait même dans les magasins de régime, les Offices de Tourisme et les Stations Thermales !

Devant cette avalanche d’incitations à utiliser tel médicament pour telle carence ou déficience, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai acheté plusieurs produits, comme :

 

MAGNESIUM, pour la fatigue.

VITAMINE E., pour le vieillissement.

VITAMINE C., pour la défense de l’organisme.

VITAMINE A., pour la peau.

GELULES DE CASSIS, pour l’arthrose.

GELULE DE REINES-DES-PRES, pour les maux de tête.

GELULES DE GENSING, pour la bagatelle.

GELULES DE GELEE ROYALE, comme reconstituant.

GELULES DE CHROME, pour prévenir le diabète.

DU CALCIUM, pour les os.

DES COMPRIMES contre la FLATULENCE.

DES AMPOULES pour la CIRCULATION SANGUINE.

DES GOUTTES pour les JAMBES LOURDES.

UNE EAU MINERALE spéciale pour l’EXCES DE POIDS.

UNE CONFITURE VEGETALE pour ALLER AUX TOILETTES.

Je me suis limité à une quinzaine de produits,  pour commencer, en vue de les tester avant de pousser mes essais plus loin. Quand j’ai déballé mes emplettes, à la maison, j’ai failli m’évanouir ! : Comment allais-je ingurgiter tous ces produits ? Il fallait de l’eau ! BEAUCOUP d’eau ! C’était impossible ! J’ai étudié le problème longuement et j’ai trouvé la solution.

J’ai d’abord vidé, dans mon mortier de cuisine, TOUS les comprimés, gélules, pilules et tous les médicaments solides que j’ai réduit en poudre. J’ai transvasé le tout dans une grande casserole dans laquelle j’ai versé, par dessus, le contenu des flacons, ampoules, la confiture laxative, etc. J’ai mélangé le tout et j’y ai incorporé :

 

6 cuillerées à soupe de farine, pour la consistance.

1 cuillerée à café de Maïzena, pour le liant.

1 petit pot de miel, pour le goût.

1 petit pot de crème fraîche, pour l’onctuosité.

1 pincée de cannelle en poudre, pour la fantaisie.

200 grammes de fruits secs, pour le croquant.

 

Après quoi, j’ai mélangé encore et encore et j’ai posé la casserole sur un feu doux durant un quart d’heure. (Non, soyez tranquilles, ça n’a pas explosé).

J’ai enduit une plaque du four avec un peu de beurre, sur laquelle j’ai versé la mixture en l’étalant en une couche uniforme d’un centimètre d’épaisseur. Avant qu’elle ne refroidisse complètement, j’y ai découpé très régulièrement, des tablettes de trois cm. sur deux. Le soir venu, après dîner, j’ai croqué deux de ces  tablettes malgré les efforts de ma femme pour m’en dissuader. Le goût n’était pas mauvais, non, mais plutôt bizarre. Sur ce, j’ai été au lit.

 

QUINZE JOURS PLUS TARD.

 

Entendu à toutes les radios périphériques, le communiqué suivant :

 

Nous avons reçu par la voie des airs, ce message de notre concitoyen A.P.  que nous communiquons aux personnes intéressées.

 

Chers Amis,

 

Je vous remercie beaucoup d’avoir pris la peine d’assister à mon enterrement. A mon arrivée ici, on m’a octroyé une villa de dix pièces avec piscine, jardin, arrosage automatique, terrain de tennis et deux anges à mon service exclusif. Grâce à ma mixture cocktail  de médicaments sans ordonnance, j’ai rajeuni de 50 ans. Je passe mon temps très agréablement. Quand je ne suis pas en train de battre le carton avec mes amis au bar, de parcourir les 18 trous du golf ou de faire mon footing quotidien, je me trouve au champ de courses pour parier sur les chevaux. L’ennui est que je gagne beaucoup d’argent et que je ne sais pas quoi en faire car, ici, tout est gratuit et il n’y a pas de banque pour y déposer l’argent. En deux semaines, j’en ai déjà rempli deux chambres jusqu’au plafond !

Si vous voulez me rejoindre, rien de plus facile : composez ma recette médicamenteuse et croquez deux ou trois tablettes. C’est RADICAL ! Mais si vous préférez rester sur Terre encore quelque temps, alors un conseil : N’ACHETEZ AUCUN MEDICAMENT VENDU SANS ORDONNANCE.

Affectueusement

 Votre Ami

 A.P.

PROPOS A TIRE-LARIGOT                       

d’Albert Pardo

 

 

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Le 26/11/2005

MON  ORDINATEUR  ET  MOI

 

 

L’ordinateur est-il une machine pensante ? Moi, j’en suis convaincu ! Avant de vous moquer de moi, oyez plutôt !

 

Il y a une dizaine d’années, l’on m’a fait cadeau d’un ordinateur portable. Pas plus grand qu’une petite valise, il comportait un couvercle et on pouvait le transporter et s’en servir partout. Mais comment l’utiliser ? Vous connaissez les jeunes, surtout ceux d’aujourd’hui ! Pour eux, toutes les nouvelles machines ne sont que jeux d’enfants. Mais pour nous, ceux de l’ancienne génération, il nous est difficile de nous y faire. Alors, j’ai demandé des explications à mon petit-fils âgé de 14 ans à l’époque. Il m’a dit ceci : « Pépé, ce n’est pas difficile ! Tu vois, tu n’as qu’à faire comme ça : tac, tac, tac, tac, tac, tac puis comme ci : tic, tic, tic, tic, tic, tic et, enfin, touc, touc, touc, touc, touc, touc et le tour est joué !

 

Au fur et à mesure qu’il procédait je regardais, émerveillé, le résultat. C’était époustouflant ! Mais il avait fait si vite que je n’avais rien compris et le priais de recommencer mais plus lentement ; il recommença : tac, tac, tac, tic, tic, tic, touc, touc, touc….. Je n’avais toujours pas compris et au moment de lui dire de recommencer, j’ai lu dans ses yeux un étonnement si grand devant mon imperméabilité à assimiler le langage « ordinateur » que j’en ai eu honte  et l’ai aussitôt assuré que j’avais bien compris et que je m’entraînerai plus tard, à tête reposée, après son départ.

 

En effet, le manuel devant les yeux, je commençais à essayer d’apprendre. Ce fut difficile, très difficile ! Mais, petit à petit j’arrivais, cahin caha, à assimiler quelques termes et à effectuer quelques manœuvres. Vous ne pouvez imaginer le bonheur de voir apparaître sous vos yeux, ce que votre imagination a élaboré et ce, grâce à vos dix doigts tapant sur le clavier !

 

Cependant, il ne suffisait pas de taper le texte;  il fallait aussi le positionner, le sélectionner puis l’imprimer, après une série de manipulations bien précises. Ce n’est rien du tout lorsqu’on  en a l’habitude mais, au départ, c’est la croix et la bannière ! Combien de fois n’ai-je pas vu le travail de plusieurs heures disparaître de l’écran par suite d’une fausse manoeuvre ?

 

Une fois, furieux  de voir mes efforts réduits à néant, je n’ai pu m’empêcher  d’insulter l’ordinateur en lui criant « SALAUD » ! Que pensez-vous qu’il fit ? J ‘ai vu apparaître à l’écran cette phrase : « Va te faire cuire un œuf » et, en même temps, j’ai vu le visage de l’Ordinateur, oui, oui, le visage d’un genre de gnome QUI ME FAISAIT LA NIQUE ! ! ! Avec des yeux méchants…mais méchants….De fureur, j’ai fait comme Khrouchtchev à l’O.N.U. : j’ai retiré l‘une de mes chaussures et, au moment de l’asséner sur l’Ordinateur, j’ai repris mon sang-froid et l’un des dictons de mon enfance m’est venu à l’esprit : DOUCEUR VAUT MIEUX QUE VIOLENCE.

 

Alors, j’ai éteint  l’appareil, je l’ai refermé doucement et avant de m’en aller, j’ai mis sur le couvercle un bonbon praliné. Je sais que vous ne me croirez pas mais je vais vous le dire quand même : le lendemain, le bonbon avait disparu et, par la suite,  nous sommes devenus les meilleurs amis du monde ! Depuis lors, chaque fois que j’ai un problème avec mon Ordinateur, je lui laisse un bonbon et, à la reprise, tout se déroule comme du papier à musique !

 

 

PROPOS A TIRE-LARIGOT

d’Albert Pardo

 

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Le 14/10/2005

CONFESSION
 
Je voudrais vous faire un aveu

Mais ne sait comment m’y prendre…

C’est un sujet épineux

Qui risque de vous surprendre.
Au moment de me jeter à l
’eau

J’hésite encore un peu
Je me sens comme un godelureau

Un tantinet prétentieux !

 

A vous dire la vérité

Je n’en suis pas responsable,

A vous aussi cela pourrait arriver

Et vous ne seriez pas coupable.

Voici de quoi il s’agit :

Mon Dieu ! Comment le dire ?

C’est une affaire de lit

Comment allez-vous réagir ?

 

Ne me jetez pas la pierre

C’est arrivé malgré moi !

Il est vrai que c’est un adultère

Et je me sens en plein désarroi !

C’est que, depuis plusieurs années,

Une maîtresse s’est imposée à moi :

Chaque nuit elle vient me visiter

Et nous formons un ménage à trois.

 

Au début, ma femme s’est révoltée

Et ne voulait rien entendre.
Puis, petit à petit, elle s
’est résignée

Pour ne pas déclencher un esclandre.
Alors, toutes les nuits,

Cette dame se glisse entre nous

Et, dès que je m’assoupis

Elle me susurre des mots doux

 

Elle me parle des Iles, de Tahiti,

De plages de sable fin, de lagons bleus,

De perroquets, d’oiseaux du Paradis,

De fleurs exotiques aux parfums capiteux

Elle me raconte des choses tendres

Ou me dévoile des sujets cochons !

Les premiers m’aident à me détendre

Les seconds, me font monter le rouge au front.

 

Lorsque, de fatigue, je roupille

Et que je me mets à ronfler

Elle me griffe, mes oreilles elle mordille

Pour me tenir éveillé.
Parfois, ma femme proteste

Quand nous faisons trop de tintouin

Après quoi, de la parole et du geste

Elle nous dit de dégager le terrain.

 

Nous quittons alors la chambre

Et nous allons au bureau

Où nous restons ensemble

Jusqu’au matin nouveau.

Durant toute cette veille

Elle me fait travailler,

Me houspille, me presse, me surveille

Pour m’empêcher de pioncer.

 

Le résultat est là sous vos yeux :

Ce n’est qu’un échantillon
Parfois, il est tiré par les cheveux

Et d’autres fois, fringuant.
A propos, vous ai-je dit son nom ?

Elle s’appelle POLYMNIE.*
C
’est ma Muse des bons moments

Elle est ma meilleure amie.

 

 

 

POEMES  HETEROGENES

                                                                                     d’Albert Pardo

 

* Polymnie : Muse de la poésie lyrique

 

 

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